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Quand l'esprit commence doucement à s'enfuir, le corps reste collé au sol. La liberté face à la fidélité. (Ft Maa)

Kinoshita Chikara
Kinoshita Chikara

Quand l'esprit commence doucement à s'enfuir, le corps reste collé au sol. La liberté face à la fidélité. (Ft Maa) Empty
Ven 20 Oct 2017 - 2:01
Quand l'esprit commence doucement à s'enfuir, le corps reste collé au sol. La liberté face à la fidélité. (Ft Maa) 1a61b23adf34aa2ccc8b9d1d42dbc90d088aa23f_hqQuand l'esprit commence doucement à s'enfuir, le corps reste collé au sol. La liberté face à la fidélité. (Ft Maa) Tumblr_milbbocEAu1r048zgo2_r1_500



« La vie n'est pas moche, se sont les choses qui s'y passent qui le sont. »

Tu étais fatiguée. Non, tu ne l’étais pas. Ou peut-être un peu. Ton corps ne protestait pas. Il ne disait rien. Non rien du tout. Il ne faisait que suivre les ordres de ton cerveau. Qui demandait toujours plus. Plus fort. Plus vite.

Tu étais au camp d'entraînement. Pour t’entraîner. Par ennui. Par envie. Par jalousie. Tu ne savais pas vraiment. Tu étais juste là car tu devais être là. Tu avais donc pris tes griffes. Par précaution tes shurikens. On ne savait jamais ce qui pouvait nous tomber dessus. Tes si belles griffes. Qui sont bien coupante. Comme elles doivent l’être. Puis tu avais monter. Plus haut, plus loin. Encore plus. Toujours plus.

Et tu étais arrivé au camp. On s'entraînait sans relâche. Face à des mannequins de bois. Face à des mannequins plus adaptés pour les armes. Tu te tournas vers eux. Tes adversaires. Tes ennemis. Ton combat. Tu ne prêtais plus attention à ce qu’il se passait autour de toi. Ton attention, tout ton corps, était attiré par cet exercice. Ce besoin vital de te défouler. De détruire. De corrompre. De te battre. Et de vaincre.

Alors tu te mis en position. A quatre pattes. Pour avoir plus d’appui. Et tu bondis. Tes mains tout du moins. Un coup à droite. Un coup à gauche. Tourne. Coup de pied de haut en bas. En position. L’inverse. Un autre enchaînement. Un nouveau.

Les gouttes de transpiration volait autour de toi. Tes cheveux flottaient. Suivant tes mouvements, tous tes mouvements. Aucun n’était superflu. Ta garde laissait à désirer. Tu n’étais pas parfaite. Tu ne l’es pas. Tu es humaine.

« Le masque est si charmant que j'ai peur du visage. »

Mais ton coeur, lui, ne l’acceptait pas. Il ne voulait pas d’un échec. Il ne souhaitait que la perfection. Alors tu continuais. Toujours plus vite. Toujours plus fort. Ne t’arrêtant qu’un court instant. Pour vérifier l’heure. Malgré ce que tu pensais, à peine une heure avait coulée. Alors tu te permis de faire une petite pause. Tu te dirigeas vers une montagne. Espérant voir à travers. Mais tu ne voyais que l’horizon. Du bleu. Le ciel ou bien la mer ? Tu ne savais pas. Tu t’accroupis. Tu ne pouvais te permettre de t'asseoir. Car on ne sait jamais ce qu’il peut se passer.

Tu te retournas vers le camp d'entraînement. Tu regardas les autres personnes s’entraînaient. Et tu laissas ton esprit flottait hors de ton corps. Hors du temps. Et de l’espace. Tu lui autorisas ce bref moment de répit. Tu pris néanmoins la bride. Tu l’enserras autour de ton corps. Et tu pût te reposer. Un peu.

Ton esprit se laissait flotter sans réel but. Il ne demandait rien. Il glissa dans les méandres de ton esprit. Dans tes souvenirs. Ceux que tu ne voulais pas revivre. Ceux que tu ne voulais pas réellement revoir. Mais il n’avait pas de conscience. Pas de pitié. Alors, telle la spectatrice que tu étais, tu regardas. D’un œil nouveau. D’un œil critique. D’un œil. Oui, d’un seul œil.

Pourquoi la vie est-elle si compliquée ? Pourquoi doit-on toujours se méfier des uns et des autres ? Pourquoi ne pas laisser la méfiance de côté ?

Car la guerre demeure présente aux dessus des têtes. Prête à frapper. Elle n’as pas de pitié. N’as pas de conscience. Elle est dirigé vers les uns. Vers les autres. Toujours plus loin. Faisant toujours plus de ravages. Voilà pourquoi vous vous entraîniez. Pour éviter cela.

Ton regard était terne. Ton esprit établissait des stratégies. Sauvages. Inhumaine. Ton corps demeurait sur le qui-vive. Il n’oublie pas les ordres donné par le cerveau. Il est discipliné. Fiable.

Que personne ne vienne déranger le repos d’un guerrier. Sous peine de devoir des comptes.
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Xiăo Maa
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Ven 20 Oct 2017 - 11:17


   
   
   




Salut Boté


« Quand la virilité est levée, c'est une bonne journée ! »



Aujourd'hui était un bonjour, comment le deviner ? Le ciel est bleu, le soleil est brillant, le crâne luit et la virilité est levée. Voilà les critères d'une bonne journée qui commence. Descendant du bon pied de son lieu de méditation profonde le jeune homme partit picorer quelques graines que seul des animaux devraient normalement manger. Mais voilà que ce petit coq s'amusait, décortiquant ces espèces de graines de volière comme le bec pointu d'un poulet. Mais bon c'était sa culture, si certains sont habitués à manger certaines choses qui ont l'air pas réellement appétissante comme du pâté ou autre frivolité, pourquoi pas des graines ?

Enfin bref ne parlons pas de manière autant culinaire. Éveillé, toilette effectuée, repas digéré voilà que le jeune homme était parti à nouveau se balader, comme à son habitude, dans le paisible village d'Iwa. Si les gens d'ici étaient bien bizarre c'était malheureusement ce qui plaisait au jeune moine qui voyait tout autour de lui comme une sorte d'attraction gigantesque dont il était le seul assez innocent pour être un spectateur.

Cependant nous ne pouvons pas toujours être spectateur, du moins c'est ce qu'il n'allait pas tarder à apercevoir. C'est en voyant cette jeune femmes aux formes graciles qui s'entraînait là comme un félin sur ces pauvres mannequin. Il ne posait que son regard sur cette demoiselle cependant il était un homme, un jeune homme d'ailleurs, proche de ses 18 ans le garçon était en pleine puberté, il était donc normal de reluquer avec ardeur les formes postérieurs de cette jeune femme et de s'imaginer ce qu'il se serait passé si ces quelques tissus qui les couvraient avaient été enlevé.... C'est naturel et non pas du voyeurisme ou de la perversion...

Mais quand vous posez des yeux aussi lubriq...curieux sur une personne tout le monde sait qui'il est bien trop beau de ne pas se faire voir. Cependant là est tout le goût, l'adrénaline de cet acte... Le passage de spectateur à acteur. Pourtant ce n'était pas toujours dans les meilleures conditions. Là la femme était partie se reposer dans l'herbe, son visage luisait de sueur et elle respirait assez fort pour être entendue jusqu'ici. OULALA ! Même le crâne du jeune chauve devenait rouge.. à cause du soleil bien sûr et non pas de quelconque idée perverse qu'il aurait pu avoir.

C'est dans ces moments de repos où le guerrier ferme l'oeil que l'adversaire est plus redoutable. Observant une faiblesse chez l'ennemi qui ne bénéficiait plus de sa vue le jeune bonze se décida après un grand combat intérieur entre le bien et le mal d'aller l'observer de plus près. Evidemment simplement par curiosité intellectuelle et expérimentale. Il s'en alla donc proche de cette femme endormie,... Cependant si le guerrier dormait les yeux fermés ses oreilles étaient toujours plus aiguisés que sa lame. Le moine fit donc attention à ne pas faire de bruit.

Malheureusement, c'est à ce moment là pour notre con de moine qu'il devint acteur, marchant sur la pointe des pieds il suffit qu'il s'approche un peu de la femme endormit, beaucoup trop proche pour être simplement un passant, qu'il laissa son pied malencontreusement craqueler d'un petit *clac* une branche malencontreusement tombée par ici. Son visage s'effondra en entendant ce bruit s'imaginant déjà devoir expliquer pourquoi il était si près d'une femme endormit... Mais la vraie question actuellement est : est-ce que ce guerrier s'éveillera de son sommeil pour terrasser l'ennemi ? Ou laissera-t-il cet homme et ses mains lubriques l'emporter sur son corps de femme ?

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Kinoshita Chikara
Kinoshita Chikara

Quand l'esprit commence doucement à s'enfuir, le corps reste collé au sol. La liberté face à la fidélité. (Ft Maa) Empty
Ven 27 Oct 2017 - 19:22
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« Refuser le combat, c'est s'avouer vaincu. »

Tu entonnais une chanson. Dans ta tête. Ta conscience le fit pour toi. Au rythme des souvenirs qui venaient. Et repartait. Et tu n'étais qu'une spectatrice. Ne pouvant rien faire. Ne faire que subir. Encore. Et encore. Encore. Et encore. Tu n'en pouvais plus. Faites que cela s'arrête. Faites que ton esprit s'arrête. Faites qu'on te délivre.

Tes oreilles aux aguets t’avertirent. Une alarme sonna. Ta conscience, ton esprit, revenait en toi. Son expédition se termina trop vite. Très vite. Cela t’allait. Beaucoup.

Tu ne bougeas pas. Ta respiration fatiguée ne changeant pas. Pour ne pas avertir l'intrus. Le vent ne soufflait pas. Le vent montrant les déplacements de l'inconnu, si. Tu le sentais. Jusqu'au tréfonds de ton âme. Tu repris une chanson. Un, deux. Trois & quatre. Cinq, six, sept. Huit.

« L'amour est un combat perdu d'avance. »

Tu tournas sur toi-même, posant tes mains sur le sol tandis que ta jambe droite partait en direction de l'inconnu. En tout cas, tu pensais. Tu ne savais pas si tu l'avais touché. Tu ouvris tes yeux de félin. Tu guettas la personne qui t'avait dérangé. Tu le fixas. Un crâne luisant. De mauvais goûts. Un adolescent. À peine sortie de la puberté. Un gosse. Attiré par le parfum des phéromones. Tu haussas tes sourcils. Ton coup de pied et cela, devraient le dissuader de continuer. De s'approcher. Ou d'essayer de parler. Tu repositionnas ton pied, te relevant. Avec une certaine vitesse.

Pour montrer ta puissance. Ou simplement pour l'impressionner. Tu ne savais pas. Tu ne voulais pas savoir.

Tu calmas ta respiration. Un, deux. Trois & quatre. Cinq, six, sept. Huit. Elle reprenait le rythme normal. La fatigue était présente. Mais en arrière-plan. Il ne fallait montrer aucune faiblesse. Au risque qu'elles soient utilisées.

Un, deux. Trois & quatre. Cinq, six, sept. Huit. Le rideau se baisse.



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