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Onibi no Panagolan [feat Daishi Ken]

Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Mer 19 Jan 2022 - 22:08

Onibi no Panagolan


@Daishi Ken

Depuis la mort de Mitsai, un personnage récurrent apparaît toutes les nuitées lors des rêves de celle-ci. Comme à l'époque où la demoiselle faisait des terreurs nocturnes avant qu'elle commence à jouer avec cette amie imaginaire du nom de Namiko, celle-là même qui s'est renommée en Mitsai et qui au final s'est avérée être la soeur jumelle de Minako) ; un personnage sombre qu'elle n'arrive pas à discerner dont la voix masculine, rauque et glaciale fait écho dans son crâne. Cette voix mature est très régulièrement suivie d'écho étrange, comme si des cris et des pleurs étaient étouffés au loin, comme si l'on entend ce qu'il se passe en Enfer. Très régulièrement, cette voix l'appelle, lui disant « Laisse-moi… Laisse-moi prévenir les enfants de Izanagi qu'ils sont bercés dans son illusion et que la seule réalité est la Mort… »

Cette fois-ci, Minako se voyait au milieu d'une forêt avec son bien-aimé. Ils s'enlacèrent quand un gargouilli se fit entendre. Ce n'était l'estomac d'aucun des deux tourtereaux qui criait famine. Des sons flasques, humides et ragoûtant se font entendre autour d'eux, lorsque des tentacules visqueuses enroulent la gorge de la demoiselle. Étranglée, la demoiselle se rend compte que l'attaque provient d'intestins. Les poumons en fonctionnement de la créature qui l'attaque se font aisément entendre et une voix rauque, faiblement audible au premier abord, semble se rapprocher.

« ...soe…...r…. Vie…. Je…. P…. a… mou…r… tu m'as oublié, moi, Mitsai… Namiko, ta sœur… JE NE SUIS PAS MORTE, REGARDE-MOI ! ET LAISSE-MOI TE POSSÉDER ! L'ILLUSION DE IZANAGI DOIT S'ARRÊTER POUR LA RÉALITÉ DE IZANAMI ! MA RÉALITÉ… Car la Reine de la Mort… C'EST MOI ! »

C'est alors que la gueule d'une hideuse femme aux cheveux noirs s'ouvrit et croqua dans la tête de Minako, et commença à la déguster lentement, sous les yeux de son petit-ami sous le choc. Alors, quand le repas fut terminé, il ne resta plus aucune trace du visage de la jeune femme ; ainsi le corps est prêt pour ce nouvel hôte qu'est le panagolan.


Minako sursaute et s'assied d'un coup, le cœur battant à toute allure, ayant un coup de chaud. Elle ne vit rien, car la chambre est plongée dans le noir. Tapotant sur le futon, elle cherche son bien-aimé afin de se blottir contre lui, afin d'essayer d'apaiser son propre esprit. La demoiselle en détresse, car pour la première fois cette voix insinue le fait que Mitsai, sa défunte sœur, ne l'est pas, et que Minako essaye juste de l'oublier. Ce qui est faux et elle en est convaincue : les cordes vocales et les poumons de sa sœur parasite ont été retirés et c'est ainsi que Mitsai lui a été arraché pour sa propre survie. Ayant besoin d'être rassurée, la demoiselle sent la main de son petit ami lui caresser les cheveux. Un sourire se dessine sur son visage. C'est ainsi qu'une nouvelle fois, la nuitée se finit par du réconfort pour notre protagoniste, réussissant à s'endormir de nouveau dans le calme.


Le matin. Un petit déjeuner succinct et tranquille près de Ken, suivi de la toilette et du ménage. C'est alors que Minako commence à parler de son rêve étrange et horrible.

« Oh dis, tu imagines si tu place un Genjutsu d'une femme panagolan sur une cible et qu'en même temps je crache un crâne humain attaché à une colonne vertébrale qui va enrouler la même cible pour la brûler ? Oui bon, je sais que c'est écoeurant dit comme ça, pas super jouissif, mais que veux-tu... On bourrine l'ennemi où on ne bourrine pas. »


Dernière édition par Zaiki Minako le Mar 15 Fév 2022 - 11:48, édité 2 fois
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Sam 5 Fév 2022 - 21:37
Ken depuis quelques jours avait du mal a s’endormir. Il avait l’impression de se remémorer un évènement. Non, pas vraiment, plus, une sensation. Tout son corps en feu. Comme des milliers d’aiguilles. A une exception. Les aiguilles n’entraient pas dans son corps, mais en sortaient. Un amas d’aiguilles noir de jais sortant de tout son corps . Le souci était que cette impression de sensation de vécu, concerne un moment de sa vie dont il etait convaincu de n’avoir jamais vécu. Une fois de plus, il se réveilla tard. Couvert de sueur. Ses bras tremblaient de douleur. Avec une forte appréhension, il regarda ses membres. Pour une raison qu’il ne comprenait pas, il s’attendait à voir ses bras tout noir de poils, mais, il n’y avait rien. Le pauvre homme se leva d’un bon pour faire ses ablutions.. Comme pour chasser un démon de son corps. Elles ne purent chasser les cernes sous ses yeux, comme i ses démons remportaient une guerre. Sa femme semblait tout autant affectée que lui des évènements passé. Ken au plus profond de son âme sentait une scission en lui. Il ne comprenait pas ce qu’il vivait, mais il était convaincu d’être partagé en deux.

Voir Minako ainsi drapée lui donna le sourire. Un sourire timide, qui en s’approchant davantage d’elle, devient un sourire franc, puis passionné. Il ria de sa propre bêtise quand il réalisa l’énormité de ses pensées, quand, en la voyant presque dévêtue, il en était réduit à jalouser ce café qui coulait dans ça gorge. Il secoua ça tête de gauche à droite. Elle en rirait probablement si elle n’affichait pas un air aussi étrange. Ken se demanda pourquoi avait-elle un air si grave.

Il réalisa que cette nuit, elle l’avait réveillé en lui faisant pâton pâton dans le noir, comme une chatte qui se faisait un coin pour se blottir. Il se souvient alors de s’être retourné afin de lui proposer l’un de ses bras comme oreiller. Son autre bras reposait ses sa hanche. Elle avait les fesses glaciale. Il avait eu alors une érection à cause du chaud de la couverture et de la peau si fraîche. Il lui avait proposé de s’en occupé mais il comprit bien vite qu’elle n’en avait pas envie, elle avait besoin de réconforter. Il se la mise derrière l’oreille pour lui ouvrir son cœur. L’homme alors plaqua sa main sur ses seins de sa reine afin de caresser son coeur. Il en profita pour secouer son visage de gauche à droite pour coller ses lèvres dans la nuque de Minako. Il l’écrasa pour ainsi dire contre son torse, tel un doudou. Il se glissa au plus proche de son oreille pour la bercer au son du Kuzuri. Tandis que sa main quitta les seins de Minako, rassuré. Il lui caressa les cheveux pour l’aider a dormir.

— Laaaaa mon amour, je t’appartiens à jamais, Je ne t’abandonnerais jamais… shhhht confie-moi tes démons, tes ennemis, je les détruirais un à un !

Parfois. Dans le noir, il tremblait au sujet de cette drôle de sensation de douleur extrême. Il veilla presque toute la nuit pour protéger les songes de Minako, exécutant un jutsu ou chantant Kuzuri pour la rendormir au besoin. Il finit par sombrer. Il s’endormit bien plus tard. Caressant dans l'ombre les cheveux de sa femme en se surprenant lui même a imaginer prendre plaisir à mettre fin a des chiens en chaleur rodant autour d'elle. Il était si fatigué qu’il ne savait plus si ils s’étaient réveillé ensemble ou si Minako était réveillée avant lui. Toute fois, il se sentait d’humeur étrange, il n’avait plus envie d’elle. Il comprit qu’ils devaient parler des évènements récent. Il ne lui avait encore rien dit au sujet de ses pics noirs et vraisemblablement, elle ne ce confia pas plus à lui.

Il n’osa pas aborder le sujet pour autant. Il n’avait pas envie de passer pour un faible a ses yeux, de plus, elle semblait pas moins dévastée que lui. C’est pourquoi, il respecta son envie de silence, il se contenta de boire un peu de thé vert. Il s’occupa de Maorou, puis voyant Minako un peu agacée qu’il s’offrait un moment de repos bien trop long, il s’excusa et alla défraîchir un peu le terrain vague laissé à l’abandon déjà du temps de Grisou. Sa femme vint le cherché pour qu’il fasse une pause. Il accepta la tasse de thé. Il lui montra le jardin qui prenait difficilement forme. Minako ayant autre chose en tête ne répondit rien au sujet du jardin, ce qui frustra un peu Ken. Elle avait cette mauvaise manie d’éluder parfois les sujets de conversation de Ken pour placer les siens.

Ken la regarda légèrement distrait en prenant une gorgée de thé. Elle lui balanca de but en blanc un sujet pour le moins bizzare. Une panagolan, soit un visage féminin relui a sa colonne vertebrale et ses viscères qui volait pour mordre sa proie avant de regagner au petit matin son corps décapité. Pour seule réponse qu’elle reçut, etait un millier de petite goutellettes de thé qu’elle reçus sur le visage et le kimono.

— KOF KOF Dit Ken en se noyant dans son gaudet de thé. En fixant Minako avec un regard inquiêt de sa santé mentale.

— Pardon mon coeur, tu ma surpris…. Ken sans hésité, lui épongea le visage, le corps, le vêtement. Il la prit dans ses bras placant sa tete sur ses seins comme un enfant qui avait peur d’être grondé.

— Vraiment excuse-moi chérie… Ne m’en veut pas ! Tu m’as juste surpris… Ken la regardait à présent inquiet.

— Pourquoi tu proposes des trucs comme ça ? Pourquoi si soudainement ? Tu me fais peur parfois. Cela dit….

Ken ne fini pas sa phrase. Les yeux écarquillé se demandant si Minako ne virait pas folle. Ils etaient ensemble et elle parlait d’une nouvelle techniique de mort et de destruction. Cela dit il se demanda aprés tout, si elle n’avait pas raison. Quasiement une semaine sans faire le moindre jutsu, il s’etait relaché. Il ferma les yeux et trouva la pire des femmes possible dans son esprit. Une femme qui pue le tabac, agée, avec une verrue sur la figure, les chicots démolis par la pourriture des herbes à pipes, de la vieillesse et d’un gros manque d’hygiene bucco-dentaire. Son esprit ne mit pas longtemps.

Il fixa Minako, réalisa un genjutsu. Son propre visage eu comme une boursoufflure.

— MINAKO AIDE MOI !!! Ken hurla de douleur.

Son crane enfla de plus en plus et se décapita dans une gerbe de sang aspergeant le visage de Minako avec un POP ridicule, tel un bouchon de champagne. Quand le sang se dissipa, elle pouvait voir la plus laide femme que Ken ai jamais vue. La grand-mère de Minako, Rukina la sorcière. Elle sorti du corps de Ken et se dirigea vers elle en imitant un cri de Banshee.

Ken exécuta une rupture pour savoir ce que pensait sa femme de son attaque.

— Comme ca ? HAHAHAHA ! Pardon mon coeur… J’espère ne pas t’avoir fait trop peur.

Il n’avait pas trop l’envie de rire, mais il aurait aimé voir sa femme sourire un peu.

— Tu penses qu’on ne devrait pas la déssiner avant ? Peut être avec l’aide de Kaori ou une autre Suzuri…
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Zaiki Minako
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Mer 9 Fév 2022 - 15:06
Minako est contente que peu à peu, le jardin arrive à prendre forme, mais elle ne veut pas que Ken se tue à la tâche, c’est pourquoi elle voulait qu’il prenne une pause, ainsi elle pourrait en profiter pour parler de son idée de technique combinée. Elle rit en voyant sa réaction. Il est vrai qu’elle a l’habitude de parler de ses idées sans aucune pudeur. Elle peut paraitre folle mais là n’est pas son idée…

« Le but n’est pas de te faire peur mais surprendre nos ennemis qui vont nous voir que comme un couple de musiciens. En gros on montre une image de personne toute gentille et inoffensive, et s’ils mettent en péril la sécurité du village on les puni comme il se doit, un p’tit revers de médaille et biiiim, ce seront eux les cafards. »

Si seulement j’arrivais à réaliser mes illusions… Mais depuis le décès de ma jumelle parasite, j’ai perdu cette faculté. Je dois donc me reposer sur les autres, je dois me reposer sur Ken. Mon imagination freinée, il n’acceptera jamais…


C’est alors que Ken l’appelle au secours, alors que sa tête explosa, les effluves de sang faisant comme un feu d’artifice, faisant sortir le visage d’une vieille mégère accrochée à ses viscères et sa colonne vertébrale, gueulant comme une banshee. Comme elle lorsqu’une montée d’adrénaline est trop forte. Puis tout redevient comme au début de la conversation. L’illusion était magnifique, mais peut-être faut-il s’inspirer d’une patte d’artiste…

« J’aime bien, le visage de cette mégère était bien placé. Mais ouais t’as raison, si on arrive à avoir une base commune on pourra retravailler son design, ainsi mon panagolan katon bien calé sur ton illusion… L’ennemi n’y verrait que du feu... »

Minako pense tout d’abord à Kaori, parce que son style de dessin correspond aux mythes, aux onis et autres yokai. Pourquoi ne pas lui demander de dessiner une version du panagolan que le duo peut retranscrire dans une technique combinée parfaite.

« Je ne sais pas si elle est disponible pour nous aider, dans tous les cas j’espère que tu ne veux pas faire cette illusion pour me faire plaisir, parce que ça reste de l’art et ça devrait venir de ton cœur. »

Minako le pense, l’art sort des tripes, l’art vient des sentiments et de la passion. Sans ça, l’œuvre est fade, sans aucune saveur. C’est pourquoi elle réfléchit au meilleur moyen pour qu’ils travaillent à deux leur première technique combinée. « Je me demande où la chercher, je ne pense pas que déranger au domaine Suzuri soit une bonne idée… Elle doit être avec Ryuku certainement… Mais où… »


Dernière édition par Zaiki Minako le Mer 27 Avr 2022 - 22:53, édité 1 fois
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Daishi Ken
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Dim 20 Mar 2022 - 13:45
Minako lui expliquait qu’elle ne voulais pas d’un pennagolan effrayant, mais surprenant. Pourtant, ne l’avait-il pas surpris? Ken comprit alors qu’elle ne parlait pas de la technique mais d’eux même, leurs façon d’être sur le champ de bataille. Paraître fragile pour être sous estimé. Il prit le temps de la réflexion. Ken, décida de mettre cette idée en pratique pour le Pennagolan.

— Je comprend… oui j’aime cette idée, tu sais, je l’applique depuis tout petit, sauf que j’ai toujours été faible en réalité. Du coup je parais frèle mais les gens ne se trompent pas. Je sais que tu n’aimes pas que je parle et pense comme ça. Je vais redoubler d’effort ! mais en attendant, je te propose de réaliser cette idée en genjutsu, la femme qui gerbe du sang. Ken prit le temps de la réflexion ou plutôt, tenta de se calmer. Minako faisant encore de l’individualisme.

— Cela dit, ce n'est pas TON pennagolan, c’est le NOTRE. C’est pas MON illusion, c’est la NOTRE. T'habitueras-tu un jour à l'idée que je t’appartiens et que tu es miennes? Tu n’es plus seule. Dit plutôt mon coté Katon de notre technique haha…

Ken regretta d’avoir appuyé avec tant de fermeté sur le fait qu’ils font tout à deux désormais. Il avait juste peur que Minako ne se soit toujours pas totalement faite à l'idée qu’ils sont ensemble même par delà la mort.

Minako ne semblait pas lui en tenir rigueur, peut-être avait-elle mis ça sur le dos du Yasei? Il est vrai que Ken avait des crises de plus en plus fréquentes. Cependant, il tenait bon, jusqu'à maintenant, le monstre retournait toujours dans sa tanière. Que se passerait-il si un jour, Ken était fait prisonnier dans la bête, obligé de vivre dans cette caverne de haine? Jusque là, il tenait bon. Il inspira, et exalta une dizaine de fois. Il s’excusa auprès de Minako. Comme ça devait être dur à vivre pour elle. Un homme beuglant pour un oui ou un non, sans raison apparente, lui qui était jadis tellement dans la joie de vivre. Quand avait-il commencé à perdre pied? Comment faisait-elle pour surmonter tout ça? Pour le moment, il n’avait jamais porté la main sur elle. Il se suiciderait si ça arrivait. C'était la raison pour laquelle il repoussa toujours ses demandes de se battre ensemble pour s'entraîner. Il avait peur d’aller plus loin, trop loin.

Ken n’écouta pas sa femme sur le moment mais quand elle parla de faire venir quelqu’un et qu’elle espéra que Ken ne faisait pas se jutsu pour lui faire plaisir, par la beauté de l’art. Elle le connaissait trop bien, il s'était en effet focalisé sur ce qu’elle, elle avait réclamé de lui. C'est-à-dire, la forme du monstre. Il y avait tellement plus important. Dans le fond qu’est ce qu’on avait à faire que le Pennagolan ressemblait à Hideko, à Grisou, ou Juko? Le plus important était la volonté insufflée dans un genjutsu, pas sa forme. L’esprit formera forcément la forme adéquate en adéquation des ressentis par le cœur.


— Touché haha. Je voulais te faire plaisir en partant du physique. Je pense qu’on devrait faire une pause, le temps d’écrire une lettre à Kaori et envoyer Newfé. Comme tu souhaites que j’écoute mon coeur, tu penses bien, je vais devoir le noircir pour paraître plus cruelle, plus dévastateur.

— Commencer par le physique n’est pas la bonne solution pour un genjutsu. C’est comme…. hummmm. Tiens, c’est comme vouloir faire un Inazuma no Kumo et chercher le nom pour ta pâtisserie avant de l’avoir goutter…. Comme dirait Oncle Yuan hahaha.

— Je veux dire, avant de trouver l’emballage parfait pour notre technique…. As- tu une idée pour le contenu? L’effet que tu souhaites qu’il provoque? Pour ma part, j’ai pensé a l’horreur, la peur, la frayeur. Il doit marqué les esprits. Voir pourquoi pas, créer une nouvelle phobie… dommage que je n’ai pas la phobie du f…. HOOO et si je mettais à l'intérieur ma phobie aquatique? Bonne idée de faire venir Kaori. Je pense qu’elle pourrait tester notre monstre tu penses? Elle est assez fragile…. Je devrais lui montrer comment on Kai. A toi aussi peut-être? Enfin une autre fois, pour le moment, dis moi, qu’aimerais tu inspirer à nos ennemis a travers le Pennagolan?

— Tu préfères qu’on sort sinon pour trouver Kaori ? Comme tu veux mon coeur.


Ken pensait sans surprise, au quatuor jashin.

— Et si on partait sur quatre têtes? A non… un Pennagollan n’a qu’une tête dommage… j'aurais bien vu un genjutsu avec trois fausses tête, et une contenant ton crâne de feu… Que penses-tu de tout ça?
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Zaiki Minako
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Jeu 24 Mar 2022 - 16:57
« Hé bien, pour te répondre tout d’abord, oui, c’est notre panagolan, notre création à tous les deux, notre bébé. Ensuite… Instiller une profonde peur en la personne aveuglée par la vision d’une telle créature , et, lorsqu’elle voudra Kai, ne pourra esquiver ma technique qui reprendra exactement la forme de ton illusion, la brûlant de manière relativement sérieuse. Et enfin… »

Minako prend un petit temps pour réfléchir à l’idée du quatuor Jashin et la possibilité d’en faire trois ou quatre tête sur un même corps. Un sourire relativement machiavélique se lit sur le visage de l’artiste en herbe avant de répondre.

« Hé bien, justement pourquoi ne pas s’inspirer du Panagolan pour en faire une sorte d’hydre à quatre tête dont les visages de ton illusion reprend le quatuor Jashin ? Ça je dois l’avouer, pue la classe, bien plus que si on recopie bêtement une légende sans l’ajuster à notre sauce. Donc on va envoyer de ce pas une lettre à Kaori en attendant qu’on réfléchisse à comment procéder avant de s’attaquer au design de cette création car si selon le précepte du Kōgen, il n’y a pas d’ignorance, mais la connaissance, alors ici si on n’essaie pas de créer quelque chose dehors on ne peut pas savoir comment on va diriger notre technique. L’ignorance sur la finalité de l’œuvre peut nous offrir d’excellentes surprises. »

C’est ainsi qu’elle prend le nécessaire pour écrire ces quelques mots à sa jeune amie du clan Suzuri, aux airs fragiles qui cache une artiste imaginative et puissante.

Citation :
Chère Kaori,
Je voudrai savoir si tu es disponible pour nous aider à réaliser une technique combinant l’art illusoire de l’onkyoton de Ken et à mon art saltimbanque du katon. Pour le contenu on t’en parlera mieux de vive voix car nous sommes en pleine discussion à ce sujet.
Je serai ravie d’avoir ton aide d’artiste,
Zaiki Minako.

Après avoir signé cette lettre, la demoiselle envoie sa buse, Nefiwe, en direction de l’adresse de son amie, celle qui lui a fait revoir son objectif de réaliser des bêtises dans les quartiers des clans majeurs de Kumo, celle qui lui a empêché, sans le vouloir, de causer d’innombrables dégâts matériels dans ces clans en faisant croire que c’est la faute à l’autre qui aurait conduit à une guerre civile.

« Par ailleurs, j’y pense, si elle n’a aucun moyen de contrer de Genjutsu, tu devrai le lui enseigner, ça lui sera très certainement utile. Je voulais aussi te demander de me l’enseigner, jusqu’ici je n’ai vu personne d’autre que toi réussir à utiliser cette Rupture de sorte à l’utiliser sur tes alliés, ça nous sera utile pour de futurs combats en équipe. Peut-être l’un de ces jours quand on sera un peu plus posé. Bon du coup, on va faire comment pour commencer à réellement voir pour le contenu de cette illusion, le fait que tu y transpose ta peur la plus profonde est alléchante pour la faire subiront à nos ennemis. »


Dernière édition par Zaiki Minako le Mer 27 Avr 2022 - 22:55, édité 1 fois
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Daishi Ken
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Mar 26 Avr 2022 - 20:57
— Oui tu as raison, je suis contant que mon idée te plaise mais tu ne perdras pas en puissance si on fait un aspect trop complexe? Je me demande si une apparence trop précise ne puiserait pas trop dans le chakra ou affaiblirait la technique. Je pense qu’il faudra plusieurs essais pour affiné la puissance et le style. Qu’en dit tu ? Sinon, je me demandais… Peut être devrions nous aussi réfléchir aux mudras à exécuté… Tu sais quoi ? Tu devrais feinter et caché le mudra Katon avec se Genjutsu. Il ne sert qu’a faire croire que les chaussettes salles sentent les crêpes…

Ken effectue un mudra au ralenti montrant des signes a sa femme.

- Etrangement, il a une certaine similarité avec les mudras que je te vois faire pour Katon. avec juste deux buffles au lieu d’un et un cochon au lieu d’un singe.

Il croit avoir vue sa femme camoufflée un rire.

— Oui bennnn tu m’excuseras, je ne suis pas toujours inspiré dans mes recherches de genjutsu….

Fixant sa femme, il explose de rire.

— Fiouuuuu, tu me tueras un jour !!!! Dit-il en se frottant les yeux.

— Plus serieusement, nos adversaires vont croire à une simple technique de Genjutsu, tu me diras, ceux qui nous connaissent, savent que tu ne genjute pas. Mais bon… Je pense qu’il faudrait remplacer le ciblage par une onde Genjutsu Katon tu en dis quoi ? Ainsi pas trop la peine de viser il suffit de faire plus ou moins mouche. Ou tu préfères assurer le toucher en pouvant traquer notre cible ?

— En tout cas, je valide cette idée d’hydre a quatre tête ! Nous verrons bien, il nous faudra surement cinq ou six essais.


Pendant que Minako écrit la lettre à Kaori, Ken lui, médite davantage sur cette idée de technique en couple. Il y avait tellement de paramètre pour transformer le Panagolan en technique réellement fiable. La puissance, la vélocité, le mode de propagation mais surtout, essentiel, comment tromper l’ennemi, faire passé le genjutsu pour une technique normal, et une technique normal pour du genjutsu. Ils devaient aller bien plus loin encore. Il réfléchi longement, Minako a eu largement le temps d’écrire un courrier a Kaori, c’est seulement à son retour que Ken eu une idée.


— J’ai réfléchi… Il faudrait aussi que l’on maîtrise notre part de cette technique mais séparement, sans faire appelle a notre technique combinée, tu en penses quoi ? Nous pourrions encore plus les feinter? Imagine que je fasse semblant de créer un genjutsu sur ta technique alors qu’en vrai, je ne fais rien ou alors, une version Futon pour augmenter ta force de frappe ? Si on mélange cinq ou six copies différentes de cette technique. L’ennemi ne saura jamais qu’elle technique fait quoi.

— Pour ce qui est de vous apprendre le kai… Ce serait une brillante idée, bien qu’il faille limiter les gens qui apprennent à Kai. Oui, plus de gens sauront kai, plus le genjutsu est en danger. Nous devrions nous limiter à nos amis proches. Pour ton idée d'insuffler à nos ennemis mes peurs, mes phobies… ou itu as raison, en m’inspirant de ce qui m’est malheureusement naturel, mes genjutsus gagneront en puissance plus tôt que d’imaginer ce que ça fait d'être écrasée par exemple. Bon, en attendant Kaori, que dirais tu d’une partie de GO ?

— CELLE, qui perd, fait la vaisselle hahahaha !
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Zaiki Minako
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Mer 27 Avr 2022 - 22:59
« On a nos techniques personnelles qui pourront largement faire le travail de feinte, par ailleurs j'ai une technique qui fonctionne de la même manière que Sōgenbi en développement, deux dragons de feu relativement grands que je pourrai téléguider à ma guise, ça pourrait largement faire guise de feinte sachant que je dois maintenir les mudras. Normalement, si j'y arrive, ils vont faire autant de dégâts que mon crâne. » dit-elle, réfléchissant par la suite avant de reprendre.

« Donc du coup pour l'aspect visuel ça ne fera pas perdre de puissance, d'après mes nombreux test il s'agit de la nature de la technique qui fait diminuer la puissance des flammes, si elle occupe une zone, si elle est très rapide ou si comme Sōgenbi la technique est téléguidée. Je suppose donc que ça doit être la même chose avec les autres affinités. Pour les mudras… vu que t'es illusions sont majoritairement créées à partir de ton onkyoton, peut-être que tu devrai essayer à partir du futon pour changer, disons que ça augmenterait les chances de feintes. J'imagine une version ninjutsu dans lequel tu ferai un tourbillon banal qui repousse les personnes et les projectiles, et une autre version en illusion qui fait justement apparaître l'hydre à quatre têtes en même temps que mon katon… »

Minako accepte par la suite le duel au go. Cela dit, il est indéniable qu'elle est moins stratège que son comparse. Inexpérimentée, pas assez intelligente, elle perd ainsi de manière totalement sotte. C'est elle qui est donc corvée de vaisselle, mais elle le prend très bien. Elle n'est pas mauvaise joueuse pour le plaisir de ses camarades de jeu. Alors que leur duel venait de se terminer, une personne toque à la porte du dojo.

Minako salue chaleureusement sa jeune amie et la fait entrer dans la salle à vivre, lui expliquant le concept de base de la technique : « Il s'agit là d'une illusion qui fait apparaître une hydre à quatre têtes reliées entre elles par un cœur, des poumons et un système digestif qui va s'enrouler et étouffer la cible, cachant en réalité une forme similaire via une technique Katon qui brûlera une petite zone autour de la cible. Tu penses pouvoir imaginer un visuel à partir du visage du quatuor Jashin ? »

Elle savait que Kaori serait très certainement gênée par la situation, ce à quoi elle tente de la rassurer en lui disant qu'en aucun cas ils ne vouent un culte à leur personne. Il s'agirait plutôt de transposer une peur inouïe à une personne vis-à-vis de ces monstruosités, une peur qui vient du fin fond des tripes de Ken.

«Nous pouvons très bien aller sur le terrain pour essayer tout ça y compris tes dessins vivants. »
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Mar 10 Mai 2022 - 23:52
Ecoute écoute sa femme avant la partie de go.

— Je ne pense pas que nos techniques personnelles actuel pourraient aider à feinter tu sais? à distance, je n’ai que les aiguilles, technique qui se veut presque imperceptible et dénué totalement de visuel. Hors là on parle d’une technique qui allie efficacité avec beauté. Tu as certes tes deux dragons mais je suis ton ennemi, je vois bien tes dragons et donc, que c’est pas le panagolan du coup si biensur je connais tes techniques, ta feinte meurt avant même d’avoir eu le temps d’essayer. Le soucis n’est pas le nombre de dégât mais de faire une technique la plus copier possible afin que le visuel trompe.

— Pour ce qui est de l’aspect, comme tu le sais, je ne fais jamais d’aspect visuel sur mes techniques futon j’aime la simplicité et l’efficacité. Du coup, j’emet quand même un doute à se sujet mais c’est toi l’expert artistique des techniques ninjutsu donc je veux bien te croire. Je…. J’avoue que j’aime n’avoir aucun aspect sur mes techniques futon car je part du principe que le vent n’a pas de forme défini comme le feu ou la roche. Tu sais quoi? On fera le test tout à l’heure quand Kaori sera là, si biensur, elle veuille bien nous aider. En discuter huit ans ne sert à rien, on ne déplace que du vent.
Ken pour une raison étrange, ne dit pas toute la vérité, qu'il etait incapable de donner corps a ce qu'il visualisait physiquement.

Ken, trop fainéant aujourdhui pour faire la vaisselle, souria quand Minako tomba dans son piège et s’assis en face de lui pour la partie de go. Il aimait jouer contre lui même. Qu’elle meilleur adversaire que soit même? Il jouait souvent contre lui même. Technique qu’il avait transplanté dans l’art ninja. Il adorait imaginer être la victime de ses jutsus comment il pourrait contrer sa propre technique. Il savait que Minako ne s’entrainait jamais mais elle pouvait compter sur l’aide de ses esprits. Trois joueurs potentiel pour l ‘aider à le vaincre et l’un d’eux etait Grisou, son maitre, contre qui il jouait pratiquement tout les soirs. La partie etait sérré, Minako avait progrésser c’etait indéniable. Grisou et elle, jouaient-elle dans son esprit? Quoi qu’il en soit, Ken posa son général d’argent de façon plutôt sadique mettant un terme à la partie dans deux voir trois coups. Ken la soupçonnait d’avoir tricher en le laissant gagner, elle aurait pu aisement le contré avec son parachutage qu’elle gaspilla de façon plutôt grotesque. Cela dit, Ken la laissa décider de son sort et accepta sa victoire. Minao savait combien il etait mauvais perdant. Preuve que Minako avait progréssée. Malgrés sa victoire quasi certaine, elle aurait pu retourner la situation mais n’a préféré ne rien faire.

Il eu juste le temps de ranger le jeu quand on toqua à la porte du dojo. Ken se dit qu’il aurait été pratique d’avoir un serviteur pour faire se genre de corvée mais ils n’etaient pas encore assez riche. Dans un ou deux ans ils auraient surement assez de sous pour embaucher un premier employé. Il alla se lever mais Minako le pris de vitesse. Il se maudit d’être par moment aussi feignant. Il devrait travailler sur se point la et urgement.

Ken débout salua Kaori des plus chaleureux, le groupe s’etend souder de plus en plus. Elle etait devenu rapidement une soeur pour lui. Aussi, il n’etait pas surprenant de le voir la tenir dans ses bras profitant quelques seconde de l’essence de coquelicot, parfum particulier que Kaori appréciait tout particulièrement. Il lui versa aussitôt un verre de thé au jasmin et lui présenta un pouffe pour s’assoir sur le sol comme eux. D’un coup de talon, il fit glisser le jeu de go sous la table basse et prit place a coté de sa femme.

Quand Kaori entendit les explications de Minako, sa seule réaction à été de lever un sourcil

—Vous êtes tellement barrée tout les deux… une attaque ayant pour thème une Hydre avec la têtes de ses quatres saloperies, reliées par ses viscères flottant dans le ciel et fonçant sur l’ennemi afin de l’étrangler tout en explosant dans une gerbe de flamme ? J’ai quoi à faire la dedans? c’est pas à vous de faire votre technique? Explique moi le but plus concrètement, vous vouez un culte ? Je…

Minako lui explique un peu plus en profondeur, la rassurant qu’ils ne forment pas un culte. Technique basé sur les terreurs de Ken suite à sa noyade par le pied mitsudo de Yoko et des genjutsu à répétition, sévisse vécu pendant plus de trois ans tous les jours.

— Moui… Je comprend mieux, mais parfois vous etes vraiment timbrés vous deux hihihi. Bon, et bien, allons y. Un jour il faudrait m’invitée pour faire une sortie entre fille Minako. Dit-elle en se touchant le ventre.

Sur le chemin, surtout les filles parlèrent de tout et de rien. Kaori parlait surtout d’un retard dans ses règles, elle espérait qu’elle sois enceinte mais d’un autre coté. Elle avait peur, Ryuku lui avait révélé ne pas être prêt a avoir une famille voulant profiter de sa jeunesse encore un peu. Elle avait peur qu’ils se séparent, parfois, beaucoup de couples se brisent quand l’heureux évènement n’est pas désiré. Elle sanglota et fit juré à Ken de ne rien dire a Ryuku, eux qui étaient si proches.

Ken était mal à l’aise depuis car justement, Ryuku et lui en avaient discutés dérrière une bonne mousse à l’orge et au ginseng. Ryuku avait menti a Kaori en réalité, il avait peur, térrifier même à l’idée de devenir père. Lui qui avait été battu et avait subit des soucis de mal nutrition par son père biologique. Il avait été retrouvé quasiment mort dans la grande au milieu des poules rendant son dernier soupir. Sauvé in extremis par celui qui deviendrait son beau père. Comment faire pour dire la vérité a Kaori? Il n’avait trouvé que cette stupide excuse de jeunesse. Comment lui dire qu’il n’etait pas prêt et le serait probablement jamais !

Ken était pris en étaux. Tout deux s'étaient confiés à lui, et tout deux avaient reçus la promesse de Ken qu’il ne trahirait pas, qu’elle horreur. Il devrait surement en parler à Minako, mais ca voudrait dire, trahir Ryuku ! Devait-il faire le choix de trahir Ryuku et Kaori? Ken etait si mal à l’aise, il garda le silence retenant de chaude larme quand ils pensent au passé de Ryuku, Kaori qui le croit immature alors que au contraire, Ryuku etait courageux. Garder pour lui cette souffrance depuis des années ! Pour Kaori il etait resté fort et impassible. Combien de fois Ryuku etait chambré sur ses parents et qu’a aucun moment il n’avait flanché ! Ken admira son ami sous un autre jour. A l’instar de Ryuku, il se sentait être une telle grosse merde. Lui qui pour un oui ou un non hurlait ça douleur à tout Kumo !

Ken n’etait cependant pas fier de Ryuku. Mentir à Kaori pour la protéger de lui même ! Il ne comprenait que trop bien mais leurs futur mariage etait en jeu. En effet, Ryuku avait prévus de demander sa femme en mariage l’été prochain. Accepterait-elle si il se fait passé pour un lache? La famille est si important pour Kaori, il ne le savait que trop bien. Sans doute pour ça qu’il lui avait caché aussi sa terreur de devenir un père de famille, la crainte de reproduire le shemas parentale. Cette douleur ne le quitera que si il trouvait la force d’assumer sa futur paternité. Probablement, son plus gros combat. L’enfant magique arrivera sans doute à gommer cette funeste experience mais pour ça, Ryuku allait devoir faire un effort supplémentaire. Y arriverait-il seulement?

Kaori ne se rendait pas compte que Ryuku souffrait si fort de cette situation, elle n’avait qu’a mettre les pieds sous la table et a chouiner. Ryuku arrivait en courrant pour faire ses quatres volontés. Ken ne supportait pas cette facette de Kaori qui prenait trop Ryuku comme son homme à tout faire. Devenir mère allait peut-être la faire grandir et lui apprendre à se débrouiller seule. Pour ça, il faudrait que pour une fois, elle regarde au dela des apparences et s’occupe mieux de son homme.

Ken avait envie de lui hurler dessus. Lui crier à se briser les poumons que c’est la reine des connasses qu’elle ne mérite pas son homme ! mais il trahirait Ryuku, alors il garda le silence mais son visage le grattait de plus en plus. Il avait presque comme une barbe naissante de deux jours. Kiwe’an se manifestait à nouveau. Kaori s’excusa ne comprenant pas en quoi ne pas trahir son secret semblait mettre Ken dans un tel etat de souffrance. Ken parla en Dengon Angouka.

“ Faut qu’on parle d’eux plus tard…. Nous avons un problème.”

Dix minute passait plus ou moins en silence, le temps que Ken reprenne son etat naturel aider de Minako pour calmer la bête devant les yeux horrifier de Kaori qui ne pensait pas à mal a se confier a Ken, son secret avait ébranlé le shinobi avec une telle force, elle se sentait honteuse. Ken eu du mal a lui faire comprendre que se n’etait rien et qu’ils pouvaient reprendre leurs discussions concernant le Pannagollan

—- Bon, Kaori, pour le déssin, qui m’aidera a visualiser le monstre, je te montre les sentiments du genjutsu. Je le lancerais sur toi si tu veux bien, tu me diras tes impressions… Je ne vais pas aller trop fort au vue de ta situation, MAMAN…

Kaori eu un sourrire chaleureux en entendant “maman”.

— Vas-y.

Quand Ken lui lancça son attaque, des larmes de terreur frappa la fille qui fut paralysée comme une statue, Ken arrêta immédiatement son attaque laissant à la fille, le temps de reprendre son souffle en s’étonnant !

— Tu ne sais pas Kaï ?

— Non….
pleura-elle de souffrance en serrant les yeux.

Ken regarda Minako, il savait qu’elle n’avait jamais appris cette technique.

— Si vous le voulez, je les l’apprendrait en même temps les filles… Ca m’aidera a perfectionner l’aura de terreur du Panagollan… Mais comme tu le vois, je n’y ai mis aucun visage, je ne sais pas faire de technique visuel… tout mes jutsus même futon non aucun visuel… je suis nul pour transmettre des images mentale et pire pour leurs donner une forme visuelle physique.

Ken pour illustrer ses propos. Lança un genjutsu de cochon rose qui chanta en grognant petit papa noel dansant le Kozak choc en slip de bain moulant lui rentrant dans les fesses avec un testicule qui dépasse du slip de bain. Le plus étonnant, toutefois, était son visage humain, celui d’Akagi. Etonnement, pas celui de Aizen comme Minako aurait pu s’y attendre.


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Zaiki Minako
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Dim 15 Mai 2022 - 18:12
« Évidemment qu'on va se faire une sortie entre filles ! Je ne peux pas m'empêcher de me dire que je voudrai que la première demoiselle avec qui me promener et passer une journée avec, c'est toi, ma première amie féminine. »

Il s'ensuit d'une longue discussion entre le dojo et un terrain d'entraînement dans lequel ils pourront s'asseoir par terre et réfléchir à cette œuvre d'art. Une discussion assez intense dans le sens où sa jeune amie a peur de la situation qui pourrait découler du probable futur enfant de Ryuku et Kaori. Elle ne sait pas quel est le point de vue du garçon mais elle imagine assez bien ce qu'il pourrait penser.

Cela dit, le fait que le blondinet cède à tous les caprices de Kaori lui fait mal au cœur, car elle imagine que cette relation reste assez malsaine. Mais d'un autre côté, comment vivent les Suzuri ? Ils sont si fermés et discrets sur leur clan que Minako n'arrive pas à visualiser leur train de vie. Après, vu que Kaori a longuement souffert et veut tout simplement de l'attention, de l'affection de la part de celui qu'elle aime, peut-être s'y prend-elle maladroitement. La chanteuse du crépuscule ne saurait pas comment conseiller son amie.

Elle eut un signal au dengon angouka comme quoi ils avaient un problème. Lorsqu'elle vit la pilosité sur le visage de Ken, elle comprend que l'animal s'est de nouveau réveillé. C'est alors que d'un calme olympien, la demoiselle s'approche de la créature qu'elle appelle Kiwe'an et lui caresse la joue pour canaliser sa fougue.

« Je ne sais pas ce qui lui arrive, mais disons que parfois, ça lui prend de se métamorphoser ainsi. Il s'agit apparemment de son animal yasei qui s'est éveillé tardivement, mais je ne sais pas comment faire pour l'entraîner à ne faire qu'un avec cette forme. T'en penses quoi toi ça serait quel animal ? »

Kaori ne sait pas comment l'aider car elle ne s'y connait pas en relation avec les animaux, en revanche elle pense qu'il s'agit d'une espèce se rapprochant d'un bovin.

Une dizaine de minutes s'écoulèrent, et Minako se rassura en voyant que Ken avait enfin le dessus sur son corps. Cela dit, elle trouva que la potentielle bataille interne était plus longue que d'habitude. Elle ne montre rien mais intérieurement elle se fait inquiète. Quand est-ce que la limite sera franchie et que Minako ne peut plus canaliser l'animal ?

En tout cas, il a repris ses esprits et a lancé une illusion sur Kaori. Celle-ci sembla ô combien perturbée et atteinte par ce qu'elle a vu et vécu. En vérité, la dessinatrice a, dans ce Genjutsu, subi le coup de pied Mitsudo de l'une des quatre harceleuses sur la tête qui ne lui permit pas de sortir celle-ci de l'eau, se retrouvant noyé et laissé pour mort.

Minako ne sut pas ce que son amie a vu. Cela dit, elle fixe Ken avant que celui-ci ne lance une illusion sur elle. La brute arque un sourcil en se disant que c'est ridicule de voir un cochon danser de cette manière avec un tel accoutrement et aussi, elle se demanda ce que fait le visage de son mentor dépassant du caleçon. Selon elle, tout cela est ridicule. Elle réfléchit un peu, cherchant ses mots, avant de se prononcer.

« Ouais bon en fait, c'est très brouillon pour le coup, c'est comme si tu ne t'es pas donné d'objectif ou que tu as simplement bâclé ton truc. Pourtant, ton test du Panagolan avec le visage de Rukina était réussi malgré le bruit qu'a fait la tête qui explose, vu que tu t'es davantage concentré. Ce que tu m'as montré là est étrange. » dit-elle tout en essayant de réconforter Kaori.

« Il y a peut-être un moyen d'améliorer la visualisation en méditant afin de se recentrer et d'expulser les pensées parasites, qu'en dis-tu ? »

Kaori, réussissant à s'en remettre, fini par raconter quelques petites expériences tout en approuvant le pouvoir de méditation de Minako; comme le fait que ses parents lui ont raconté des histoires pendant qu'elle fermait les yeux, et ensuite elle devait retranscrire sur des dessins ce qu'elle pouvait imaginer en écoutant les récits, tels des lieux où des personnages. Elle espère ainsi pouvoir aiguiller Ken sur une piste pour réussir à visualiser ce qu'il veut transmettre à sa victime.
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Daishi Ken
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Dim 22 Mai 2022 - 22:31
Les yeux de Kaori se fit rond et gros. Minako semblait l’avoir compris et lui offrir exactement ce qu’elle voulait. Il était vrai qu’elle etait un peu la femme à tout faire. La roady du groupe. S’assurant que les instruments soit près, celle qui vérifie que chaque membres avaient de quoi manger ou encore celle qui gérait la trésorerie en dépensant avec intelligence les Ryos du groupe. Sa dernière lubie était de travailler sur un costume de scène. Un projet secret connu que d’elle. Ryuku s’inquiétait de voir parfois un trou inexpliqué dans la besace de la bande mais son amour pour la femme le forçait au silence. Chaque demande fait par l’un des membres de la troupe était analysé sur le champ et exécuté avec alacrité. Elle serrait à chaque fois les dents en constatant que son amour ne lui etait pas rendu, sauf par Ryuku. Aussi la phrase de Minako lui redonnait courage dans l’avenir. Son héroïne la verrait peut-être autrement que comme son larbin ? Pour que Ken et Koyama suivaient le chemin de Minako et elle aurait tout ce dont elle à toujours rêvée. Des amis, voir pourquoi pas, une famille. Minako la sauvée la dernière mais Ken, ayant malgré lui pris sa place comme jouet avait commencé a amélioré sa vie. Elle avait aussitôt, démis de ses fonctions de jouet coquin, de prévenir Koyama au secours pour aider Ken. Minako, de plus, lui appris qu’elle etait sa première amie fille, son amie…

Elle vit Ken se levée sans crier gare. Kaori fronça les sourcils se demandant ce qui lui arrivait. Ken appela in extremis l’aide de Minako sous les yeu horrifiée de Kaori, qui en voyant la peau de Ken se garnir d’une légère toison, on aurait dit une boule de suie et sitot elle interrogea Minako du regard. Quand elle apprit que c’est une aptitude Yasei, elle ressembla à une carpe. Elle ouvrit la bouche la referme et l’ouvre à nouveau, aucun sons ne sortait. Enfin Minako lui demanda qu’elle sorte d’animal Ken pouvait-il bien être. Pourquoi lui demander a elle ? Si ken ne le savait pas qui d’autre pourrais le savoir ?

— Il avait le visage tout noir, comme une boule de suie. Sans doute un chien ? RHO J’ADORE LES CHIENS ! Dit-elle en fixant Ken avec un regard qui le mit mal à l’aise.

- Je te taquine rhoooo ! En vrai j’imagine plus un taureau, ça t’irais bien je trouve ! Dit-elle un peu au hasard.

Elle fut surprise de voir que Ken avait perdu un peu de sa bonne humeur. Etait-ce sa transformation ? Ou autre chose ? Et si c’etait elle le problème ? Il est vrai qu’il est un peu son confident. Aprés Ryuku, Ken etait surement l’homme qu’elle aimait le plus car il a véccu la même chose que lui, il etait à même de la comprendre mieux que tout le monde sauf Ryuku. Puis Ken etait à Minako, tout comme elle à Ryuku. Il etait comme le frère qu’elle à toujours voulu.


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Quelques instants plus tard

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Ken regretta ses genjutsus. D’une part, il fit mal, une fois de plus, à son amie. Il etait necessaire afin qu’elle voit mieux ce qu’ils souhaitaient au niveau du déssin. Elle se tenait le coeur comme si elle avait courrus pendant très longtemps. Ken fronça des sourcils. L’attitude de Kaori n’etait pas logique. Jamais elle n’aurait du avoir autant le souffle coupée. Etait-ce le résultat de sa grossesse ? Etait-elle très hypnosensible ? Avait-elle des soucis cardiaque ? Il garda pour lui ses questions, elle interrogerait Minako à se sujet en temps voulu. En attendant, il avait décidé de se plaindre, ou de s’amuser vir amuser Minako. Le genjutsu choisis ne lui avait pas plus, mais pas du tout. Autant s’en prendre a Aizen lui faisait mourir de rire. S’en prendre à Akagi par contre. La femme n’apprécia pas du tout l’exercice. Elle lui fit de grosses remontrance lui disant qu’il avait baclé le travail, qu’il avait lancé ça sans but, sans objectif sérieux. Ken baissa la tête un peu honteux tout en cajolant Kaori en mettant ca main a dix centimètre de son épaule sans la touchée. Puis, aprés un gros effort, réussi a lui caresser le bras dans un geste de compassion.

— Méditer afin d’améliorer la visualisation ? Ca me semble evident et facile à faire durant les phases de repos mais comme tu vois, durant un combat je n’arrive pas. Je ne vois que des débilités ! Je n’y arrive pas en plein combat, j’ai comme la vision brouillée. Tu sais c’est comme si de la taule tombait sous mes yeux. Je ne sais pas comment tu fais Kaori… Ni toi d’ailleurs cherie. A votre avis, pourquoi aucun de mes jutsus ne fait appelle à un aspect visuel ? Dites moi une seule de mes techniques où il y a une forme ? Vous en trouverez aucune ! J’en suis juste incapable !

— Nous t’aiderons Ken, pas vrai Minako ? Bon en attendant, laissez moi quelques instans… hummmaouiii…. Dit t’elle avant d’enchainer avec des annecdotes. Ecouter les histoires et les retranscrires sous forme de déssin.


— Je vois que je ne suis pas très claire… hummaouiiii selon ce que tu ma montré avec ton Genjutsuuuu…


Kaori grffonna alors sur son calepin avant de poser sa main sur le déssin, le pincer et tirer dessus. Ken adorait quand Kaori faisait ça. L’encre de sa feuille se colla sur ses doigts et sorti de la page. Une forme exacte de Manara mais tout en bleue marine. Elle courut vers Minako et Ken en riant. Cette vision glaça le sang de Ken, l’encre explosa dans une gerbe d’encre comme ci se fut du sang bleue.

— Bien fait pour elle, hihihi. Vous avez ressenti cette éffroi ? Sans genjutsu hihihi. Dit-elle avec fierté !

Ken lui ecarquilla des yeux, elle avait marquée un point. Avec un simple effet visuel, il avait reçu comme un sang blanc de genjutsu. D'ailleurs maintenant qu'il y repensait, sa femme lui mettait mal à l'iase parfois avec ses jutsus de feu. C'etait là, sous son nez, et il n'avait jamais fait le lien. Il faudra maintenant apprendre à faire la même chose.

— Minako, comme c’est surtout toi qui se concentreras sur l’aspect visuel, viens près de moi et déssinons ensemble ! N’hésite pas à me faire gommer hein ?

Kaori lui fit une place en tandant son carnet et son crayon prête à écouter les instructions pour former l’une des première créature.


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Zaiki Minako
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Dim 29 Mai 2022 - 15:31
« Ça se travaille après tout, comment dire… Plus on s'y entraîne, plus ça vient instinctivement. Je pense sincèrement que tu en es capable vu que tu arrives à projeter des illusions aisément. Comme dit Kaori, on va t'aider. Tu vas voir comment je vais travailler mon katon aujourd'hui et si tu es satisfait, je pourrai certainement t'entrainer à parvenir à lier puissance et beauté. »

Minako prend le crayon et le carnet et se met à dessiner, en réfléchissant aux viscères qui étaient présentes sur le panagolan. Elle se demande comment réussir à relier 4 têtes à une même paire de poumons. Après tout, si elle a eu une sœur siamoise sans tête, peut-être que d'autres personnes dans son cas ont pu avoir deux visages. Elle imagina que chaque tête avait un œsophage relié aux organes vitaux et donc, essaya elle-même de poser le tout sur papier. Le tout n'est pas proportionné. Ou plutôt, il ne s'agit pas du tout d'un dessin, mais plutôt d'un schéma puéril à base de ronds et de traits. Cela dit, ça suffit à ce que Kaori puisse comprendre comment Minako peut visualiser la créature et se met au travail. Réaliser les visages des 4 filles dont leur œsophage se rejoignent pour se lier à un cœur, à une paire de poumons, à un estomac et à un intestin qui pend. Ainsi, avec l'art de l'inkuton, Kaori montre aux yeux des deux musiciens son œuvre réalisée d'une facilité déconcertante. Minako fait en sorte de s'imprégner de l'image pour essayer de s'en souvenir, après quoi elle se lève et prend de la distance avec ses comparses afin d'avoir une distance de sécurité. Mis à part le chant qu'elle apprécie tant, elle est une saltimbanque confirmée de part son affinité.

« Bon, pour commencer, je vais créer de simples boules de feu pour jauger la puissance que je souhaite mettre dans les flammes. Pour ceci, mes clones seront mes cobayes car après leur mort, le souvenir de leur douleur me revient. Je n'ai pas spécialement envie de me servir d'autrui pour tester mes flammes et au moins, je suis sûre de savoir quand ma puissance est correcte avant de passer à la suite. »

À ces mots, la demoiselle invoque deux clones d'elle-même. Minako crache une boule de feu totalement simple, dénuée de forme et vise la première copie de la banshee. Il s'agit là de la forme de base que l'on apprend quand on commence à manier l'affinité. Elle réessaye avec l'autre clone, puis elle façonne de nouveau d'autres doubles et crache de nouvelles boules de feu pour jauger la puissance adéquate. Finalement, Minako retient que pour avoir une puissance de base correcte, il faut à ce feu qu'il provoque des brûlures sévères et suintantes, car elle sait que lorsqu'elle guide sa création, la puissance diminue quelque peu.

« J'estime donc que les brûlures de base doivent être sévères et suintantes, parce que lorsqu'on se concentre pour guider sa création, les dégâts diminuent drastiquement, je pense qu'il s'agit automatiquement d'un équilibre entre la puissance brute et la stratégie d'autant plus que si on combiné à la fois la puissance brute et le maintien de la technique, la réserve de chakra va se vider plus vite que prévu. Bref, maintenant, j'essaye de créer une forme approximative du Panagolan avec une seule tête pour voir comment manipuler ceci à la manière de mon Sōgenbi. »

Minako s'éloigne davantage de ses deux comparses pour cracher une nouvelle flamme. Flamme qui commence à prendre une forme ovale, sur laquelle une sorte de corde de feu le relie à une boule. D'autres cordes pendent de la forme ovale. C'est encore une forme très simpliste mais il s'agit là de réussir à manipuler la technique avant de s'attaquer au visuel. Minako maintient le mudras pour faire bouger ce qui semble être la tête pour commencer, la faire tourner, la balancer d'avant en arrière, la pencher, de sorte à ce que les mouvements soient logiques. Ensuite, elle essaye de faire se mouvoir le corps flottant, les cordes, les flammes laissant des traînées rouges dans l'air. Le tout disparaît lorsque la jeune relâche le mudra.

« Je vais réessayer avec deux têtes, pour l'instant il n'y a pas de visage mais c'est pour apprendre à maîtriser la technique dans l'ensemble. Ensuite j'augmenterai la difficulté avec trois et quatre têtes. Lorsque j'aurai réussi à manier les têtes, je pourrai donner le visuel. Je te l'accorde, c'est un entraînement long et chakravore. C'est pour ça qu'en général je mets des jours voire des semaines à maîtriser les techniques car il faut que la visualisation soit de plus en plus instinctive pour que ça devienne naturel de créer la forme parfaite à ma technique. »

C'est ainsi que Minako reprend son travail de cracheur de feu afin de donner vie à une silhouette approximative de panagolan à plusieurs têtes qu'elle essaye de manipuler sans pour autant réussir à coordonner le tout. Ce travail long et fastidieux, pour une fois, elle le fait sous les yeux de son chéri, car de manière générale, elle reste discrète sur sa création de techniques. Il doit forcément savoir pourquoi elle préfère être seule, c'est pour elle un moyen de se rassurer sur le fait de ne blesser personne par mégarde. Et pourtant, aujourd'hui, elle est là, devant lui, à une distance assez importante pour ne pas le blesser, mais présente. Minako s'assoit ensuite devant Ken afin de faire une pause et réfléchit.

« Peut-être qu'en jouant sur les fluctuations de l'air qui sont visibles grâce à la poussière on pourrait essayer de visualiser quelque chose en ninjutsu futon. Bref on verra ça plus tard, je suis prête à subir tes essais d'illusion pour te donner mon avis sur ce que je vois. »
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Daishi Ken
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Lun 4 Juil 2022 - 19:03

— Tu penses que je pourrais avec du futon? j’ai des doutes… Dit Ken quand Minako parlais de donner une forme au vent.

Le katon était visible sans problème, que le futon lui, comment voir de l’air? toute la difficulté était là ! L'intérêt du futon est précisément son absence de forme. L’homme jalousai parfois sa femme, elle creait des oeuvres visible par tout le monde, lui, ses genjutsu etait réaliser de façon plus intimiste. Prevus pour une unique personne. Il aurait adoré pouvoir lui aussi faire des oeuvres admirées de tous, surtout pendant qu’il sifflerait ou chanterait.
Il écarquilla des yeux en voyant Minako arracher le crayon des mains de Kaori, elle-même regardait Ken en clignant des yeux. Pourquoi la faire venir si c’est pour dessiner elle-même? Elle aurait pu faire ça sans elle non? Elle n’osa rien dire mais elle etait vexée que Mina, une fois de plus, lui donne le sentiment d’être inutile. Elle se pencha sur le côté, posant la tête sur sa main. Elle fixa non chalment le déssin de Minako quand soudain elle fit une grimace qui faisait rire Ken. Qu’arrivait-il a Kaori?

— C’est quoi tes quatre ramens trop cuites là? nan mais sérieux? c’est des boulettes de dengo au bout? HAHAHAHA…. pardon Minako mais HAHAHAHAHA…. Kaori tombe presque par terre. Se tenant les côtes des deux mains. Parfois un bruit porcin sortie de sa bouche ce qui commenca à faire éclater Ken de rire.

— Ken viens voir, c’est trop drole putain !!!!

Ken surpris, se leva pour aller voir l’oeuvre de Minako, connaissant un peu la technique, il comprit où elle voulait en venir mais Kaori avait raison, même pour un shémas son dessin était plutôt hilarant et sacrément mal fait. Ce que Ken avait préférait, c'était le fait que Minako avait dessiné le corps du Panagollan en faisant deux ronds d'ou part quatre spaggethi geant faisant penser à quatre verges fottantes de trois mètre de long relié à deux testicules.

— Kaori, tu pourrais en faire une toile au monstre fantomatique? Pardon mon amour mais là…. nan mais…. HAHA laisse Kaori dessiner s’il te plait. Ne te vèxe pas mais je préfère ta cuisine HAHAHAHA. On a quand même appellée Kaori pour qu’elle nous aide à visualiser avec des dessins réalistes, si tu dessines à sa place, pourquoi la faire venir?


— Rhooo t’és vache Ken… allez rend moi mon bloc de dessin et mon crayon… HAHAHAHAHA. Faut que Koyama voit ça !!!! PIOUUUUU Mina, tu vas nous tuer un jour !!! Kaori s’éssuies les yeux remplis de larmes. Elle approuvait ce que Ken avait dit à Minako mais cela lui mit mal à l'aise.

— Pardon mon coeur… j’ai…. humhum reprenons si tu veux bien. Je me ferais pardonner avec ton plat préféré, on ira au restaurant, on se fera des entrainements, s’il te plait ne m’en veux pas. Je te promet que je saurais me rattrapper !


Kaori pouffa de rire en écoutant Ken s'excuser, puis,a mieux voir le shemas de Minako, si on en oublis les deux couilles, on pouvait imaginer l’idée de Minako. Kaori alors reprit le shemas pour en faire une forme plus réaliste. Elle jeta le papier a terre et dit

— TOILE AU MONSTRE FANTOMATIQUE !

Aussitot, un monstre sortie de la page, tout y etait parfaitement horrible, le visage des filles bien que de couleur encre de chine etaient facilement connaissable. Les viscères tombaient par terre leurs larynx, l’oesophage, etaient si long. Elles ressemblaient à une sorte d’hydre horrible dégoulinant de salives, de sang, d’acide citrique. Aussitôt Ken s’imagina les bruits, les relents, leurs voix, le bruissement des intestins contre la terre.

Minako semblait, selon lui, tout aussi surprise par la beauté et l’horrible oeuvre à la fois. Elle leurs parlent alors de flammes sur ses clones en guise de cobbaye afin de se souvenir de sa propre douleur. Ken apprécia l’idée et se rapprocha un peu afin d'éventuellement être lécher par les flammes, suffisamment loin pour n’avoir aucune blessure, mais suffisamment prêt pour en souffrir. Minako voulait le préserver, ce qui etait selon lui, une grossière erreur.

— Je crois au contraire mon coeur, que je dois ressentir cette douleur afin de l’ajouter au genjutsu. Ainsi, notre ennemi souffrira de ton feu tout en souffrant du souvenir de ton feu…. tu vois ce que je veux dire ? Nourris- moi donc de cette douleur que je retranscrirai dans le genjutsu !
Kaori entendant Ken parler ainsi, tourna un peu de l’oeil. Elle n’avait pas pour habitude d’entendre Ken comme voulant souffrir.

Ken alors se positionna a distance acceptable derrière les clones, mais un peu de coté afin de voir le travail de Minako. Se positionnant donc dans la tête de l’ennemi qui verra se monstre en face de lui. Ken avait mal sasisit les désirs de Minako car à pars de chaude boule de feu, elle ne fit rien d’exceptionnelle, la dernière série de boule de feu commença toutefois à lui offrir une sensation désagréable. Ken l’écouta parler avec passion. Quand Minako parlait de Ninjutsu s’etait si merveilleux, on comprenait sa passion. Elle parla d’équilibrer le feu et passa enfin sur ce que le shinobi voulait voir, l’invocation de la première tête.

Un peu décus, Minako avait choisi de déssiner une verge de feu de 6 mètres de long cette fois !

— A pour sur, là je ne peu pas résister pas besoin de comparé avec la mienne HAHAHAHA


Kaori ria aussi comprenant son allusion au schemas.
— Je crois que même mon Ryuku en a pas une comme ça, vous pouvez pas rivaliser les mecs, Mina en à une plus longue. Pardon…
Minako devait peut-être bouder un peu car en s’éloignant un peu du groupe, elle avait réalisé un feu tellement chaud que Ken n’avait pas l’impression qu’elle s’etait éloignée, au contraire. S' il devait être jugé par le katon, il aurait eu l’impression qu’elle s’etait avancée d’un bon mètre.

— Tu es dans la merde Ken… hahaha. Lui dit alors Kaori sans émettre de son mais suffisamment lent pour qu’il lise sur ses lèvres en riant et bougeant la main de gauche a droite.

“Je donnerais des cours de déssin a Minako, si en mission elle devait déssiner un plan, elle peu pas faire ca…” Se dit-elle

Ken écarquilla des yeux, là, les flammes. Elles dansaient pour donner une forme bien plus horrible bien plus éloigné de la verge ridicule sans s’en éloigné suffisement pour être crédible, des volutes de flammes allant du rouge, au jaune, a l’orange. Ken cesse de rire profitant du spectacle. Elle était époustouflante. Il était en admiration. Insatiable, elle décida d’augmenter le défi en y ajoutant une nouvelle tête, puis plus tard, une troisième, la finale et enfin donnera la forme. Elle continua ainsi de suite. Lui etait comme un zombie, ne bougeant pas d’un pouce entre frayeur et admiration. Sa femme faisant danser le monstre quadricéphale. Soudain, elle stoppa net le travail et s’assit en face de lui.

— Mais cherie… q…qu…quand…quand as tu autant progressée?
Ken beggaya d’admiration. Il se rendit compte a qu’elle point un fossé c’etait formé entre eux.

Il avait accordé tellement d’importance au genjutsu et au taijutsu qu’il n’avait pas évoluer en ninjutsu élémentaire, son futon etait toujours aussi ridicule et il n’avait toujours pas appris a y mettre des formes. Ayant devinée ses pensées, Ken l’admirait aussi pour ça, il etait un livre ouvert pour elle. Elle le conseilla de jouer avec la poussière la capturer dans son futon pour donner des formes.

— C’est vrai que je pourrais, mais tu as raison, je garde ton idée dans un coin de ma tête et je vais y réfléchir plus tard, à mon tour de m’amuser….


Ken alors se lève et fixa le monstre issus de la toile fantomatique de Kaori qu’elle avait gardée auprés d’elle pour les aider.

L’homme ce demandait ce qui serait plus logique…. partant du plus attendu au plus surprenant. Dans un premier temps, il ne se passa rien de particulier. Absolument rien, le neant. Quand soudain, le monstre se mit a faire des bruits spongieux, des floques, des ploques, des bruits de bouches. Enfin, le premier visage prit la forme de Megumi, la plus douce du groupe. Dans une sorte d’hommage étrange, il avait déssiner des yeux de chouette, un visage capable de se tourner sur 360° sans jamais se briser. Sa sœur suivis bientôt. Des yeux humains cette fois. La troisieme etait Yoko, le visage oppressant appela la dernière tête a se former.

— Hey Manara, regarde c’est le panier de thon ! HAHAHAHA

Le dernier visage prit la forme de la pire ennemi de Minako, celle-ci vomi du sang a moitié coagulé et la fixa avec un gros appétit. Un sourire malsain pendant que le sang et le suc gastrique tombe par terre faisant fondre l’herbe. Une odeur de vomi et de sang vicié le tout avec une odeur de forte déjèction humaine se fit sentir dans les narines de Minako.

— Tu trouves que ca pue? Tu oses nous insulter? Tu vas voir gros thon !

Les filles lancèrent avec une vivacité extraordinaire leurs viscères enroulant Minako dans un cocon de chair putride et de pourrissement. Des pieds jusqu’au bras la ligotant.
Ken après avoir joué avec l’ouïe la vue et l’odorat, choisit le toucher.

Minako pouvait alors ressentir les flammes de son propre Katon la brûler mais pas que. Les flammes qui ont consumer son visage, des intestins, Minako pouvait sentir de la merde humaine lui dégouliner dessus suinte à l’interieur du cocon. Soudain, Kyoko se tenant au dessus d’elle ria et posa ses propres poumons sur le visage de Minako qui donna à la Kunoishi de se faire étouffer dans le fond d’un lac par un pied trois fois trop gros.


— KEN ARRETE !!!! C’etait la voix de Kaori, elle le giffla si fort qu’il en tomba par terre.

— T’ES UN GRAND MALADE, C’EST TA FEMME !!!! Minako ça va? pardon, je ne sais pas ce que tu as vu, si j’ai bien fais mais… c'était si affreux…

Ken par moment, ne savait pas comment se comporter, parfois on lui demandait d'etre impitoyable, parfois, on lui demandait de faire preuve d'amour, qu'elle etait la bosse dose?
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Zaiki Minako
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Mar 5 Juil 2022 - 22:22
« Huhu, désolée Kaori, j'me disais qu'au vu de la situation c'était bon de te faire rire en te montrant mon magnifique talent au dessin, c'est beau hein ! »

Minako rigole en sachant très bien qu'elle est atrocement nulle dans ce domaine, mais elle s'en fichait, tout ce qui comptait en cet instant est de voir le regard de ses comparses pétiller de joie. Ça lui faisait du bien, ça lui mettait du baume au cœur de réussir à mettre de bonne humeur quelques personnes. Ça lui fait du bien de faire tomber son masque imposé par sa dure vie d'assassin.



Minako, confiante, après s'être servie des clones de Ken pour qu'il puisse avoir la sensation de la douleur sans être de lui-même la cible de ses essais, s'était assise et observait un peu ce qu'il se passait. Elle s'est promis qu'elle n'utiliserait pas son sceau du Kai, sa seule défense mentale, tatoué sur sa poitrine, sur le côté gauche. Elle était sereine et avait fait le vide dans sa tête, s'imprégnant du calme ambiant. Mais déjà, des bruits immondes retentirent, un odieux mélange de bruits de bouches, de bruits spongieux typiques des viscères pendues que l'on agite… Des bruits si désagréables qu'elle eût envie d'utiliser immédiatement son sceau, mais elle ne le pouvait guère. Elle ne voulait pas tout de suite abandonner sous prétexte que des sons soient désagréables. Elle devait impérativement se renforcer pour qu'ils paraissent plus mélodieux à ses oreilles. Donc, la Banshee n'en fit rien et se contenta de voir la tête de Megumi sortir, ainsi que celle de Kimiko. Elle se demanda pourquoi celle de la première possédait comme des yeux de chouettes… des yeux de chouette familiers, qu'elle a vu à plusieurs reprises jusqu'ici lorsqu'elle était auprès de son ami et avec son actuel mentor.

Des songes commençaient à arriver dans son esprit, elle le savait au fond d'elle et ça lui saute aux yeux ! Megumi l'attaquait mentalement dans l'ombre. Cette fille l'attaquait et voulait la détruire de l'intérieur. Elle comprit alors les mots de Hanzō : il faut impérativement réussir à se forger une barrière mentale à lever ou non à sa guise lorsqu'on en ressent le besoin, comme lorsque la jeune kunoichi enfile ou non son masque de cette simili-justice qu'elle n'arrivait pas encore à bien cerner. Elle doit réussir à appliquer le son des enfers autour de son domaine intérieur afin que personne ne puisse pénétrer son esprit à sa guise. Un Kai ne doit pas être scellé sur sa poitrine mais devrait être instinctif, une défense aussi importante et utilisable que ses techniques de parades au taijutsu.

C'est en comprenant enfin cela qu'elle vit le visage de Kyoko, se moquant encore et toujours des deux mamelons proéminent de la yurei vivante, alors que l'autre folle de Manara au visage gorgé de sang arrive, captant en quelque sorte les pensées de Minako. Car oui, cette création pue. Cette création pue la mort, littéralement, entre un mélange de merde et de sang coagulé, avec ces viscères et ces liquides. Cette effluve ô combien putride donnant la gerbe à la douce à la peau calcinée, elle ne put s'empêcher de régurgiter physiquement le repas.

C'est ainsi qu'elle ne put se défendre face aux viscères qui l'immobilise de toute part. L'aspect visqueux étant réussi, la sensation d'avoir les excréments couler sur sa peau. La sensation de la brûlure qui se fit sentir sur l'épiderme de la fille de la Mort. Elle n'avait rien à redire à ce sujet, Ken est sans doute le meilleur utilisateur de genjutsu de sa promotion. Elle ne pouvait parler pour donner son avis, car des poumons se collèrent à son visage, et commencèrent à l'étouffer. Cet étouffement était digne d'une noyade, comme lorsqu'elle s'entraînait au ninjutsu avec son père, utilisateur de suiton. Ne pouvant bouger, elle n'eut aucune autre solution que de se laisser faire.

Le destin était scellé, Minako devait mourir à cause de cette odieuse monstruosité. Alors que la respiration sur son corps physique commençait à se saccader, la voix de son amie, Kaori, faisait vrombir ses tympans, ce qui l'a poussé à essayer de revenir à la réalité, car peu à peu, l'illusion commençait à s'estomper tout seul.

En son sein, l'esprit primaire de Minako, dès lors intrigué par ce projet d'attaque combinée, pu ressentir aisément les effets de cette illusion. Il en était intrigué, fasciné, émerveillé, c'était un amas d'immondices aussi ragoûtant que douloureux lorsque cette chose prend la cible dans son piège. Mais aussi, Samanosuke ne fit rien en voyant son hôte essayer de s'en remettre. Il voyait la jeune femme grandir peu à peu se remettre en question, et comprendre une chose essentielle de la vie : la force mentale.

Minako par contre, s'est mise à pleurer, à chaude larmes, la peur l'avait envahi, en plus du profond dégoût et du traumatisme, autant visuel qu'auditif et olfactif. Elle tremblait et ne savait pas quand ces images allaient s'arrêter. Elle ne fit plus rien… à part essayer de reprendre son souffle. Cela dit, elle en était fière.

Une once de fierté se lit sur le visage de la jeune femme. Elle était réellement impressionnée et admirative de cet art qui matérialise un mélange d'émotions, d'imagination, de passion pour l'art, que l'on peut aussi bien utiliser dans un but positif que négatif. Dans le cas présent, le dégoût pour cet être putride, les sens modifiés, le fil rouge de la folie de la créature, le parallèle entre la sensation mentale de la brûlure et ce que Minako compte faire pour que cet oeuvre aussi fourbe soit-elle puisse être plus vile d'une simple illusion. C'était tout simplement parfait. Une véritable retranscription du traumatisme de Ken dans une hallucination. C'est tout simplement, une idée de génie.
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Daishi Ken
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Mar 19 Juil 2022 - 23:14
Les cris des suppliciés n’avait aucun impact face à la puissance de son psycho pouvoir. Les yeux révulsés entre haine et jouissance. Les délices, les prémices de sa vengeance. L’homme en transe scandait dans l’esprit de sa proie les voix enchanteresses des maîtresses de la souffrance. Elles répondaient au nom de domination, folie, terreur et fanatisme. Les chevaliers de l’apocalypse en son pouvoir firent de lui ce qu’il a toujours été. Leurs jouets. A travers le panagolan, le souvenir de la domination, de la folie de la terreur et du fanatisme qu’elles lui inspiraient le dominait de nouveau. Debout, les mains jointes, phalanges croisées, emprisonnant les indexs comprimés l’un sur l’autre comme dans une prière dédiée au force du mal, dans un signe du bœuf parfaitement exécuté. L’homme psalmodiait des insultes.

— Je te décapsulerais Minako, de mes dents. Une fois nue, je mangerais ton entre-jambe, je vais me délecter de ta force de vie jusqu'à la dernière goutte de ton sang et de tes orgasmes. Quand enfin, tu seras complètement à sec, que j’aurais lier ton sang avec le miens. Je prendrais ta peau comme un chewing-gum que je consommais avec le plus grand des délices…. Je te cracherais par terre quand ta peau n’aura plus de goût. Alors, seulement, tu seras à ta digne place, a mes pieds HAHAHAHAHA. Lui dit alors Manara à travers l’esprit de Ken.


Kaori voyait Minako faire des yeux de plus en plus gros, Minako ressemblait selon elle à une truite hors de l’eau, elle avait de plus en plus froid.

— KEN arrête tu vas la tuer !!!! je t'en pries assez ! Hurla plus fortement Kaori.
Kaori pensait que Ken avait réussi à s'arrêter, mais, visiblement, le cauchemar continua dans l’esprit des femmes. Kaori en larme était perdu. Que devait-elle faire? Elle ne maitrisait pas le Kai. Ken semblait avoir perdu le contrôle pour une raison inconnue. Minako en payait le prix. Kaori fixa Ken. Les yeux clos, il était comme prisonnier de ses propres cauchemars. Il ne trouvait pas la sortie. Il était aveugle dans les ténèbres. Il remuait de la même manière que Minako, ils semblaient synchro dans la douleur. Kaori décida de laisser Minako par terre, veillant à mettre son sac à croquis et choisis dans dans sa besace un parchemin.

— pardon Ken…. Dit-elle en se séchant les larmes en prenant des airs d’amazone prête au combat.

–- DÉVORE LE, ABYSSES. Crit-elle se croquant le pousse pour en caresser la masse noire sur le papier.

Kaori pencha le parchemin vers Ken, une eau froide, d’une terrifiante noirceur en vomi, une eau saumâtre percuta le ventre de son ami l’envoyant sur cinq mètres. L’eau le bloquait contre un banc de bois et lui remplissait le nez et la bouche. Il lutta pour sortir de cette eau qui lui dévorait les os. Quand l’encre abyssale se déversa enfin dans le sol, il resta un long moment hébété ne sachant pas où il était. Il regardait stupidement devant lui. Un regard hagard, bouche ouverte, il bavait, les bras ballants, sans force. Il ne ressentait aucun froid, ni aucune chaleur. Comme dans un état second. Il avait quasiment atteint le vide chakratique.

Kaori retourna au pied de Minako pour lui faire les premier soins, zyeutant dans la direction de l’homme qu’elle fixa avec un air furieux. Prête à en découdre. C'était la première fois que Ken perdait le contrôle sur un jutsu. Comment cela se faisait-il? Il était si adroit d’ordinaire. Ils l’avaient appris à l’académie. Si sa mémoire était exacte, c'était un mal touchant les genjutsuka. Quand l’implication personnelle entrait en résonance avec un trop gros flux chakratique, cela formait comme une sorte de trouble. Le genjutsuka devenait comme fou.

***

— Doucement Minako, tu as reçu une grosse attaque… prend ton temps… Je vais aller le voir, je reviens. Dit d’une voix assurée son amie constatant que Minako était de retour.

Kaori se pinça l’ongle du pouce avec les dents. Ken était toujours comateux et Minako troublée par le genjutsu presque mourant. Elle lui donna sa gourde d’eau et alla voir Ken. Un examen rapide indiqua qu’il avait une extrême fatigue dû à sa consommation trop importante de chakra et une ecchymose derrière le crâne surement là quand il s'était cogné au banc.
Assujetti par une sensation de feu sur ses deux joues, Ken cligna des yeux en fixant Kaori qui le bougeait d’avant en arrière. Il voyait son amie hurlait mais il n’entendait rien. Elle le secoua tellement fort qu’il se demanda comment sa tête était toujours fixé a son cou. Le feu sur ses joues devait être d'énormes gifles qu'elle lui avait claqué sur le visage. Soudain, ken voyait Minako par terre. Kaori recula la main qu’elle serra d’un poing menaçant pour qu’il se reveil.

— TU VA TE REVEILLER CRETIN !!! Hurla-elle en armant son poing

Une terreur sans nom visible dans le regard de Ken, le saisis, sans même écouter Kaori, il voulu marcher pour la rejoindre. Son corps trop lourd l’obligea à ramper, s’écroulant à terre comme si ses pieds etaient brisés..

Kaori se mit les mains sur la bouche pour ne pas crier. Elle était comme sur un champ de bataille, Minako morte, et lui, fou d’amour rampait, mourant, pour rendre son dernier souffle auprès d’elle. C'était aussi affreux que très beau.
L’homme péniblement vint au chevet de Minako, glissant une main sous sa nuque pour la serrer de tout son cœur.

— MINA MEURS PAS !!!!! Pleura t’il.

Ken sanglota à chaudes larmes sachant que c'était de sa faute. Il a été stupide de penser que son niveau de ninjutsu lui permettait un genjutsu d’une tel complexité. D’un autre côté, il s’étonnait qu’elle avait si peu encaissé que ça. Il pleurait sur sa honte, ne se rendant compte qu'à force d'entraînement, ses genjutsu c’etait affuté à se point. Minako, elle, ne s’entrainant jamais au genjutsu, comment pourrait-elle apprendre le KAI?

—- Minako… mmmm… m…mi….miiiiM…MMMMMMMM…. Ken begaya comme il y avait quasiment un an.

Ken plongea sa tête dans le cou de Minako lui inondant la peau de larme .

—- Je…..j…..j…c….che…cheri…cherie… j…. je suis…. j’ai failli te tuer…
Il gémissait et trembla de chagrin, il criait de rage sur l’oreille de Minako. Il l'étrangla sur son coeur pour lui pleurer dans les cheveux, le visage de Minako coincé entre ses deux pecs. Il pleura sur son cuir chevelu gesticulant de gauche a droite. Kaori fixa la scène d’un air étrange, devait-elle être émus par cette scene d’amour? ou intervenir parce que Ken étouffait et risquait de tuer Minako d’amour?

—- Trop exigeant ton genjutsu Ken… avant de maîtriser un tel genjutsu, maitrise toi ! CRETIN !

La voix de Kaori fit l’effet d’un poignard. Elle avait bien raison, l’ambition, l’ego de Ken a faillit coûter la vie a Minako. Il se devait d'être plus prudent à l'avenir. Ses genjutsus atteignaient maintenant un rang de haute maîtrise. Il ne devait plus se conduire comme un débutant. Un nouveau flot de larmes coula sur le visage de Minako, fliquant, floquant sur sa bouche, dans son nez, ses yeux. Ken pleurait sur sa femme sans discontinuer.

— Ta raison Kaori, j’ai… j… j… ja…j’ai honte…

“Je dois être plus fort que ça, je suis un stratège, si j’échoue j’enmène Minako avec moi… Je ne dois plus jamais être faible!”

Il fixa Minako et Kaori s’essuyant les yeux, allongé a coté de Minako. Trop épuisé pour se relever. Il se fit une promesse.

— Minako, Kaori, je vous demande pardon. Jamais plus je ne faillirais devant vous !!! Si vous me donnez une autre chance, je vous apprendraient à Kai ! Le plus tôt sera le mieux !

***
Ken, assis auprès de Minako, réussissant à peine a se lever, toujours la protégeant dans ses bras sans se rendre compte, comme faisant de son corps un bouclier pour elle.

— Le problème donc, selon toi, viens que j’ai voulu faire un genjutsu trop ambitieux c’est ca?

— Exactement ! rappelle toi tes cours de genjutsu….

— Le trouble du genjutsu?

— Quand on applique trop d’effet personnel a un genjutsu alors l’esprit confond…..

— Reve et réalité…. reprit Ken écarquillant des yeux.

Kaori lui répondit d’un sourire. Tiens regarde ta femme Ken… tu peu être fier de toi… Ken voyait enfin en Minako cet expression qu’il adorait faire graver sur le visage d'albâtre de sa douce. Se regard pétillant Ken lui vola un baiser, quand elle voulu se retirer, Ken avanca son visage pour lui faire comprendre qu’il avait envie de lui montrer combien il lui etait à jamais dévoué, qu’il etait à elle pour toujours. Il lui bloqua le visage dans son bras pour qu’elle s’offre a lui. Il avait un grand besoin de réconfort. Le baiser passionné semblait sans fin.

Fermant les yeux, il eu l’impression de sentir son futon comme happé par Minako, il faisait cette experience depuis un moment, insuffler du futon dans ses baisers. Il avait l’impression de réussir, qu’elle lui capturait son âme pour en faire sienne. Etait ce un effet secondaire d’être avec une Meikyu? il l’ignora mais il adorait sentir son futon comme s’infuser en elle. Parfois, comme maintenant, il pouvait sentir qu’en retour, elle lui offrait son Katon. Les joues de Ken en feu se consumait, son bas ventre demandait a ce qu’il honnore sa femme. Seul la présence de Kaori calma ses hardeurs. La salive de Minako etait presque brulante, venait-elle de mêller un peu de son chakra en lui? Il ferma les yeux pour prolongé cette sensation de brulure. Sa langue lappait dans sa bouche comme si le baiser continuait. Un sourire niais naissant sur son visage.

En déglutissant, cela dit, il sentait la salive de Minako comme mêler de Katon peser lourd dans son ventre, l’air de son corps semblait devenir vapeur d’eau. Il avait de grosses bouffées de chaleur. Kaori se riait de lui, il était si marrant. Visage fermé, les yeux étincellant de bonheur malgré les paupières closes, se sourire de benêt. Ken était un éternel enfant. C'était comme si Minako lui avait fait son premier baiser. Pourtant, il était loin ce premier baiser. Rien à faire pour le jeune homme. Il était irrécupérable, elle eu alors une idée, elle sorti son calepin pour croquer le visage de Ken.

Doucement mais surement, le feu des entrailles de Ken se calmait petit à petit. Il était intrigué par ce mélange de salive depuis peu. Pour la science, il devrait normalement embrasser d’autres femmes ou des hommes pour comparer, voir s' il y a aussi mélange de chakra. Aussitôt il s’en voulu et chassa l’idée comme une salle mouche. Faire cocu Minako était hors de question, même au nom de la science. Peut-être pourrait-il trouver des cobayes près à s’échanger leurs salives pour voir si c'était un phénomène normal, lié au Meikyu, ou juste son esprit vagabondant un peu trop qui s’imagine pouvoir offrir à Minako son futon et accepter son Katon.

“HAAAAA si j’etais de l’institut…. hummmm” Ken pensa a Akio.

— Si j’avais su, on aurait été en institut pour faire le panagolan…. on devrait peut-être continuer labas?

Kaori souris a ses deux amis et pour une raison que Ken ignore, elle plongea son visage entre l’épaule de Minako et la sienne. Puis, elle serra trés fort ses bras pour les forcer a se coller le visage contre le siens.

— Vous etes vraiment deux gros tarrés tas de cinglé !!! mais bon sang ce que je vous aimes !!!!

Kaori resta un moment comme figée, rassuré que ni Minako, ni lui soient blessés. Ken ferma les yeux se donnant à Kaori, un instant de douceur qu’elle avait largement mérité. Sans elle, Minako serait morte. Elle était leurs ange-gardien.

“Quand j’aurais mon fils, je lui dirais qu’elle est marraine…."

—- Je tiens à toi Kaori… je tiens beaucoup a toi !

Quand Kaori eu enfin eu son calin, rassurée, elle leurs dit.

— Bon mes amours, et si on allaient manger? je pense que c’est tout pour aujourdhui… apparement vous y etes presque, encore un peu d’entrainement, Ken, calme toi sur les effets du genjutsu !

Ken se contenta de fixer Minako avec un air désolé et tenta de se lever. Kaori demanda l’assisstance de Minako d’un regard pour lui saisir un bras.

—- Aller vieu papy DEBOUUUUUT ! Ria Kaori.

— Minako on va manger où ? On peut aller au Panda unijambiste nan ?

Ken se gratta le menton.

— Soit pas bête Kaori, après tout ce que tu as fais pour nous, reste pour manger !!! enfin comme tu veux, tu en dis quoi Minako, tu veux qu’on sort un peu du dojo? c’est vrai que ca me ferait pas de mal je tourne en rond depuis que j’ai plus mon bandeau, comme un rat dans une cage… aprés je peu vous mitonner un plat qui vous fera tapper les papilles du cul jusqu'à par terre !!! Devant le regard amusé et d'incompréhension des filles, Ken reprit.

— Ben oui, mon plat sera tellement jouissif que même la digestion sera une expérience orgasmique !

Kaori leva un sourcil de peur que l’ego de Ken s’enflamme encore une fois, oui il etait un excellent cuisinier mais il avait le chic pour surestimer sa cuisine. Si seulement pouvait-il faire pareil avec ses capacités de ninja.

— Minako qu’en dis-tu? en tout cas, je pense qu’on a besoin au moins de trois jours de pause…. vous savez quoi? On remet ça le week-end prochain, passons du temps entre amis ! c'est l'anniversaire de Ryuku si tu veux qu'on aille faire les magasin ensemble... Ken tu peu venir aussi, tu es un mec aprés tout hihihi.
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Zaiki Minako
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Ven 22 Juil 2022 - 16:57
Pendant que Minako n'arrivait plus à se contenir, traumatisée alors qu'elle ne le devrait pas, elle pouvait sentir Ken la rejoindre et pleurer pour elle. Ceci faisait que peu à peu, la demoiselle revenait à la réalité. S'il n'était pas là, la demoiselle ne s'en sortirait pas face à ce phénomène désastreux qu'est la manipulation du chakra. Elle s'en voulait de ne pas s'entraîner au genjutsu, c'est pourquoi elle y repense. Avant, elle y arrivait, mais elle s'est totalement délaissée mentalement après l'examen des chuunin. Elle devait apprendre de nouveau le Genjutsu, et Ken serait fier d'en être son professeur. Elle resta muette comme une carpe pendant un bon moment, ne se contentant que de glisser une main dans les cheveux de son chéri pour lui signifier qu'elle est toujours là, bien qu'elle se soit sous-estimé sur sa capacité à penser que son endurance physique suffirait à résister au genjutsu. Alors que Ken bégayait qu'il a failli la tuer, Minako lui répondit…

« J'aurais pu ne pas mourir si j'apprenais le Genjutsu… je dois m'y entraîner de nouveau, sur ce domaine fascinant… toi, mon professeur… »

Le rêve. Retrouver ses forces au genjutsu, ce domaine qu'elle a toujours affectionné. Cette force perdue depuis l'éveil de ses sceaux… elle devait la retrouver. C'étaient les seuls mots de Minako, car après, Ken et Kaori discutaient, l'homme protégeant sa dulcinée en devenant un bouclier humain. Elle commençait à s'en remettre et son visage commençait à s'illuminer. Bien que silencieuse, elle profitait de l'instant de douceur, le baiser amoureux de Ken, et ensuite le câlin amical de Kaori. C'était encore une sensation étrange pour elle de se sentir bien au point d'avoir de l'affection pour des personnes qui aille aussi loin depuis qu'elle est arrivée à Kumo, il y a de cela 4 ans. Plus cette affection est nourrie, plus la jeune femme se demandait si elle voulait vraiment partir de Kumo. Cette idée commençait peu à peu à s'estomper depuis quelque temps, pour une raison qu'elle ignore. Mais cela, Minako devait le garder pour elle, car il est hors de question qu'elle les trahisse en formant de nouveau l'équipage de pirates de Ushi-oni. Elle accepte de passer du temps avec Kaori à l'extérieur du dojo, rien que pour faire quelques courses, trouver un cadeau pour Ryuku… Minako accepte de prendre une pause pour que le duo puisse reprendre leur entraînement sur leur technique combinée en meilleure forme.

« Dis, je trouve qu'il serait bon que vous ayez une véritable conversation, Ryu et toi, je suis sûre que lui, sous ses airs durs, devrait pouvoir t'ouvrir son cœur si beau. Car il semblerait que vous ayez tous les deux des choses pures et agréables à vous dire… donc, j'imagine qu'on devrait réussir à lui dégoter un petit cadeau pour son anniversaire pour lui faire comprendre que tu lui voue un amour inconditionnel ! Ensuite vous discuterez autour d'un petit repas entre amoureux et… Oh là là c'est trop beau rien que de penser à tout cet amour ! »

Depuis peu, la douce commence à être sensible au côté romantique des choses. Rien que de lire des histoires d'amour lui donnaient la larme à l'œil. Puis, Minako se tourne vers Ken, celui-ci n'étant pas sorti depuis la perte de son bandeau. « Et oui Kenny, on va sortir du dojo, ça te fera du bien ! On mangera tous ensemble ton repas une autre fois, en attendant profitons du temps présent et de la proposition de notre amie ! Ce n'est pas parce que tu es civil pendant une certaine durée qu'il faut te bloquer sur la sociabilité avec nos amis ! »

Au restaurant, Minako avait commandé des plats à partir de poisson, comme d'habitude, sauf qu'il se passe une chose inhabituelle alors que l'odeur des fruits de la mer lui montent au nez. Alors qu'elle fréquentait ces odeurs depuis la naissance, cette fois, les effluves la rendaient nauséeuse. Et pire encore, lorsque la demoiselle mangea son sushi, elle a dû aller vomir dans un coin… le problème ne venant pas de la nourriture, car cette dernière n'est pas avariée, il est probable que la chanteuse couve quelque chose. De même, après cela, le fromage était devenu beaucoup trop fort pour qu'elle n'arrive à en manger. L'incompréhension fait qu'il faudra à Minako vérifier auprès d'un médecin ce qui lui arrive. Peut-être était-elle enceinte mais dans ce cas-là, vu que c'est hors-mariage, elle ne sait pas si ce sera bien vu par sa famille. Elle s'effaça de son esprit cette idée, les seules personnes qui étaient contre un enfant hors mariage étaient sa mère et ses grands-parents maternels, tous trois décédés.
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Ven 19 Aoû 2022 - 23:36
Ken n’en revenait pas, il fixa sa femme au plus mal. Une part de lui pleurait pour elle, et surtout pour ce qu' il lui à fait subir. Cette atrocité. Sa femme déchirée par son genjutsu aussi facilement que si l’on déchire un parchemin de papier. Le papier qui couvrait son regard se sépara en confettis. Pour la première fois, Ken prit conscience de la faiblesse de son bonheur. Il prit la pleine mesure que la poupée de porcelaine etait bien plus félée qu’il ne l’aurait crus.
Il la regarda avec un regard neuf, mêlant pitié, déception. Il comprenait que la femme forte dont il etait tombé amoureux n’existait plus depuis longtemps. Il pleura à chaudes larmes et se jura de tout faire pour la faire revenir. Comment n’avait-il pu ne rien voir? Qui etait cette Minako? Comment à t’il pu empêcher ça déesse guerrière, celle qu’il admirait plus que tout de rester vivante pour cette version si faible pour qu’un genjutsu de seconde zone la détruise avec tant de facilité. Il la serra contre son coeur, il écrasa Minako de plus en plus fort. Comme si sa chaire entrait en fusion avec celle de l’amour de sa vie.

Il recus les caresses de Minako comme un lot de consolation. Il adorait plus que tout cette Minako douce, fragile, tendre, aimante. Cette femme parfaite de par son intelligence, son soutien, son efficacité. Bien qu’il était tombait amoureux de la guerrière, il aimait plus que tout cette femme au foyer. Cependant, se n’est pas ce qu’il souhaitait, il prenait la mesure de son erreur. Une nouvelle crainte lui prit au tripes. Et si il étouffait Minako?
Le feu se nourrit de l’air, le Katon se renforce quand il câline le Futon. Ken est la force de Minako ! Toutefois, trop de futons et le katon risque de s'éteindre, trop d’air et le feu s'éteint. Si, malheureusement, son besoin d’amour et de tendresse étouffait la guerrière pour en faire une femme au foyer? Il a toujours crus que c’etait le choix de Minako, mais si seulement elle s’etait sacrifier pour devenir ce qu’elle pensait qu’il désirait, lui? Elle avait raison, Ken adorait plus que tout cette nouvelle Minako, il pourrait passé sa vie avec cette femme qui pleurait dans ses bras. L’ancienne Minako lui aurait peut-être dit “lève toi ma petite loque!” Il en aurait rit mais au fond de lui il aurait été touché. Il aimait tellement cette douceur, cette tendresse. Minako se sacrifiait-t-elle pour lui? Il se souvient que dans sa jeunesse, Minako n’etait pas aussi douce, voir pas du tout. Parfois il lui semblait la retrouvé comme, en publique, quand elle le repoussait pour dire “il y a trop de monde, pas de calins”.

Le monde, de plus, etait de plus en plus fou. Il avait besoin du retour de la guerrière, mieux, il la désirait, il espérait juste que le retour de cette rebelle, ne tuerait pas cette Minako qu’il aimait plus que tout ! Quand elle lui dit qu’elle voulait de lui comme professeur, il senti la guerrière l’appeller au secours, lui demander de souffler pour elle, elle lui demandait d’atiser les braises de la guerre ! Ken alors pris un air sérieux, un air presque brutal qui ne lui ressemblait pas. Un air des plus serieux.

—- Je serais intransigeant, tu préfèrera avoir ma grande sœur, Hideko, comme professeur plutôt que moi… Je n’accepterais aucune faiblesse, aucun échec ! Tu va sacrément souffrir durant mes cours mon coeur, est tu certaine de vouloir emprunter se chemin? Je suis sérieux, mon genjutsu n’aurait jamais du autant t’atteindre… Je m’en veux JE M’EN VEUX !!!!! putain c’est de ma faute !!!!!! Ken hausa le ton de plus en plus fort

—- C’EST DE MA FAUTE TU M’ ENTEND !!!!! dit-il presque en hurlant ligotant Minako contre son coeur et la serra encore plus fort. L'empêchant, elle, de se sentir coupable.

—- Nous sommes le Daisho Minaken ! Quand je suis faible, quand je chute tu dois me relever, et à deux, reprendre le combat, quand tu chutes je te relève, et ensemble on reprend le combat ! Aujourd'hui tu es tombée, alors relève toi, ton cours commence dans deux jours! Mon égo a faillit te coûter la vie, c’est inadmissible, j’aurais du te l’apprendre il y a des mois déja.

Ken sauta au pieds de Minako, s’assis sur ses pieds, puis tendant son buste en avant, il colla son crane contre les chaussures de celle ci.

—- J’ai failli te perdre, à cause de ma stupidité, aujourd'hui j’ai vue mon erreur, s’il te plait Minako, pardonne moi. Je…. J’ai été faible. Je vais t’aider à gagner en puissance, tu seras plus belle, je vais t’aider à redevenir cette reine fière et forte en public, je ne me laisserais plus aller dans la oisiveté. Je t’apprendrais a Kai, a te protéger l’esprit. Toi, entraine moi sur mes peurs, battons nous l’un pour l’autre, ensemble ! Renforçons-nous !

Kaori regardait le couple en écarquillant les yeux, se disant combien Ken était bien trop expressif. Il parlait bien, mais il n’y avait pas besoin de sauter aux pieds de Minako. Si Ryuku faisait ça, elle le gifflerait. Elle n’aimait pas les larves. Elle espérait pour Minako que Ken se comportera de plus en plus en homme pour laisser de coté toutes ses enfantillage. Par contre, elle apprécia que Ken se mettait de plus en plus en avant pour défendre Minako, défendre autant son corps que son honneur. Si il n’avait pas été si gamin, elle aurait pu….. Après réflexion non, elle aimait trop Ryuku pour le tromper avec Ken.

C’est ainsi que la session d'entraînement prit fin. Ken n’avait pas oublié sa décision, il portait le masque de l’humour en faisant plus de blague que d’ordinaire, mais il n’oublia pas le regard de Minako, son masque de mort qu’il avait gravé dans son esprit. Le visage plus blanc que la porcelaine. La bouche ouverte comme si elle cherchait son air tandis que des mains invisible l’étranglait. Ses yeux révulsés de terreur. Son corps tremblant tétanisée par une frayeur glacée. Sa peau en nage, son parfum devenu aigre lui agressant presque les narines.

Ken choisit ce portrait de Minako, légèrement exagéré, pour ne jamais plus oublier. Oublier qu’a cause de son égoïsme elle avait bien failli mourrir. Il se sentait si mauvais, tout le monde est meilleur que lui, que ce soit en taijutsu, en futon, en tout. Son seul avantage demeurait donc dans le genjutsu et avait refusé d’apprendre Minako a s’en protéger pour garder ce sentiment de supériorité. Il en avait tellement honte, plus jamais, il se jura que plus jamais il ne tomberait dans se biais. Si il trouvait meilleur que lui en futon, alors qu’il s'entraînait plus. Si il trouve plus fort que lui en taijutsu, alors qu’il combat plus ! Si sa femme avait une faiblesse, alors qu’il lui tend la main au lieu de la regarder sombrer. Désormais, il arrêterait d’être le gros imbécile qui se targuait d'être le meilleur, car il n’etait le meilleur, que dans son esprit. Il etait bien au contraire mauvais, même en temps que petit ami il etait nul.

Il n’avait qu’une envie, rentrer à la maison, il n’avait qu’une envie, enfouir sa main dans son sac, se saisir de la bague de Minako et la jeter au loin. Kaito avait raison, il etait le bon a rien Minako méritait mieux ! Ainsi, il rongea son âme durant toute la session magasin avec les filles.

— Ken, toi qui est un homme t’aimerais que Minako t’offre ca?

—- Hummmm… répondait Ken son esprit comme ailleurs.

—- Ken tu m’écoutes? Lui demanda t'elle fachée.

—- Nan je pense qu’on devrait plutôt passer par la rue Katari.

Kaori leva un sourcil perplexe, et un peu déçu que Ken n'était pas réellement présent. Elle se demanda ce qui le rongeait comme ca. Elle regardait Minako et continua les courses en posant sur les bras de Ken, une jupe trop mignonne qu’elle avait repérée. Elle s'était dit qu’il y avait moyen de joindre l’utile et l'agréable. Elle voulait faire un double cadeau a Ryuku. Une gourmette mais également, s’offrir, elle, en se rendant trés sexy pour son homme. Faire un gros effort pour lui plaire. Pourquoi pas, lui offrir une soirée trés bouillante. Ken, lui, était tellement ailleurs que son visage était presque collé contre le nouveau soutien gorge de Kaori sans recevoir la moindre réaction.

Quand Minako proposa de le sortir avec Kaori, il accepta chaleureusement.

— Pardon les filles, j’ai pas été présent de la soirée. Je vie de plus en plus mal ma perte de bandeau. Je me sens comme diminué, pardon, allez, allons manger !

D’un coté, il était satisfait, si Minako avait accepté qu’ils mangeaient chez eux, il y a de forte chance de croire qu'il aurait pris une bouteille pour boire un coup. Il ne savait pas si Minako le savait, mais il avait commencé une cure à coup d’alcool. Il s’en était rendu compte rapidement et essaya d'arrêter avant que la dépendance ne s'installe. Son manque d’honneur, de confiance, la perte de son bandeau… Tout cela le rongeait. Le masque de mort de Minako l’envahissait et le rappellait désormais à l’ordre. Il devait se reprendre ou il risquerait d'entraîner Minako dans sa chute. Quand il rentrera, il viderait ses bouteilles. Minako qui lui demande son aide lui fait comme un électrochoc.
Durant le restaurant, plusieurs fois, Kaori et Ken s'inquiétaient pour Minako. Kaori l'accompagne aux toilettes. Ken fut de plus en plus inquiet pour sa femme.

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Saut dans le temps, durant ce laps de temps, Ken apprendra le Kai à Minako et profitera également de ses trois semaines, pour se renforcer et surtout travailler sur le Panagolan dans son coin. Ils se retrouvent sur le terrain d’entrainement pour recommencer l’exercice passé.


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— Trois semaines qu'on était là en piteuse etat…. j’ai l’impression qui à six mois pas toi ? Je suis contant que tu sois là Koyama, pourquoi ta voulu nous rejoindre? Quoi qu’il en soit, ça me fait bien plaisir !

— Simple curiosité, sans plus… pis Kaori est occupée avec Ryuku, apparement on peu s’attendre à du lourd dans les jours à venir…. Je sais pas de quoi elle a voulu parler… Vous le savez vous?

— J’ai ma petite idée, mais j’ai pas envie de gacher le bonheur de Kaori donc… secret…. héhé. Bien, pour te remettre au parfum, j’avais surchargé le genjutsu et on a échoué à cause de ça, tu te rappelle de…. HO ET PUIS NON ! écoute, si j’ai réussi mon coup, tu me diras a quoi ca te fait pensé, en espérant que Kaori ne t’ai pas tout dit….



—- Pourquoi elle m’en aurait parlé?


—- Chai pas moi…. Bref, tu es pret?

—- Vasy ma couille ! Dit-il hillare devant le visage déconfit de Ken.

—- Mina, ma très chère élève… Tu goûtes au genjutsu de ton senseï? MONTRE MOI TES PROGRES prend mon genjutsu en pleine face ! OSE, affronte moi ! Dit-il d'un air de défi qui ne présageait rien de bon si elle refusait.

Ken prit un moment pour faire taire Koyama dans son esprit. Prit une inspiration, canalisant le chakra dans son crâne afin de capturer le moment qu’il imaginait. Puis, de son esprit jusqu'à ses mains dans un nouveau Mudra choisi avec soin pour la technique. Koyama pris de plein fouet un gigantesque monstre au corps brumeux comme un fantôme, quatre sorte de ver de terre sortant d’un nuage, quatre faces bien connu de l'assimilateur le fit reculer d’un pas. Une odeur âcre lui prit la gorge au moment où le monstre s’approchait, non, courrait vers lui. Le visage de Manara lui sauta au cou lui claquant la mâchoire contre les oreilles. Megumi aux yeux de chouettes lui sauta au visage, Yoko cherchait à l'écraser. Kimiko la discrète ria d’un rire démentiel. Le genjutsu prit fin trés rapidement, le temps d’un assaut contre Koyama.

—- Mieux? moins bon? tu en penses quoi Minako?

— Koyama tu t’en remet? hahahaha ! Sur encherie Ken amusé.


— Je l’ai voulu rapide et fantomatique parce que pour rappel, ton Katon se greffe dessus. C’est plus facile pour moi, et les mettres en fantôme rendra ton Katon bien plus horrifique… Je devrais je pense cependant, peindre le fantome en couleur Katon je pense, pour que l’ennemi ne sache pas qu’il y a du genjutsu dans ton Katon cependant tu ne penses pas? A ton tour montre moi tes progrès !


—- OUAIS VAS Y PTIT CUL !!!!

Koyama se demandait si elle apprécierait un petit défi, une épreuve de force.
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Sam 27 Aoû 2022 - 18:15
Par tous les damnés de Izanami, pourquoi diable suis-je si faible ? Qu'ai-je fait pour que le karma s'acharne sur moi ?

Depuis que mon cher et tendre m'a tendu la main après la bénédiction du Cardinal, je souffre d'un déséquilibre dont je ne peux connaître la source, s'il vient de mon corps, de mon esprit, ou de mon âme, je ne sais quoi travailler. Peut-être de mon esprit car d'une part je suis éternellement reconnaissante envers Ken, et d'autre part j'ai cette douleur d'avoir survécu alors que des centaines d'innocents sont morts ce même jour, à cause de cette même personne qui aurait pu m'ôter la vie.

En mon for intérieur je crie au secours, ma fragilité est bien trop ancrée et ma procrastination ne peut qu'affaiblir mon bien-aimé. Il m'est impossible de rester les bras ballants au point d'être un boulet à ses côtés. Je peux l'aimer tout en étant moi-même, fière et confiante, pouvant tout autant compter sur mes capacités que les siennes.

Est-il sûr que d'apprendre à utiliser le kai m'aidera à briser cette version ô combien erronée de moi-même ?


La Banshee se releva doucement, au fil des jours, essayant tant bien que mal de retrouver son chemin dans son brouillard ambulant de pensées néfastes. Comme si la poupée en porcelaine brisée se ressoude et repris de la couleur, celle-ci avait l'impression de se recentrer sur elle-même. Peu à peu, elle reprit un comportement un poil plus impulsif. La demoiselle osa de nouveau exprimer ses pensées si elles étaient en désaccord avec celles de Ken, se montra plus ferme tout en conservant un brin de sentimentalisme à son égard.

✘✘✘


L'entraînement au sujet du Panagolan repris donc après que la Banshee née des entrailles de l'odieux cardinal pu grandir avec un repère aussi magnifique que cet homme dont elle est éperdument amoureuse, qu'elle idolâtre comme s'il était son dieu et sa source de vie. Elle pu se comporter avec lui de manière naturelle, sans fioritures et sans prendre le comportement abusif d'une femme sentimentale, sans montrer explicitement ses émotions que ce soit dans le langage verbal ou non, en public.

Ils étaient tous deux avec leur ami, Koyama. Ce dernier testerait la puissance de la technique combinée des amoureux. Tout d'abord, celui-ci verrait les deux parties de l'œuvre séparées avant de juger la synchronisation du duo. C'est ainsi que cette brute épaisse jugea d'abord l'illusion de Ken.

Le corps brumeux et fantomatique se profilant aux yeux de Koyama se rapprochait grandement du thème des Yokai. Il lui était évident que la créature est irréelle mais il reconnaît bien là plusieurs aspects qui ont donné cette œuvre macabre. Tout d'abord, le traumatisme de Ken vis-à-vis des quatre harceleuses dont leur visage et leur comportement est retranscrite sur ce panagolan laissant davantage penser à une odieuse hydre. Ensuite, le fait que la créature est une chimère composée de l'aspect fantomatique, du corps de panagolan et de plusieurs têtes faisant un parallèle avec une hydre, laisse penser que le musicien s'est inspiré de sa dulcinée. C'est vrai, cette dernière adorait les récits horrifiques et les contes vis-à-vis des yokai, du Yomi et de la gardienne de ce royaume des morts. Si elle n'avait pas eu le pouvoir ancestral Meikyû, il est indéniable qu'elle se serait penché sur du Genjutsu axé sur ce thème.

Tout d'abord, Koyama s'assimila, devenant une flaque boueuse, pour esquiver les têtes. Cependant, il oublia que malgré cette forme, il n'était pas insensible au genjutsu, car ses sens étaient toujours présents. L'onkyoton étant la capacité à manier le son, il ne pouvait s'en prémunir ainsi. Cette petite zone boueuse se remua et se reforma plus loin, formant ensuite des mudras afin de Kai l'illusion.

“ Ken aurait-il fait de ses souffrances passées une force en manipulant cette odieuse égrégore de son cauchemar tel un pantin ? ” pensa-t-il. Koyama n'avait à aucun moment pensé que cela pouvait être une solution viable afin de devenir plus puissant. En effet, téméraire, il n'écoutait que son instinct primaire et ne pouvait réfléchir à ce point là, ou plutôt, il ne chercha jamais plus loin que le bout de son nez.

Minako vit de son côté cette œuvre et trouva un certain charme avec le corps brumeux. Il y avait beaucoup moins de détail visuel et auditif et c'était mieux ainsi, un brin de mystère se présentant de manière poétique grâce à l'aspect fantomatique de la créature. Ses pensées parasites n'existèrent pas en cet instant et lorsque la masse se jeta sur elle, en un mudra, son fuinjutsu du Kai s'est rompu. Elle utilisa celui-ci de manière instinctive mais elle était contente de réussir à s'en protéger.

Technique utilisée


« L'aspect fantomatique est bien mieux que la visualisation nette de l'hydre. »

Minako n'était en aucun cas chamboulée cette fois-ci et était ravie d'avoir vu l'illusion de Ken. Koyama haussa les épaules, il n'avait pas vu la première version de l'illusion. En tout cas, il semblait être en pleine forme et content de voir la force du musicien. L'assimilateur était même excité de voir l'œuvre de la chanteuse saltimbanque.

« Ok. » répondit Minako lorsque l'on attend d'elle sa version katon du monstre.

S'en vient le moment tant attendu par Koyama et Ken, la valse flamboyante de Minako. Il en sortit de la bouche de celle-ci une grande flammèche se décomposant en quatre crânes accrochés à leur colonne vertébrale : le design qu'elle arrive à faire correctement tout en perdant son chakra de manière totalement normale cette fois-ci. Des brûlures sévères et suintantes peuvent caresser la peau de quiconque ne se protégeant pas. Rien de mieux que la douceur brûlante de la Banshee…
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Daishi Ken
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Mar 11 Oct 2022 - 14:38
Les poings martelant avec férocité la neige avec une fulgurante vivacité, accompagnant des cris presque bestiale

“POURQUOI !!! AAAAAAAAAARGH”

De sa bouche sortait une gerbe de vapeur de plus en plus intense, c’est comme si du Katon sortait de sa gorge sans le moindre Jutsu. Soudain, son dos craquait dans un bruit étrange d’os brisé. L’humain perdait le contrôle de ses gestes. Tout ça à cause d’un échec, l'échec de trop. Il se mettait bien trop de pression comme à son accoutumé, et comme toujours, la défaite lui était intolérable. Comment aurait-il pu en être autrement? Cela faisait à peine trois heures qu’ils avaient valider leurs formes du Panagolan.

Ken agissait soit trop tôt, soit bien trop tard. La synchronicité était une catastrophe. Il s’énervait contre lui, voyant Minako faire ce qui lui semblait être un ras le bol. A dire vrai, il voyait une forme assise, une forme qui lui ressemblait mais était-ce elle? Ses pupilles se changeaient, prenant une teinte légèrement bleuté d’où s’échappait de petite volute de chakra turquoise.
Une vive douleur le fit serrer les poings au point que index et majeur semblaient fusionner et auriculaire et annulaire également. Le pouce rentrait de plus en plus fort dans la paume de sa main. Une vive douleur le fit tout arrêter. Haletant, il s’accrocha au peu de lucidité qui lui restait.

“Pas maintenant… j… je dois… c… CONTINUER !”
Sans penser à sa propre sécurité, l’homme de boue durcit son poing et l’écrasa sur la figure de l’homme bête.

— Reprend toi Ken !

Pour la première fois, Ken ne broncha pas à se coup pourtant d’une forte violence, les volutes de fumée turquoise brûlèrent comme un feu, l’oni fonça sur Koyama, il n'était plus lui-même. Serrant son poing sur la gorge de Koyama, Ken le fixa d’un sourire monstrueux, si il n'était pas un assimilateur, Ken l’aurait tué.

— Izanami ! CARESSE LE DE TA RAGE Se mit à crier Kaori.

Ken senti autour de son cou, une puissante prise qui l’étouffait petit à petit. Avec l’aide de Koyama, maintenant libre, ils hurlèrent à Minako de venir les aider pour canaliser Kiwe’an.

*******
Quelques instant avant l’incident
*******

Ken n’en pouvait plus, il avait tout donné dans sa représentation du panagolan. La fierté inondait chaqu’un de ses gestes, chaque paroles. Pour la première fois depuis longtemps, il ne se sentait plus comme un raté. Tout avait été parfait, à la seconde, a la brume pret, le monstre gazeux et fantomatique déversait une haine incomparable issu du passé de Ken, qu’il avait gardé enfouis en lui sans que personne ne le sache. Koyama esquiva avec brio les dents carnassier qui claquaient à l’emplacement de son visage, toutefois, les fantômes réussirent à le toucher grace au cris de rage qui le percuta avec violence, un cris d’une horrible bestialité. Ne cherchant pas plus a démolir son adversaire, l’hydre morbide resta figé et cria sur un ennemi qui avait décampé depuis longtemps, puis, disparaissant dans un panache de fumée fantomatique turquoise.
Les mots n'étaient pas nécessaires, même si Minako ne put s’empêcher de remarquer que l’aspect fantomatique, au final, etait meilleur que la version net. Chaques personnes autour de lui etait mi figue, mi raisin. Entre la terreur qu’ils venaient de vivre, et la fierté de voir Ken doté d’un tel niveau de genjutsu. Visiblement, il etait prêt à passé à la suite.

— Ha oui? Comment ça? Mais ça peut du coup etre n’importe qui même Joben avec un groin…. Tu es sure de toi?

— Oui Ken ! Je pense comme Minako, entretenir le mystère augmente l’angoisse, crois moi, je suis dessinatrice, je connais fort bien cette méthode, fait confiance à ta femme un peu ou je te fouette !

Ken fixa d’un air surpris Kaori avant d’exploser de rire. Elle avait raison, Minako a toujours été sa boué, son idole, sa vie, sa reine, sa prêtresse, sa voie. Minako avait toujours raison, et quand ce n'était pas le cas, elle était souvent proche de la vérité. Il se contenta alors de lever le pouce en l’air en guise d’accord. Puis, il lui fit signe de prendre sa place pour qu’a son tour, elle montre ses progrès.

Il tournait d’impatience maintenant sur le gazon mouillé, il avait hâte que Minako fasse ses preuves devant ses juges. Minako etait bien plus important que lui. Il avait tout fait pour l’aider, elle etait tout pour elle, il avait refusé toutes distractions en échange de promesse de grandeur. Elle devait maintenant faire ses preuves. Elle se contenta d’un OK. montrant une forte concentration. Qu’elle était sexy concentrée comme ca. Ken la désirait en cet instant, oubliant presque qu’ils étaient en entrainement.

Son envie fut carbonisé quand le corps de Minako semblait prendre feu pour partir sur quatre figures bien plus reconnaissable que lui. Il eu une grosse pointe de jalousie. Sa maitrise du chakra semblait nettement supérieure à la sienne aux vues du réalisme sur les visages. Il jura cependant qu’elle avait ajouté des atrocités comme un vilain poireau sur l’un des nez mais il n’en etait pas certain. Difficile à dire sur le feu qui danse. Minako semblait être leurs colonnes vertébrales, ou la colonne etait devant elle? Le feu semblait si intense. Ken reconnaissait bien Isanami, sa déesse de la destruction. Elle désirait détruire ses adversaires et cette technique le démontrait largement. Rien que l’apparition des têtes devait lui demander une forte consommation de chakra. Elle devait, ou bien, se sentir en compétition contre Ken, elle devait surement se dire qu’elle devait faire aussi bien, au moins, sinon mieux que lui. Le couple avait instauré une rivalité entre eux, une bonne rivalité. Les meilleurs équipiers qu’il soit, des adversaires intimes connaissant par coeur l’autre, surtout ses faiblesses. Minako semblait avoir une fois de plus cédé à cette faiblesse de l’égo.

Ken réalisa qu’il se trompait peut être, à aucun moment le panagolan de feu donnait de signe de faiblesse, l’avait-elle surpassé? ou est-ce lui qui se sous estimait une fois encore? Il la trouva incroyable qu’il en pleura d’émois, qu’il etait fière de sa femme, il la désirait bien plus encore maintenant.
Il ferait de Minako sa femme ! Son poing serrait fortement le bijoux nuptial dans sa poche, il voulait interrompre l’exercice et lui mettre l’anneau au doigt pour déclarer que l’ame de Minako lui appartenait, avant d’offrir a Minako, le moyen de posséder son âme afin que le couple soit éternellement uni. Une fois encore, il se retenait, convaincu qu’il etait trop tot.

Ken eu alors une idée folle, laissant le bijoux au chaud contre sa cuisse, il invoqua un clone pour courir dans les flammes de Minako, il voulait tester absolument chaque progrès de sa furie de femme, également, sur le plan de la douleur. Il savait qu’il souffrirait mais qu’importe, il se devait de comprendre le panagolan afin d’en maîtriser chaque parcelles. Il se dit qu’en plus, il ajouterai le souvenir de la douleur a son propre genjutsu. C’est alors que deux de ses clones hurlèrent

— Plus fort !!! CRAME MOI !!! DONNE TOUT CE QUE TU AS ! Les clones se jetèrent alors dans le feu ardent de la déesse du soleil.

L’homme hurla quelques secondes, des secondes qui lui semblait des heures. Chaqu’un de ses clones mourut en quelques fractions de secondes, mais c’etait juste assez pour sentir son kimono se faire lécher par un feu d’abord agréable, puis des picotements sur son torse et son visage, des brûlures, il sentait du tissus fusionner avec sa chaire à vif. Il sentait son sang s’évaporé l’instant d’un instant sa peau en cloque explosa comme des pop corn et se changea en eau. Ses os enfin furent calciné. Le tout en juste l’espace d’un souvenir d’une double mort de clone dans un brasier presque aussi vif que le soleil lui même. Ken tomba à genoux. Ses amis autour de lui un peu furieux.

— Mon genjutsu n’en sera que meilleur

— Hein ? Tu le frappe trop fort Mina, qu’est ce qu’il raconte ?

— Vous comprendrez ! et maintenant et si nous reprenions le cours de l’entrainement ?

— Se synchroniser…. dit Kaori sur un ton un peu inquiet.

— Exact !

— Vous devriez vous reposer, vous, vous etes donnez à fond l’un comme l’autre !

— Nan, je veux réussir ! on peu réussir ! S'il te plait mon coeur. Dit Ken en tendant la main a Minako d’un air supérieur.

L’homme s’est bien trompé. Il aura fallut une bonne douzaine d’échec parfois de la faute de Minako trop en avance, selon l’avis de Ken, parfois de sa faute à lui trop rapide à son tour impatient d’en finir avec cette synchronisation qui prenait trop de temps, puis, de plus en plus lent. Il devenait de plus en plus en retard dégoutté que rien ne progressait. Il avait de plus en plus le souffle court jusqu’a ce que Koyama baissant les bras suggéra d’en finir pour aujourd'hui c’etait la goutte de trop qui fit perdre ses moyens à Ken.

*************

Pendant que Ken reprenais ses esprits.


*************

— Ho non, Kenny, qu’ai je fais… Minako, excuse moi, j’avais si peur qu’il sen prenne a Koyama, Ken deviens de plus en plus fort… J’ai du l’étrangler j’espère qu’il va s’en remettre. Kaori avait un air las et démoralisé. Koyama lui, l'allongea pour qu'il se repose.

Cherchant une solution, elle donna rendez-vous a Minako.

— Minako, tu es libre d’accepter ou non… mais je voudrais que tu rencontres Mayuko et Ayumi, se sont des jumelles, elles sont en total synchronicité l’une avec l’autre c’est incroyable ! Elles ont un fort caractère, de vrai peste. Je ne les apprécies pas plus que ça et il m’a fallut du temps pour ne plus les haïr…

Ce qui est intéressant c’est qu’elles ne se séparent jamais ! Elle font tout ensemble ! Elles font rires les gens dans leurs bon jour, elles sont de vrai garce dans leurs mauvais. Si on les séparent, elles dépérissent, et si on les met dans une même pièce sans pouvoir se réunir, elles peuvent faire des crises de panique et crier si fort ! Presque comme toi maintenant que j’y pense hihihi.

Ou alors, je me disais que nous pourrions peut-être chercher un machin qui fait tic tic tic pour la musique là… un métronome là… tu en penses quoi Minako ? Je suis certain qu’avec un Métronome vous y arriveriez tout aussi bien ! mais observer des jumelles vous permettriez de comprendre c’est quoi d’etre totalement synchro? Quoi que tu es décidé, vous etes les bienvenue chez moi quand vous voulez !
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Zaiki Minako
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Jeu 3 Nov 2022 - 12:27
« Tu as eu raison, Kaori-chan, rassure toi. Le moment arrivera où l'humain et l'animal avanceront ensemble, comme un seul être. Je n'en doute pas et c'est sûr que grâce à notre cohésion de groupe ils y arriveront. »

Minako caressait la joue de l'animal tout en activant son sceau insatiable, cela lui permettait d'apprendre à ressentir le chakra absorbé en dehors du sien, mais surtout, pour réussir à calmer la bête qu'est Kiwe'an. Samanosuke trouvait l'animal intéressant, c'est comme lorsque Mitsai était un esprit sans point d'ancrage et dont sa relation avec Minako était plus ou moins houleuse, lorsque celle-ci n'avait pas conscience d'être Meikyû. Ken et Kiwe'an étaient puissants, mais il leur fallait réussir à trouver un terrain d'entente. Peut-être le yasei avait-il un mindscape dans lequel il pouvait retrouver sa forme animale, de la même manière qu'un Meikyû rencontre son ancêtre, ou un gladiateur avec l'âme de son artéfact.

Koyama avait pu s'assimiler pour éviter de ressentir les effets de l'étranglement, ou du moins pouvoir s'en échapper en devenant boue et Kaori semblait réellement inquiète de l'état semi-animal du yasei.

« Nous devons trouver une solution pour améliorer notre synchronisation, ensemble. Nous avons encore beaucoup à apprendre, ne t'en veux pas pour ça s'il te plaît. » murmurait-elle à l'oreille de son doux chéri. « Me fais pas cette tête là parce que dans un duo s'il y a un échec, c'est tout autant la faute de l'un et de l'autre. Ça te rassure ? »

Minako était intéressée par la proposition de Kaori, par ailleurs elle réfléchit car la description et les noms des jumelles lui rappelaient quelque chose.

« Attends, attends, Mayuko et Ayumi, ce sont les deux hyperactives rousses nan ? »

“Que de souvenirs, cette toute première mission avec Akagi…”

La difficulté de leur faire comprendre que même individuellement, elles étaient très fortes et qu'avec de la confiance elles peuvent réussir à briller au sein de leur promotion, était bien présente. Cela dit, c'est un comportement normal en tant que jumelles que d'avoir des difficultés à se séparer et que leurs désaccord pouvaient donner lieu à des réactions épiques.

« Moui, même en dehors du fait qu'on doive comprendre de quelle manière elles arrivent à se synchroniser ça me tente bien de prendre de leur nouvelle depuis la dernière fois. »

Avec Mitsai, c'était d'autant plus difficile car elles ont un corps pour deux, donc si elles se disputaient, aucune d'elles ne pouvaient bouder dans leur coin et c'était ô combien invivable. Minako se reconnaît un peu en ces deux filles en cela.

Les jumelles sont assez drôles à finir les phrases de l'autre. Elles expliquèrent entre deux fou rire qu'à force d'être toujours ensemble à force de faire les 400 coups, elles se connaissent par cœur. Qu'en évaluation de combat d'équipes, elles sont les premières ex aequo de la classe car elle peuvent anticiper et enchaîner les coups en fourbe, ou plutôt leur gribouillage, qui se complètent très bien et partent de différents côtés, peuvent être aérien ou terrestres, discrets ou gros, pour augmenter l'effet de surprise chez leur adversaire. Elles peuvent aussi sentir les faiblesses de l'autre et s'entraider ainsi.

Grâce au métronome qu'a pu obtenir Minako grâce à l'atelier de son grand-père, le duo peut s'entraîner à améliorer leur synchronisation avec de tout bête exercices musicaux avant de se synchroniser dans leur propre technique par exemple. Ils se devaient de jouer là-dessus pour parvenir à leur fin.
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Daishi Ken
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Mar 15 Nov 2022 - 23:23
— Tu sais Minako, j’ai un ami Inuzuka qui ma démontrée que l’homme est un animal. Si je ne connaissais pas Ken je n’y aurais pas crus. Je partage sa théorie, Ken vie carement avec un animal en lui… Kaori génée détourna le regard.

Elle crut voir dans les yeux de l’homme-bête une sorte de douce souffrance, ou est-ce de l’épuisement en mesure que Minako le caressait. Sa main semblait luire d’une couleur turquoise à chaque passage sur la joue de l’Akuma vaincu. Elle crut voir au même moment, sur le visage de Minako, à chaque caresses, un air de bonheur sur son visage, surtout quand elle levait les yeux au ciel pour lui parler. Etait-ce du plaisir ? De l’orgasme ? Un peu comme si l’esprit dévorant le chakra de Ken, transférait son plaisir gastronomique à son hôte, que Minako du coup, semblait ressentir le plaisir presque sexuel à manger le chakra de Ken. Ou, est-ce précisément l’idée même que se soit le chakra de Ken qui entre en elle qui l’intéresse tant ? Une sorte de fétiche ninja et dont, Ken répondait présent à la demande de son épouse, enfin, future épouse.

« Il faut dire, qu’il ferait tout pour elle, il se couperait les testicules, si elle lui demandait… RHAAA LES MECS ! Qu’est-ce qu’on les aiment pour ça ! »

Malgré le fait que Ken ait repris son apparence classique, Minako continuait à lui caresser les cheveux, prélevant parfois un peu de nourriture spirituel. Ken, se laissait faire, il semblait que lui aussi prit un certain plaisir à servir de garde manger pour l’esprit.

« Qu’elle bande de dégueulasse… mais bon… je n’aurais pas dis non a ce que Ryuku me suce le chakra comme ca…. » Rougit Kaori.

— Minako, est ce que tu crois qu’un jour….. je…. Enfin tu… heuuu non laisse tombée…. Hihihi

« Je suis tarée moi ! Ho mon dieu, me faire prendre le chakra comme ca, que penserais Ryuku…. Enfin reprend toi ma puce ! »


— Nan vraiment oublis… hum

l’animal, dans le corps de Ken, voulu gronder de fureur, mais, épuisé, il s’écroula sur le sol de son mindscape.

« Entrange, j’ai comme l’impression que l’on puisse communiquer d’esprit à esprit c’est curieux, je sens les lèvres de Samanosuke, il me fait du bien, mais quand j’aurais repris des forces, il me le payera, me lécher le chakra sans me demander…. Ho oui, profite, tu me le payeras… Samanosuke… profite, tu es désormais mon ennemi… tu oses me dévorer sans me demander mon avis, profite, la prochaine fois, je te croquerais aussi, et tant pis si la petite perd son bras…  »

L’esprit Yasei de Ken, peu à peu s’endormit en lui, comme apaisé de force. Ken sentit toutefois une pointe de rage, il sentait bien que Kiwe’an soit furieux que Minako le calma de force, offrant a Samanoske son chakra sans son consentement. Il se sentait bien que son esprit se sentait piégé, comme un garde-manger pour Samanosuke, cette idée lui déplut également mais d’un autre coté, Minako a fait ce qu’il fallait pour éviter une catastrophe. Il crut sentir à l’instar de son dégoût, le plaisir pevers de Samanoske à le prendre ainsi, tel un sandwish que l’on mange sur le pouce sans réfléchir.

« Soyons plus fort mon ami… et plus personne ne t’insultera de sandwich…. »

Minako enfin susurra à l’oreille de son homme qu’ils ont échoué ensemble, que c’est la défaite du couple, pas seulement de Ken. Qu’ils trouveront une solution.
Soudain, il ne l’avait pas remarqué avant, mais, il avait chaud, extrêmement chaud, comme si du Katon bouillonnait en lui. En se concentrant bien, là sur sa joue, la main de Minako diffusait une chaleur extrême. Est-ce que Samanoske était repus ? Etait-ce normal ? Ken n’en dit rien, il feinta d’être épuisé à cause de son chakra volé, en réalité, il ne désirait qu’une chose. Prolongé l’instant. Il avait l’impression que Minako lui transmetait du chakra a travers cete main bouillante. Ken n’avait plus froid, n’avait plus faim. Il s’en fichait même de cette défaite, il voulait juste prolonger cette sensation de chaleur qu’il ressentait sur tout son corps, c’était même, en lui.

— Tu as raison mon cœur, mais je déteste te savoir dans l’erreur, tu es ma voie, mon guide, mon bonheur, je préfère me dire que tout est de ma faute… Tu comprends ? Même ie dans le fond tu as raison, cette faute incombe à tout les deux, je préfère me dire que seul moi ai échoué. Tu es ma perfection,une perfection n’échoue jamais hahaha… NAN BOUGE PAS, continue….

Ken prit la main de Minako l’embrassa et se la posa sur la joue en l’appuyant sur sa propre joue.

— Je comprends mieux, c’est comme si ton chakra se diffusait en moi… c’est si chaud, je n’ai pas froid alors qu’il neige… restons encore un peu, s’il te plaît…

Lorsque, au bout d’un certain temps, finalement le couple bougèrent, Ken en profita pour forcer Koyama à venir chez eux et lui offrir le couvert vue ce qu’il a fait à son ami. CE dernier accetpa sans aucune once de reproche . L’occasion de manger à l’œil les plats d’un quasi-chef cuisinier. Kaori également est invitée.

— Attend Minako, ça m’intrigue, comment connais tu Ayuyu et Mayuyu, oui c’est les rousses ? Pardon Ayumi et Mayuko… j’ai voulu te le demander mais j’ai préférée vous laisser finir vos affaires… Ken, wow tu es toujours aussi doué c’est fou j’ai même l’impression que c’est meilleur encore ! Ta soupe Mizu juste, wow !

— Le gingembre, c’est mon secret, ainsi que des pommes… on dirait pas hein ? Mais les pommes change le goùt au potage, il fallait y penser…


****

Quelques jours plus tard, Ken et Minako car invité de Kaori son accepté mais limité dans l’enceinte des Suzuris, les jumelles ont bien accepté de passé du temps avec eux, par souvenir de Minako.

***

Les jours passés, Ken était surpris de les voir ainsi. Kaori n’avait pas menti… Ken avait même osé un genjutsu sur l’une. L’autre la su presque a l’instant risquant de peu l’incident. Heureusement Kaori avait fait le nécessaire. Ken fut en partie occupé a réparer sa faute en jouant les larbins. Cependant, l’exercice fut des plus intéressant et plaisant sur la fin, puisqu’il a pu se rapprocher bien plus de Mayuko, qui au final, l’un comme l’autre apprirent a se connaître et à sympathiser. Ken lui avait promis d’utiliser son Daaku Shuuha, l’ivresse intestine, sur l’une des personnes qui faisait du mal a sa sœur. Elles avaient tellement rient en voyant la victime se tortiller du cul en pleurant.

Ken constatait que l’une finissait la phrase de l’autre, sauf si l’autre ne montrait aucun signe de gène. Il réfléchissait la nuit même au mimique de Minako, quand celle-ci était gênée, en furie, joyeuse… qu’elle signe indirecte envoyait-elle ? Kyoko et Megumi les chouettes jumelle de son enfance ne semblait, dans ses souvenir, jamais eu une complicité aussi puissante, pourquoi ?
Même les dessins d’Ayumi et de sa sœur étaient sois identique sois complémentaire ! Ken se dit qu’il demanderait a Minako de faire cet exercice dés qu’ils auraient du temps. Les coups de fourbe aussi etait identique. D’ailleurs, les deux avaient ris si fort quand Tetsuya s’était mis a se tortillé du cul en criant ouille, lorsque les vibrations du Daaku Shuuha lui avait compressé les intestins. Elles avaient déssiner toute deux un groin et des oreilles de porc, mais aussi avaient tâché d’encre le vêtement de leurs victime devant et dérrière. C’etait au tour de Ken d’etre hillare ne pouvant plus faire une seule note tellement il riait, la victime en avait profité pour fuir en pleurant.

Ken alors avait compris son erreur, en se qui le concernait, soit il forçait Minako à le suivre sans donner aucun signal de départ en se disant « de toute facon elle me connaît par coeur », ou au contraire, il attendait que Minako bouge, mais quand elle s’exécutait, il n’avait eu aucun signal de départ. La solution etait simple, il fallait, un tempo. LE TEMPO ETAIT LA CLE ! Les sœurs etaient d’une synchronicité parfait, attendant un signal pour bouger, ou connaissant par coeur sa sœur, elle attendait qu’elle ne sache plus quoi dire pour prendre le relais. Leurs tempo etait ideal.

Minako et lui même allait devoir maintenant travailler sur le tempo tout en se trouvant un signal de départ rapide et discret, peut etre utiliser le Dengon angouka ?

Ken fit son rapport a Minako en lui demandant si elle voulait bien pour s’amuser voir si ils etaient aussi parfaitement en symbiose que les deux sœurs. Il lui proposera pourquoi pas, de déssiner problème, Minako est plus douée en cuisine. Tant pis, aprés tout son shemas du Panagolan etait pas un si gros désastre  si? Il lui proposera ainsi ses thèmes, si elle voulait bien : un outil, une personne, un alliment, un animal, un ustensile.

— Ca te va ? Et toi tu as des envies niveau thème ? Demain on reprend l’entrainement ? Qu’as tu appris toi des filles ? J’ai adoré l’experience j’aurais bien voulu continuer hoHAHAHAHAHA si tu avais vue la tête de Tetsuya…. HAAHAHAHAHAHA….. elles m’ont promis de me couvrir donc bon…
Devant l'air peu fiere de sa femme, Ken eu besoin de se deffendre, instinctivement, il savait ce que Minako allait dire.

— OUI JE SAIS cherie, j’ai fait confiance a des étrangers, ta raison, nan mais ta raison j’aurais pas du…. Mais bon tu me connais… pis Kaori elle est pas une étrangère elle, je vois pas ce que je risque franchement… pis au moins, j'ai gagné l'amitié de Mayumi, j’ai pu remarquer mes erreurs. De ton coté aller dit moi tout !Ken versa un bol de soupe Mizo avec des Crevette devant Minako, comme à son habitude, il servait toujours Minako en premier. Instinctivement, il se rassurait, garentissant que sa femme ai de quoi manger, se faisant passé au second plan.
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Zaiki Minako
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Sam 26 Nov 2022 - 13:07
« Quoi qu'il en soit tu pourras toujours me demander ce que tu veux au moment voulu, Kaori ! »

Minako se demandait ce que pouvait bien penser sa camarade. Quoi qu'il en soit, que le petit groupe se réunisse au complet pour manger lui faisait le plus grand bien. Par ailleurs, Kaori se demanda comment elle connaissait les jumelles en question, ce à quoi la banshee lui répondit.

« Ma première mission en tant que ninja… était de remplacer un professeur et d'animer une journée sportive dans une classe avec cinq éléments perturbateurs dont Ayumi et Mayuko, et ce quand Akagi était genin. »

C'était drôle, de s'être lancé un défi en parallèle que de réussir à canaliser tous les apprentis ninjas. Un air de défi aussi bien pour les deux ninjas que pour les deux groupes qu'ils avaient formé ce jour-là. Elle avait répondu à l'interrogation de Kaori et c'était de manière paisible que la journée se termina.

_________________

Les jours passèrent et Minako revit les deux jumelles. Elles avaient grandi mais étaient toujours aussi fougueuses et pleines de vie. Elle se rendit compte de son erreur lorsqu'elle s'entraînait aux côtés de Ken : elle ne donnait aucun signal elle aussi lorsque c'était le bon moment. Et la solution en effet serait un signe particulier au dengon angouka, un certain son, pour qu'ils puissent être sur le même tempo. Minako devait en faire part à son homme à un moment donné afin que leur couple ne soit que plus fort. Le soir venu lorsque le duo discutait de leurs journée, Minako réagit à ces potentiels exercices pour tester à quel point ils sont synchronisés.

« Bah pour tester notre symbiose de couple on pourrait dessiner des instruments de musique ? Tu connais mon incroyable talent du dessin qui sublimera le tien. » lui fit-elle savoir, sur une pointe d'humour étant donné qu'elle dessine aussi bien qu'un enfant de 5 ans. Elle avait qu'une envie, rire par rapport au fait qu'il ait utilisé sa technique de l'onde sombre pour défendre les deux petites Suzuri, mais elle se contenait pour renforcer son esprit bon enfant qui apprécie embêter le monde.

« En vérité, je pense aussi avoir trouvé mon erreur. Moi aussi ne faisais aucun signe lorsqu'on devait donner l'assaut, c'est une honte que je ne sache pas donner le tempo pour ! » dit Minako lorsque Ken lui sert sa soupe miso aux crevettes. Elle attendit qu'il se serve avant d'en boire quelques gorgées. Elle adorait toujours autant la nourriture que préparait son homme.

« En tout cas, oui utiliser le tempo via un code morse semble être la bonne idée, quand tu veux pour qu'on réessaye afin qu'on finalise notre œuvre d'art ! »
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Daishi Ken
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Dim 11 Déc 2022 - 19:12
Kaori ne put s'empêcher de se caresser le ventre quand Minako lui proposa de pouvoir tout lui demander. Elle rêvait de pouvoir déssiner des nues. Ainsi, peut-être que Minako pourrait la convaincre de forcer Ken à poser nue pour elle… Voir même, un nue du couple? C’etait une grande demande, elle ne le savait que trop bien. Aussi, se mit-elle à rougir en imaginant ses amis nue posant pour elle. Elle se secoua la tête.

— Oui… jee… je te promets d’y penser, peut-être que tu pourrais… enfin je retiens ta déclaration, tu me promets que quoi je te demande, tu ne te fachera pas?

Dans l’esprit de la Suzuri, il était clair qu’un jour ou l’autre, elle rendrait ses deux amis immortels sous ses coups de pinceaux sous le signe du couple originel. Au pire, peut-être une œuvre exquise où Minako aurait son Harem avec des hommes nues? Elle trouva l’idée intéressante et le garda dans son esprit pour plus tard. Ce n'était qu’un déssin, pas comme ci ils allaient s’offrir à elle dans une relation tordue voir obscène. Elle imagina d’ailleurs une simple serviette couvrant leurs attributs et Minako assise sur un trône dans une attitude de reine, jambe croisées que seul Ken caressait d’une seule main. La vision de l’homme, selon Kaori, au service de la femme.

Plus tard, alors que Kaori gouttait le plat de Ken, illustrant parfaitement sa vision de l’homme. Ken, fidèle à Minako, œuvrait chaque jour pour lui faire de bon petits plats, Ken avait compris ce qu'était un homme, un vrai. Son homme n'était pas en reste, ce dit-elle, en lui enroulant sa jambe autour de la sienne sous la table, se mettant presque assise sur lui. Ce dernier répondait parfaitement à l'ordre silencieux comme prévu en lui donnant la main, que son homme était attentionné, c'était le meilleur. Son Ryuku !

Minako répondit à sa question, en lui disant connaître les jumelles lors de sa première mission en temps que remplaçante de prof de sport. Kaori ne pouvait que rire quand elle apprit combien les deux sœurs lui en avaient fait baver durant qu’une mission, elle, elle se les farcissait tous les jours !

_________________


Plusieurs jours se sont écoulés lorsque le couple décida d’aller sur le terrain d'entraînement, seul cette fois. Afin de n’etre pas dérangé par qui que se soit. Ils attendirent la fin de la journée afin de s’y rendre. Ken avait fait des milliers de simulations mentales afin de visualiser leurs succès. Etape qui selon, Hanzô sama, était capitale. Savoir que l’on est condamnée à réussir, augmentait selon lui, drastiquement les chances que ce même succès s’accomplisse. Il lui avait dit

“ Une idée mûrement réfléchis, a toujours tendance à se réaliser”.


Selon son professeur, ca ne garentissait pas la réussite mais dissipant les doutes et les peurs, l’esprit est plus léger, plus serein, les gestes plus sûre. La réussite devenait presque une évidence.

Sous le ciel bleu foncé, et les nuages blanc, grisâtre et rosâtre reflétant le soleil couchant. Ken n’avait pas perdu de temps, il n’attendait pas sa femme, assis en lotus, il s’entrainait il l’imaginait, fatiguée, impatiente, peu coopérative à cause de sa longue et pénible journée au Kubyuu. En plus d'être une tête brûlée sur le terrain. Il fallait la voir la dernière fois, soit en ne l’écoutant pas, soit en partant sans crier gare brisant la synchronisation. Les seules fois où il percevait une once de réussite était lorsqu' elle donnait le signe de départ ! De plus, le fait qu’il donnait le signe du départ était trop évident. Il était trop réfléchi, il lançait le départ quand ils avaient l’ascendant, quand ils étaient hors de danger. Minako avait cette impulsivité prenant n'importe qui au dépourvus. Il se demandait même si un genjutsu de Minharem n'était pas une splendide idée !

Il se secoua la tête afin de chasser ses idées perverses pour se focaliser plus sur l’exercice et moins son pantalon. Il se remémora l’exercice de dessin, il avait rit en disant que le dessin de Minako était un éléphant alors qu’elle avait dessiné une trompette. Il avait bien sûr tenté de ne rien lui dire, mais le rire était plus fort que tout ! Les deux semaines qui ont suivi étaient magique. C'était limite s' ils ne se lavaient pas en même temps. Ken sourit en repensant au Onsen en amoureux qu’il avait improvisé pour eux. Chauffer une bonne dizaine de litres d’eau de l'étang grâce au Katon de Minako. Enfin il soupconna que Minako avait utilisé son Katon, au vue de la rapidité que les barils chaud arrivaient bouillant. Ils étaient plus qu’un couple, une seule personne scindée en deux.

Il etait si fier d’elle. Ensemble, ils avaient comblé les lacunes de l’autre l’aidant à trouver l’erreur. Confirmé durant ses deux semaines “siamoises”. Ken patienta tout se temps, Elle devait surement se demander ce qu’il attendait, limite, si il n’avait pas renoncé. Cependant, il lui saisit les mains brisant l’armonie, alors qu’elle lui tendait les biscuits sans même réfléchir. Il lui dit

— Ca y est mon amour, je pense que nous sommes prêt, regarde, je t’ai choisis tes vêtements sans même m’en apercevoir, d'ordinaire, je me trompe. Là, regarde, sans même que je ne le demande, tu me tend les biscuits. Je pense qu’on arrive à etre en symbiose ! Tu as réfléchi à quel code de départ on peut se donner pour lancer la technique?


Ken était si fier de sa reine. Elle était si parfaite, devenir un peu plus comme elle et lui transmettre de lui même, était une joie immense. Il soufflait, il pensait soudain la voir arriver. Il se leva, croisa les bras sans même s’en apercevoir.

— Salut mon coeur, prête à commencer? Il avait hâte de savoir si tout ceci était une perte de temps ou non.


Dernière édition par Daishi Ken le Sam 7 Jan 2023 - 22:50, édité 1 fois
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Zaiki Minako
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Mer 21 Déc 2022 - 23:00
Minako revenait après une longue journée dans les locaux du Kyuubu, bien plus sereine qu’à l’accoutumée. Elle avait récemment acquis un métronome qu’elle avait posé sur son bureau de travail, ce qui lui permettait de chasser toute pensée parasite. Depuis quelque temps, elle s'entraînait à être aussi sage et stratège que Ken, à essayer d’anticiper ce qu’il souhaiterait. Ce soir-là, elle a choisi de rapporter une boîte de biscuits sablés à son fiancé, en essayant de se mettre à la place de celui-ci. Elle revint avec le sourire et vit son prince charmant dans le jardin zen, alors elle s’approcha avec sa boîte. Il semblait heureux et conquis, affirmant qu’ils étaient prêts à finaliser leur œuvre.

En un claquement de doigt, nous devrions être prêts à montrer ce bébé à notre cible. J’espère que ça te va.

Elle-même en était sûre et de part leur symbiose qu’ils avaient acquis depuis le début de la création de ce panagolan, ils pourraient désormais réussir leur bouquet final. Sa patience est bien plus présente, Minako ne semblait pas fatiguée, ni énervée pour une quelconque raison. Le tout parce qu’elle arrivait à penser à l’instant présent, à avoir un focus sur la seule chose importante pour elle, ou dans le cas présent l’être aimé.

Je suis prête, mon Kenny.” répondit-elle avec un calme qu’on ne lui connaissait pas. Elle qui agissait avec une fougue et une impudence naturelle, semblait changée, sereine. Peut-être était-ce la situation qui le voulait, dans tous les cas, elle se sentit bien d’avoir ce comportement. Ainsi, ils se mirent en situation et firent plusieurs essais de leur technique couplant illusion et spectacle visuel du couple. Leur symbiose fit que le couple semblait réussir à frapper, d’un seul homme. Une sensation bien familière à la réalisation d’une barrière divine, mais plus intense au vu de la nature de sa relation avec Ken.

Je suis heureuse qu’on arrive à progresser ainsi. Ensemble, on est imbattable.
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Daishi Ken
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Sam 7 Jan 2023 - 22:48
En pleine transe, le gennin n’avait prêté aucune attention au changement fluctuant de son univers, mais surtout les prémices de l’ennemi naturel des fermiers de Kumo. C’est que lorsque seulement, apercevant Minako, qu’il se rendit compte de la présence de la menace grandissante. A présent que sa moitié, sans le savoir, à brisée sa méditation, Ken ressentait le froid de l’hiver lui saisissant les côtes de l’intérieur. Transit de froid il sautilla sur place, mais également, afin de réveiller son corps.

L’impitoyable Kamakaza kumojin éffilé comme un millier de lames glaciales, tentaient de couper le village en une seule fois et en milliers de fin copeaux de bois.Prenant Kumo en otage sans s’annoncer, la faucille venteuse battait les cheveux du gennin, ses vêtements virevoltaient au point de se faire pratiquement arracher, à entendre le son du tissus claquant contre sa peau rosée, le son reflétait aisément comme de la douleur.

L’homme veille, croisant les bras, il halète de froid, à chaque souffle, un long dragon blanc sortait de sa gorge pour rejoindre les cieux, aussitôt coupé et avalé par le kamaza gourmand de carnage. L’homme bougonne dans son esprit. Le kamikaze lui hurle au visage, une rage, une volonté de le faire plier. Le vent semblait vouloir dominer les gennins. Un vrombissement provenant des arbres donnait une voix terrifiante au kamakaza . Une sorte de huer néfaste, un requiem divin en l’honneur des kumojin mort récemment.

D’un coup, l’homme fixa Minako en écarquillant les yeux, il resta stoïque et lui invita à se taire. Les résultats de sa méditation parvinrent à son esprit. Il comprenait mieux les conseils de son beau-père entre deux insultes.

« Ken, ton futon est comme toi, stupide ! Un futon aussi ridicule... Tu es la honte de Kumo. Comment oses-tu vouloir protéger Minako, avec un futon aussi infantile ! Soit comme le Kamakaza, attaque de tout coté, sois froid, mordant, coupant ne relache jamais ton assaut! Cesse donc ses jutsus pipi caca, tu es un adulte…. »

Il devait avouer que son beau père avait vu juste maintenant qu’il affronte en se moment même le divin destructeur. Ses oreilles, ses doigts, même ses yeux piquaient, la cruelle divinité ne lui laissait aucun répit, attaquant chaque parcelle de disponible, allant même s’insinuer entre ses ongles couleur d’ équimose. Son corps virait à une teinte légèrement violette. Il resta pourtant de marbre. Serrant les doigts, il méditait depuis cet après-midi mais se n’est que maintenant que l’esprit du vent se montrait, féroce, sauvage, affamée de chair et de bois. Fermant les yeux, son esprit fusionnait avec le Kamikaze. Il avait dépassé le stade du froid , il n’avait plus sa conscience là où il se trouvait.

Il secoua son visage comme si l’esprit le chassait avec férocité. La vocifération divine lui arracha une grimace, il cessa de sourire à Minako comme à son habitude. Son ton changea pour devenir dur, tranchant, un brin carnassier.

« Si tu es prête, alors, allons-y , en prenant notre temps. Dans un premier temps, si nous réussissons. Réessayons sans attendre avec une vitesse adéquate, ensuite, d’accord ?» Dit-il pour briser le silence.

Au-dessus d’eux, à travers l’épaisse couche nuageuse blanche et grise on pouvait encore voir apparaître le ciel rose du soleil couchant. Ken fixa sa conscience sur Minako et lui sourit tendrement, le regard d’acier, il était fin prêt ! Il ne se sentait plus tellement Ken, mais à la fois une extension de Minako ainsi que lui même. Une sensation étrange qu’il ressentait parfois depuis qu’ils s’essayent à cette technique. Comme si, son âme fusionnait avec celle de sa compagne. Sensation fort étrange, en premier lieu désagréable, l’impression de perdre sa liberté, de n’être plus être soi-même, d’avoir constamment une personne dans son crâne. Finalement, avec le temps, l’habitude.

Il avait l’intention de devenir le clone de Minako, le sourire qu’il affichait, etait l’exact copie de celui qu’il recevait. Il savait qu’elle en ferait de même. Elle devait guetter, sûrement, comme lui le faisait a l’instant, le signe du départ quand soudain Minako indiqua le début de la technique.

La fluidité fut incroyable. Tel un métronome, sur le premier boom de son cœur, il avança un pied afin de prendre la posture de Minako. Troisième boom, il lança sa main gauche contre sa droite droit devant lui dans la posture du chien, afin d’entamer le premier jutsu et reprendre son souffle. Sur le sixième, le troisieme jutsu, celui du cochon.

Du tempo adéquate, Ken fit jaillir de ses mains, petit à petit une masse grise dans le feu de Minako qui se dressa devant lui. L’esprit éthérique né des cauchemars du couple prit grossièrement forme, une masse informe au milieu, pour se séparer en trois au-dessus du feu. Rapidement, trois visages apparus dans le feu créer par Minako, celle des enfants de Jashin. Manara y avait une place de choix au milieu. Comme convenu avec Minako, pour facilité son travail. Ken se servit du feu afin d’imiter des entrailles ayant l’air coulant sur le sol en grosse flaques sanglante.

Le kamakaza lui même admit sa défaite, du feu probablement issus du courroux de Minako, les lames divine du vent n’nurent plus aucun effet dans les cinq mètre à la ronde, le vent froid mêlé au feu se réchauffa d’un coup, de façon nette offrant une sorte de petite tornade sans grande répercussion pour le village. Ken valida la suppression légère des visages, plus du domaine de Minako pour se focaliser sur les détails effrayant comme les rires des femmes, ou encore, des sons de gorges immonde afin de rendre la créature pratiquement vivante. Il détailla toutefois certains détail visuel comme les cheveux blanc au vent.

Avait-il réussi au yeux de Minako ? Il n’en savait rien trop occupé a maintenir son jutsu afin de savoir combien de temps il pouvait tenir, mais pour lui, c’etait une véritable réussite ! Son seul regret et de n’avoir eu aucun spectateur sur qui lancer son illusion. Si Minako est toujours d’accord pour recommencer, il se jura de créer un clone ou mieux, utiliser un clone de sa douce, avec son autorisation.

« Tes impressions ? Moi je suis fier de toi ! Cette chaleur est hallucinante ! Je suis d’accord, ensemble, nous sommes imbattables ! Atchou  Recommençons une dernière fois, s’il te plaît, à vitesse normal….» Ken hésita puis se lança.

« Et si on y ajoutait des clones pour mesurer l’effet de ton feu et surtout de mon illusion ? Mettons-les l’un a coté de l’autre pour qu’ils se prennent le coup. Enfin, si ça te dit Atch…. » Ken se sentit un peu fiévreux mais tenta de le cacher a Minako.
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Zaiki Minako
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Lun 16 Jan 2023 - 22:56
Les flammes qui sortirent de la bouche de Minako furent d'une chaleur telle que celles-ci pouvaient sévèrement brûler à l'impact d'une personne. Elle se sentait fière de ses progrès, elle se sentait prête à affronter les ennemis avec Ken, mais elle avait encore besoin d'une vérification pour savoir si leur œuvre était bien conforme à leurs attentes. Et Ken ne se fait pas prier, car celui-ci lui propose un dernier essai en essayant cette étreinte du panagolan sur des clones.

« Je suis vraiment fière de notre duo, il s'améliore de jour en jour. C'est ok mais souviens-toi que tes clones venteux doivent être dans une zone déserte pour éviter d'alimenter les flammes. »

À ces mots, Minako crée deux clones parfaitement neutres qui sauront apprécier, tour à tour, chaque miette de leur spectacle. Une fois en usant le Kai unique afin d'apprécier les caresses du squelette de feu, et une autre en faisant un bon de côté, en appréciant l'aspect fantomatique et peu ragoûtant des viscères de cette créature aux quatres visages étranglant cette dernière qui implosa en s'etouffant. C'est à la suite du retour d'expérience de ces deux pâles copies de la Banshee que celle-ci confirma que le duo était devenu parfaitement synchronisé. Elle remerciait intérieurement le Nara adepte de Izanami, sans lui et sa folie meurtrière, le couple ne se serait jamais rapproché au point de ne faire qu'un pour ce genre de technique démoniaque. Elle fit deux autres essais avec Ken, en prenant pour cible les clones venteux de ce derniers, avant de reprendre la parole.

« Tu ne penses pas que ton Genjutsu est réellement magnifique maintenant ? Avec mon katon enveloppé sous cette illusion, c'est comme si je te protégeais avec toute la passion que j'ai pour toi et pour ton art. Je te sens fatigué et un peu malade, je te suggère qu'on puisse se reposer maintenant. »

Minako caressa la joue de Ken avant de l'embrasser tendrement.

« Je t'aime chéri. Nous pouvons mieux nous protéger et montrer au monde ce que le Crépuscule peut réaliser avec toute sa passion. »

Spoiler:
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