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Higure Onkyou ✘ L'écho du crépuscule

Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Dim 4 Déc 2022 - 14:33

Higure Onkyou, l'écho du crépuscule.


@Daishi Ken

Lajournée s'annonçait tranquille au sein du dojo. Le couple d'onkyotonka qui avait assisté aux funérailles à Matshu, petit hameau bercé par le culte de Isonade, a entamé des recherches sur l'auteur de l'ode offerte par les matriarches de la ville portuaire. Cette ode est une offrande à Isonade actuellement mais qui à l'époque, permettait de communiquer avec les esprits, paraît-il. Minako en est très heureuse et est prête à l'étudier avec Ken.

C'est là qu'ils apprirent que le nom de Satoshi Kodai est un pseudonyme et sont parvenus grâce à cela, à remonter jusqu'à un clan antique. Il s'agit ici du clan Kodaishi, un peuple ancien qui s'est vu doté du pouvoir sonore de l'onkyoton. Ils habitaient à Kaminari en zone montagneuse en premier. Les différentes branches de ce clan se sont installées un peu partout dans le pays de la Foudre, en forêt par exemple, ou sur les littoraux. Peu à peu, les descendants se firent plus rares sur ces terres et ils commencèrent à voyager dans d'autres contrées pour trouver l'inspiration. C'est pour cela que les onkyotonka actuels sont répartis dans tout le yuukan.

Le clan Kodaishi fut le premier sujet de discussion du groupuscule d'onkyotonka. Ainsi, ils pensèrent que pour faire honneur aux ancêtres onkyotonka, le logo du groupe de musique sera le Coda, signe de la fin d'une œuvre, d'une page qui se tourne pour un renouveau. Aussi, ils pensent que s'appeler les enfants du crépuscule est quelque peu gentillet par rapport aux buts de ceux-ci, alors ils décident de s'appeler Higure Onkyou, ou l'écho du crépuscule. Le crépuscule, là où ils ont le plus d'inspirations, là où l'équilibre entre l'ombre et la lumière est parfait.

« Nous étions X-Mijime, un groupe de racaille. Avec l'arrivée de Ken et de Kaori nous sommes devenus les enfants du crépuscule. Ou plutôt, l'écho du crépuscule. C'est grâce à leur présence que nous avons évolué en meilleur aux yeux de tous. Par ailleurs, j'aimerai commencer par un point important… »

La banshee prit son souffle avant de faire un aveu.

« Je tiens d'abord à présenter mes excuses envers Kaori. Je me suis comportée de manière égoïste en laissant tout gérer sans recevoir quelconque attention de ma part en retour. Je voudrai pour me faire pardonner lui alléger le travail en faisant une répartition des tâches équitable. »

Son visage se détendit et ses yeux pétillaient de bonheur. Elle avait caché quelque chose à Ken, et attendait son anniversaire pour le lui annoncer. Elle rougissait avant de l'annoncer.

« Ken, je… J'attendais avec impatience ce jour pour nous réunir et t'annoncer une grande nouvelle. Nous deviendrons parents dans quelques mois ! »
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Mar 17 Jan 2023 - 19:20
La honte, peut-être le manque de foi, sûrement, fait que je n’ai jamais rien dit sur le sujet, pas même à Minako. Je ne lui ai jamais dit que depuis que Gensho, sur le navire, qui avait criée « attention la voila », pendant que je jouais avec Minako l’hymne composé par le génie de Koda, je me sens parfois inspiré, mais pas une inspiration ordinaire, non. Depuis ce jour, j’ai comme des flashs, des images, ou des voix. J’ ai décidé de suivre un journal, un carnet et je me suis mis à écrire, chaque pensée étrange, chaque flash, chaque paroles. Un projet sans nom, une sorte de bouddhisme, de recueils de voie.

Je me tâte depuis pour trouver un nom à cette voie à suivre. Le Higuredo, la voie du crépuscule. Du renouveau. Quoi qu’il en soit, bien que je m’y sois habitué, ça me faisait toujours étrange de recevoir l’une de ses pensées. Comme si quelqu’un me soufflait des choses, à tout moment de la journée, que je devais écrire pour penser à autre chose sous peine que cette pensée vienne me hanter en boucle jusqu’a ce que j’y consacre l’intérêt qu’il mérite.

Je me souviens que lorsque Gensho avait criée « attention la voila » j’avais perdu pied, le bateau avait eu une forte secousse, puis à être tombé dans l’eau, me noyer, et ne plus me souvenir du reste. Je n’ai jamais su si cette voix est Isonnade, le fruit de mon imagination débridé, ma petite voix, voir celle de Kiwe’an ? Peut-être même le chakra de Minako saturant le miens me faisant ressembler à une sorte de Meikyu ?

Il n’empêche, que je me surprends à écrire des choses si profondes depuis un petit moment. La voix s’était tue quand j’avais eu ma période alcoolique, mais depuis, depuis que Minako à prit le rôle de la gardienne de ma sobriété, cette étrangère s’est mise de nouveau à m’inspirer. Non seulement elle avait reprit du service, mais elle semblait vouloir rattrapper le temps perdu. C’est ainsi que je préparai mon carnet afin de le proposer au groupe. Une proposition de la voix.

Je ne peux m’empêcher de me demander si Satoshi Kodai, tout comme moi, était un inspiré… Sauf si bien sur, je délire et qu’en aucun cas, je ne sois un inspiré ? Comment, sinon, expliqué cette voix qui me susurre des préceptes ? Comment justifier qu’il a pu créer une œuvre pareil ? Avec Minako, nous passons beaucoup de notre temps a essayé de démêler le vrai du faux… a détissé les trames de sa vie, pour ma part si ses genjutsus sont aussi puissants que cette partition, je dois absolument mettre les mains dessus ! Selon nos renseignements, le peuple de Kodai se serait en premier abrité sur les montagnes. Je pense donc que ma réponse devrait se dérouler là-haut, dans les montagnes. J’en parlerais au groupe plus tard, qui sait ? Pourrions-nous monter une expédition ? Je sais que bientôt Kaïto devrait etre au repos, j’ai bien l’intention d’en profiter pour demander de me laisser épouser Minako. Toutefois, ai-je encore besoin de son approbation désormais, qu’il n’est plus son père biologique ?


Quoi qu’il en soit, tout était prêt pour accueillir nos amis. Pour cela, j’avais envie de méditer ***a l’extérieur proche du porche d’entrée.*** Pour nos invités, tout étaient prêt très tôt le matin. Arachide en guise d’apéritifs avec des nems au porc. Boissons. Pour montrer a tous mes progrès, j’ai décidé de renoncer a l’apéro alcoolisé. il y avait même une bonne tarte pomme, amande et cannelle en fin de cuisson. Pour le repas, je ne me suis pas cassé la tête, simplement un phô pour aider à lutter contre le froid hivernal. Une nappe verte feuille histoire d’être raccord avec notre table couleur chocolat. Avec Minako on a tâché de se calmer mutuellement. J’ignore pourquoi, mais elle était stressée, plus que d’ordinaire mais également, plus câline que d’ordinaire. J’avais eu beau lui demander pourquoi, elle gardait le silence. J’ai eu l’impression de l’agacer à la fin. Pour ma part, grâce à elle, nous avons mis en place une liste de sujets. Elle me surprit à prendre l’ Higuredo dans ma doublure de kimono. Auquel je lui lançai mon plus beau sourire et mon clin d’œil séducteur.

- Chacun ses secrets mon cœur…. Chacun ses secrets….  Lui répondis-je en rigolant.

Finalement nos amis sont arrivés, Minako, en parfaite maitresse de maison les acceuillirent à l’entrée du ***dojo*** nous les avons reçus comme il se devait, après que les banalités aient été dites, après l’apéro, c’est devant le phô que les hostilités commencèrent. Kaori me coupa le sifflet quand elle nous présentait différent patrons.

— Pardon mon Kenny, je peu pas attendre, pour ton anniversaire j’ai voulu mettre le turbo, j’espere que ca va vous plaire les garçons, et a toi aussi Minako. Dit-elle en plaçant une boite en bois d’une assez grande taille sur la table.

J’ai été extrêmement touché qu’elle se soit autant investi pour le groupe, tellement de travail titanesque. Tellement de choix !. Le logo fut choisi à l’unanimité, Ryuku me surpris en le pointant du doigt en disant simplement

— C’est celui là ! Comme si il l’avait reconnus comme étant notre symbole de rassemblement.

L’effet recherché était parfait, un effet de renouveau, un symbole assez obscur presque kabbalistique. Un Sigle qui nous réunirait où que l’on aille et qu’importe ce que nous resserves nos vies. J’ai été soufflé par la précision des symboles musiquaux. Une tel finesse dans le trait, les cercles d’un virage presque chirurgicale.

— Je l’ai toujours dis, hein Minako ? Kaori aurait pu être une excellent Iroujutsuka ! Nan mais ta vue la précision dans les traits !!! juste extraordinaire !

Je me saisis de notre logo et le jeta sur les épaules, comme une cape, son le dos de notre Kaori afin que l’on imagine le symbol brodé dans notre dos. Je le verrais bien en noir sur un tissus blanc mais de peur que cela rappel Aizen, je me suis demandé si blanc sur fond noir ne serait pas plus judicieux. Pendant que je couvrais Kaori avec la cape, comme si je voulais la réchauffer, plusieurs noms de groupe fut proposé. Finalement, le nom du groupe fut choisi en brandissant a la porte de notre dojo qui nous sert de point d’encrage. J’embrassai furtivement Kaori sur l’oreille, un baiser rapide et sonore sans m’en rendre compte afin de lui placer dans se geste toute ma gratitude sans pour autant facher Minako ou Ryuku assez jaloux sur les marques d’affections offert aux autres personnes. Enfin, pour Minako, elle me donnait toujours l’impression d’être jalouse.


Biensur, nous aurions aimer nous appeler le clan Kodaishi. Ne connaissant pas leurs passés, se nommer comme eux seraient possiblement une erreur. Notre Suzuri trancha alors pour tout le monde optant pour le nom des enfants crépusculaire. Trouvant cela étrange, j’avais proposé enfant du crépuscule puis Minako mit tout le monde d’accord. Higure Onkyou, l’écho du crépuscule. Soudain, je fut frappé de stupeur. J’ai réalisé que mon journal, s’appellant la voie du crépuscule.

« Comme si je savais par avance…  non impossible ! » me dis-je en secouant mon visage de droite à gauche.

Je serrai machinalement le carnet qui se trouvait sur mon torse. C’était si étrange, au vu de ce que j’avais écrit dessus. Était ce une coïncidence ? Ou avait-elle aussi droit à l’inspiration d’une voix inconnue ? Une voix de femme apparemment. Il faudrait que je le lui demande. J’ai le trac et j’ignore pourquoi

Voyant combien j’avais de mal a entamé la réunion, Minako prit les devant par un discours des plus chaleureux. Elle me toucha au plus haut point, je voyais bien que Kaori était aussi touchée que moi sinon plus. Je fixais les yeux noisette de ma camarade. Ses yeux de guenon, comme elle fut surnommée étant à l’académie me faisais toujours de gros frissons. Pour moi, elle avait des yeux de peluche. Vous savez, ses grand yeux d’un noir profond cerclé d’un joli éclaircis chocolat. Je pense que c’est pour ça que Ryuku l’avait surnommée sa peluche. D’ailleurs, une fois de plus, elle fixa la table en rougissant tout en serrant le bras de son homme, elle répondait a Minako par mime sans émettre de sons, apparemment, bien trop ému. Pour ma part, j’en menais pas large. Je serrais la cuisse de Minako avec une si forte crispation de gène méllé à de l’excitation. J’ai retiré presque aussitôt ma main, s’enfonçant petit à petit trop entre les plis du kimono, de peur que mes amis me voient…. Disons, apte à prendre soin de ma moitié. L’instant était bien trop sérieux pour lui demander de venir avec moi pour les vingt minutes a suivre. Mes mains montèrent à mes yeux pour m’essuyer les larmes. Finalement, pour une fois, j’ai craqué avant Kaori, elle d’ordinaire, étant la madeleine du groupe.

Quand finalement, je repris un peu de contenance. Ma main, repartie sur la cuisse de Minako de façon bien plus sobre. Tel mon futon consumé par son Katon, Minako me brûlait toujours plus fort. Je flambais à son contact et je flambe d’autant plus fort chaque jour qu’il m’est donné de vivre. Je lui caressais tendrement la cuisse sous la table, veillant à rester cependant bien moins entreprenant cette fois. Je voulais juste qu’elle sache combien elle m’a émue, combien je l’aime, que je n’appartiens qu’a elle seule. Toutes ses petites attentions discrète mais répétés de jours en jours, comme une sorte de ritournelle amoureux. Chaque soirs, j’avais hâte de me reveiller pour pouvoir de nouveau lui dédicasser ma vie dans ses jolles petites attentions d’amoureux.

Ainsi, je lui tenais la cuisse par-dessus ses vêtements. Je souriais discrètement à mon petit cœur quand elle en eu le souffle coupée. Je la vois, entre un de respirer. C’était si mignon à voir. Durant un instant, j’ai pu déceler comme un appel au désir, ou, était-ce autre chose ?

Je lui rendis son sourire et appuya chaque un de ses mots quand elle parlait de remercier chaudement Kaori et de vouloir lui alléger son travail. C’est vrai que Kaori était en quelque sorte notre roadie. Elle suivait partout le groupe, sûrement pour avoir un œil sur son fiancé. Elle s’occupait des affiches, de notre pub, et maintenant de nos costumes de scène ainsi que notre logo. Au final, elle était même la personne la plus investie d’entre nous cinq. Le problème était bien là ! Nous aurions du etre bien plus investie qu’elle, surtout les deux Onkyotonka que nous sommes. J’eus à nouveau une grande pointe de honte.

Je lâchais avec tristesse la cuisse de Minako, en veillant a remettre le tissu correctement dans une excuse silencieuse. Je me penchai sous la table pour en sortir un coffret. Je me suis alors mis à genoux devant Kaori devant les regards surpris de mes camarades, tout en m’aplatissant presque au sol pour lui remettre le mystérieux coffret. Gênée, elle commença par le refuser. Je lui tendis de nouveau avec plus de conviction la forçant un peu a l’accepter.

— Je t’en pris accepte le ! C’est de la part de Minako et de moi même ! Je t’en supplie prend le !

Ses yeux passèrent d’un chocolat mordoré à un jaune doré, ses yeux grandirent de surprise. A l’intérieur il y avait un pinceau de calligraphie d’une extrême finesse avec des filigranes d’or sur un bois de sapin laqué. Il y avait aussi un nécessaire comprenant diverse cires, de l’encre de Shin Suzuri, la meilleure adresse en fourniture pour Suzuri, d’un prix en général plutôt exorbitant. Sa bouche tremblait comme si elle allait pleurer.

— Je tenais a m’excuser davantage, tout comme Minako, j’ai été égoïste, et pire encore… j’ai eu ma période alcoolique d’ailleurs, je sens encore parfois l’envie de replonger… durant cette période j’étais perdu. Je t’ai même abandonnée dans les champs a trois heures du matin seule et dans le noir…en étant presque brutal alors que tu étais là pour moi… Je sais que vous m’avez pardonné. Koyama, Minako mais surtout Ryuku et toi, mais vois tu… Une personne ne me pardonnera jamais, c’est moi…. Ce cadeau n’est pas pour m’excuser mais pour te faire comprendre que tu es de ma famille. Que l’on t’aime ! Que tu es la sœur que j’ai toujours voulu avoir Kaori. Je...

Je me suis arrêté là voyant les yeux s’assombrir de larmes. Je me suis simplement retiré mais pas assez vite apparemment, le cadeau tomba sur le sol, tandis que Kaori plongea sauvagement sur mon cou en m’écrasant la jouer entre son cou t l’orée de sa poitrine, puis me saisi le visage pour m’embrasser les joues et m’écraser de nouveau. Elle s’essuya ses larmes dans mes yeux et mes cheveux, j’étais tellement ému !

Il m’a fallu bien dix minutes pour reprendre ma contenance sous les yeux pétillant de bonheur de Minako. Ma mâchoire se décrocha presque, elle est si belle, en cette instant, bien plus belle que d’ordinaire, ma Minako , ma déesse!

Me surprenant moi-même, ne comprenant pas bien comment j’avais fait ça, j’aurais eu du mal a bougé tellement vite si je devais le refaire, tellement j’ai accouru à ses côtés quand elle m’appela. Une façon de dire mon prénom qu’elle reservait d’ordinaire que dans notre intimité. Je lui pris la main

— Oui mon amour ? Je lui tenais la main, en embrassant le dos, sa chaire était glaciale comme à son habitude. Je m’empressais de lui poser sa main dans la mienne et de la couvrir de mon autre main pour lui offrir un écrin de chaleur. Elle avait toute mon attention. J’avais comme une paille en bouche afin de boire ses paroles.

Il me fallut un moment pour digérer la nouvelle. Son annonce me rendit heureux, nos buses avaient enfin fait le nécessaire et ma buse attendait des petits, soudain je réfléchis et je lui dit.

— TROP BIEN MON AMOUR ! Enfin on va avoir des bébés buses depuis le temps qu’on attendait s…

Je voyais autour de moi, surtout en fixant Minako, des regards à la fois heureux et interrogateur. Koyama devint rouge et toussa son thé prit entre surprise et fou rire. Il toussa trés bruyamment en passant dans un léger ton violet

— Attend attend attend attend !!!! MINAKO NAN C’EST PAS VRAI JE VAIS ETRE MARRAINE !!!!! Kaori sauta a pied joint se mettant debout avec une vélocité extraordinaire et sauta entre ma femme et moi, elle saisit une main à Minako et la mienne, décidant elle même qu'elle serait la marraine de nos bébé buses, sans même m'écouter . Je la regardait fronçant les sourcils .

Je savais que nos buses allaient apparemment être parents mais n’etais ce pas un peu troooop... abusé ? Tout se foin pour des bébés buse ? D’accord nous adoront nos buses comme nos propres enfants à quelques exceptions prêt mais quand meme… C’etait à mon tour de les regarder avec un visage interrogateur et encore plus sombre, en me demandant si nos deux femmes n'avaient pas virés cinglées.

— Ho non mais qu’elle idiot !!! Kiwe’an fini par me dire en assistant à la scène.

— Ken… tu ne crois pas…. ? Kaori me foudrois des yeux en attendant une chaleureuse réponse de ma part qui ne venait pas, pas même un geste d'amour. D'un coup, elle cria a mon oreille

— C’est tout ce que ca te fais, CHAMEAU !!! C’est tout ce que t’a a dire à ta femme ? NON MAIS VRAIMENT parfois je sais pas ce qui me retiens de te RHUUUUMMM !!! Elle plissa des yeux avec un air furieux en me prenant le col de kimono avec ses mains en me poussant la tete d'avant en arrière.

— D'accord Je les aimes nos buses mais c’est pas un peu… exagéré ? mais ARRÊTE !

- Les buses.... on s'en fou des buses, pourquoi tu nous parles des buses? Dit Koyama qui ne comprenait rien, aprés que Kaori ai finalement lacher mon col.

— RHAAAA J'AI COMPRIIIIIS !!! AU SECOURS MINAKO ! Un clone de Ryuku! même Koyama à compris, il y a de l'abus là ! Kaori leva les yeux au ciel d’un air dépitée.

- pffff…. Kaori je t'en pris... se plaignirent les garçons d'une même voix

— pareil, je te dis, Minako,ILS SONT PA-REIL ! Ken, tu es mignon mais tu es vraiment con des fois…. T’es long à la détente… c’est TOI LE PERE IDIOT VA !!! Tu… tu saisis ? TOI… TU VA ETRE…. PAPA…. Sur enchérit Kaori d’un air inquiète. En pointant le ventre de Minako

- tu saisis?

Mes yeux s’ouvrirent de surprise, ma bouche s’ouvre, se ferme, s’ouvre comme une carpe mourante.

— Ho bon sang, Kaori, tu la démolis, on la perdu….HAHAHAHA MAIS NON MAIS MERDE KEN !!! explosa a nouveau Koyama.

— Hey Ken…. Félicitation, papa ! TROP BIEN ! claqua Ryuku avec un vois reelement sincère

- HEIN ? Je vais être…. Papa… ? Dis je en fixant Minako avec un air ahuri.

— Ha ben quand meme…. Tu ma fait trop peur tu sais ? Bravo papa !!!

— je vais etre papa…. Je suis papa…. Je… suis…. Papa… JE VAIS ETRE PAPA !!!!! MOUHAHAHAHAHAHAHAHA KOYAMA T’Y CROIS TOI ??? JE VAIS ETRE PAPA !!!! Je bondis sur Minako en me cramponnant a son cou l’étouffant dans une prise de taijutsu d’étranglement en collant ma bouche sur la sienne.

— Merci mon amour, merci merci merci merci merci sans toi… je…. Bhouuuu….houuuu je vais etre papaaaaa…. Bouuuuh houuuu. BHOUUUAAAAA HAAAAHAAAA NHOUAAAAAAA !!!! dit Kiwe'an en explosant à son tour, des larmes qui aurait pu s’apparenter a une technique suiton. Nous etions un peu le tout premier bébé inconsolable de Minako. D’ordinaire, elle réussissait facilement a nous calmer dans cet état là, mais n’étant pas dans notre intimité. Mon esprit avait disparus au profit de Kiwe'an

Je ne me souviens plus trop du reste, je constate juste qu'autour de moi une volute de chakra turquoise flotte encore. J’ai simplement mal aux yeux, au nez, a la tête. J’ai tellement pleuré. L’odeur de la tarte sortie du four, dont une part m’avais été remise, me réveilla doucement, comme dans un rêve. Mon premier réflexe était de chercher Minako partout. Comme un enfant apeuré devant la perte de sa mère partie à peine une minute.

Une voix dans mon crâne se fit entendre, celle de Kiwe'an.

- Heuuu... humhum... Ken? Techniquement, se n'est pas toi le père....

- Hein? qu'est ce que tu me chies là toi ?

- Comment dire... tu te souviens... on est Yasei....

- Oui et?

- Je vois.... comment t'expliquer avec des mots simple....

- RHOOO arrête de me prendre pour un con et crache ta pastille tu me fatigues avec ta grandeur !

- Oui... oui... En gros.... NOUS sommes pères....

- Minako a dit pourtant que c'etait moi le père pourquoi se serait toi aussi?

- Quand tu la montes... pardon... quand tu "lui donne ton amour" comme tu dis... et bien.... c'est NOUS DEUX qui le lui donnons, pas seulement toi... tu comprends? Je comprend que se sois difficile pour elle que le père sois aussi un buffle, même si c'est avec ton corps que l'on pratique... donc sans le vouloir elle n'a du désigner que toi seul... j'avoue qu'elle ma beaucoup véxé... mais je comprend.[/b]

[i]- Ho merde....
dit je en le coupant dans son monologue tout en realisant que maintenant, il y avait un petit Yasei ou une petite Yasei dans le corps de Minako

- Oui mais ça c'e plutot la bonne nouvelle, la mauvaise... comment te dire ca.... j'ai voulu moi aussi lui montrer combien je suis heureux....

— hey les papas… vous êtes de retour ? Vous êtes trop mignon ! Vous en faites pas elle va revenir maman, elle n’est pas loin… hihihi haaa vous les hommes, décidément, vous êtes nos premier bébé ! tu es comme Ryuku Ken quand il a apprit qu'il sera papa... vous êtes trop mignon ! Enfin comme Ryuku... la transformation en moins... dit Kaori en me prenant les mains.

Il me fallut un moment pour que mon regard s’agrandit de nouveau. J’étais comme un automate éteint, reprenant peu à peu le service. J’essuyais la bave et mes larmes d’un revers de kimono en souriant timidement à mon amie et aussi futur maman. J’entendais Minako en conversation à côté, qu’étais-elle entre un de faire ? De dire ? Avec qui ? Il y avait tout le monde, enfin je crois, je suis toujours dans le brouillard, je reveillant petit à petit. Je vois autour de moi un carnage hallucinant... des meubles brisés des murs écochés...

- Ya eu quoi ici ?

- C'est pas important Ken.... reposes toi, Minako reviens, elle va bien !.

- SI j'insiste, ya eu quoi là ? dit-je d'une voix hytérique

- Pardon Ken, fou de joie dêtre père, moi aussi et comme tu etais un peu K.O j'ai voulu moi aussi célébrer, elle eu du mal a sortir de sous mon corps, je les léchés le visage de partout, ils se sont mis a plusieurs pour contenir ma joie.... heuuu... enfin bref... j'espere qu'elle ne sera pas fâchée notre femme.

Avec difficulté, je parvint a rassembler les pièces du puzzle. Je me souviens d'avoir eu subitement mal au crâne, et que petit à petit, les baisers que j'offrais a Minako devint de petite lèches pour finalement, devenir de grosse lapées joyeuse. Mes poils de visage poussèrent mes mains devinrent sabots manquant de peu de lui écraser les poignets, je la léchais si joyeusement sur le visage. Enfin, Kiwe'an.


- Minako? MINAKO CA VA? Minako tu va bien? ho merde !! MERDE !!! Cherie, dis moi que tu va bien s'il te plait !



descripion du plan du dojo MINAKEN (ma première carte soyez indulgent SVP.):
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

Higure Onkyou ✘ L'écho du crépuscule Empty
Sam 28 Jan 2023 - 22:11
« Ken, je… J'attendais avec impatience ce jour pour nous réunir et t'annoncer une grande nouvelle. Nous deviendrons parents dans quelques mois ! »

Sur ces mots, une myriade d'émotions s'empresse d'arriver au sein des fondateurs du groupe Higure Onkyou. Tout d'abord, Ken, qui ne semblait pas avoir compris qu'il s'agissait d'eux deux qui auraient un enfant. Ça amusait Minako qui pouffait de rire. Puis, Kaori qui, elle, a compris et qui extériorise sa joie.

« Oui ! Je suis sûre que tu seras la meilleure marraine ! »

Koyama et Ryuku avaient compris mais semblaient aussi amusés par la réaction de Ken, et de Kaori qui trouva que celui-ci était aussi sot que son bien-aimé. Et, lorsqu'il eut enfin compris, toute cette joie et cette émotion se retranscrivaient dans le baiser qu'il lui fit. Même la part de son âme représentant l'animal du buffle, Kiwe'an, était si heureux qu'il en pleura de joie, qu'il fit une apparition physique mi-humaine, mi-bête, il lechouilla le visage de sa femme et l'écrasa pour la câliner. Il semblait ne pas réussir à contenir la force de cette étreinte car elle n'arrivait plus à respirer. Bien heureusement que Minako a annoncé cette bonne nouvelle devant les autres membres de Higure Onkyou, elle ne sait pas de quelle manière cette histoire se serait terminée.

La Banshee remercia ses amis et elle va simplement se laver le visage, elle n'en voulait aucunement à Kiwe'an pour ce comportement. En regardant son propre reflet dans le miroir, la demoiselle brûlée à vif depuis le combat du début de l'automne 204 se demande comment appréhender la suite. Est-ce que l'animal pourrait lui en vouloir de ne pas porter le même amour qu'à l'humain, alors qu'en soit ils sont en quelque sorte la même personne ? Comment aborder ce sujet houleux dans ce cas ? Car il est inimaginable que la demoiselle puisse songer à des idées si.. morbide. Causer de telles souffrances était immoral. Minako veillerait à prouver à Kiwe'an qu'elle l'aime en s'occupant de lui tel un véritable buffle, comme on s'occuperait de bovidés qui tirent les charrettes. Et s'il devenait une monture terrestre pour elle comme l'est Chufuo ? En serait-il ravi ?

Minako abordera le sujet plus tard, car il faut mettre chaque chose en son temps. Il faut poser les bases de ce que constitue leur organisation d'onkyotonka, aujourd'hui. Que ce soit leurs objectifs, leurs préceptes, comment ils s'organiseraient en tant que chefs et fondateurs du groupe.

« Ça va, Ken. Je suis vraiment touchée de voir tant d'émotions de la part de Kiwe'an et je suis sûre qu'il ne restera pas de marbre face à notre futur enfant yasei. On aura tout le loisir d'en discuter après mais actuellement on doit causer sur notre fabuleux groupe, et je suis sûre que tu as d'excellentes idées pour les préceptes qu'on pourrait instaurer dans l'optique de faire une organisation d'onkyotonka ! Pour ma part je pensais qu'on pourrait avoir des objectifs de type collection de partitions antiques et peut-être fruits d'anciens kinjutsu et d'anciens instruments rares, mais à part ça je ne suis pas trop inspirée. »
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Dim 19 Fév 2023 - 22:15
Koyama bondit vers Ken plaçant son bras sous la gorge. Kaori déssina avec une incroyable vélocité, la divinité Uroboros afin de le placer sur les bras du Daishi. La créature resserra ses anneaux, ficelant l’homme au sol. Ryuku electrifiait son poing, il le plaça devant le regard de Kiwe’an. Le buffle, d’un coup d’épaule, envoya valdinguer Koyama, pourtant connu pour sa grande force. Les bras ligotés par l’Uroboros, l’animal joyeux, propulsé par son élan, tomba, visage en avant, entre les monts eneignées de Minako. Le musc de la déesse-mère le mit en rute. Finalement, sans crier gare. Il prit peur, un hallo de lumière explosa devant son nez. L’instinct du monstre se réfugia dans sa cage-esprit. Il pensait se faire attaquer par l’homme tonnerre.

Tandis que Ken regardait sa femme apeuré avant de la voir revenir, l’animal était décontenancé. Kiwe’an avait reçu un coup, en plein coeur. Personne ne voulait de lui. Ken en premier. Ses amis, avaient se même regard de haine et de peur. Pour la première fois, Ken compris son alter égo. Il avait connu la même chose enfant, jusqu’a l’adolescence. Il eu la chance, lui, d’avoir Minako. Kiwe’an lui, n’avait personne. Ken aurait pu soutenir son alter-égo poilu. Il avait rejeté l’animal toute sa vie. L’animal, à son tour, fut rejeté par Higure. Pour la première fois, un sceau de honte liquide coula sur la chaire de Ken. La honte lui coulait dessus, traversa ses vêtements, sa chaire, son sang, son chakra, ses Tenketsus, ses os, son esprit et même son âme. L’animal beuglait sa douleur, lui qui avait réussi a faire tellement d’effort pour amélioré sa relation avec Ken. Pourquoi ? Pour être simplement rejeté comme de l’ordure. Comme une merde qu’on défèque et qu’on couvre par honte avec des flocons de bois.

« Ne penses-tu pas que tu en fais trop Kiwe’an ? »

« Ken, SALE ORDURE ! »

« Nan mais, j’ai connu ça toute ma vie, mais la tu te méprends, repasse la scène dans ta tête, ils ne t’ont jamais rejeté… d’ordinaire c’est moi l’idiot… SALE IDIOT !»

« Hein ? Bien sur que »

« NON !!!, Tu étais entre un d’écraser Minako et notre enfant bourricot ! » lui coupa Ken

« mais alors ? »

« Exactement… personne ne te rejettera plus jamais… Je te présente mes excuses pour toutes ses années de souffrance. Je comprend aujourd’hui qu’elle ordure j’ai été pour toi.»

Portant la main a ses yeux, Ken compris une chose essentiel. Quand il recevait un coup, Kiwe’an recevait ce coup. En frappant Kiwe’an au coeur, c’est le coeur de Ken que ses amis avaient lacérés.Il n’avait jamais, jadis, fait ce rapprochement. Ken tomba a terre, mains sur le sol, il souffla bruyemment.
Dans son esprit, il pleurait. L’ouragan de rage spirituel, perdait un peu plus de vigueur. Etendu là, il présenta sa nuque aux sabots de Kiwe’an. Ken se plaça de lui même à la merci de l’animal, Ken y etait prosterné. Ken pleurait, avec sincérité. La vérité lui mit un poing dans l’estomac. Kiwe’an le ressentait.

Hors de son esprit. L’homme se prosternait également aux pieds de ses amis et de sa femme

— Je m’excuse aussi à vous. Merci de nous avoir freiné. Dans notre bonheur, nous aurions pu malmener Minako, voir pire. Je me serais suicidé de honte, de rage. Je me serais maudit moi-même. Pardon mon coeur. J’implore aussi votre pardon de la part de Kiwe’an

Kaori, toujours expressive, porta les mains a sa bouche. Dans un air de frayeur pour étouffer un bruit. Pourtant elle souriait. Soudain Ken reçus une poutrelle en plein visage. C’etait Koyama.

— Ca c’est pour encore raconter des conneries et m’avoir mis a terre… L'homme, regardait son ami gisant quelques instants à ses pieds, avec un air de triomphe.

Koyama choppa sans ménagement le visage de Ken dans ses deux mains. Il écrasa la tête dans Ken entre ses pinces à étau. Un sourire victorieux aux lèvres. Ken subissant le contrecoup, n'avait d'autres choix que la soumission. En fixant les yeux de son ami, il eu l’impression qu’un pont traversa ceux de Koyama, pour se loger par delà la conscience de Ken. Le regard hypnotique de la brute fut si pénétrant, qu’il arriva jusques Kiwe’an, qui ne beuglait plus. Tout deux, furent étonné. Pour peux, Koyama exécutait du genjutsu.

— Toi, mon cochon, dépêche toi de sortir de là, je t’en dois une à toi aussi ! Dés que tu sors, viens me voir que je te casse la gueule ! HAHAHA il relacha la noix qui chuta à terre.

— Aller, reprenez vous tout les deux! Dit Ryuku en lui tendant un mouchoir.

Kiwe’an ressentait un sentiment nouveau. A travers Ken, on s’adressaient à lui. Est-ce ça que l’on appelle, amitié ?

Aprés toutes ses émotions, Minako fini par rassurer son homme. Elle semblait ravis d’avoir tellement d’amour de l’animal. Ken sourit, ça confirmait ce qu’il pensait. Quand il aime, Kiwe’an aime. A bien y réfléchir, il ne se souvenait pas détester une chose que Kiwe’an aimait. Peut-être qu’il tenterait de brouter le gazon.
L’homme se secoua la tête, il n’avait pas envie d’etre à quatre pates dans le jardin pour manger de l’hebe. Cela dit, l’idée fit hurler de rire son alter-égo.
Tous autour de la table écouta avec un grand interêt Minako. Une histoire de collection.Ken se saisit de l’aude. Mais Ryuku fut plus rapide.

— Penses tu à ça ? Arrachant le parchemin des mains de Ken.

— Ou proposes-tu des instruments ? Qu’entend tu par « collection » ? Des objets puissants ? Rare ? Selon toi jusqu’ou devrions nous aller pour les acquérir ? Je me doute que tu ne penses pas au vol et au meurtre alors, où serait, selon toi, notre limite ? Tout le monde fixa Minako avec un intêret dévorant.

La pluie de questions surpris Ken. Lui même, pourtant curieux, n’aurait pas eu l’idée d’autant de questions sur le sujet. Il laissa volontairement un très long blanc pour laisser le temps à Minako d’exposer ses idées. Pour sa part, il n’aurait rien contre le vol si c’était voler un voleur.Il avait déjà recopier une partition, il pourrait le refaire !

Une fois que Minako s’est exprimée, Ken reprit la parole.
— Mon coe… oups pardon… je dois arrêter avec cette automatisme hahaha. Bon je reprend. Cher amis, membre d’Higure Onkyu. J’ai longtemps méditer, j’ai du temps à perdre, hélas… J’ai donc réfléchi longuement a une sorte de doctrine, une sorte de code d’honneur. Je vous en fait part. Même mieux… attendez moi là je reviens.

Alors que Ken disparaît Koyama lança une cacahuète en l’air pour la gober.

— Je me demande ce qu’il va encore nous sortir comme trouvaille le Kenny.

Il n’eut pas longtemps à attendre. Ken revenait avec un vieu et long drap.

— Bon, c’est qu’un prototype hein… mais voila en gros ! Dit-il en jetant le drap sur la table. Un message y etait écrit.

code de l'Onkyoton & d'Higure Onkyu.:

Un long silence reigna à nouveau sur la tablée. Il n’avait qu’une envie, que les membres d’Higure brise le silence et révèlent enfin leurs pensées.

— Une chose me décois Ken… Pourquoi tu dis que la paix n’existe pas ! BIENSUR qu’elle existe ! Se renfrogna Kaori.

— Vois la paix comme un un but, pas une offrande. La paix se mérite, elle n’existe pas sans effort pour la gagner et la garder. Vois aussi la paix, donc, comme une passion a atteindre ! Elle doit être entretenu, comme l'amour Ken, en disant ses mots, fit un clin d'oeil à Minako.

— Mais elle existe alors ! Sur enchérit-elle.

— Oui et non… de base elle n’existe pas, elle n’est qu’une récompense a obtenir par l’effort et la sueur. Il faut la désirer, puis la créer ! La paix nait de la passion, de la passion elle devient un but à atteindre, puis, une victoire ! Tu es donc la seule personne a pouvoir créer ta propre paix. De plus, ma paix diffère peut être de ton idée de la paix?

— Mais pourquoi un MENSONGE ! Sur enchérit-elle.

Comme toujours, Kaori avait l'esprit vif et ciblait toujours les points sensible.

— C'est un mensonge car tout simplement, elle nous ait jamais acquise, avant de créer sa propre paix, la paix n'existe pas, elle est donc mensonge. Ken fixait Minako, Koyama et Ryuku qui ne s’etait pas encore manifesté.

— MOUAIS un peu tiré par les cheveux ton truc ! Tu en dis quoi Ryuku? Koyama? Minako, tu es d'accord avec lui? Kaori semblait outrée que Ken cherchait à faire de la paix, un mensonge et quelque chose, de base, inexistant.

— Allez vous autre, dites-nous, s’il vous plait ! Qu’en dites-vous ? Ken fixait Minako, Koyama et Ryuku qui ne s’etait pas encore manifesté.
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Zaiki Minako
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Dim 12 Mar 2023 - 22:11
La banshee confirma les dires de Ryuku, et rajouta les autres objets auxquels elle pense. La demoiselle semblait avoir les yeux pétillants car c’était l’un de ses rêves les plus profond depuis qu’elle était bambin grandissant dans l’équipage de Ushi-Oni.

« Je parle de ce genre de partition en effet. Mais aussi d’instruments qui pourraient contenir une âme ou un pouvoir tout comme les armes des gladiateurs peuvent avoir. »

Minako laissa un petit silence avant de prendre un ton sérieux vis-à-vis de la question fatidique de la manière dont ils s’y prendraient. Elle ne devait pas paraître sombre, ayant promis à l’esprit putride qu’elle ne montrerait jamais sa part d’ombre chaotique, bien qu’il s’agit simplement de punir les malfrats de manière bien trop radicale pour cette populasse trop laxiste de Kumo. Cependant, elle a promis à ses deux coéquipiers qu’elle ne se cacherait pas à leurs yeux, et surtout pas à son fiancé.

« La bibliothèque ne m’a pour le moment pas apporté grand-chose sur ces informations. Cette collection d’artéfact pourrait être aussi bien composée de partitions, d’instruments ou de kinjutsu Onkyoton. Pour déterminer jusqu’où nous pourrions faire ces recherches, il faudrait que l’un d’entre nous aille dans le Sûken. Par ailleurs, même si j’ai un rôle au sein du Kyuubu, je ne peux pas dire s’il n’y aura ni délit ni crime, étant donné la probabilité que ce genre d’artéfact soit détenue par des scélérats. Tu sais aussi bien que moi que je ferai aucun cadeau à de telles immondices de ce genre, Ryuku. Ma limite, la voilà : le marteau de la Justice frappera quiconque utilise ces objets à des fins malicieuses. »

Peut-être qu’il y a également la part de Yoko qui une place importante dans l’âme de la jeune chanteuse prédestinée à un avenir de sicaire, qui a équilibré son cœur et a éclairé son chemin, lui trouvant un but bien plus noble dans cette misérable vie pleine d’injustice. Après tout, l’on est ni tout noir, ni tout blanc. Chaque être a des comportements qui font d’eux des personnages aux nuances de gris. En parlant de ces nuances, c’est au tour de Ken de montrer ce qu’il a pu réaliser lors de ses nombreuses séances de réflexion.

‘La passion est le moteur de ma vie. La paix est un mensonge, il n’y a que la passion.’

La voix de Izanami s’imagina qu’il faut se connaitre, avoir un équilibre mental entre l’écoute de son cœur et de sa raison, savoir qui on est, mais surtout, connaitre la source de la flamme de sa vie pour pouvoir alimenter et entretenir son feu de la passion. C’est un peu comme cultiver sa paix intérieure, avec un amour de soi-même.

‘Par la passion, je cultive la générosité, la simplicité, le calme, la compassion, la sagesse. J’obtiens la puissance.’

Minako pensa qu’avec cette affirmation, l’idée de paix intérieure existe. Après-tout, il ne peut exister de paix si l’on ne l’est pas avec soi-même. La demoiselle appréciait de plus en plus cet écrit.

‘Par la puissance, je purifie mon corps, ma parole et mon esprit. J’obtiens le pouvoir.’

Cette paix intérieure se reflète aux yeux externes, et c’est ce qui est parfait, selon la minarei du Kyuubu.

‘Par le pouvoir, je m'efforce de nuire à aucun être vivants et d'éviter la convoitise ou la haine. Je respecte les règles établies pour le jeûne, la sexualité mal placée, la sobriété et l'humilité. Je m'abstiens de toute forme de vanité, de luxe ou d'ostentation. J’obtiens la victoire.’


La jeune femme aux yeux de saphir se demanda si ça entrait en phase avec son propre fonctionnement. Elle se demanda notamment si ses buts énoncés et son côté bien trop stricte était en total opposé avec le fait de ne pas nuire aux êtres vivants, même si elle prône la justice pour le bien des enfants de la Foudre.

‘Par la victoire, obtenu avec éthique et moralité. Je suis prêt à faire face à mes ennemis dans l’honneur et le respect. J’obtiens l’Onkyoton.’

Ce dicton lui plaisait moyennement. Elle ne peut s’imaginer avoir du respect pour les pires criminels qui pullulent sur le yuukan tels des parasites.

‘Par l’Onkyoton, j’obtiens les capacités nécessaires pour vaincre mes ennemis et briser mes chaînes.
Par l’ablation de mes chaines, j’obtiens Higure Onkyou comme foyer.
Par mon foyer Higure Onkyou, j’obtiens la vérité dans la pénombre.
L’Onkyoton nous libérera.’

L’onkyoton doit faire vibrer le cœur de chacune des personnes ayant ce don chakratique. Par ce précepte, les heureux élus doivent être fiers de ce qu’ils sont et doivent tout faire pour être de meilleure version d’eux-mêmes et être en perpétuelle évolution, et ne jamais rester sur ses acquis.

« D’un sens, je pense qu’on a déjà connu la paix. Un enfant est insouciant, naïf, d’une pureté sans pareille et surtout, sans filtre. Lorsqu’il a un cocon familial soudé, il peut déjà assimiler ce qu’est la paix, mais en fait, il doit surtout apprendre à l’entretenir, ce qui n’est pas forcément aisé, et la paix qu’on nous définit n’est pas forcément la bonne. »

Kaori fixa sa grande amie avec de grands yeux, elle était d’un sens rassuré mais d’un autre côté, la dessinatrice voulu en savoir davantage.

« Pour être plus claire, Kaori, disons qu’avant d’apporter la paix autour de nous il faut déjà apprendre à s’aimer. Si l’on est déjà mal dans sa peau, il est difficile de refléter un semblant de sérénité autour de nous, tu vois ? »

Minako est si sûre d’elle sur le fait que le bien-être avec soi-même se reflète sur son environnement extérieur que le silence revient. Silence jusqu’à ce que Ryuku donne son avis.

« J’ai peur que ce soit en contradiction avec le mode de pensée de Minako parce que… Désolé, mais tu me fais peur Mina, tu es tellement stricte que c’est limite tu nous tuerait du regard pour un pet de travers ! »

« Je ne vois pas de quoi tu parles Ryuku, je ne suis pas stricte ! Je suis juste un tantinet exigeante ! » s’est-elle exclamée avec une petite moue adorable avec ses joues gonflées. « Je trouve qu’on peut très bien combattre l’injustice de manière diplomatique, et utiliser la violence qu’en dernier recours ! »

Koyama riait au vu de la spontanéité de Minako. C’était si drôle de la voir essayer d’être sage.

« Nan ça t’va pas d’être mimi tout plein, HAHAHA ! »

« MAIS. »

Tout ceci était dit sur le ton de la taquinerie bien entendu, l’atmosphère était détendue au sein du dojo. Lorsque le grand gaillard de Koyama pu enfin reprendre son souffle, il put enfin s’adresser à Ken.

« Oh purée. C’est trop drôle ! Bon, en vrai, j’adoooore ce que tu nous a fait, Ken ! Héhé, ça correspond bien à notre envie de protéger les nôtres, et promis, on évitera de déborder. Enfin… »

Minako pouffa de rire à son tour, car elle-même s’imaginait mal voir Koyama réagir avec douceur et avec calme à toute situation. « Rassure-toi, mec, ça ne te va pas du tout d’être tout gentillet à toi aussi ! »

Minako reprit son souffle avant de parler à Ken de nouveau. « Je crois qu'on va tomber d'accord, en vrai. Ces préceptes seront au cœur de nos actions et on fera de notre mieux pour les respecter.»
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Daishi Ken
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Mar 18 Avr 2023 - 22:23
Le blond froncait des sourcils quand Minako parlait des partitions. Il n’avait jamais réellement mis le sujet sur la table. Sois il en avait rien à foutre, sois il y avait mieux a penser, ou encore, il pensait que c’etait qu’un désir de princesse qui passerait avec l’age. La voila qui remettait le sujet sur le tapis. Koyama et Ken etait au courant. Cependant Kaori etait la plus rapide. Petite dernière dans le groupe.

— Qu’elle est ta motivation ? C’est vrai, est ce qu’on sait si seulement ce genre d’objet existe… qu’est ce qui te dis que ca existe ? T’en a déjà vue ? Entendu ? Autant pour les partitions je ne dis pas… Je sais que vous avez la partition qui permet de parler au morts… Kaori laissa sa phrase en suspend comme si elle venait de comprendre quelque chose.


— NAAAN Ne me dites pas que vous avez réussi a parler avec un mort !!! Kaori prit un air de dégout.

Ken voulait être rassurant. Sa bouche s’ouvrait et se fermait ayant eu en effet une expérience au sujet de la partition. Il laissa Minako répondre au sujet de la partition. Elle avait en plus, plus ou moins répondu a Kaori. L’arme des gladiateurs était doté d’une âme, Kyra, l’amoureux de Koyama avait une tel arme. Pourquoi les instruments en serait dépourvu ? Il préféra laisser, une fois encore, Minako y répondre si elle le désirait.

Ken rigola discrêtement quand Minako parlait de la bibliotheque. Soit disant, la plus fournis du Yukan. Il n’y avait aucune information sur les Yasei, mise à pars Reikan et son stupide zoo, rien non plus. Concernant l’onkyoton, pareil, le vide. A pars une allusion sur Koda. Le jeune homme soupconnait que les informations de la bibliotheque etait bien trop filtré et qu’ils devraient trouver un autre moyen d’obtenir les informations. Un cambriolage ? Une intimidation ? Le problème etait où, ou, qui, avait les informations requise. Il etait évident que tout etaient filtré dans Kumo. Les génnin, les informations, les familles, les capacités. Peut-être devrait t’il se mettre en danger et s’en prendre ai raikage ou devoir braver l’interdit et fuir Kumo.

Sans se rendre compte, l’ongle de Ken se retrouva coincé dans une tenaille en émaille. Son visage palissait à l’idée de commettre un crime, surtout quand il imagina de devenir le meurtrier de Raizen. Un leger cliquetis le reveilla. Ses dents finir par percer la kératine. Un morceau de son ongle éraflait sa dent. Sa vision honteuse croisait celui de Kaori. Elle le sondait. Quel joie qu’elle ne soit jamais née dans la famille des Yamanaka, elle serait bien plus redoutable !


Qu’elle joie pour Ken d’entendre à nouveau la voix de Kaori rompre avec son propre malaise. Il soufflait intérieurement. La femme parlait à Minako mais son regard scrutait Ken avec un air mauvais. Elle le connaissait suffisemment bien pour comprendre qu’il avait eu une idée étrange, malsaine, honteuse.


— Mais ma cherie, Ryku a raison, ça m’intrigue également, comment sait tu pour cette collection alors qu’il n’y a rien dans la bibliotheque ? Est-ce de l’espoir ? Tu as entendu des rumeurs ? Sur quoi te base tes informations ? Tu as quand même eu des informations dans la bibliotheque pour savoir qu’il y a des partitions ou instruments ? Kaori ayant coupée la parole a Ryuku s’en excusa silencieusement, non sans continuer a surveiller Ken.

— C’est rien mon Neko… Je comprend Mina. Je me demande juste, si tu devenait membre a part entière du Kubyuu, mais que pour obtenir l’un de ses instruments, ou une information, Higure doit ce mettre dans l’illégalité. Prendrais-tu le partie de Higure ? Du Kubyuu ? Serait tu capable de trahir Higure  pour le Kubyuu, ou le Kubyuu pour Higure ? Biensur je ne propose pas que Higure se lance dans l’illégalité, pardon Ken. Supposons que l’on ai pas le choix ? Genre les informations soit retenu par Raizen-sama… qu’il refuse de partager ce qu’il sait, que l’on doit donc chercher les informations chez lui nous même, que nous, nous faisons pincer… Je sais que c’est une question difficile que je te pose mais j’ai besoin de le savoir. Ton coeur est-il totalement acquis a notre cause, ou, est ce que le Kubyuu est plus important ?

Ryukuu jeta un froid, même Koyama d’ordinaire un peu fou, même Ken, rongeant son ongle. Tous cessèrent leurs activités pour se concentrer sur Minako. Tous escaladant ses lèvres du regard, une grande hâte qu’elle répond à la question au combien brûlante.


Cependant, Ken, ne regardait pas uniquement Minako. Il regardait avec intensité ses grand yeux bleues, comme si, a travers ses prunelles, comme ci, il pourrait voir le visage de sa grand-mère. Il ce demandait ce qu’elle pensait de tout cela. Bien entendu, la justice soi-disant impartial, possédai des parcelles de gris. Si Minako pensait blanc, que Yoko pensait noir. Qui avait le dernier mot ? Minako ? Reelement ? Comme ci grand-mère Yoko accepterait cette soumission. Ken y voyait là tellement de problème. Imaginant une Minako dire blanc, une Yoko dire noir semblait déjà compliqué en soit, mais si on l’ajoutait en prime les deux autres âmes qui disent gris ou vert… qui à le dernier mot à se moment là ?



Quand Ken enumérait selon lui le commandement du groupe, il ne s’attendait biensur, à ne pas être chaudement applaudit. Il etait honnoré avec qu’elle gravité sa femme pensait chaqu’un des mots. Elle le consumait, tout son être appartenait à Minako. Qu’il adorait quand elle le dévorait comme ça. Il pesa chaque mots pour profité du regard de glaçe ardente de sa propre déesse. Jusqu’a présent, elle semblait d’accord, jusqu’a ce qu’il parle de victoire. Certain d’avoir bien vue les sourcils de Minako se fronçer, il avait envie d’arrêter pour lui demander ce qu’il y avait de mal avec ce precept. Le problème venait-il de la nuisance aux personnes ? Il faudrait le lui demander, et peut-être, remanier en conséquence la doctrine.

Minako lui parlait des enfants innocent qui connaissent la paix. Il écarquilla des yeux. Avait-elle oubliée sa propre vie ? Kidnapée a Kagaribi etant bébé. Volée par Junko forçant Kaïto a la prendre par fille. Où est la paix ?

Lui même Kidnappé par Sadako, selon elle, sa propre mère fuyant Mizu. Arrivé à Kumo, il a été enfant et élève de Grisou. A peine deux ou trois ans avant de connaître la souffrance avec les enfants de Jashin le prenant très tot comme nouveau jouet. Que dire de Kaori ? Enfant meurtrie de famille noble. On attendait d’elle l’excellence. Torturée par les enfants de Jashin, très tot. Elle en à encore plus souffert quand elle à appris que Ken à été choisi comme jouet pour la remplacée, et que par sa faute, son ami à sombré dans un désir de suicide, un dégout de Kumo, une répulsion pour les gens, surtout féminin. Où était la paix que Minako ose prétendre ? Koyama lui même, enfant bâtard des rues. Aucun d’eux n’a connus la paix de l’enfance. Comment pouvait-elle dire ca ? Ken allait lui rentrer dans le lard mais Koyama lui posa la main sur le bras. Il allait défendre Ken, mais le regard de Kaori en disait long. Minako reprit.


— Je vois ptit cul… mais, excuse-moi Kaori , jte coupe, mais on parle de quelle enfant qui a connu la paix au juste… Tu nous rappelles ton enfance ? Moi j’ai grandis sans parents, dans la rue, putain…. Me parle pas d’enfant en paix… Tu sais combien j’ai morflé étant un ptit con. Ken lui on l’à arraché a sa terre natale, Kaori on la torturée… Ryuku est sûrement celui qui a eu l’enfance la plus normale et encore, il a dû très vite se mettre au Taijutsu. Pour le reste, je veux bien, mais me parle pas d’enfant en paix ! Ta pas besoin d’être en paix pour t’aimer, ou, je raconte de la merde ?

Ryuku à son tour prit la parole en disant que selon lui les preceptes de Ken est en contradiction avec le mode dep ensée de Minako. Il ne comprend pas pourquoi Ryuku ne parlait pas pour lui même. Ryuku etait une sorte de chevalier blanc qui adorait prendre soin de autres au lieu de se mêler de son cul. Il parlait pour Minako alors que Ken aurait préféré qu’il donne son avis pour lui même. Minako était assez grande pour se déffendre aprés tout ! En plus dire que Minako tuerait quiconque faisait un pet de travers. Cette remarque ne lui plaisait pas, il vit tout rouge. Ses bras s’élevait dans les airs pour claquer la table mais sa femme, en effet, savait se deffendre seule. En plus, il etait amoureux d’elle car, préciement, elle demandait a tout le monde une certaine tenus mais c’est elle qui l’inspirait et lui donnait envie d’etre meilleur. Il appréciait qu’elle parlait de faire usage de la violence qu’en dernier recours. Il savait qu’elle avait clairement accepté tout, ou une grande partie des preceptes qu’il proposait.

Sans crier gare Ken explosa de rire avec Koyama quand il lui boucla la bouche d’un excellent, « tu es trop mimi ». C’etait si drôle que Kaori aussi se joignait au rire. Minako etait rarement génée. Ca leurs faisaient du bien de rire. Elle s’en essuya les yeux. Fixa Minako, et explosa a nouveau de rire avec un bruit de cochon qui reniffle, cette fois, Ryuku explosa à son tour de rire. Surpris, Maorou jappait, comme si il riait lui aussi. Ken le prit pour l’installer sur ses genoux et le caliner. Il laissa l’athmosphère revenir à la normal en se retenant de rire quand Kaori se remit a faire la truie en riant malgré elle.

Koyama, lui, n’avait pas cette patience. Il déclara adoré le precepte. Ken en etait ravis, hors Minako tous semblait l’accepter. Elle fini comme par lire dans son esprit et lui donna son approbation. Cela dit, son hésitation de tout à l’heure ne lui plaisait pas trop. Si elle acceptait aussi le précept, qu’est ce qui la génée tout a l ‘heure ? Et si c’etait… eux ?

Ken sauta sur Minako, lui écrasa les joues dans ses mains avec les paumes de ses mains, et appella.

— Hey hoooo et vous, vous en dites quoi ? Grand-mère tu en dis quoi ? Je veux etre sure que tout le monde accepte, même vous dans ma femme là… Vous avez le droit de pas etre d’accord et de reprendre hein ? C’est a tout le monde !

Kaori froncait les sourcils comme chaque fois que Ken faisait des choses, cela dit. Une question luitarauda l’esprit.


— Dites, je pensais à deux choses…. Premièrement… Minako, tu penses trouver où tes informations sur les objets ou partition avec des âmes… ? Deuxiemement… Avez vous des idées de costume de scène ? BEN OUI Ryuku, tu va pas chanter comme ça… On est Higure il faut des costumes qui a de la gueule !
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Zaiki Minako
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Mer 31 Mai 2023 - 21:17
Ben voyons, tu penses bien que je suis en faveur de Higure avant tout !” s’exclamait Minako. “Enfin, sous couvert du Kyuubu bien sûr…” Elle jouerait ainsi double jeu, en manipulant l’unité de police en creusant de fausses pistes, en espérant ne jamais se faire prendre si dans l’illégalité le groupe plongerait.


Plus tard dans la conversation, lorsque Koyama s’indigna au sujet de la paix que des enfants peuvent trouver, la banshee dit qu’elle est désolée parce que la paix n’existe en réalité pas et qu’ils doivent la trouver par eux-même parce qu’ils sont maintenant réunis. Koyama avait totalement raison, et par la même occasion, Ken aussi. Minako s’en veut d’avoir heurté leur sensibilité et se retient de verser des larmes par honte pour son comportement.

En fait c’est vrai, la paix n’existe pas, n’a jamais existé et c’est une vaste illusion que de la chercher et l’entretenir… Désolée…

Elle-même en souffrance interne alors que ses démons la guettent, elle ne peut qu’être sincère cette fois. C’est vrai, il ne fallait plus se cacher derrière un semblant d’héroisme, ils n’étaient que baignés dans l’horreur des duels et se devaient de devenir d’infâmes meurtriers. C’était le destin de Minako au vu de ses différents sceaux et de ses pouvoirs aussi destructeurs les uns que les autres, mais elle le taisait pour ne surtout pas décevoir Ken. Elle voulait à tout prix être au plus près de la blancheur et de l’amour pour lui, pour le protéger, et se trouver de véritables buts dans la vie à part tuer les enfants Jashinistes.

Ils espèrent tout de même une véritable justice, et non pas ce laxisme puant de Kumo, mon cher Ken.” avait répondu Minako à Ken, lorsqu’il demanda à ses esprits ce qu’ils en pensent. Il devrait savoir qu’en leur nom, la jeune femme pourrait faire couler le sang des pires gueux pour protéger les leurs. Enfin, Minako répondit à Kaori…

Je ne sais pas où trouver ces partitions, je n’y ai entendu que des rumeurs à Matshu, et la partition de Satoshi Kodai est une preuve qu’on peut très certainement trouver quelques informations auprès d’anciens adeptes de différents cultes. Pour l’instant, à part chercher du côté de Isonade et du Kougen, je ne vois pas d’autres pistes. D’ailleurs pour les tenues…

Minako réfléchit un instant puis a un éclair de génie.

Hé bien, pour ça il nous faut trouver notre style de musique pour définir nos styles vestimentaires, sauf si Koyama veut être en tutu rose pour un style musical brutal…

Il leur fallait aussi un roady. De base, elle pensait à Akagi, le sensei officiel de Minako, Ken et peut-être Ryuku. Mais elle ne pensait pas que le maître-forgeron serait friand de leur concept. Elle ne pensait pas non plus que ça irait à Kyra, qui lui serait plutôt de garde pour les protéger sur scène, de la même manière que Koyama. Kaori, peut-être, mais le fait d’avoir tout sur les épaules en plus d’entretenir un homme et d’être bientôt mère, ça ne ferait pas forcément bon ménage. Peut-être le forgeron que la demoiselle a rencontré une fois sur les terrains d’entrainement, Ralunoru, qui a failli avoir un cours de manipulation du katon de sa part. Elle devait simplement l’analyser avant de prendre sa décision, sinon le choix se tournerait vers Zenjiro, son propre grand-père.

Alors on va se lancer dans quel style musical, et quel serait notre famille d’instrument de prédilection ? Je pensais, vu qu’on est trois onkyotonka, qu’on représenterait les trois clés présentes sur le symbole du kodaishi, mais est-ce une bonne idée…
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Higure Onkyou ✘ L'écho du crépuscule

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