Aujourd’hui était une journée plutôt spéciale. En effet, le père de Daiki avait demandé de l’aide à son fils à la boutique, l’un de ses employés ayant décidé de ne pas se présenter au travail. Emballer à l’idée d’avoir une journée différente des autres, le jeune homme avait accepté sans hésiter.

C’est ainsi que le jeune shinobi se retrouvait à ce qui avait été le cœur commercial d’Iwa. Aujourd’hui, une vue beaucoup plus triste, malgré les travaux incessants pour restaurer l’endroit, à déplacer des caisses de marchandise, laver des vitres et faire des livraisons pour le compte de son paternel.

Vers le début de l’après-midi, il ne restait qu’une livraison à faire avant que Daiki puisse prendre une pause, présumément pour le reste de la journée. Son père l’envoyait livrer des matériaux pour assembler des meubles, beaucoup de bois et de clou, avec une urne étrange, contenant à priori du sable extrêmement fin. Ce n’était pas du genre de son père de questionner les demandes de ses clients, mais celle-ci avait retenu son attention. Sans y réfléchir plus que nécessaire, le jeune Iranos était parti vers la demeure des Taiyō, une famille de marchand, arrivé à Iwa récemment.

En suivant les instructions qu’on lui avait donné, Daiki arrivait devant une demeure modeste, quelque chose de très positif considérant l’état de la ville actuelle. Il déposa prestement la caisse de matériaux et l’urne de sable au bas de la porte, et cogna à celle-ci. Il restait évidemment la question du paiement, donc il ne pouvait pas exactement partir avant d’avoir parlé à quelqu’un.

Le jeune homme avait sa journée dans le corps, le travail de son père était éreintant, pas étonnant qu’il avait de la difficulté à trouver des gens pour l’aider, surtout dans le cas présent, où la plupart des non-shinobis étaient employés à la reconstruction de la ville. En attendant que la porte ouvre, le genin se mit en tête de faire quelques étirements, pour éviter d’avoir mal en fin de soirée. Il n’avait pas l’intention de passé la soirée dans son lit en se lamentant.

La jeune fille s’était levée tôt, l’insomnie l’a submergée toute la nuit, le stress que sa mère découvre le ‘’ petit extra'' qu’elle avait ajouté à leur commande de matériaux pour l’aménagement de la boutique dans leurs logis ainsi que renflouer leur stock. La jeune fille avait fait ajouter une petite urne de sable fin pour pouvoir pratiquer ses aptitudes avec le sable. Ryūko se doutait que le retour au bercail ne serait pas si tôt. Ses parents ont investi dans une petite maison modeste pour le temps qu’ils seront à Iwa. La jeune fille ne peut pas se permettre de rester trop longtemps sans se pratiquer , mais sans sable c’était tout simplement impossible. Ce n’est pas Iwa qu’elle en trouverait facilement.

Lorsque la commande a été passée, Ryūko, s’était alors proposé pour rester à la maison pour réceptionner le colis. Ses parents préfèrent habituellement rester dans ce genre de situation, mais leur aînée les a convaincue, en leur exposant que de cette façon, ils ne perdraient pas une demi-journée de vente en attendant le colis et en faisant l'inventaire. Elle s’en chargerait et eux irait vendre au marché avec son petit frère. Heureusement que ce genre de proposition lui ressemble. Autrement, elle aurait été découverte sur-le-champ.

En attendant la livraison, Ryūko prépare ce qu’il faut pour la réception de la commande. Le registre de réception de ses parents pour la signature du livreur, l’argent qui lui ont donné pour la commande et l’argent qu’elle avait ramassé pour son urne. Tout est là. Elle peut désormais manger. Elle était attablé lorsque Daiki cogna chez les Taiyō. La jeune fille se leva avec énergie et va ouvrir la porte en courant. Elle découvrit un Daiki en plein étirement. La jeune fille est intriguée par celui qui lui fait face, elle n'a pas tout de suite compris qu’il s’agit de son livreur. Elle éclaircit alors sa voix.

-” Hum, Bonjour, Bienvenue chez la famille Taiyō de quelle façon pouvons-nous vous aider aujourd’hui?”

La jeune fille encore essoufflée de sa course regarde son interlocuteur. En attendant une réponse, elle s’accote dans l'embrasure de la porte. Ses yeux vagabondent un peu partout sur ce qui l’entoure, puis elle aperçoit la commande à ses pieds. Soudainement, elle comprend que le jeune homme devant elle n’était pas un client, mais le livreur qu’elle l'attendait.

-” Ho.. Pardon..pouvez-vous amener les marchandises à l’intérieur ? Je vais aussi avoir des papiers à vous faire signer pour les registres. Au fait, je suis Taiyō Ryūko. ’’

Malgré la gêne de sa confusion, Ryūko semble sur d’elle. La jeune fille se remit sur ses pieds et s’engouffra dans la maison tout en replaçant ses cheveux mis en bataille pendant sa course. Puis, elle vas chercher tout ce qu’il faut pour compléter la transaction.

En plein milieu de l’un de ses étirement, Daiki entendit la poigné de la porte tournée, pour ensuite laisser place à une jeune femme, visiblement prise de court par son arrivé à cette heure-ci. Il avait bien pris de l’avance, du fait d’être plus efficace que la personne qu’il remplaçait, mais il ne s’attendait pas à prendre un client par surprise comme maintenant. Il allait tout juste expliquer les raisons de sa venue quand la Taiyō semblait avoir compris d’elle-même, et l’invitait à entrer chez elle. Bon, après tout, il avait déjà fait tout ce chemin, ça n’allait pas être quelques mètres de plus qui allait l’achever.

‘’ Moi c’est Iranos Daiki, enchanté Ryuko. Laissez-moi juste reprendre la caisse et je vous suis.’’

Sans se faire prier, l’Iranos repris la caisse de matériaux entre ses mains, et franchis le seuil de la porte qui le menait à la résidence des Taiyō. L’intérieur était plutôt confortable, même si c’était évident que ceux-ci venaient tout juste d’emménager. Il y avait l’odeur typique d’une nouvelle maison, enterré par ce que Daiki imaginait être la cuisine d’où venait la famille. Il ne reconnaissait pas l’apparence balsané, du moins, il ne savait pas de quelle région ils pouvaient venir. La question lui pendait des lèvres, et éventuellement, elle finit par sortir.

‘’ Alors, votre famille est nouvelle à Iwa? Il ne me semble pas avoir croisé votre nom de famille dans le coin, et vue les prédispositions de nos familles, c’est asser rare pour le dénoter.’’

C’était un peu maladroit, mais vue qu’il avait finit son travail, il pouvait bien discuter un peu avec… qui sait, il pourrait peut-être mettre la base d’une relation durable pour son père et la famille de Ryuko… entre marchand, il n’y a pas beaucoup de nuances entre associés et rivaux.

‘’ Personnellement, nous sommes arrivés il y a quelques mois, avant l’attaque du dieu singe. Nous sommes de Kaminari, le Pays de la Foudre. Et avec les tensions actuelles, on en connait un rayon sur la difficulté de se faire une place dans un nouvel environnement.’’

L’Iranos était à l’affût de signe venant de Ryuko. Si celle-ci semblait ne pas l’écouter, ou simplement hocher la tête de manière polie, il prendrait ça comme un signe qu’il devrait partir. En portant attention, par contre, il remarquait que le regard de la jeune femme se portait parfois sur l’urne pleine de sable spécifiquement… il y avait anguille sous roche.

C’est avec un sourire et son énergie habituelle que la jeune Taiyō est revenue avec le nécessaire.

“ Vous pouvez déposer le colis juste ici et pourriez vous me signer ce registre s’il-vous-plaît?’’

Elle pointa du bout du doigts avec sa main libre, l’espace à côté du garde de l’escalier qui est à la même hauteur que le salon. Puis tendit une palette de bois avec un papier et un crayon. C’est à ce moment que L’Iranos aperçoit l’amont coloré de petits bracelets tissés autour du poignet gauche de la jeune fille. L'énergie de Ryūko en était contagieuse. Elle rayonnait de douceur, malgré le stresse qu’elle semblait avoir vis à vis de l'urne. Elle avait qu’une envie, c’est d’aller la cacher au plus profond de sa commode, en attendant de s’en servir de façon adéquate. Elle tente tant bien que mal de rester attentive au jeune homme qui se tenait devant elle.

“En effet, on a déménagé il y a peu on vient du village de Kaze au pays du vent. D'où le pourquoi de notre commande quelque peu faramineuse. On doit refaire nos stocks pour la production, on a malheureusement dû laisser nos plus grandes réserves chez nous, le voyage était un peu long pour que l’on puisse tout apporter. On est justement venu aider à la reconstruction d’iwa. Ma mère s’est dit que notre artisanat familial serait parfait pour venir aider. Il faut dire que le travail du bois est plutôt avantageux dans ce genre de situation.”

De l'entrée, le jeune Iranos pourrait en déduire que la maison avait un sous-sol avec l’escalier en «L» qui se trouve sur sa droite. Le rez-de-chaussée, bien éclairé par la lumière naturelle qui filtre doucement entre les stores vénitien en bois finement ouvragé du salon qui avaient été ouverts. Juste devant le jeune homme se trouve le salon délimité avec une causeuse, un fauteuil à place unique et une table basse magnifiquement travaillée. Puis, vient la salle à manger et la cuisine. Une petite table carré et quatre chaises en bois trônent devant les comptoirs. Si le jeune homme le remarque sont également habilement ornées.

“ Ça n’a pas dû être facile… J’espère qu’aucune personne que tu connais n’a péris ou été blessée ?”

La jeune femme laissa un petit silence, question de ne pas semblé impolie. Elle avait posé la question instinctivement, naturellement inquiète.

“Sinon, je suis plutôt habituée à changer d’environnement. Nous voyageons beaucoup, mais c'est la première fois que nous avons une autre maison lors de nos voyages. Puisque nous allons rester un moment, mes parents ont pris cette petite maison, question que l’on ne dort pas dans des tentes pendant trop longtemps. Au fait, tu peux me tutoyer, tu sais. Nous devons avoir à peu près le même âge tu sais? Veux-tu rester? À part un ou deux clients que l’on a eu, tu es la première personne à qui je parle vraiment Voudrais-tu quelque chose à boire?.”

Elle lui montra la causeuse de la main droite, pour l’inviter à s'asseoir.

Après avoir finalement déposé la caisse de matériel dans un endroit hors du chemin, le jeune genin eu le reflexe de regarder autour de lui. L’endroit était véritablement charmant, il reconnaissait une culture différente des deux qu’il connaissait, et ça avait une identité propre. Il avait limite l’impression d’être dans un tout autre endroit, si ce n’était que des distants bruits de construction qui venait de dehors. Ceux-ci était bien trop familier, et il était dur d’y échapper par ici.

Daiki prit délicatement le crayon offert, puis signa à la compagnie de son paternel sur le registre, après avoir rapidement jeté un coup d’œil, et il remarquait que la jarre de sable était absente de la facture… décidément, il y avait beaucoup de truc louche par rapport à cette jarre. Après avoir signé, il retourna la papeterie à son interlocuteur, avec le sourire aux lèvres.

‘’ Oh, vous venez du pays du vent! Ça doit être tout qu’un changement d’air, sans mauvais jeu de mots.’’

Il eu un gloussement vaguement réprimé avoir dit cela, réalisant qu’il avait fait un mauvais jeu de mots, et espérant qu’elle n’y payait pas trop attention. Il continua comme si de rien n’étais, malgré la pause de quelques secondes.

‘’ C’est un beau geste de votre part, venir aider les gens d’ici. Avec un peu de chance, vous ferais votre place, les affaires seront bonnes et vous repartirai d’ici avec de bons souvenirs et plus riche! Mon père dit toujours que la richesse c’est la santé.’’

Il finit par dire, un hochement de tête satisfait suivi. Bien que la famille Iranos n’était pas bien plus qu’aisé, le paternel avait une excellente éthique de travail. S’il pouvait passer les bons mots de celui-ci à quelqu’un d’autre, alors c’était une petite victoire.

Sur le sujet du déménagement, Daiki secoua la tête quand la jeune femme demandait à demi-mots si le voyage c’était mal passé. Elle semblait avoir eu plus de voyage que lui dans sa vie. Des marchands et artisan ambulant, un phénomène qui était loin d’être rare, mais ce qui était unique chez eux, c’est qu’ils semblaient plutôt bien loti par rapport à ceux que Daiki avait pu voir dans le passé.

Il semblait, du moins l’Iranos semblait capté, que la jeune femme apprécierait un peu de compagnie. Daiki était surpris, agréablement, ça va de soi, et hocha la tête doucement.

‘’ Je prendrais bien un verre d’eau, merci beaucoup. C’étais ma dernière livraison après tout, je peux bien rester un moment.’’

Il déclara finalement, s’assoyant à la place qu’on lui avait montrer, tout en relaxant ses muscles qui avaient bien travaillé aujourd’hui. Il ne dirait pas non à un bon bain, le soir venu, c’étais certain.

‘’ Alors Ryuko! Je remarque qu’il y a une bien belle jarre dans ta commande, mais qu’elle n’est pas sur le registre. C’est un secret? Je dois dire que ça a bien piquer ma curiosité.’’

L’Iranos n’allait pas admettre qu’il ne savait pas ce qu’il y avait dedans… pour l’instant.

La jeune femme repris le tout avec un magnifique sourire, puis regarda avec satisfaction le registre signé.

“ Merci de votre aide envers notre compagnie, La famille Taiyō te remercie. Bon, les obligations commerciales sont terminées.”

Alors que la jeune femme reposait les yeux sur le jeune homme, vient la blague non voulue, contre toute attente de l’Iranos, Ryūko s'esclaffa au jeu de mot du je homme sans ,malice.

“Haha haha, woah, elle est pas mal! C’est Netsu qu’il aurait aimé celle-là! Sinon, le bon vent qui nous a amenés n’est pas si différent que celui pour les différents voyages. C'est sûr qu’Iwa rentre en contraste avec Kaze, mais malgré le fait que je devais n’avoir que 5 ans, ce n’est pas ma première escapade ici. Il n’y a que la maison qui apporte un vent de fraîcheur… Désolée j’arrête haha. j’aime bien les jeux de mots ne m'en veut pas.”

La jeune Taiyō se calma, avant de reprendre le cours de la conversation.

“On espère aussi, malgré tout ce qui c’est passé, Iwa est magnifique. Les gens ici sont tellement gentils, on s’y plaît bien. Même mon cadet s’est rapidement fait des amis.”

À la mention de « richesse », La jeune femme pris une grande inspiration. Une grande vague nostalgique envahit la demoiselle et elle leva son bras avec une multitude de bracelets.

“Les souvenirs.. C’est tout ce que je demande. Je pense qu’il n’y a rien de mieux que de côtoyer les personnes et s’emplir la tête de souvenirs mémorables. C’est une chose que j’aime de mes nombreux voyages. Ils n’y a rien de plus cher pour moi que les rencontres que j’y fait.’’

Lorsque le jeune homme prit place sur le fauteuil, Ryūko se dirigea déjà vers la cuisine, elle déposa sur le petit meuble en bois de la cuisine la palette, la feuille et le crayon, pour ensuite couler le verre d’eau pour son invité. C’est alors que la question fatidique tomba. Elle donna le verre d’eau au jeune homme. Ryūko semblait quelque peu désemparée par la question. Définitivement le jeune homme était curieux. Peut -être un peu trop, mais rien qui dérangeais fortement la jeune femme, elle même extrêmement curieuse. Elle allait devoir la jouer serré pour ne pas se vendre.

“Ho la jarre de sable? C’est une commende personnel qui n’a rien à voir avec la compagnie. D'où pourquoi elle n’est pas sur le registre commerciale. J’imagine que Kaze nous manque un peu à tous déjà. Les nombreux voyage nous habitue à être loin de chez nous, mais nous guérit pas contre le mal du pays, il faut croire.”

La jeune femme tentait de garder son ton habituel et clair, tout en prenant place sur le fauteuil unitaire à la droite du jeune homme.

“ Et de ton côté, pourquoi avez-vous décidé de quitter le pays de la foudre ? ou plutôt de venir vous ici?”

Demanda-t-elle sincèrement curieuse, mais surtout pressée de changer de sujet.

Avec une surprise non-dissimulé, les sourcils de Daiki se relevèrent alors que la réaction à sa blague… et bien… était aussi éloigné que possible de ce qu’il attendait. L’explication vint rapidement, la jeune femme était fan de mauvaise blague. L’Iranos ne se retînt pas de rigoler à chacune des mentions du ‘vent’ dans le petit monologue de la Taiyō. Elle avait un sourire contagieux, visiblement, ce qui ferait d’elle une excellente espionne… et lui un bien bel idiot d’être ici, fermement assis dans un fauteuil, passant un moment plutôt agréable qui allait assurément amener à une discussion sur des sujets qui pourraient être sensible.

‘’ Loin de moi l’idée de t’en vouloir! Je ne peux qu’être d’accord avec toi par contre, et même après avoir vue Iwa avant la catastrophe, il y a un charme de voir les gens s’entrainer à la journée longue dans les rues, les petites échoppes de nourritures ouvrir avec le moyen du bord, et forcément, chaque main aidante compte dans ses temps incertains. ‘’

L’Iranos répondit, acceptant volontiers l’offre d’un breuvage que lui tendait son interlocuteur. Avec un petit sourire, il écoutait son explication sur ses voyages, il semblerait qu’ils partageaient une philosophie de vie, celle de porter attention aux gens et aux moments, plutôt qu’aux possessions matériels. Tout ce qui ne pouvais pas te suivre où être rapidement mis dans un sac pour être emporter ailleurs étaient incertains.

‘’ Je vois qu’on s’entend déjà sur un point! Si le voyage de départ m’a apprit quelque chose, c’est que l’importance des lieux est grandement surestimé, par rapport à l’importance des gens et des souvenirs que l’on partage avec eux. Bien que j’ai eu pendant un moment le mal du pays, on s’habitue vite à un nouvel environnement si l’on se concentre sur les gens, et non le paysage.’’

Ça avait été son truc… enfin… ça et découvrir qu’il était bel et bien constituer de foudre à la base, et qu’il avait un don de shinobi. M’enfin, il n’allait pas non plus révéler tout son jeu sur la table comme ça.

Cela étant, il vînt une explication pour la jarre de sable, une que Daiki trouvait des plus banales, mais compréhensible. Un petit souvenir de chez soi, il y avait de la beauté dans l’explication, mais ça ne collait pas avec ce qu’elle venait de dire… il y avait anguille sous roche. Peut-être l’Iranos n’était-il pas asser prudent… ou peut-être trop, considérant qu’il doutait d’une personne qui n’avait été qu’aimable envers lui.

La question de la jeune femme le sortit de cette réflexion, et il hocha la tête ne prenant une petite gorgée de la tasse qu’on lui avait tendu.

‘’ Après avoir finalement accepté que je devienne shinobi, mes parents m’ont forcé à fuir le village de la foudre pour évité la conscription, pendant l’invasion du Teikoku. Nous avons pensé à revenir après le retour du Raikage, mais le voyage avait été dur sur grand-papa et grand-maman, ils ne tiendraient pas un autre passage. Donc j’ai continué ma carrière ici!’’

Il finit son explication avec un grand sourire, loin de se laisser décourager par la vie. Il se croisa ensuite une jambe par-dessus l’autre, et regardait Ryuko plus attentivement.

‘’ Et toi donc? Tu apprends le métier de tes parents, ou y-a-t ’il quelque chose d’autre qui t’intéresse dans la vie?’’

Lorsque Daiki mentionna la misère du village d’iwa. La jeune femme changea d’expression laissant place a un aire triste et penseur. Maintenant qu'elle mettait de côté les interactions sociales qu’elle avait eu et qu’elle y pensait, Iwa n’était pas exactement comme elle la voyait …

‘’J’ai peut-être des verres fumés roses et me suis peut-être mal exprimée, mais par Iwa, je veux dire les gens d’ici. La misère qui a été présente et actuelle ne change rien du fait que les gens sont gentils et accueillants. Ça, ou bien, c’est notre famille qui, peu importe où nous sommes, trouve sa place parmi les diverses communautés. Car dans mes souvenirs, nous avons toujours été bien accueillis par les gens d’ici.’’


La jeune femme avais soupirer le coeur serrer, elle se sentait mal maintenant. Elle se sentait coupable de ne pas avoir davantage remarqué la difficulté des gens d’ici, elle qui voulait profondément aider son prochain, elle trouvait la situation ironique comment pourrait-elle prétendre pouvoir aider qui que ce soit, si elle ne voit pas ce qu’il y a a faire pour aider…

Une fois bien installé, la jeune femme se sentait plus détendue, cependant loin d’oublier les échanges qu’ils ont eu. Elle se promit de faire plus attention. L’aire neutre de Ryūko se changea en un sourire quand le cours de la conversion bifurqua sur leur point commun. En effet, leurs valeurs se ressemblait et la jeune Taiyō l'appréciait, est-ce qu’après près d’un mois, elle se serait enfin fait un ami en revenant à Iwa après tant d’années? Elle l'espérait, en plus d’avoir l'air gentil, ses traits étaient doux et plein de vie.

‘’Je dirais que le seul hic de voyager autant, c’est qu’au bout de la ligne, le nombre de personnes qui me manque est innombrable… Je me demande parfois, si certaines des personnes que j’ai rencontrées se souviennent encore des moments passés ensemble. Car notre rencontre, dans leur vie ,au final se retrouve a être a peine quelque jours, quelque seconde même. Pour ma part, je les portes tous dans mon coeur.’’

Ryūko avait dit cette dernière phrase en un murmure, comme si elle l'avait dit pour elle-même, afin de se rappeler de ces moments et de leurs importances.



Elle avait attentivement écouté le jeune homme, et comprenait mieux la raison de leur départ, ainsi que la décision de rester. La Taiyō se faisait la réflexion que probablement que si ,avec sa famille, ils se retrouveraient dans ce genre de situation, eux aussi auraient arrêté de voyager. Puis, l’Iranos posa une bonne question. Au fond d’elle, elle connaissait la réponse. Mais, elle n'était pas prête à en assumer les conséquences dans l'immédiat. Elle pensait à Neru, son petit frère, qu'elle ne voulait pas quitter. Elle avait probablement plus besoin de lui, qu’il avait besoin d’elle. Mais, maintenant qu’il était assez grand, peut-être pourrait-elle lui parler de ses doutes, de son secret ? La jeune femme se ramena en secouant la tête, elle s’était visiblement égarer dans ses pensées.

‘’Et bien, je ne sais pas où je m'en vais vraiment. Je les aides en ventes, mais Neru est plus dans la conception que je ne le suis. Puis, je sens que ma place n’est pas pour toujours dans l’échoppe familiale. J'aimerais bien aider les gens, autrement que par cette échoppe ,je veux dire. J’ignore encore comment, mais j'ai fois en mes pas. Ils ne m’ont jamais trompée jusqu’ici. Alors, j’ai confiance que je trouverai ma place, en temps et lieux. Pour l’instant, c’est ici avec ma famille.’’

Daiki hocha la tête en approbation avec ce que la Kazejine disait sur les gens d’Iwa. Malgré la difficulté, les pertes et les inimaginable conséquences des divers événements du monde sur la vie des gens, ils en restaient pour la plupart courtois, polie, sympathique et généreux. L’union des gens sous la bannière de l’entraide et la compassion pour son prochain. Dans les moments les plus difficiles, la véritable nature des gens se révèle, pour le meilleur et pour le pire… et à Iwa, c’était surtout pour le meilleur.

‘’ Les gens d’ici sont très sympathique, en effet. Je ne connais pas encore la majorité des plis et secret du village, mais les gens sont tous très content de m’en apprendre. Par exemple, un sensei que j’ai rencontré m’a présenté une échoppe de brochettes, juste excellent, et personne n’aurait pu la trouver comme ça, simplement en marchant dans la rue. La ville, comme ses habitants, ont tous ses petites perles secrète à découvrir, et je trouve ça magnifique.’’

Décidément, le jeune homme se sentait poétique en ce moment… enfin… poétique par rapport à d’habitude. Peut-être était-ce la présence d’une jolie damoiselle qui n’essayait pas de le jaugé sur sa force, de l’attaquer ou même de lui voler ses outils de ninja par des moyen détournés… il avait une personnalité à flirter par moment, après tout, et celle-ci n’avait pas fait surface depuis un moment.

La jeune femme s’envoya dans le sujet des personnes rencontrés en voyage. Bien que l’Iranos avait fait une bonne partie de la carte, pour son âge et son métier, ils n’avaient pas rencontré beaucoup de gens, du fait qu’il n’y avait pas eu beaucoup d’arrêt dans son trajet. Il arrivait néanmoins à ce faire une idée de ce qu’elle ressentait, prenant comme comparatif les gens qui lui manquait, de son village natal.

‘’ Je crois que ce genre de sentiments sont, plus la plupart, réciproque. Pour laisser une empreinte chez quelqu’un, il faut l’autoriser à laisser une empreinte chez soi, et vice-versa. Donc je crois que la pensent à toi aussi, de temps en temps. ‘’

Il répondit au questionnement de Taiyo. C’étais sa façon de voir les choses, et bien qu’ils étaient semblables dans leurs idées de garder de qui est réellement important, les gens, en mémoire plutôt que de chérir les lieux et les possessions, la jeune femme semblait beaucoup plus nostalgique dans l’idée.

Sur la question de ce qu’elle voulait faire, bien qu’il y avait une réponse toute tracé dans le fait de simplement continuer le métier familial, il semblait avoir une faille dans le discours de la jeune femme. Daiki reconnaissait vaguement cette manière de parler, elle avait probablement une idée en tête, mais elle y pensait encore… bien, il ne pousserait pas le sujet dans cette direction.

‘’ Il y a plein de façon d’aider les gens, après tout, donc tu as l’embarras du choix et du temps. Moi j’ai choisi d’être shinobi, car j’ai toujours admiré les légendes d’antan. Un petit rêve d’enfant, d’avoir mon nom dans les histoires que l’on racontera pour inspirer une nouvelle génération de gens comme moi. C’est un peu narcissique, mais ça me fait avancer dans les moments plus difficiles de mon parcours. Au début, je n’avais pas de don, c’était plus difficile d’avancer… mais maintenant, j’ai découvert une nature en moi que j’avais ignoré depuis trop longtemps, et soudainement, mes rêves paraissent plus accessibles.’’

La jeune Taiyō souriait. Son interlocuteur avait une vision similaire de cette charmante ville. C’est lorsque que le jeune Iranos mentionna l’échoppe de brochettes que Ryūko remarqua que depuis l’arrivée de sa famille à Iwa, elle était restée coller à la bulle familiale. Elle, qui habituellement, était une vraie exploratrice en herbe et ne tenait pas deux minutes au même endroit sans rien faire. La jeune fille tassa cette réflexion du revers de la main tendis que Daiki accepta son verre d’eau. Ses parents avaient besoin d’aide et la pratique familiale servait quotidiennement aux natifs. C’est surement pour cette raison qu’elle n’avait point sillonner les autres rue de la ville a la recherche de chemin inexploré.

‘’ Des brochettes dis-tu ? ‘’

Demanda la demoiselle intéressée, comme pour souligner l’intérêt de la jeune Taiyō le ventre de cette dernière se mis à gargouiller bruyamment. Le regard de Ryūko se posa sur son assiette laisser en plan duquel elle avait à peine eu le temps de prendre deux bouchées avant l’arrivée de l’Iranos. Dans sa précipitation pour aller répondre, la jeune fille avait répandu quelques miettes de part et d’autre de son couvert.

<< C’est que vrai que le projet a un peu été laissé en plan >> se dit la Taiyō.

Ryūko plongea ses Iris Lila dans celles de Daiki. Une étincelle dansait dans son regard. Une idée venais de lui traverser l’esprit :

‘’Et si on y allait ensemble j’ai rien de mieux à faire maintenant que la marchandise est arriver et je m’ennuie un peu c’est calme ici mais jy pense tu es libre ? tu dois être libre ? on y vas!! ‘’

La jeune fille avait sortir ce monologue a un rythme effréné sans même prendre une respiration animée par son enthousiasme. Sans réfléchir, ni même attendre la réponse de son interlocuteur, la demoiselle prit Daiki par le poignet et l’entraina à sa suite en dehors de la maison en se disant qu’elle ramasserait son assiette froide plus tard. Mais une fois à l’extérieure la jeune fille figea subitement lâcha le poignet du jeune garçon et se dirigea vers la porte de la maison avant que cette dernière ne se referme complètement.

‘’Attend moi ici une minute, je reviens rapidement’’

La jeune Taiyō lui fit un sourire a Daiki avant de disparaitre derrière la porte du foyer familiale. Dire qu’elle avait faillit oublier de cacher sa jarre! Sa mère la tuerait si elle découvrait qu’elle avait continué de faire joujou avec le sable… La jeune fille se précipita sur son nouveau bien, l’agrippa et dévala quatre par quatre les escaliers qui menait au sous-sol pour aller à sa chambre et l’enfouir au plus profond son armoire. Elle est tellement absorbée qu’elle ne fait plus attention a autre chose. Une fois la jarre en sécurité, elle retrouva rapidement Daiki.

‘’Désolée, j’avais oublié quelque chose’’

Alors qu’elle refermait et verrouillait la porte derrière elle souria.

‘’je suis contente que visiblement pour l’instant on s’entend bien. Et en vrai ca me rassure, je ne voulais pas être connue que comme ‘la fille de Taiyō ‘ tu vois… Je serai bien heureuse de t’avoir en amis ‘’

Ryūko se retourna vers Daiki avec le sourire un sourire sincère. Et remarqua que dans sa précipitation elle n’avait pas répondu a Daiki qui devait maintenant se sentir un peu ignorer…

<< Bravo Ryūko, c’est pas très gentil tout ça…. >> se rabroua l’adolescente.

‘’ Pardon de t’avoir brusqué ça m’arrive parfois d’être trop spontanée, mais je veux juste que tu sois au courant que je t’ai bien écouté… Merci pour tes parole ca m’apaise réellement…’’

Pendant un moment lorsque Daiki lui mentionna qu’il y avait plus d’une façons d’aider les gens le regard de la jeune Taiyō se perdait sur les passant dans la rue .

‘’en fait , je ne sais juste pas comment me positionner. Je ne sais pas ce que je veux faire pour aider les autres…. En quoi, moi, Taiyō Ryūko, je suis bonne et en quoi ça pourra aider mon prochain… Je ne veux pas être une marchande, Netsu reprendra brillamment le flambeau...’’

En se demandant en quoi elle était bonne, Ryūko avait momentanément regarder sa main dominante, sa main droite. Se demandant, si dans le contrôle du sable, il y avait une réponse.

‘’Je suis contente que tu ai trouver ta voie et que tu t’y sent bien, même si ça te semble un peu narcissique tes gestes sont bon et être reconnue sera seulement le fruit de tes efforts. ‘’

L’histoire vaguement semblable de la vie des deux étrangers résonnait ensemble d’une façon plutôt intéressante. En effet, si les deux ne venaient pas du même pays, ils étaient tous deux des enfants d’ailleurs, venus ici pour des raisons différentes, mais avec un résultat surprenant similaire… Bien que particulièrement étrange, il y avait quelque chose de rassurant à savoir qu’il n’était pas le seul fils de marchand aisé à entreprendre un métier bien différent, pendant que sa sœur, elle, reprendrait les affaires familiales laissées par son père. Peut-être pourrait-il guider la jeune femme dans le chemin qu’il avait lui-même trouver… elle serait peut-être une très bonne shinobi?

Par contre, alors qu’il parlait de l’échoppe de brochette que lui avait fait découvert le taisho du Manazuru, il vit apparaître une étincelle dans les yeux de sa nouvelle connaissance, comme si il avait mit le feu à quelque chose qui était très inflammable, avec une pauvre étincelle. En voyant celle-ci se manifesté, l’idée d’invité la jeune femme au teint exotique lui traversa l’esprit, mais même la vitesse de la pensé semblait être trop lent pour réagir avant la Kazejine.

Elle lui envoya une invitation au visage avec peu de maîtrise, visiblement elle était en proie à ses pulsions gourmandes, quelque chose qu’il pouvait définitivement comprendre, et qui pour lui indiquait la joie de vivre d’un bon vivant.

‘’ Ça me ferais plaisir, je me disais justement que maintenant que j’ai finis mes livraisons, je pourrais aller me prendre un petit quelque chose.’’

Il répondit, affichant comme d’habitude un sourire amical. Il avait presque oublié le contenu étrange qu’il y avait dans ce qui était autrement une commande de fourniture normale… mais en voyant l’empressement avec laquelle Ryuko retourna dans sa maison après avoir ‘oublié quelque chose’, le détail revenait dans sa mémoire, et il eut un moment de contemplation alors qu’il attendait devant la porte que la jeune femme revienne.

1]Ça doit être quelque chose de spécifique, étrange qu’elle ait dû passer par mon père… mais au moins ça me rassure sur le fait que ce n’est rien d’illicite… peut-être un genre d'épices venant de Kaze? C’est probablement ça, ouais. ]

Se dit-il dans son dialogue intérieur, à moitié convaincu de sa réponse… il y avait définitivement quelque chose de louche avec cette jarre, et il n’arrivait pas à se la sortir de la tête… comme s' il y avait un détail important, et que son instinct le poussait à enquêter… bien qu’il n’en ferait rien, par respect pour la vie privée de la dame.

Après quelques instants, la porte ré-ouvrit, et le foudroyant repassa en mode amicale et simplet, aucune raison de s’en faire, surtout qu’ils seraient en ville! Une fois de plus, les paroles défilait de la bouche de Ryuko, et l’Iranos écoutait avec attention, rigolant même quand elle mentionnait avoir bel et bien écouté lors de son petit monologue… pleine d’énergie celle là, quelque chose qui lui plaisait bien, une bonne influence.

Alors qu’ils se mettaient en route vers la petite échoppe, l’Iranos se permet de prendre un peu la parole, histoire d’alimenter un peu le feu de joie qu’était la capacité de discussion de la Taiyo.

‘’ Ba justement, moi c’est ma soeur Ichino qui reprend le flambeau de mon père! Heureusement qu’elle est là, sinon j’aurais probablement pas eu le luxe de devenir shinobi, d’ailleurs! Toi, il y a quelque chose qui t’éclate? Je refuse de croire que quelqu’un qui à autant voyagé n’a pas trouvé, dans ce vaste monde, quelque chose qui l'intéressait assez pour en faire un métier, je me trompe? ‘’

Il lui renvoyait la balle, en espérant la faire réfléchir, peut-être débloquer cette dernière étape entre l'insouciance et la réalisation, la même qu’il avait eu il y a longtemps, en lisant une histoire, à l’époque où il était rentré à l’académie de Kumo.

À la réponse du Genin, un grand sourire envahissait le visage de Ryūko. Son cœur n’a fait qu’un bond dans sa poitrine, heureuse. Elle venait probablement de se faire son premier ami a Iwa, depuis son retour dans cette ville. Cela enjouait fortement la jeune Taiyō. Il est vrai qu’avec Daiki, elle se sentait bien. La communication, jusqu’à maintenant, semblait simple.

‘’ Yay! On attend quoi pour prendre le chemin? Si cette échoppe est aussi bonne que tu le prétend, je la montrerai à mon petit frère! Il faut croire que la gourmandise, c’est de famille hahaha!’’

Ryūko était bout en train, il semblait que rien ne pouvait venir a bout de cette boule d’énergie positive. La belle rousse avait ri de bonne humeur a sa remarque. Elle fini par se calmer et elle se tourna regard Daiki.

‘’ Alors ! Par ou vas-t-on ? ‘’

La Taiyō mis sa main en visière sure son front et regarda autour d’elle, légèrement pencher par en avant comme si cette position allait magiquement lui révéler le chemin avant que l’Iranos ne le fasse.

Sur la route, La demoiselle souria a la mention que Daiki Avait une sœur. Elle se fit la remarque, avec le sourire, qu’elle et le garçon se ressemblaient pas mal sur le niveau familial.

‘’ A bon!? Elle est plus vielle ou plus jeune que toi ? Comme je l’ai déjà mentionné, tu sais que j’ai un petit frère qui s’appelle… ‘’

Ryūko avait exprès de laisser le nom en suspend elle regardait l’Iranos avec un sourcil lever curieuse de savoir s’il avait enregistré l’information. En parlant de la millième fois de son cadet, ses yeux scintillaient de fierté et d’amour. S’Il y portait attention, Daiki pourrait également le sentir dans la voie de la jeune fille. Ça paraissait que cette dernière avait forger un bon lien avec ce dernier et qu’ils étaient proche.

Puis Daiki amena le sujet de ce qui allumait la Taiyō. Ryūko réfléchi de longues minutes. Ses sourcils froncés et son regard agité montrait la difficulté qu’éprouvait l’ainé des Taiyō à trouver une réponse. Le problème, c’est qu’elle ignorait ce qui pourrait assez l’intéresser pour en faire son métier. Même si la nourriture l’intéressait, en effet Ryūko avait un malin plaisir à apprendre à cuisiner un plat régional a chaque endroit visité, la jeune fille se voyait très mal tenir un restaurant. Contrairement à sa mère l’adolescente ne voulait pas d’une vie commerciale. Ce qu’elle sait c’est qu’elle veut aider et il y a L’Homme au chapeau…. Est-ce qu’elle évitait la même voie que Daiki? Peut- être elle s’en empêchait inconsciemment parce qu’elle cache sa capaciter de manipuler le sable depuis 11 ans maintenant ?

‘’ Mum… je ne sais pas vraiment, en fait il y la nourriture que j’aime bien, mais c’est plus au niveau du hobby tu vois? Sinon, il a cette idée d’aider les autres et de protéger ceux que j’aime … Et puis il aussi …. Tu vas trouver ça stupide…. Mais J’aimerai aider à contrer L’Homme au chapeau… ‘’

Puis l’idée d’EN faire part a Daiki lui travers l’esprit. Après tout il est Genin. Il pourrait peut-être la comprendre ou ne serait-ce la supportée dans ce fardeau qui la pèse d’années en années. Non. C’est trop tôt et même si, il ne croirait probablement pas. Elle se mit à tremblée légèrement. Inquiète de se retrouver séparer de sa famille, mais surtout de son frère. Si elle en parlait c’est tout son monde qui s’écroulerait. Sa mère l’avait bien prévenue : le clan Asaara viendrait la chercher s’il apprenait son existence et elle ne pourrait plus revoir sa famille.

‘’ Ch-changeon de sujet okay ? ‘’ Ryūko s’efforça de le dire avec le sourire, mais on ton la trahissait elle était loin d’être à l’aise.

Alors qu’il prit la direction de l’échoppe de brochette qu’il vantait autant, la conversation restait en vie grâce à l’énergie de la Taiyo, qui semblait ne jamais avoir de temps mort, quelque chose que l’Iranos pouvait apprécier, et qui faisait drôlement changement, surtout avec des conversations aussi légères et inconséquentielles… il en avait assez, par moment, de parler de sujet grave avec Yanosa, comme la place dans le monde des dieux… et ce genre de choses. Bien qu’ils étaient à l’opposé de la dynamique, Daiki comprit qu’ils avaient aussi la même paire de frères et sœurs dans leurs famille, un autre fait intéressant et particulièrement étrange, considérant le nombre de choses qu’ils avaient en commun.

‘’ Plus vieille, de presques exactement deux années.’’

Il répondit avant d’avoir un petit coup de pression alors que Ryuko le questionna sur son écoute. Il prit un moment pour y réfléchir, elle était un moulin à paroles sans fin, un point de détail comme le nom de son frère pouvait si vite se perdre… pourtant, un éclair de génie traversa le foudroyant, qui, en levant le doigt comme s’il recevait une illumination, déclara.

‘’ Natsu! Ton petit frère s’appel Natsu!’’

Il dit, pleinement confiance malgré son erreur qui était mineure, mais définitivement présente, dans le nom du cadet Taiyo.

Puis, la discussion glissa en même temps que les deux amis se dirigèrent vers l’échoppe, ils atteignent le Coeur Marchand alors que son interlocutrice le relance sur l’histoire d’avoir une passion pour en faire un métier… Elle semblait avoir du chemin à faire de ce côté, mais un point ressortait alors dans son discours… l’homme qui avait menacé tout un monde, qui voulait ouvertement se débarrasser du chakra… pourquoi Ryuko avait-elle un intérêt dans cette histoire? Elle semblait pourtant être ningen, sans chakra… elle profiterait très probablement d’une remise à niveau des mortels.

‘’ Pardon d’insister, mais je dois savoir… qu’as-tu à gagner à combattre l’énervé chapelier? Le monde ne serait-il pas plus sûr et calme pour ta famille s’il n’y avait pas de manipulateur de chakra? Ou alors me caches-tu un petit don dans ta poche ?’’

Bien qu’il avait remarqué que celle-ci était mal à l’aise, la curiosité de l’Iranos passa par dessus sa reconnaissance des signaux d’une conversation saine… car si Ryuko était une manipulatrice de chakra, alors le sable qu’elle ramenait de Kaze… n’était probablement pas pour se faire un jardin de pierre miniature. Il offrait néanmoins un visage compréhensif et empathique, il n’allait pas non plus ignorer le fait que ce sujet était sensible pour elle, mais s’il y avait une chance qu’elle soit kunoichi… il ne pouvait pas exactement ignorer ce genre de choses… S'il n'accuse pas mentalement Ryuko de mauvaises intentions, il y avait des histoires de personnes ayant un don pour la manipulation de chakra, et sans entraînement, ça pouvait mener à des catastrophes.

La balle était à présent dans le camp de la Kazejine… voudrait-elle aborder ce sujet, ou choisirait-elle de passer à autre chose? Car le jeune genin n'oserait pas insister plus qu’une fois, déjà qu’elle prenait un risque à le faire.

Lorsque Daiki apprit a Ryūko son rang dans sa fratrie elle sourit de plus belle

‘’ C’est fou, même sur ce point notre famille se ressemble! La seule différence est que j’ai environ quatre ans avec mon frère’’ soulignât avec amusement l’ainée des Taiyō.

‘’ On devait se rencontrer! Je le sent!’’ affirma avec conviction la jeune fille en sautillant, tout en continuant d’avancer.

La discussion vagabondait, et la petite faute dans le prénom de son frère la fit pouffer.

‘’Moi aussi j’aime bien l’été, mais mon petit frère c’est Netsu. Cependant, je souligne ton effort! Mine de rien tu n’es pas loin!’’ Répondis Ryūko un sourire en coin sans malice a l’intention de l’Iranos.

Sur l’instance de Daiki, la Taiyō s crispa légèrement. Elle comprenait sa curiosité, mais cette histoire jouait sur des platebandes un peu trop personnelles à son gout. Alors que son sourire s’effaçait son anxiété à propos de l’histoire familial refit surface : les yeux légèrement humides, les mains tremblotantes. Elle n’aimait pas que le garçon insiste de la sorte, elle lança un peut malgré elle un regard désapprobateur à l’Iranos. Mais… Cette insistance ne serait-elle pas un signe comme quoi, elle avait trouvé un allier ?

Ryūko pris une grande inspiration pour se calmer. Rien n’était encore jouer.

‘’ Je pensais avoir été quand même claire là-dessus.’’ Commença doucement l’adolescente

’’ je veux aider les gens. Même si dans un sens ça me serait personnellement avantageux et tu ignores, pour l’instant, Hô combien ça me serait pratique… Mais aider les autres, c’est bien souvent au détriment de soi-même… Si l’homme au chapeau arrive à ses fins, ce sera bien plus de personnes qui seront triste, désemparer et même perdu. Son but rendra certainement beaucoup de personnes tristes. J’en suis persuadée. Alors, on se fou un peu de mon avis, non? ‘’

La jolie rousse pris une pause avant de se relancer.

‘’Je t’en parlerai peut-être, mais je ne suis pas certaine que de 1 je puisse 100% te faire confiance avec ça, sans être méchante, et de 2 que tu me croies, si je te le dirais. C’est plutôt un gros morceau à digérer, si tu veux mon avis… mais je comprends ta curiosité… Bon, si tu veux bien me lâcher avec ça maintenant. Je t’en serais reconnaissante’’

Ryūko était resté calme malgré son air sérieux et son ton grave qui étaient bein inhabituelle chez elle. Daiki pourrai sentir que la demoiselle s’était un peu fermée.

‘’ On arrive bientôt ? ‘’

Mal à l’aise la Taiyō ne savait plus trop ou se mettre, ce qui transparaissait dans sa causette qui qui semblait s’être grandement évaporée.

Si près du but… bon, il ne pouvait pas trop s’en vouloir, vue qu’il connaissait cette Ryuko depuis à peine plus d’une heure… mais bon, elle ne semblait pas trop l’avoir mal prit, glissant même une petit blagounette sur le nom plus exotique de la saison qui marquait lui-même sa naissance… Il est certainement vrai que ceux qui viennent de Kaze ne seraient probablement pas très fan de l’hiver, qui arriverait d’ailleurs dans bien trop peu de temps… Pas que les hivers soient particulièrement dûr à Iwa, mais il y avait tout de même ses vents qui soufflait à travers les vêtements trop inadaptés par moment… quelque chose qui rappelait au monde entier que la nature avait bel et bien toujours la main mise sur ce monde, malgré le chakra.

Et puis vînt la réaction qu’il aurait dû attendre… Malgré le courant qui passait bien entre les deux étrangers, il y avait des limites à ne pas franchir aussitôt en ayant rencontré quelqu’un, et il venait de mettre le pied dedans, même après avoir été avertis. Les paroles de la Taiyo étaient sec, froide et distante, le contraire de ce qu’elle avait été jusque là, et elle mettait finalement la barrière à cette discussion en point d’orgue du sujet. Si le jeune homme semblait jusque là à ses aises, il venait très certainement de reprendre sa place, et se sentait visiblement mal d’avoir insisté de la sorte, bien que des excuses seraient trop peu trop tard, dans ce cas-ci. La seule information qu’il venait d’obtenir, c’est qu’il y avait bel et bien plus chez cette jeune femme qu’il y paraissait… et que cette information était sensible, voir dangereuse… la curiosité grondait dans le ventre du foudroyant, mais il n’oserait pas insister d’avantage.

Il se contenta de faire silence pendant quelques minutes, histoire de laisser passer les émotions fortes qui pouvaient exister en ce moment… en espérant pouvoir retrouver le côté jovial et sympathique de leur premier contact. En tournant un coup de rue achalandé, l’échoppe arrivait en vue, construit à même le mur d’une fortification intérieur d’Iwa, au bout d’une allée entière de nourriture qui dégageait des odeurs exotiques et familières à la fois… le quartier gourmand d’Iwa, son endroit préféré dans tout le village.

‘’ C’est juste au bout ici! Viens, plus vite on arrive, moins de gens il y aura à passer avant nous.’’

Il répondit finalement à Ryuko, déployant un effort supplémentaire afin d’agir comme s’il ne venait pas de se produire un froid colossal entre les deux, et qu’ils reprennent simplement leur journée qui avait pourtant si bien commencé… en espérant que son compagnon du moment ai toujours l’envi de passer ce moment entre deux âmes venu de loin. Quelque part, l’Iranos se demandait si elle avait, comme lui, le mal du pays.

‘’ Je te conseil ceux au boeuf, je n’oserais pas dire que ce sera la meilleur expérience culinaire de ta vie, vue que tu as certainement vue et goûté plus de nourriture exotique que je n’en verrai dans ma vie, mais je suis confiant qu’ils se tailleront une place quelque part dans ton top personnel! Aller, viens!’’

Après cette invitation, le jeune Iranos accélérerait le pas vers le marchand… il y avait un réel enthousiasme derrière ses paroles, mais surtout, un désir de s’éloigner le plus possible des dernières minutes.

Alors qu’il s’approchait de la rue de restauration, les bonnes effluves montait au nez de la jeune femme. Alors que son ventre émis une énième plainte, un léger sourire se dessina sur le visage de Ryūko. Non seulement par l’odeur, mais par la vie qu’il y avait ici. Elle aimait quand il avait de la vie et de l’énergie.

‘’J’aime toute cette énergie. Ho, où ça, où ça, où ça ?!’’

La Taiyō regarda avec empressement la direction indique par le jeune homme, Pressée de découvrir l’endroit. Elle ne retrouvait pas à pas son énergie et sa bonne humeur. Elle n’allait pas lui en tenir rigueur. De plus, Daiki semblait avoir laisser tomber le sujet du moins pour l’instant. Ils étaient venue passer un bon moment et il ne faudrait pas laisser ce petit nuage affecter le reste de la journée qui est encore jeune.

‘’C’est si achalandée que ça ? J’avais cru comprendre le contraire vus que tu m’as dit que personne ne la connaissait ou presque ‘’

La jeune fille rigola à la remarque sur la remarque de sa grande exploration gustative.

‘’ haha en effet, j’ai pu gouter une quantité conséquente de plat et spécialité. Je prends, d’ailleurs, un malin plaisir a apprendre et cuisiner mes préférés. Au bœuf tu dis ? Je suis joueuse tant que ce n’est pas piquant je goute tout ce que tu veux ! Ha pendant que j’y pense c’est moi qui régale! Question de me faire pardonner pour avoir jeté un froid ‘’

Ryūko souria un peu gêner , mais son naturelle repris le dessus et cette petite altercation appartenait désormais au passé.

‘’bon et toi Daiki qu’as-tu a me dire sur toi ? Ce que tu aimes faire dans tes temps libres par exemple ? ‘’

Les grand yeux Lila de la Taiyō détailla le jeune jeune homme.

Le froid qui s'était installé entre les deux nouvelles connaissances semblait s’être rapidement dissipé, aussi rapidement qu’il était arrivé. Daiki n’allait certainement pas s’en plaindre, il avait réellement eu peur que cette sensation désagréable allait coller à toute la petite sortie qu’ils avaient improvisés, mais en entendant la réaction de Ryuko quand il indiquait l’endroit, l’Iranos avait presque sursauté en réaction à l'énergie de la Kazejine qui semblait de retour bien assez tôt! Sans attendre, le sourire retrouva sa place sur le visage de l’Iranos, et il indiqua l’endroit du bout du doigt. S'ensuivit une remarque bien placée de la part de son compagnon, qu’il se ferait le plaisir de répondre.

‘’ Quand je dis que personne ne la connaît, c’est surtout dans mon entourage, tu vois? La rue gourmande du cœur marchand déborde toujours de gens, surtout aux heures de goûter, vu le nombre de travailleurs de l’extérieur venus aider à la reconstruction du village. Si tu regarde bien autour de toi, tu verra qu’on est pas les seuls étrangers venu d’ailleurs dans ce coin du Yuukan.’’

Il adressa à la jeune femme, une réalité qui lui avait été longue à réalisé. Sa situation, bien que particulière vue le titre de déserteur qui le guettait de très près, à qui il échappait probablement grave au fait qu’il y eut une guerre puis une occupation.

La kazejine confirma alors ce qu’il venait de dire sur le fait qu’elle avait bien vu de la gastronomie, plus que lui, et largement même. Mais quand elle amena le fait qu’elle allait payer pour lui, il fit mine de s’offusquer, amenant sa main droite sur son torse, comme s’il était offensé au plus au point, très dramatique.

‘’ Mais madame, c’est moi qui ai amené le sujet, et puis, c’est bien moi qui ai invité! Jamais je ne pourrais dormir sur mes deux oreilles si je vous laissais me délester de la charge financière de…’’

Il reprit un ton normal et une position neutre, suivis d’un petit rire amusé.

‘’ … de quelques brochettes … mais quand même, j’insiste, c’est moi qui ai invité à la base.’’

Il oubliait même que c’était bien la kazejine qui avait décidé que, vue qu’ils n’avaient rien à faire en cette après-midi, qu’ils iraient tous deux à l’échoppe en question… décidément, il avait la mémoire courte aujourd’hui.

Quand ils arrivaient finalement à l’échoppe, il y avait déjà bel et bien une petite ligne devant l’endroit. C’est alors que la question de Ryuko arrivait à point. Il pensa sur la question pendant quelques instants, il est vrai que ses habitudes hors shinobi avait pris le bord un peu depuis sa graduation.

‘’ Alors, je suis un grand ami des animaux, j’ai même nourri un gros serpent bleu, partenaire d’un copain shinobi. Sinon, j’aime bien prendre un verre de temps en temps, je m’intéresse un peu à la forge, surtout à l'entretien et j’aime bien… euh…’’

Il eût un petit moment de gêne visible, mais se disait qu’il ne pouvait pas arrêter maintenant.

‘’ J’aime bien lire des histoires pour enfants… du genre légende de braves héros… ce genre de choses.’’

La Taiyō regardais au tour d’elle comme l’avait suggéré l’Iranos. Ce dernier disait vrai. La jeune femme si dit qu’elle devrait sortir de chez elle et de l’échoppe de ses parents. Une si grande diversité était présente à Iwa en ce moment. Des gens tantôt grand tantôt petits, des homme des femmes et quelques enfants, tous différents et en même temps lier par un seul et même but : la reconstruction d’Iwa. Tout ça semblait magnifique aux yeux de la kazejine.

‘’ Ça, alors! Tu as raison! Décidément, dans les dernières semaines, je vivais dans une grotte! Je devais être distraite par l’aménagement dans notre maison… ‘’ réfléchissa tout haut Ryūko.’’ Si ces brochettes son aussi bonne on devra les faire découvrir à tout le monde! Surtout à nos familles! Tu l’as montré à ta famille? Surement, non? ‘’

Comme à son habitude la jeune femme s’enflamma dans un ses monologues, dont elle maitrisait l’art. La kazejine avait complètement retrouvé sa bonne humeur contagieuse et son sourire illuminait son visage, ainsi qu’à quelque passant qu’elle saluait, comme ça, partagent sa joie de vivre avec qui voulait bien la recevoir tout continuant sa discussion avec Daiki.

Tendis que Daiki commença ses mimiques faussement offusquées. La Taiyō ria de bon cœur à cette comédie que lui offrait son compagnon. C’est alors, quelle s’apprêtait à riposter qu’elle allait payer, Ryūko se mise à tapoter ses cuisses. Là où se trouvait les poches de son pantalon. Habituellement, elle sentait rapidement ses effets personnels dans le tissu mince. Cependant, la jeune femme ne sentait que les clefs. Elle fouilla avec empressement dans ses poches pour en ressortir une poche vide de sa main gauche et sa main droites son trousseau de 5 clefs duquel pendouille un petit porte-clefs en forme de ramen. C’est avec un air penaud qu’elle regarda le jeune homme.

‘’ Ouain, je crois que je n’ai pas tellement le choix de te laisser payer maintenant… Sans argent ça va être complexe …’’

la Taiyō était découragée d’elle dire qu’elle était redescendue dans sa chambre elle aurait pu le prendre, mais elle ses pensée était toute dirigée vers sa jarre….

Une fois arrivée devant la file elle laissa passer l’Iranos ,

‘’Après vous MON-SI-EUR’’ dit-elle après avoir exagérément étirer le mot. Tout en faisant une sorte de courbette. Une lumière de joie dansait dans les yeux lilas de la jeune Taiyō et son rire avait retentie dans les oreilles du Genin.

Tendis que l’Iranos parlait de la personne, Ryūko, elle, l’écoutait religieusement. Elle réagissait, ses expressions faciales en disait bien assez sans qu’elle ai besoin de parler admirative et pas moment même étonnée. Elle semblait sincèrement s’intéressé à ce que disait le jeune homme. Alors qu’il avouait à la kazejine son intérêt pour les comptes et légendes pour enfants. La réaction de Ryūko n’était probablement pas celle à l’a qu’elle Daiki pouvait s’attendre. Il pouvait voir dans les yeux de son accompagnatrice qu’elle le comprenait. La jeune femme fini par briser son silence quand elle eu jugée que le jeune homme ai arrêter de parler depuis suffisamment longtemps et qu’elle pouvait se lancer sans l’interrompre.

‘’Hé bien un ami des animaux, je n’aurais pas cru tiens! C’est plutôt rafraichissant. Je n’ai pas beaucoup connu de garçons qui s’y intéressaient! Et ne t’en fait pas pour les comptes, je m’ennuie parfois d’en lire à Netsu. Il se dit maintenant trop vieux pour ça. Mais, j’ai toujours pris un malin plaisir à lui raconter et faire des voix, haha, ses petits yeux brillaient tellement quand je le faisait. Ces histoires sont bien plus intéressantes que bien de roman… et beaucoup moins long’’

Le ton de la Taiyō était léger elle prenait un malin plaisir à raconter ces petites anecdotes qu’elle avait avec son frère.

‘’Excuse- moi, je ne veux pas t’ennuyer avec mes histoires de grandes sœur!’’

C’était presque leurs tour de commander et son attention se porta sur le menu

‘’ Hum… Dis tu veux bien me faire la surprise et commander pour nous deux ? Comme d’habitude me laisser faire un choix dans un nouveaux restaurent ça va me prendre des heures. Ho! Et je vais prend deux brochettes s’il te plaît ! ‘’

la jeune femme ria un peu gênée.

‘’ Évidemment que j’ai fait découvrir à ma famille, ils me demandent souvent d’en rapporter de mes entraînements, une fois par semaine je dirais. Ça donne aussi une pause à ma maman, et lui permet de se laisser aller une soirée. ‘’

L’Iranos répondit à la remarque de Ryuko, en s’amusant un peu de son observation des alentours. Il avait lui aussi remarqué la beauté de la diversité à Iwa, mais il est vrai que toute cette différence est facile à ignorer lorsqu’on ne s’attarde pas à l’extérieur de sa petite bulle. Pour lui, il était important, capital même, que la Kazejine sorte de chez elle un peu et explore le village caché de Tsuchi sous toutes ses coutures… peut-être déciderait-elle même d’y rester ? Une amie comme ça, il pourrait certainement en profiter, la présence de la jeune femme était extrêmement détendue et décontracté, un changement apprécier contre l’environement shinobi.

Puis, alors qu’il s’attendait à un retour de la pars de la jeune femme, il remarqua la panique de la jeune femme, et en voyant qu’elle tapotait son pantalon, il comprit alors qu’elle avait oublié son porte-feuille. Avec un sourire narquois, il amena une main devant sa bouche pour rigoler, en exagérant son amusement face à la situation de la jeune femme.

‘’ Oh? On a oublié son argent hein? J’imagine que je peux te faire une fleur pour cette fois, alors~’’

Il dit avec une voix faussement hautaine.

Finalement, un fois dans la ligne, la jeune femme semblait extrêmement apprécier les caractéristiques que le jeune homme partageait sur lui-même… même Kisuke, qui semblait croire que ses serpents étaient éffrayant, bien qu’il les trouvait adorable, personellement. La fin du monologue de la Taiyo sur son petit frère dépeignait une relation très proche avec celui-ci… ce qui fit se demander au jeune homme si Ichino parlait de lui de la sorte à ses amies à elle… Il l'espérait, quelque part, et l’idée lui réchauffait le cœur.

‘’ Tu ne m'ennuies pas, au contraire, c’est bon de savoir que certaines autres familles sont si soudées! Personnellement, ma grande sœur aime beaucoup me taquiner, mais ça fait partie de la relation qu’on a. Elle à toujours été là pour moi quand j’en avais besoin, et je dois une bonne partie de sa personnalité à la sienne… surtout quant à ma relation avec les autres.’’

En effet, si l’Iranos était aussi à l’aise avec les gens, c’était à force d'interagir avec la tornade qu’était sa sœur. Il tenait beaucoup de celle-ci, vu qu’ils ont longtemps été ensemble. C’est bien elle qui l’avait encouragé à s’en aller dans la voie qu’il emprunte aujourd’hui, ses parents n’étant pas exactement chauds à l’idée qu’il devienne shinobi… et c’était aussi elle qui lui racontait ses histoires il y a longtemps.

Quand son compagnon demanda de lui faire la surprise de la commande, il hocha la tête simplement, les idées tournaient dans sa tête quant à la commande qu’il lui réserverait… il était dans l’obligation de lui faire au moins une petite surprise, vue la situation.

‘’ Parfait, je te ferai ça alors… tu peux aller m’attendre près de la fontaine là bas? Histoire que tu entende pas ta surprise.’’

Il dit simplement, pointant une fontaine non loin qui était le centre d’un espace où les gens se posaient pour manger, et où il y avait suffisamment de place pour au moins commencer la dégustation.

Ryūko se félicita intérieurement avec ironie : bien sûr que le jeune homme avait parler de cette échoppe à ses proches vue comment il la vente! Elle se reprocha de pas toujours réfléchir avant de parler. C’est avec gêne qu’elle répondit a l’Iranos.

‘’ Bien évidemment, haha. Désolée d’avoir posé la question… avec le recul, ça me semble logique!’’

Alors que Daiki coupa la Taiyō avant même qu’elle pu ouvrir la bouche, c’est avec ses poings sur ses hanches, un roulement des yeux exagérer et un sourire qu’elle accueillie la remarque du genin.

‘’ Ho, une fleur hien?’’

la Taiyō avait cette lueur de malice qui brillait dans ses yeux. Le jeune Iranos avait pu apprendre à le reconnaitre au fil de leur discussion : elle avait une idée en tête.

''MAIS quel GRAAND honneur tu me fait, HO ! Grand Iranos, j’espère être digne de tant de générosité! ‘’

Le tout est accompagné d’un ton sarcastique enjoué, menacé d’un rire qui menace d’éclaté à tout moment et d’une gracieuse révérence. C’est en se redressant que la Kazejine laissa aller son fou rire, allant jusqu’au larmes. Ryūko riait tellement qu’elle se tenait les côtes. L’ensemble de ses tentatives pour se calmée se solvait par un échec, recommençant à rire de plus belle après chaque essaies.

C’est une fois calmée que la discussion reprit son court. Puis vient le sujet des familles soudée. A se moment ses pensées s dirigea vers sa petite famille, son cocon d’amour et de sécurité. Ses traits offraient un air tendre à Daiki.

‘’C’est un beau cadeau une famille comme ça. Il faut dire que ça n’a pas toujours évidant, on est passé au travers de bien des épreuves, certaines plus joyeuse, d’autre plus sombre. Mais, on ne s’en est pas trop mal sortie. Ça nous a souder et rapprocher ‘’


C’était enfin à leur tour. La jeune femme s’éloigna alors, envoyant la main à son compagnon avec un sourire.

‘’ Je vais aller à al fontaine ne tarde pas trop à moins que tu veuilles y retrouver un squelette ! ahah a tout suite Daiki!’’

La jeune femme quitta l’endroit d’un pas léger en chantonnant.

Quand Daiki Arriva au lieu de rendez-vous, la Taiyō jouais avec des enfants les poursuivants en riant. Elle perdit pied et tomba dans L’eau de la fontaine. Elle se releva un grand sourire au visage. Puis en apercevant l’Iranos et lui envoya la main.

Bien que ça n’étais pas la première fois cette après-midi que la jeune femme employait la tactique de parler très fort, sarcastique et choquant, il semblerait que ce stratagème fonctionnait toujours autant sur l’Iranos, qui prenait un pas de recul à chaque fois, comme gelé par l’intensité qui se dégageait de la Taiyo qui faisait même de grands mouvements, attirant l’attention de beaucoup de gens, une partie étant amusé, l’autre irrité par ceux qui faisaient beaucoup de bruit pendant leur pause dîner. Pourtant, Daiki savait que le ton était à la blague, mais son nouveau compagnon avait une façon de s’exprimer qui sortait tellement de l’ordinaire, il était impossible pour le genin d’y résister.

Il resta bouche bée devant cette reaction, et bien qu’il accompagna la jeune femme dans son rire après, il ne pu s’empêcher de penser que cette personne rencontré il y a à peine quelques heures lui semblait si amicale, comme s’ils étaient amis d’enfances, et vue les circonstances, ça n’étais même pas ne serais-ce qu’un peu envisageable. Celle-ci, sans le savoir, miroitait ses propres pensées quant à la vue sur la famille… il avait abandonné son ancienne vie derrière lui pour suivre cette famille qu’était la sienne, et il se comprenait sur ce point… Il y a des choses à protéger à tout prix.

‘’ Ça tu l’as dis… Certaines familles valent la peine de sacrifier tout pour rester unis… et c’est aussi le cas de la mienne. Nous avons eu une épreuve majeur, et les choix que nous avons fait nous suivrons toute notre vie… après tout… c’est bien à cause de ses choix que nous sommes à Iwa en ce moment.’’

Il eut un air pensif pendant un moment, se rappelant de ses amis du Pays de la foudre… et du serment qu’il avait brisé en quittant le village pendant l’attaque de l’empire du feu… il n’y avait pas que du positif dans ce passé, mais son présent était construit sur les décisions qui en venait.

Quelques instants, et une commande passé plus tard, Daiki arrivait près de la fontaine, les mains pleines de ses brochettes tant vanté, juste à temps pour observer la Taiyo tomber dans l’eau. Il ne se contenu pas et se moqua d’elle gentiment, tout en se rapprochant jusqu’à être près de là où elle se tenait juste avant.

‘’ Je te proposerais bien de t’aider mais… j’ai un peu les mains pleines, tu vois ?’’

Il la regardait de haut avec un sourire hilare, qui ne cachait pas du tout qu’à tout moment, il pourrait exploser de rire devant elle. Ensuite, il lui tendit sa main droite, contenant les brochettes qui étaient destinés à la jeune femme. L’une d’entre elle était piégée, évidemment! Il y avait porc et bœuf, et le premier morceau de celle au porc était mariné dans une sauce extrêmement acide, qui donnait un goût sur, presque semblable à du concentré de citron en termes de force. Le reste des brochettes était la commande standard de l’échoppe, histoire de se faire une bonne idée.

La jeune Taiyō observait le jeune homme. Il avait l’air profondément souder avec sa famille et semblait sincère. Cela plaisait à la kazejin. De son côté, Ryūko avait enfin écouter ses propres parents, sorti son petit nez de sa tanière et faire autre chose qu’aider l’échoppe. Sa sociabilité naturelle avait bien aidé, mais Daiki avait un quelque chose de spéciale. Lui et elle se comprenaient et ce très bien. Ce qui la rendait heureuse au plus profond d’elle. Elle devrait lui dire... Elle ne serait plus seule… et avec une personne de confiance, c’était désormais certain. À ce moment précis, la Taiyō est convaincue de la bonté de l’Iranos.

‘’Je sais, je sais. Je vois bien. Je suis trempée, mais pas aveugle haha, Ça serait dommage de tremper cette nourriture qui sent terriblement bonne! Mais, je te mentirais si je te disais que je n'ai pas penser à t’asperger l’ami!’’

Les enfants non loin riaient à l’éclat. La chute de la Taiyō n’avait pas passée inaperçue. La jeune femme se releva et sortie. Elle fit aurevoir aux enfants qui semblaient déçus de perdre leur camarade de jeu, mais ils n’ont pas insisté davantage.

La demoiselle pris les brochettes que Daiki lui offrait, tendis que son ventre grognait de plus belle.

‘‘Humm! Elles ont l’air succulentes!’’

Tandis qu’elle prenait sa première boucher de la brochette piéger. La jeune femme, fronça les sourcils, peu convaincue du mélange acide et porc trouvant ce mélange curieux. L’Iranos allais être plutôt déçu car la réaction de la Taiyō ne serait pas plus extravagante, mais toute fois accompagner d’un regard interrogateur vers son ami.

‘’C’est curieux j’aurai cru que les saveurs seraient plus… harmonieuses.’’

Ryūko gouta la seconde brochette qui elle était délicieuse, elle comprit la blague de Daiki. Elle lui jeta son fameux regard avec cette lueur maligne et avant que le Genin puisse réagir pris le restant de la boulette piégé et le lança au jeune homme.

‘’Ha je vois! C’est comme ça que l’on accueil les gens chez toi ?!’’ dit-elle faisant mine d’être une pauvre victime en riant un peu.

la Taiyō se calma et sa mine se terni légèrement, perdu dans ses pensées, elle tourna son regard vers l’Iranos. S’il y faisait attention, il y verrait un questionnement certain et de l’inquiétude.

‘’Dit Daiki…. Je… Je peux te faire confiance… mais je veux dire vraiment confiance ? En tant qu’ami… ’’

Le ton de la jeune femme n’était plus au jeu et elle semblait très sérieuse, son cœur battait la chamade dans sa poitrine et ses idées se confondaient dans son esprit. Et ses pupilles semblait étudier la moindre réaction que laisserait transparaitre le jeune homme.

Il y avait une certaine beauté dans la réaction de Ryuko, celle-ci ne semblait pas réagir le moins du monde au fait d'être tombée dans la fontaine… peut-être c'était un truc de Kaze? Il est certain que l’eau se faisait plus rare dans le désert, il y avait certainement un lien… mais bon, l’important c’est que la jeune femme n’était pas blesser et que la dégustation n’allait pas devoir attendre qu’elle retourne chez elle se changer. Quand sa nouvelle amie se confia sur le fait qu’elle avait pensé l’asperger, l’Iranos rehaussa son sourcil droit en direction de la jeune femme.

‘’ Hmm? Je déconseil, si tu veux éviter de te retrouver avec les cheveux décoiffés et une vague odeur de brûlé sur tes vêtements.’’

Il dit alors qu’un arc électrique parcouru son corps depuis ses cuisses jusqu’à son cou, et que ses cheveux semblaient brièvement se dresser avec de la statique. Sa nature faisait qu’il était potentiellement dangereux dans l’eau, bien qu’il avait un contrôle totale de son affinité… résisterait-il à une contre-attaque aussi évidente.

Il fallut toute la force de son corps pour ne pas sourire alors que la Taiyo allait prendre sa première bouchée, le morceau piégé sur une des deux brochettes, mais alors que celle-ci mordait dans la viande trompeuse, elle n’eut que peu de réaction… Pire même, elle semblait croire cette abomination dans le domaine du possible! Alors qu’elle décrit sa déception le plus normal, l’assimilateur affichait un regard gêné… sa blague n’était pas si bonne que ça, finalement.

La deuxième brochette fût essayée, et un regard plus tard, la supercherie était découverte. Il y eût enfin un sourire sur le visage de Daiki alors qu’il était exposé. La réaction vocale de la jeune femme avait été plus drôle que sa réaction physique, à la surprise du blagueur.

‘’ Seulement quand on sait que la personne qu’on accueil à un bon sens de l’humour.’’

Il répondit avec un clin d'œil complice, il savait qu’elle ne serait pas du genre à s’offusquer de si peu… surtout que le reste de la première brochette était bel et bien normal.

‘’ Je te rassure, seulement le premier morceau était piégé, le reste est comestible.’’

Il ajoute rapidement afin d’éviter que la première brochette ne soit jeté, le gaspillage serait si triste!

Et comme la foudre qui frappe, en un éclair, l’expression de Ryuko changea… si le jeune homme craignait une mauvaise nouvelle comme plus tôt, la kazejine se contentait d’annoncer qu’elle avait une confidence à lui faire… il y avait une certaine vibe dans sa réponse, une solitude… il est vrai que social comme il est, l’Iranos n’avait pas vue la femme avant, et que donc, elle ne devait pas beaucoup sortir.

‘’ Bien sur que tu peux me faire confiance, on est ami après tout. ‘’

Il se contenta de dire… il ne voulait pas non plus se survendre, mais il était évident que l’étrangère venue d’ailleurs avait quelque chose de gros sur le cœur à annoncer. Il avait connu le fait d’être seul dans un village d’étrangers, et avait bien l’intention de brisé cette situation pour la Taiyo si elle lui accordait cette place.

À la démonstration du jeune homme, Ryūko sourit. Elle ne s’attendait pas a ça.

‘’C’est vrai, je devrais me tenir tranquille, quand on joue avec l’électricité ont fini par s’électrocuté ! Il me semble que c’est bien la devise! non? haha’’

La jeune femme alla jette la boulette piégée avant de revenir s’assoir d’un bond sur le rebord de la fontaine.

‘’ N’empêche, j’adorai te présenté Netsu! Il dévoue un respect immense pour les Ninja, je crois que ça pourrait lui faire plaisir! J’aimerai lui faire une surprise qu’il va se souvenir toute sa vie! ‘’

La Taiyō dévora avec appétit ses boulettes avec appétit, tout au long du repas, elle discutait de tout et rien enjoué comme à son habitude.

Quand Daiki lui confirma qu’elle pouvait lui faire confiance, elle regarda au loin balançant la tête légèrement comme si elle pesait le pour et le contre de lui confier ce qu’elle voulait lui dire. Soudant elle tourna la tête vers le jeune homme et le fixa dans les yeux. Malgré l’expression sévère et mitiger de Ryūko, son regard semblait contenir mille et une douceur. L’ainé de la famille Taiyō pris une grande inspiration en fermant les yeux. Elle se rapprocha du genin, désormais blotti comme ça contre Daiki elle chuchota.

‘’ Je ne t’en parlerai pas ici, nous devons retournez chez moi. Je dois te montrer une preuve de ce que je vais avancer, mais ici c’est plus ou moins possible et il y a trop de gens. ‘’

Quelque larmes glissèrent sur les joues de la jeune Taiyō, et virent s’écraser sur ses cuisses. Même si elle était inquiète, Ryūko sentait que le dire a Daiki était la chose à faire.

Daiki gloussa doucement à la réponse de Ryuko, encore une fois, il ne se gênerait pas de la reprendre sur un petit détail innocent, juste histoire d’être taquin encore une fois. Il présenta son doigt et le fis balança d’un côté à l’autre, accompagné de petit claquement de langue.

‘’ Non non, on dit électriser. Électrocuter, c’est quand on est électrisé à mort. Faut pas confondre, c’est dangereux.’’

Il confirma de son petit air faussement moqueur, avant de représenter un sourire à la Taiyo, signe qu’il blaguait, bien que ce qu’il disait était vrai. M’enfin, il était tout aussi vrai que l'électricité pouvait être létale… mais il n’allait quand même pas réagir autant à une petite éclaboussure d’eau.

Le sujet du jeune frère de sa nouvelle connaissance revînt alors, et celle-ci semble insister pour qu’il le rencontre… après, ça ne dérangeait pas du tout le jeune Iranos, qui était attendrit par ce qu’elle racontait sur lui, qu’il aimait les shinobis et les histoires pour enfant… il rêverait très certainement son lui plus jeune dans les yeux de ce Netsu.

‘’ Je veux bien le rencontrer, on partagera nos histoires préférées! Il pourrait même m’en apprendre sur Kazu, très certainement!’’

L’ambiance bonne enfant s'effritent vers une étrange sensation, alors que la Kazejine semblait chercher dans ses yeux une réponse précise, que l’Iranos ignorait probablement… La jeune femme se rapprochait de lui, jusqu’au contact physique, ce qui rendit un poil mal à l’aise l’Iranos… si ça n’était pas de pressentiment qu’il avait, il aurait été flatté qu’elle soit autant entreprenante.

Les mots se glissèrent dans son oeil, et alors qu’il voyait les tâches humides se former, il mit une main sur l’épaule opposée de Ryuko, et murmura en retour.

‘’ Ryuko, si quelqu’un te veut du mal, tu dois me le dire le plus tôt possible… ‘’

De son point de vue, elle avait l’air terrifié… mais de qui? Elle était à Iwa maintenant, et il ne laisserait pas quelqu’un venir faire du mal à une innocente entre ses murs… une civile, de surcroît.