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Tora Okotta
Tora Okotta

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Ven 26 Nov 2021 - 20:28
Le soleil se levait à peine, mais en cette journée rien ne servait de le chercher. La pluie tombait sans cesse, ne faiblissant pas une seconde. Des trombes d’eau s’abattaient sur la fenêtre de l’appartement de Tora Okotta qui regardait par la fenêtre comme si de rien était. Le regard perdu dans le vide le jeune homme repensait à ses années passées, des années bien seules. Nombre de fois le shinobi c’était retrouvé errant sous une pluie battante comme celle-ci ne voulant pas rentré chez lui trop tôt afin de ne pas infligé à ses parents la vue de l’heure enfant battu par les autres membres du clan. La peine et l’impuissance qu’il pouvait lire dans leurs regards était bien plus dure pour lui à supporter que la douleur des coups qu’il avait pu recevoir. Le jeune homme regarda de longue minute le temps, ses yeux apercevant de temps à autres une silhouette courir se mettre à l’abri du déluge. Pour autant malgré que le spectacle qui s’offrait devant les yeux d’Okotta lui rappeler de mauvais moment, pour le jeune homme cela était également bon signe, cette pluie s’amblant s’abattre pour laver tout les tourments qu’il avait pu subir par le passé. Un sourire s’étira des lèvres du ninja. Dans ses mains serrées, un parchemin se trouvait. Ce parchemin qu’il tenait fermement dans sa main était sa première mission depuis longtemps. Le jeune homme avait du se rappeler au bon souvenir des ninjas de son village afin d’avoir ce papier. Il ne connaissait pas l’ordre de mission, seulement un lieu de rendez-vous, mais cela ne l’étonner guère. Il n’allait certainement pas être lâché par ses supérieurs comme cela sur une mission, il devrait faire ses preuves à n’en point douter.

Okotta était tiraillé par divers sentiments. L’appréhension d’abord, parviendrait-il à mener à bien cette mission ? Serait-il un poids pour son/ses coéquipiers ? La joie également, car cette mission serait un tournant dans sa vie. L’impatience également commençait à s’inviter à la fête, mais celle qui était le plus marqué rester tout de même la peur. Cette peur d’être rejeté de nouveau par autrui et de ne pouvoir échanger des mots avec les autres. Il avait bien entendu commencé à combattre cette peur lorsqu’il avait discuté avec les responsables afin de pouvoir bénéficier d’une mission, mais également lorsqu’il était parvenue à discuter avec une jeune shinobi qu’il avait rencontré devant l’Assemblé Calciné. Nul doute que cette fois-ci encore il ferait son maximum afin de changer sa personne, car tel était son objectif s’il voulait changer sa vie en profondeur.

Tora pris une profonde inspiration. Rien ne servait de se questionner plus, ni de ressasser de mauvaise chose. La seul chose qu’il pouvait faire maintenant, c’était aller de l’avant. Se retournant il attrapa sa Guan Dao, puis sorti de chez lui d’un pas décidé. La pluie s’abattue sur lui aussi violement qu’elle put, glissant sur sa cape imperméable. Le jeune ninja déambula dans les rues, mais contrairement à l’ordinaire aujourd’hui il avait un objectif, un lieu ou se rendre et ne marchait pas aux grés de ses envies. Cette fois-ci ses pas le menèrent à la place du village, un lieu habituellement remplie de monde, mais aujourd’hui particulièrement désert. Son regard se posa autour de lui, mais ne put déceler personne. La convocation que le shinobi avait reçut était claire, il devait se rendre sur la place public à neuf heures précise, sans quoi il se verrait sanctionner sévèrement par les supérieurs. Remarquant un bâtiment avec un appentis, le jeune homme se dirigea vers lui et se plaça dessous attendant patiemment que quelqu’un se montre à lui.
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https://www.ascentofshinobi.com/t12614-tora-okotta
Daishi Ken
Daishi Ken

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Dim 26 Déc 2021 - 20:29
Ken grelottait en fermant la porte d’entrée du dojo, un vent glacial soufflait encore et annonçait une fois de plus une journée agaçante. Se retournant, il comprit comme chaque jour, que quoi qu’il arrive, il ferait beau dans son corps et dans son cœur. Il vit le manteau de Minako sur la chaise, parfaitement suspendu. Maorou Chunjuan, son fennec, glapissait de bonheur, le pauvre était tout trempé en ayant dormi toute la nuit dehors. Ken se jura qu’il fabriquerait une sorte de chatière pour le petit bébé poilu.

Il manquerait plus que Maorou attrape froid.

Aussitôt, Ken fit quelques mudras pour le sécher, puis, une fois ses pattes toutes propres. Il lui caressa le ventre en lui soufflant sur la poitrine, puis se laissa mordre en lui attrapant le museau. Le glapissement de Maorou le ferait toujours rire. Même si le fennec n’était plus tout jeune, il avait encore de la ressource. L’homme décida ensuite de se laver, il croisa sa femme a la faveur du couloir menant à la cuisine. Une fois de plus, son corps se figea. Ken la regardait, si belle, si élégante, sa blessure ne retirait rien à son charme. Au contraire, la cicatrice dénotait de sa force, de son courage mais également de sa folie. Ken se jura aussi qu’il réussira a canalisé sa femme. Cette fougue, le katon brûle en elle, elle en avait les stigmates sur chacun de ses gestes, sur chaque parole, même lors de leurs rapports, la passion bouillante de Minako l’étouffait de joie parfois, lorsque de ses cuisses appuyées fermement contre son visage, elle s’offrait à lui. Il accepta alors le tribut formant à tout deux un sirocco d’amour. Elle réveilla par moment l’homme bête qui sommeillait en lui. Il sentait assez souvent, son souffle devenir plus long, plus roque, à l’instar de son étreinte qui se faisait alors moins doux et bien plus viril. Peut-être le savait t’elle et en jouait ?

Sans se rendre compte, il avait ses lèvres contre les siennes dans une offrande d’amour. Un baiser qui etait censé rappeler à Minako, qu’il était tout à elle. Par une horrible et difficile puissance, il parvint à se décrocher de sa déesse. Il souriait de façon idiote en oubliant ce qu’il voulait faire, alors, les bras ballant il se contenta de la voir sourire à son tour, il lui semblait même l’avoir entendu rire. Le rire de Minako était une sorte de doux zéphyr à l’oreille de son homme. Qu’il adorait se rire, presque cristallin. Du moins, pour lui. Il gagna alors la salle de bain, avec de la chance, Minako aurait envie de le rejoindre sous la douche. Ken se surprit alors de ne ressentir aucune crainte. Est-ce qu’il a enfin l’habitude de recevoir des missions ? Parce qu’il y aurait Minako ? Il est si calme qu’il se surprit lui-même.

Son cerveau alors pour une raison obscure se mit à partir et se dit qu’il était temps pour une méditation. Laissant couler ses pensées, comme l’eau sur son crane. Le gennin se mit en état de pleine conscience. Il ce disait au combien la lumière n’était rien, cette farce tout juste bonne a attiré les bobos idiots ou fortuné.

« La lumière est une idiotie, il n’y a que la passion ! »

« Cet Aizen, qui aime temps la lumière, ce n’est pas par cette lumière qu’il brille, mais la ferveur qu’il place en elle, sa passion pour sa croyance qui le rend fort… Qui le rend fort… Il aurait pu croire en une biscotte en forme de phallus ça n’aurait rien changé… c’est la ferveur, la passion qu’il place dans l’objet de ses désirs qui le rend fort. »

« Ainsi donc la passion apporte la force… »

« La force rend puissant, voire inébranlable, la force rend l’esprit aiguisé et inviolable. Être fort, c’est pouvoir ! Le pouvoir de tout accomplir, le pouvoir de réaliser ses désirs et se mettre au service de notre passion… »

« Ainsi la force apporte le pouvoir… »
« Celui qui a le pouvoir de tout changer alors sera victorieux, il aura accompli ses désirs et alors, il sera accompli ! Il sera alors qu’une version plus sublimée de lui-même. Une nouvelle passion pourrait naître et ainsi il atteindrait de plus hautes victoires ! »

« La victoire brise les chaînes de la faiblesse, la faiblesse n’est plus, nous voyons alors qu’il n’y a jamais eu de faiblesse, juste nous, accomplis, une version parfaite. Entre lumière et ténèbre. J’ai embrassé l’obscurité de mon passé, j’ai exploré la lumière de mon présent et bientôt en moi , le crépuscule de ma condition humaine, le crépuscule de mes faiblesses… Je me tournerais alors vers des instances supérieur… Je guiderais par l’Onky…. »


« HA MERDE !!!!! » dit Ken en fermant l’eau

« CHERIIIIIIE peut tu me passer une servietteuh !!! j’ai oublié d’en préparer une c’est con !!!  HEUUU MINAKO ? Merde elle m’entend pas fait chier !»

Ken alors, allait sortir de la douche quand sa femme vint à sa rencontre, il ouvrit donc de nouveau l’eau. Il fut surpris de voir Minako venir avec une serviette, apparemment, elle l’avait entendu tout compte fait. Sans demander son reste, il se laissa être pousser contre le mur de la salle de bain, Minako usait t’elle de Katon ? Ken jurait que l’eau s’était réchauffée. Peut-être avait-elle tout simplement monté l’eau chaude ? Quelle importance. Il tomba en amour devant cette poitrine si blanche et si accueillante à la fois. Son esprit embrumé par l’amour, et son envie de concevoir un ou une héritier·e, pourquoi pas, lui fit perdre la notion de ce qu’il faisait. Il était comme ailleurs. Se concentrant sur les plaisirs de sa femme s’adaptant a ses envies et ses besoins, enfin, sur sa façon d’honorer au mieux sa douce. De tendre baisers, des câlins qui semblaient interminables. Il succomba enfin n’en pouvant plus à l’appel de cette douce poitrine qu’il saisit entre ses doigts, caressant la cicatrice avec passion, puis, surpris par Minako lui attrapant la figure, il téta le sein meurtri sans oublier l’autre.

Avec regret, au bout d’un certain temps , Il sentit Minako fermer le robinet de la douche, elle avait eu raison de couper court. Si ils allaient plus loin, ils risqueraient d’être en retard, surtout Minako qui devait partir avec une heure d’avance afin de superviser la mission avec le ptit nouveau. Ken grelotta de force, tenant absolument a faire passé le confort de Minako avant lui-même. Il la sécha avec la serviette claquant des dents et replaça ses cheveux derrière l’oreille. En l’embrassant une fois encore sans se rendre compte qu’il la mouilla une nouvelle fois avec son corps ruisselant d’eau. Pour rire alors, il l’attrapa avec fermeté et s’essuie les bras avec sa femme avant d’enrouler la serviette autour de leurs corps enlacés et fit un nœud s’emprisonnant tout deux dans le tissus. Pour essayer de faire plaisir a Minako, mais sentir leurs corps l’un contre l’autre le gèna quelque peu.

« Je t’appartiens à tout jamais, j’espère que tu ne le regrettes pas mon amour, Tu es aussi à moi désormais, je tuerais pour toi ! Je ferais tout pour toi, absolument tout ! »

Ken pressa ses lèvres contre celle de sa femme et en l’enlaçant. Soudain, dans son esprit, il formula pour la première fois une idée folle.

« Veux tu m’épouses ?  Non il est encore trop tot…. HAAAAA Minako !!! MINAKO !!! epouse moi je t’en pris...»

Ken cligna des yeux, un sourire mêlant joie et tristesse s’évaporant quand elle le regardait. Elle dévorait littéralement sa tristesse, il n’eu alors qu’un sourire maussade quand elle du se séparer de lui pour se préparer.

«  Mon cœur, as-tu vue ? J’ai préparé ton café, les croissants de l’oncle Yuan, au fait il t’embrasse !!!… petite Meringue ! »

Ken alors fit jaillir deux Kuukimakura contre les fesses de Minako étant trop loin et gêné a l’idée de toucher les fesses de sa femme. Une technique afin de réchauffer les deux meringues postérieures de sa petite amie. Il ria de bon cœur et ferma la porte pour se terminer, faute au temps, il préféra se finir que de l’avoir derrière l’oreille. De plus, il n’avait pas osé embrasser son sexe ni entrée à l’intérieur quand il le pouvait, c’était trop tôt pour lui, sa phobie encore présente mais de moins en moins là. Il avait encore besoin que sa femme le guide vers son vagin.

Le temps passa, dans un dernier baisé trop court, Minako lui dit a tout à l’heure lui rappelant de ne pas être en retard.

«  Oui maman !!! » Ken riait en prenant Maorou dans ses bras et fit un au revoir en bougeant la patte du fennec de haut en bas

« A Tout à l’heure MAMANNNNNN » !!! Ken ria plus fort !

Sur cette note d’humour, il n’avait à peine le temps que de se préparer, ranger la vaisselle, apporter pâté et croquette à Maorou Chunjuan. Ken alors sorti à son tour profitant que l’animal mangeait afin qu’il ne soit pas prit en filature. Ken arpentait les rues a grande vitesse essayant de battre son reccord, se mettant volontairement en retard !!! C’était un des conseils d’entraînement de son beau père. Se mettre en situation délicate pour se « sortir les doigts du cul » et connaître réellement son potentiel.

Il était essoufflé mais fini par rejoindre le lieu de rendez-vous avec environs dix secondes d’avance. Il puait la transpiration mais au moins, il était présent ! Profitant d’avoir un peu de temps, il fit un jutsu pour créer une dépression d’air autour de lui histoire de se sécher les dessous de bras et retirer les auréoles, bien que avec la pluie, possible que personne ne les remarque. On etait jamais trop prudent, il ne voulait pas faire honte à sa supérieur qui n’est autre que sa femme pour cette mission. Il se présenta à la seule personne présente avec lui qui lui etait inconnus.

« C’est toi Okotta ? Comment déjà ? Pan…. non je sais plus ton prénom m’échappe…. C’est comment déjà ? Moi c’est Ken, Daishi Ken ! C’est ta première mission ? »

Ken fit connaissance, juste les bases, afin de mieux connaître l’homme, au vue de l’arme dans son dos, se dernier etait sois moine, sois gladiateur selon lui il n’en etait pas certain. Il en à si peu croisé.


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https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Dim 26 Déc 2021 - 22:00
Un jour comme un autre. La pluie est de mise, aujourd’hui. Ce matin, la douceur du fiancé de Minako lui mit du baume au cœur. Rien qu’en allant dans le couloir, à peine réveillée, son étreinte la réconforta. Alors que son homme allait dans la salle de bain, celle-ci rejoignit les wc. Heureuse d’être aux côtés de Ken, elle se dit qu’elle ne peut pas être plus heureuse ; là est son paradis, en sa présence. Après un petit moment à comater, elle se leva de son trône puis rejoint la salle de bain. Son prince charmant était toujours là, et lorsqu’elle le vit, la douce ne put s’empêcher de penser à quel point il est magnifique. Sans gêne, elle vient prendre sa douche en sa présence, profitant du moment pour le câliner, ayant besoin d’un peu de tendresse. La douce finit tout de même par éteindre le robinet car sinon, elle sait que le couple pourrait déraper et se mettre en retard. Cela dit, même lors du séchage, ils ne peuvent s’empêcher de se donner un peu d’affection.

« Moi aussi je t’aime. Je t’aime et je peux tout faire pour toi, tuer ou mourir pour te protéger. Je… » la demoiselle rougit car elle avait envie d’annoncer son envie de se marier avec lui. « Je t’aime. » dit-elle en s’habillant en tenue de travail. Arrivée en cuisine, elle constate l’odeur du café et du croissant. Minako est heureuse que Ken aie même pensé à son petit-déjeuner. Le remerciant de vive voix, la demoiselle peut enfin être totalement réveillée avec sa boisson chaude et la viennoiserie.

Après avoir souhaité une bonne journée à son petit-ami, Ken, Minako part dans le commissariat central pour rejoindre le bureau de son père, comme d’habitude, pour y travailler, à 8 heures. Kaito attendait sa fille comme à son habitude, sirotant une tasse de thé en lisant quelque paperasse, et, lorsqu’il la vit, se lève pour l’accueillir. Assis l’un à côté de l’autre, le géant lui informe qu’elle partira en mission dans une heure pour récolter des informations sur la criminalité inquiétante qui s’instille dans les rues de Kumo, accompagnée de deux ninjas qui seront bientôt là.

« Oto-san, les commissariats locaux ne communiquent pas directement avec le commissariat central ? »
« Si, mais il faut qu’une équipe de minarai puisse chercher les informations. Kyra étant occupé sur une autre affaire, aujourd’hui tu es avec deux personnes extérieure à notre unité, dont Ken. »
« Oh je vois, je pensais qu’il y aurait un système de courrier, c’est peut-être mieux qu’on aille chercher les informations nous-même. »
« En effet, ça peut limiter de potentielles fuites d’information quant à des crimes pouvant être remontés ou des vols d’information pouvant compromettre certaines enquêtes. »
« Ok Oto-san. Compte sur nous pour réussir à recenser toutes les informations quant à la criminalité florissante. »


« Ken pourra peut-être avoir davantage de visibilité auprès des recruteurs de notre unité s’il fait davantage de mission en collaboration avec nous. Je sais ce qu’il vaut, je sais qu’il en a dans les tripes. Lui et moi, ensemble… »

Kaito demande à sa fille de chercher Daishi Ken et Tora Okotta qui doivent attendre à l’entrée de la bâtisse, car il les a convoqués pour une mission et devraient être présent pour 9 heures, pas une minute de plus. Même pas une seule petite seconde de plus… Minako va à l’entrée du bâtiment et salue les deux hommes. Avant même d’apparaitre, les deux ninjas attendant le commanditaire peuvent entendre la voix froide et calme d’une jeune adulte dire « Bien, aucun retardataire. M’enfin, cela ne m’étonne guère de toi, Kenny. » La jeune femme dont la peau du côté droit de son visage est meurtri par une brûlure passée se présente aux yeux des deux hommes, son regard d’océan se plongeant dans celui de chacun des deux. « Bonjour Ken, et … Tora Okotta c’est ça ? On vous attend à l’intérieur pour vous donner votre mission. »

La demoiselle en qipao de combat blanc immaculé laissant clairement penser à son affiliation au kougen les emmène jusque dans le bureau de Kaito, toquant à la porte avant de l’ouvrir et de laisser passer les deux hommes avant d’entrer à son tour et de fermer la porte derrière elle. Son père, Tsukaima Kaito, se lève.



Le colosse aux cheveux blond platine et aux bras aussi musclés que des cuisses prend la parole. « Il nous faut obtenir les informations des différents postes de police en ce qui concerne la criminalité qu’ils ont eu à traiter. Aussi, j’aimerai que vous visitiez les chefs des guildes commerçantes. Une fois cela fait, vous reviendrez dans mon bureau et vous me ferez le rapport. Bien entendu, vous ne serez pas seuls, Minako, ma fille, vous accompagnera… » dit-il, croisant ses bras, fixant les deux garçons, surtout celui qu’il ne connait que le nom de Okotta, d’un air sévère, comme pour dire de faire attention à son matricule s’il arrive quelque chose à sa douce. Puis, il esquisse un faible sourire et leur dit qu’ils peuvent commencer la récolte d’information. Minako le sait bien, son propre père s’inquiète quant à cette fougue et l’impulsivité dont elle fait preuve.

Sortant du bureau de Kaito, Minako suggère ceci : « Pour nous faciliter la tâche, on devrait faire le tour directement comme suit : d’abord nous irons rendre visite à la guilde marchande de la place centrale, puis au commissariat entre l’orphelinat et la raffinerie, puis la guilde marchande dans le quartier pauvre, le commissariat en face du cimetière, puis le commissariat près de l’assemblée, puis la guilde marchande dans les quartiers riches et enfin au commissariat non loin de l’hôpital. J’espère que vous serez assez endurant, Tora. »

ORDRE DE MISSION
Évaluer la criminalité

Ces derniers mois, plusieurs missions ont été menées afin de mettre fin à l’impunité de certains criminels et autres gangs qui sévissaient dans le village, surtout sur les places marchandes. Cependant cette récente activité amène les autorités à se poser la question du statut actuel de la criminalité au village.

La criminalité est un mal qu’il sera impossible d’éradiquer complètement et la mission de la police du village est justement de protéger ses habitants ainsi que de réduire contenir cette criminalité au niveau le plus bas possible.

Il vous est donc demandé de mener l’enquête auprès des divers postes de police, ainsi qu’auprès des guildes marchandes afin de recouper les informations sur les différents crimes commis ainsi que leur origines. À la suite de ces informations, vous devrez établir un profil de la criminalité au village afin d’en évaluer et surveiller l’évolution.

Vous n’aurez en aucun cas à vous battre, votre mission consiste uniquement à recouper les informations afin d’établir un plan de la situation.

Vous présenter au commissariat centrale pour voir recevoir la liste des commissariats à visiter.
Récolter les infos concernant la criminalité du coin auprès de chacun des postes de police.
Aller rendre visite aux chefs des guildes marchandes et récolter les infos.
Faire un rapport complet au Kyuubu sur l’évolution de la criminalité au village.



Nous sommes dans la place centrale de Kumo, dans le commissariat central. TSUKAIMA Kaito nous transmet la liste des lieux dans lesquels se trouvent les commissariats et les guildes marchandes, la suivante :
- En face du cimetière (3 sur la carte)
- Non loin de l’assemblée calcinée (2 sur la carte)
- Non loin de la raffinerie (entre le 7 et 8 sur la carte)
- Non loin du complexe scientifique (hôpital, numéro 9)
- Les 3 guildes marchandes sont respectivement sur la place centrale, dans le quartier riche et dans le quartier pauvre de Kumo.


Les croix jaunes sont les commissariats annexe et les ronds roses sont les guildes marchandes. Nous sommes dans la zone 5 (place centrale).
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Sam 12 Mar 2022 - 21:51
D’un premier abord, l'échange fut cordial voire même amical. Okotta était un jeune shinobi faisant honneur à son cadet. Ken apprécia particulièrement qu’il se confia concernant son arme. Il était important pour un groupe de se connaître parfaitement. D’ailleurs de son coté, le jeune homme, à son accoutumé, n'était pas avare en paroles. Pour ainsi dire, Ken sentait bien que le courrant entre eux passait bien, une amitié semblait se profiler à l’horizon.

— Alors comme ça tu es pas… tout va bien ? Demanda Ken inquiet, tandis qu’ Okotta ce frappa la nuque de sa main.

— Nan, j’ai dû me faire piquer par un moustique… de vrai saloperies en cette saison !

— C’est clair, je les aime pas surtout que Minako y est allergique alors bon j’essaye au maximum de les éloigner.
Chassez le naturel et le buffle revient au galop, le Yasei montra de plus en plus de signe d’impatience, discuter avec Okotta etait sympa, mais c'était le genre de personne qui ne savait pas alimenter une conversation. Mis à part répondre aux questions de Ken, il semblait de moins en moins apte à la discussion.Ken qui le trouvait jadis si attachant, le trouvait désormais plutôt attachiant Comme disent les jeunes branleur Kumojin. Ce qui les agassaient ses petits con de la dernière aversse à chercher des moyens de se distinguer en essayant d'être les plus abrutis possible au lieu de chercher à se distinguer par les actes. En vérité, ce qu’il haissait plus que tout. Cest le fait qu’il etait lui-même un petit con il y a encore peu de temps, lorsque en plein examen chunnin, il s'était amusé. Plongeant Kumo dans la honte, si fier, bras en l’air, braillant Onkyoton ! Il pensait Grisou invincible. Il pensait que Raizen serait l’homme de ses bande déssiné. Un héros hors du commun qui d’un mot, pouvait briser des rochers. Raizen le magnifique, héros incontesté, Omnipotent et Omniscient. Un dieu. Qu’elle foutaise. Tout comme Grisou qui venait de partir, ses rêves d’enfants venaient de se faire pisser dessus, tout d’abord par se Shinobi s'appelant Aizen.

Aizen, à cause de qui, il passera en procès dans quelques temps. Quand? il l’ignorait, mais ça ne faisait aucun doute que très bientôt, pour lui avoir tourné le dos quand il en avait besoin. Aizen ferait punir Ken. Il ne l’oubliera pas. D’ailleurs, il griffonna une note sur son bingobook personnel. Une mention spécial, dans la rubrique des genjutsus. Il cocha la case correspondant à Aizen, un traitement spécial.

Ken imagina une peine de prison des plus atroces. Peut-être pourrait t’il y enfermer Aizen? un mitard de un mètre sur un mètre pour avoir provoqué une rixe dans les douches des hommes. Un détenu qui lui aurait volé sa serviette de douche, l'enroulant comme une ceinture pour la lui claquer sur les fesses. Maintenue par deux hommes, la colère de Aizen aurait été si grande, qu’il aurait hurlé. Le gardien serait venu pour voir c’est quoi ce raffut. Il aurait vite conclu que Aizen aurait été le coupable puisqu’il aurait tendu ses fesses pour ramasser sa serviette. Aizen comme punition aurait éccopé d’un mois de mitard.

Cette idée fit rire l’Onkyotonka et se mit dans l’idée d’imaginer une musique provoquant une claustrophobie, du moins, au niveau des symptômes… Car il avait, depuis peu seulement, réalisé que ses adversaires étaient plus que des guerriers en tutu lui envoyant des coeurs avec leurs mains en lui disant des je t’aime. Non, Ken dans son arrogance venait de perdre la face plus d’une fois. Il le réalisa façe a Akio dans un premier temps. Qui, sous forme de porte céleste, brisa sans effort son genjutsu. Puis, Joben, qui le voyait sortir son dizi l’avait Kaï quasiment sur le champ. Tous l'avaient ridiculisé. Il se devait d’être subtile. Provoquer une claustrophobie sans claustrophobie, tel etait son défi. Il devrait peut-être demander des conseils à Akio sur les maladies. A Hanzô pour le psychisme A Hideko pour finir, pour le physique. Des symptômes exploitables dans les illusions. Par exemple, un simple genjutsu de soleil pour provoquer une hyper sudation. Peut être arriverait-il à mettre Aizen au mitard lui même… après tout une illusion n’avait pas besoin de paraître vrai, elle devait juste être suffisamment convaincante. Lui qui manie les ombres par exemple, si une illusion d’un soleil intense, sous un angle désavantageux, peut être se priverait t’il lui même de sa principale force?
Ses pensées furent balayées en une seconde par Okotta, il donnait des signes étranges de mal être. Ça commençait bien, si ça continue, l’homme se vomirait peut-être dessus? Ken, se souvenant de Joben face à Minako, fit trois pas sur le côté lui demandant de respecter l’espace de sécurité. Toutefois, il n’avait pas le temps d’en dire ou faire plus, une troisième personne alla à leurs rencontre. C'était Minako. Ken surpris tourna la tête dans son dos. Il a dû rêver. Tout est normal. Il sourit à sa dame sans oser impliquer sa vie sentimentale dans le travail. Ken trouva son accueil froid, mais il ne lui en tena aucunement rigueur. Il était en mission et c'était la minarai qui parlait.

Kaito, suite à la mission concernant le tour du quartier, eu vent des agissements de Ken, faisant entrer leurs vies sentimentales dans le cadre du travail. Kaito lui avait mit les poings sur les i, Ken se souvint de la droite l’ayant quasiment sonné. Il n’avait pas puni Minako pour cet fois, car elle était sous les ordres de l’homme, bien qu’il avait réussi la mission assigné. il avait lamentablement échoué dans la prise de décision. La était le réel test de Kaito. Comment l’homme agirait avec sa femme durant la mission. Le constat fut décevant. Ken, une fois de plus, mit le déshonneur mais, non pas sur Kumo, mais sur le Kubyuu. Kaito dans son fort intérieur avait rangé l’écusson qu’il avait sorti pour Ken. Visiblement, l'homme n'était pas encore mûre pour les rejoindre, bien que ses progrès étaient époustouflants. Il savait désormais que Ken n’avait rien à faire au Kubyuu, mais il se donnait avec une tel force, une tel fougue, une motivation inébranlable. Là était la force de Minako, elle le tirait vers le haut d’une façon extraordinaire. D’ailleurs, avoir Minako sous ses ordres semblait l’avoir quelque peu changé. Une assurance nouvelle semblait pointer son nez. Il devait continuer sur cette voie. A l’institut ! Kaito en avait la certitude, peut-être devrait-il en parler avec Hanzô ?
Ken eut un sourire chaleureux quand Minako lui dit ne pas être surpris par sa ponctualité. Ken avait pris l’habitude d’avoir un quart d’heure minimum d’avance dans toutes les missions. Son sourrire s’éfaca quelques peu, Okotta ne dit mots lorsque Minako lui demanda de confirmer son identité. Le jeune homme serra les dents, pris de spasmes violentes, comme si il allait vomir, il serra la machoire donnant l’impression qu’il luttait de toutes ses forces contre un agraisseur invisible.

— Reprends toi Okotta !!! Notre chef te parle, un peu de discipline !
Cette phrase inhabituelle dans la bouche de Ken fut prononcée pour deux raisons, d’une part, pour mettre à Okotta, une sorte de coup de fouet violent, qu’il attend la fin du compte rendu. Il allait pouvoir vomir ensuite. La seconde raison, et il fixa Minako avec intensité, il lui indiqua indirectement prêt à lui obéir qu’il ne souillerait pas l’image du Kubyuu. Elle n’avait pas été au courant de la discussion entre les hommes. Elle devait garder la tête froide, lui par contre, la discussion était encore vive dans sa mâchoire. Il fut contraint de reconnaitre que son beau père avait raison. Il avait été décidé que Minako n’aurait pas été au courant pour plusieurs raisons. En plus de la tête froide, il devait, sans lui en avertir, s’éloigner un minimum d’elle. Pour évité que pour lui rendre service, elle décide de ne plus faire de mission avec lui. Se serait une catastrophe car en plus de briser ce qu’ils représentaient, le daisho Minaken. C’est elle qui aurait fait les premier pas pour le faire briller. Hors, pour que ça fonctionne, Ken devait progrésser sans aucune aide de Minako. Décider de se spérarrer d’elle quelques heures par jours, pour lui revenir plus beau, plus fort, plus puissant et plus amoureux.

Pour éveiller aucun soupçon chez Minako, Kaito, avec l’aide flagrante de Hanzô, dans le dos du couple, décidèrent qu’ils proposeraient aux amoureux, une nouvelle mission en couple. Ken aurait une mission subsidiaire tenue secrète. En attendant, hommes et femme entrèrent ensemble, Okotta semblait avoir repris quelques couleurs, cela dit, se n’etait qu’une facade. Arrivé quasiment au bureau, Ken lui proposa son bras pour que ce dernier puisse bouger sans tomber par terre.
Ken, tenant toujours Okotta par un bras, entra. Okotta trouva les ressources nécessaires pour bouger seul. Sans préambules, la montagne de platine leurs fit son briefing. Ils allaient devoir avancer de poste de police, en poste de police, prendre les informations sur les différents crimes répertorier, pour maximiser les informations, ils devraient également visiter la guilde des commerçants. Ken n’entendit pas le reste, à coté de lui, Okotta donna à nouveau des signes de faiblesse. Kaito, croisant ses bras, fixant les deux garçons avec une sévèrité que Ken lui connaissait que trop bien, surtout celui qu’il ne connait que le nom de Okotta.
Kaito n’aimait pas les nouveautés concernant les recrues. Une mauvaise surprise était toujours possible comme à présent. un fou amoureux, et un cheval boiteux. L’équipe était si mal embarquée. Au moins, Minako contre balançait, bien que son beau fils, hors son incroyable force d’attraction pour Minako, excellait pas mal lui aussi. Au moment de partir il suggéra de commencer par la guilde marchande. Ken approuva l’idée, aller de poste en poste était clairement le plus simple, c'était évident qu’ils auraient pleine contribution. Auprès des marchands, ça serait bien plus délicat, autant se débarrasser des difficultés d’entrée de jeu. Kaito se tourna vers Okotta lui dit avec un mépris presque palpable "J'espère que vous serez assez endurant, Tora “. Se dernier essaya de faire bonne figure, mais les gouttes de sueur sur son front trahissait son incapacité à poursuivre la mission.

— Minako, attend dehors avec Okotta, je dois réfléchir à un problème. Ken attend j’ai à te parler !

Kaito patienta le temps que Minako aide Okotta à sortir.

— Ferme la porte, se sera pas long, je te le rendrait en un seul morceau….


Une fois la porte close, Kaito reprit la parole.

— Je n’irai pas par quatre chemins, tu es une déception Ken… Ton incapacité à commander Minako m'a déçu. Tu voudra surement être son mari, et tu ne sais pas te conduire en homme. Tu es faible !

— Mais pe… Kaito… Kaito leva une main au ciel pour le faire taire avant de s’enrouler sous l’autre bras et son aisselle.

— J’entend…. J’ai parlé a Hanzô, je suis d’accord avec lui. Je te donne une dernière chance Ken ! Cette fois, Minako te commandera. Mais attention. Ecoute moi bien mon garçon ! Si j'apprends que tu n’as pas su te maîtrisé, que lui a donné le moindre baiser, ou même, que tu lui as tenu ne serais ce qu’un doigt… Tu es fini !

— Et si jamais elle….

— Tu te démerdes ! s'impatiente le géant.

- Si jamais elle cherche du réconfort, donne le lui hors mission, tu te débrouilles ! Je ne parle pas à Ken le civil, mais à Ken le shinobi. Sache que ton bandeau est en jeu ! un écart, et je met fin à ta carrière !

— Oui chef !!! dit Ken en serrant les poings en signe de respect.

— J'aime mieux ca, maintenant je parle a Ken le civil.

— Oui ?

— Tu m'a prouvé plus d’une fois vouloir vivre avec ma fille, elle n’a pas besoin d’un chien ! Si tu la veux, sois son bouclier, tu sais quoi? Le jour ou tu me met au tapis, tu auras le droit de vivre avec elle, tu feras ce que tu veux !

— Kaito ? Les hommes se regardèrent, attiré comme par un bruit sourd venant de la pièce où se trouve Minako.

— J’ai fini, maintenant rejoins les, vous êtes déjà en retard !


Lorsque Ken ouvrit la porte pour rejoindre ses compagnons, Okotta dans un ultime effort poussa avec courage l’aide, il voulait rester le digne shinobi qu’il a toujours été et se débrouiller seul mais s’écroula sur son propre vomi dans l’inconscience. Avec une certaine frayeur, tout le Kubyuu autour d’Okotta s’activa comme un guêpier soudain désorganisé, les ouvrières vollaient n’importe comment.

— EISEININ ! Cria le colosse
Une porte s’ouvrit avec fracas. Un shinobi en blouse blanche arriva avec son matériel, visiblement déja au courant. Ken regardait Okotta avec frayeur, etait-il mort? qu’est ce qui s’est passé? intoxication allimentaire? maladie? Ca ne pouvait pas plus mal tomber.

— Vous deux, vous servez à rien à resté ici, aller faire votre mission ! Cria Kaito sur le duo à présent seuls.
La mission présageait que du mauvais. Heureusement, Minako était auprès de lui.
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Zaiki Minako
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Lun 14 Mar 2022 - 14:34
Minako acquiesça lorsque son padre lui demande de sortir avec son coéquipier afin de parler en tête â tête avec Ken. Elle les laisse entre hommes. Ainsi, lorsqu’elle ferma la porte, elle prit la parole pour espérer que Okotta puisse lui répondre, car son comportement depuis le début l’inquiète quelque peu, comme s’il avait pris son courage à deux mains alors qu’il a l’air malade. Par ailleurs il lui semble bien pâle.

« Pour nous faciliter la tâche, on devrait faire le tour directement comme suit : d’abord nous irons rendre visite à la guilde marchande de la place centrale, puis au commissariat entre l’orphelinat et la raffinerie, puis la guilde marchande dans le quartier pauvre, le commissariat en face du cimetière, puis le commissariat près de l’assemblée, puis la guilde marchande dans les quartiers riches et enfin au commissariat non loin de l’hôpital. J’espère que vous serez assez endurant, Tora. Tora ? »

En observant son interlocuteur, elle eu l’impression que le regard de ce dernier est vide, comme s’il faisait un malaise ou une quelconque crise dont elle ne connait pas la cause. Elle lui prit la main instinctivement et lui demande de la serrer s’il l’entend, lorsque soudain, un jet de bile éclabousse le sol et l’homme tombe sur ses genoux, se tenant le ventre, haletant, dégoulinant de sueur, fiévreux.

« Oh, Tora… »

Le bruit sourd de sa chute ayant attire des curieux, des témoins passifs regardent l’homme mal au point, hagard. « Au lieu de rester planté là, cherchez donc un médecin ! Vous ne voyez pas qu’il fait un malaise, bougez donc votre fion ! » s’énerve-t-elle avec raison. C’est un petit jeune qui parti en direction de l’infirmerie en courant dans les couloirs, bousculant les êtres ô combien idiot de ne pas aider la jeune femme à maintenir l’homme. Le comportement indigne des spectateurs de ce genre de scène qui ne font qu’observer les personnes en souffrance répugne au plus haut point la minarai. Elle ne peut comprendre ces êtres, aussi imbéciles soient-ils.

« Allongez-vous un instant en attendant le.. mais non ne vous forcez pas, votre état.. » dit-elle en mettant une main dans le dos du jeune homme. « Qu’on me cherche de quoi réchauffer mon camarade ! » ordonne-t-elle, lorsque la voix du lieutenant tonne derrière elle, et presque aussitôt un eisenin arrive afin de s’occuper du coéquipier. Minako regarde son père et Ken d’un air sévère parce qu’elle a horreur des plantes vertes, jusqu’à ce qu’il soit plus doux à force de tenir le duel de regard contre son père, compatissant, un remerciement interne lorsque celui-ci leur dit qu’ils peuvent aller au travail sans problème, et ce même s’il l’a dit de manière relativement dure.

La jeune femme ne le prend pas pour elle, rassurée par la droiture de son père, car elle sait que sous cette carapace se cache un père attentionné. Elle sourit à Ken et silencieusement, le duo sort du commissariat. Elle prend une bonne bouffée d’air pour apaiser son esprit, se sentant libre et tranquille de part l’air frais et pur des montagnes.

« Bien, malgré la poisse du matin on peut commencer le travail, on va commencer par le lieu le plus proche, c’est-à-dire l’une des guildes marchandes, il y en a une sur la place centrale. Prend donc ton courage à deux mains et allons-y. »

Elle semble bien calme, s’exprimant de manière posée, et en mettant les mains dans ses poches, commence à marcher en direction du premier lieu auquel elle pense auprès de son tendre Ken, la brise du matin n’ayant qu’un effet positif sur la jeune femme, la rendant plus que sereine.

« En effet, j’ai piqué une gueulante car les témoins du malaise de Tora ne sont même pas fichu d’aider les personnes dans le besoin et n’ont fait que d’observer le malheureux sans m’aider à le soutenir. Tanako-sensei nous a pourtant montré les gestes de secours avant l’arrivée des eisenin non ? Ça m’a quelque peu irrité, heureusement qu’on est dehors pour le moment, l’air frais m’apaise. »

C’est alors qu’ils arrivèrent devant une bâtisse, la porte repeinte du symbole significatif qu’est un maneki neko tenant le Kanji Za ( 座 ; guilde marchande) sur un petit rouleau ouvert de sa patte gauche tandis que sa patte droite en l’air donne l’impression que ce chat nous salue. Il faut savoir que chacune des trois guildes n’ont pas les mêmes types de marchands et d’artisans, mais qu’ils ont ce symbole en commun pour signifier qu’ils ont en commun le respect pour les Kumojin, que ce soit les vendeurs ou les clients. Cela dit, la différence entre les trois chats de la chance représentant ces trois guildes marchandes sont leur nom et celle dans laquelle le duo va entrer se nomme Sayun no Za, ou la guilde marchande du nuage iridescent. Celle-ci regroupe les artisans boulangers, pâtissiers, restaurateurs et en général, tous ceux proposant des services alimentaires et ont besoin de matières premières pour la fabrication de leurs produits.

La jeune femme aux cheveux d’ébènes s’annonce en toquant à la porte et en l’ouvrant, laissant passer Ken en premier, et le suit après avoir fermé la porte. L’intérieur ressemble à une taverne ô combien chaleureuse dans laquelle des personnes s’affairent entre elles, parlant de recettes de cuisine pour la plupart. On y croise Yuan, boulanger pâtissier reconnu et oncle de Ken, semblant quelque peu inquiet et parlant à une personne ayant l’air très importante aux yeux de la minarai. On put d’ailleurs entendre des bribes de conversation indiquant que plusieurs boulangeries ont un houleux point commun, celui que leur pains ont un goût étrange et que les consommateurs ont tous soufferts de troubles digestifs et d’hallucinations, et ce quel que soit le pain ingéré, et peu importe la boulangerie dans laquelle le met a été acheté. Dans l’esprit de Minako, il y a comme une révélation quant à l’état de Tora, car peut-être a-t-il été lui aussi victime de cette intoxication.

« Bonjour Yuan, bonjour monsieur, » commence la jeune femme, « Je m’appelle Minako et je suis là pour recenser des informations sur les problèmes que vous pourriez avoir rencontré ces derniers temps. »
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Daishi Ken
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Lun 11 Avr 2022 - 22:41
Sous l’autorité de Kaito, ni une ni deux, Ken derrière Minako gagna la porte du Kubyuu en courant presque mais en total silence. Kaito avait raison, Tora était entre de bonnes mains, il serait sans danger. Ken fixa sa femme, sans oublier la promesse un peu forcé fait a son beau-père. Il avait envie de serrer Minako contre son coeur, la rassurer à propos de Tora. Lui dire qu’il l’aime. Cela dit, il avait promis, juré même, sur son honneur de shinobi, sur son bandeau. Durant cette mission, il ne devrait en aucun cas traiter Minako comme sa femme. C'était sûrement une idée, un test, de Kaito. Encore un test. Ou de quelqu’un d’autre tenant les ficelles dans l’ombre. Hanzô? Comment le savoir. Qu’importe même. L’idée était un défi lancé par son beau-père. L’une de ses dernières chances. Ken alors ferma les yeux afin de calmer son amour, il semblait beaucoup souffrir. Un visage las s’affichait. Fixant ses chaussures, il faisait comme si il était essoufflé. En réalité, le jeune homme luttait contre son amour qu’il devait refouler. Il souffla soudainement, un long râle de souffrance d’une voix chevrotante. Par chance, il fit passer ça pour le froid qui le mordait aux joues et aux oreilles. Il faut dire que le Kubyuu ne lésinait pas sur le bois de chauffage. Enfin, c'était l’avantage d’être fonctionnaire. Tandis que le peuple à froid, eux reposés à leurs postes, se chauffaient plus que de nécessaire. Sur le coup, il envia Minako et son Katon.

Minako n’a soit rien vue, sois par respect pour Ken n’en dit rien. Elle passa le sujet en lui disant que le pire du matin était derrière eux et que maintenant, ils pourraient commencer par le lieu le plus proche, soit, l’une des guildes marchandes, que Ken devait prendre son courrage à deux mains et y aller. Ainsi, elle avait remarqué le combat interne de Ken, aussi, elle lui laissa une minute supplémentaire pour se reprendre. Ken cela dit, avait besoin de bien moins de temps. Tel un coup de fouet, cette phrase lui donna le courage nécessaire pour surmonter son mal de coeur.

— Je suis prêt, allons y mon… M.. Minako. Dit-il d’un ton peu sûre.

Kaito avait raison, Ken avait du mal à voir en elle une camarade, elle etait bien plus que ça. Il avait raison cependant, afin de combattre en amoureux, tel un daisho unis. Ils devraient d’abord s’affuter, se faire confiance, apprendre l’un de l’autre. Ainsi, il ne devait plus la voir comme sa femme, du moins, temps qu’ils n’etaient pas prêt ! Ken apprécia le calme de sa femme. Apparemment, elle avait réussi à surmonter l’accident de Tora. Ken fit alors son premier sourire, tout allait pour le mieux. Le froid lui mordait à présent les lèvres. Habitué au froid, il marchait auprès de sa fiancée, de sa meilleure amie, de son futur et maintenant, de sa sœur shinobi. Mains dans les poches, il inspira par le nez et souffla par la bouche afin que le froid ne puisse pas lui assécher la langue. Plus rien ne pouvait entâcher sa journée, il en etait certain. Minako se sentait obligée d’expliquer sa crise de nerf de tout à l’heure. Quand Tora etait tombé, personne ne s’etait occupé de lui, regardant Minako d’un air bête. Tanako-senseï les avaient pourtant éduquer aux gestes qui sauve et le froid l’appaise.

— Je ne te comprend que trop bien, une belle bande d’ordure, bien au chaud, cul près du poèle. Sinon, je me demande se qui a pu se passer avec Tora… Il allait bien et à trés vite tourné de l’oeil. Tu ne l’as pas vue, moi oui. Je t’assure, il allait bien et d’un coup… Ken ne fini pas sa phrase, prit par la splendeur de la devanture de la guilde.

Un chat blanc d’une taille immense attira en premier lieu son regard. Patte droite comme pour le saluer, de la patte gauche, le Maneki neko tenait une pancarte écrit Za. Ken apprécia soudain la majesté du bâtiment immense. Une imitation de la pagode du Shogun. Sauf pour la couleur, jaune, avec un peu de vert, du rouge et des teintes dorés. Ken, automatiquement, venait s’écraser sur le ventre du chat pour lui gratouiller le ventre.

— Ca attire la chance après tout ! Tu devrais aussi gratouiller, on ne sait jamais ! Dit-il en riant.

Dans ce bâtiment, il y avait donc trois guildes. La guilde des opiacés et spiritueux. La guilde des gastronomes. Enfin, la guilde des charpentiers. Appréciant le bâtiment cossu. Ils finirent par entrer. L'intérieur était extrêmement sombre. Malgré les lampes de papier parsemées un peu partout. Le bâtiment était si grand. un long escalier menait vers la guilde Sayunn no za qui intéréssa les gennins. Sur la gauche, la guilde des alcooliques, comme l’appella Ken. Tandit qu’a la droite, une odeur de sèves, de pin, venait titiller ses narines. Le bâtiment faisait sa grande recette grâce à l’ouvrage extraordinaire des charpentiers. Curieux, Ken tandit le cou pour appercevoir rapidement, une silouhette de femme à quatre pattes nue tailler dans de l’ébène servait de table basse. Son dos faisait office de planche pour poser l’apéritif. Ken n’apprécia pas du tout ce genre de meuble obscène. Se rappellant de la mission, il rejoignit sa femme, montèrent l’éscalier.

Minako toqua et fit basculer le pan de mur faisant office de porte. Ken, en profita pour passer le premier afin de la protéger d’un éventuel danger. Plus ils progressaient, moins il apprécia ce lieu. A l’intérieur, Ken fut surpris de voir comme une taverne. Les meubles d’une beauté époustouflante devait avoir été fourni par la guilde des charpentiers. Assis sur des bancs ou des sièges, des gens prenaient la boustifaille avec un appétit non dissimulé. Visiblement, Sayunna no za, savait régaler le monde. Enfin, l’alcool et le tabac mais aussi l'opium fini d’achever le tableau au niveau des odeurs. L’unique consigne des lieux semblait être de ne pas être ivre, ni de forcer sur l’opium. A l'intérieur, personnes ne braillaient ou semblaient sur une autre planète signifiant qu’ils consommaient avec intelligence. Voilà sans doute pourquoi Kumo les laissaient faire. Sauf peut-être des pattes graissées?

Soudain, en se baladant vers le fond de la pièce menant à un escalier pour accéder directement au cœur de la guilde, accoudé à la table juste à l’entrée. Yuan, son oncle, y était accoudé. Il semblerait qu’ils s'inquiètent pour leurs futur, leurs pains mais aussi les viennoiseries rendraient malade, mais également des hallucinations. Apparemment, toutes les boulangeries étaient affectées. Dans l’esprit de Ken le problème devait être bien pire que les boulangeries. Minako leurs souhaitaient le bonjour. Ken faillit rire. Comment pouvait-elle leurs dire bonjour sachant qu’ils etaient en plein mauvais jour? D’un mot, elle leurs dit qu’elle et lui même etaient là pour récolter des informations pour le Kubyuu.

Yuan, sauta sur ses pieds et prit Ken dans ses bras. Il sentait bon le pain. Il se tourna vers Minako et l’écrasa sur son corps la serrant avec fermeté.

— C’est toujours un plaisir de te prendre dans mes bras ma jolie meringue, je vois que tu n’as pas perdu de miche en chemin, hahaha… Hum hum pardon… suivez moi, je vais tout vous dire. Allons dans nos ateliers vous comprendrez.

Ken descendit avec Yuan vers les ateliers. Il y avait une odeur forte de ferment, d’alcool, d’opium. Plein de farines un peu partout.

— Mes cher petits, pardon… membre du Kubyuu… dit-il d’un air fier en voyant le symbole sur Minako, mais non celui de Ken, cela le chagrina.

— Pour tout vous dire, si ça continue, je devrais mettre la clé sous la porte… Je ne peux plus pratiquer sans avoir peur d’intoxiquer quelqu’un. Je… j’ai peur de pratiquer mon art. Ce n'est pas tout… Nous avons remarqué que le dénominateur commun est la farine Jinzo. Vous savez ce que ça implique ?


— le plus grand importateur de farine est en danger?

— Oui Ken ! Tout juste !!!

— Mais c’est horrible !!!! Minako TU TE REND COMPTE ?

Patientant un peu, Yuan repris.

— Ma cherie, ma meringue, pas seulement le plus grand importateur de farine est en danger. Kumo tout entier est en danger ! tu n’imagines pas combien de sac de farine Jinzo circule par jours, si ils importaient que pour les boulangers, seul nous serions effondré mais nous parlons du plus grand, voir, le seul importateur de farine de Kumo ! Ils ne fournissent pas que la boulangerie mais toues la gastronomie mais également, VOUS ! Imaginez, Ken fait à manger, et rend malade, voir, tue sans le vouloir tout ceux qui mangeront de cette farine. Comment faire pour repérer la bonne farine de la farine piégée?

— Pour moi c’est évident Yuan, on veux faire tomber Jinzo… Conclut Ken à la hâte.

— Je ne sait pas mon grand, l’économie, ou tuer Kumo de l'intérieur… imagine si les personnes apprennent ça, le vent de panique, de colère… Je ne sais pas quoi faire… Minako, que compte faire le Kubyuu ? La voix de Yuan avait une touche d’hysterie. Il avait clairement peur pour Kumo.


Dernière édition par Daishi Ken le Mer 11 Mai 2022 - 0:02, édité 1 fois
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Zaiki Minako
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Mar 19 Avr 2022 - 14:37
“Avec l'arrivée récente de l'officier Metaru ainsi que de moi-même au sein du Kyuubu, l'unité sera bien plus efficace.”

« Nous ferons en sorte de comprendre comment la farine Jinzo a pu commencer à être dangereuse. Je dois donc leur remonter ceci pour qu'ils bougent leur fi.. euh qu'ils puissent faire leur possible pour sauver les habitants ainsi que votre carrière, mais j'ai besoin de davantage d'information. Depuis combien de temps ces incidents ont eu lieu, et avez-vous déjà remonté ceux-ci ? »

Yuan explique donc à Minako que c'est très récent et qu'il en parlait avec d'autres artisans boulangers et quelques restaurateurs au sein de la guilde, c'est ainsi qu'ils ont compris que la ville entière est potentiellement en danger. La demoiselle le remercie donc pour ceci et prend le plus de notes que nécessaire. Elle fait ensuite le tour de la guilde pour récupérer les potentielles informations, et, mis à part la farine, il n'y a aucun incident en particulier.

« Ça ira, Ken, avec l'arrivée récente de Akagi en tant qu'officier je ne doute pas de l'efficacité de la résolution de cette affaire. Peut-être même que ce sera Kaito qui réussira à faire décrocher la tête de ceux qui tentent de nous empoisonner. » espère-t-elle, cherchant à le rassurer tout aussi bien qu'avec l'oncle de celui-ci. « Par contre Yuan, si tu pouvais éviter de faire mention de mes miches dans le cadre de mon travail… que je ne te reprenne pas, merci. Bref, force à toi, on va réussir à lever le mystère de la farine ! »

Le petit duo peut ainsi continuer leur tour en allant dans le commissariat du côté de la raffinerie. De si bon matin, ces rues sont calmes et personne ne se doute de l'épée de Damoclès qui trône au-dessus du village à cause du poison que peut contenir cette farine. Minako fait en sorte à ce que Ken suive son rythme relativement rapide, car elle veut tout faire pour que les informations remontent vite aux autorités.

La chaleur dans le commissariat contraste tant avec le frais automnal de l'extérieur que l'on pourrait tomber malade de part la différence de température ambiante. À l'accueil, Minako s'annonce à l'un des officiers du coin pour faire part de sa mission du jour.

« Bienvenue à vous deux les jeunes, suivez-moi dans le bureau, j'ai quelques rapports d'incidents à vous transmettre. » prononce un homme doté d'une bedaine significative de sa consommation régulière de bière. L'un des incidents notables est le fait qu'un chic restaurant s'est vu victime de tentative de meurtre sur un membre de la haute société de Kumo, un enfant de noble. Car des sushis et du wasabi explosif ont été retrouvés, blessant le cuisinier qui s'est chargé de préparer le repas d'anniversaire de celui-ci. Aussi, dans un autre rapport, la présence récurrente de graffiti sur les autels respectifs du Kougen et de Isonade, qui apparaissent apparemment la nuit…

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Mer 11 Mai 2022 - 0:02
Ken désabusé regardait son oncle avec un air entre la deception, la crainte, l’horreur. Comment ferait Yuan si il etait privé de son seul gagne pain. Un rictus amer apparus sur son visage quand il se dit “gagne pain” en parlant d’un patissier boulanger, c’etait le cas de le dire. Son faciès repris son sérieux quand Yuan le fixait d’un air sombre se demandant surement si Ken se moquait pas de lui avec son jeu de mot idiot, le moment etait des plus mal choisi.

Minako se tourna en premier vers Ken afin de le rassuré. C’est vrai que Akagi n’etait pas le pire des bon à rien, bien au contraire. Il excellait dans son domaine et comprenait mieux à son contact qu’il n’avait rien à faire au Kubyuu. Il est vrai qu’ils peuvent compter sur son savoir faire, son intelligence, son ingéniosité. Le pire défaut d’Akagi était que pour lui, la finesse était une notion abstraite qu’il semblait avoir du mal à comprendre. Toutefois, l’officier ne serait pas seul, peut être ferait-il équipe avec une personne plus tempéré que lui. D’un autre côté, si c'était Kaito qui parvenait à déjouer cette affaire, l’honneur de la famille Zaiki en serait fortement amélioré donc indirectement, celle de la famille Daishi par le biais de Minako, fille.

Se retournant vers Yuan ensuite, elle lui dit qu’il devait se calmer sur ses propos sexistes surtout que la, il le fit non pas à Minako la femme de Ken, mais à Minako, membre du Kubyuu, membre des forces de l’ordre, elle aurait pu l’arrêter pour outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions. Depuis le temps que Ken lui faisait la leçon auqu’elle Yuan répondait toujours “Humouuuuuur hein… c’est bon…”. De plus, plaisanté sur les miches de Minako dans un moment aussi désastreux était plutôt de mauvais goût.

Yuan se contenta de hocher la tête d’un air entendu avec Minako. Il pensa que les excuses etait d’office accordé et donc, il passa sur ce détail.

— Je te promet qu’on règlera cette affaire aussi promptement que possible mon oncle. Rassure toi. Le kubyuu est là. En attendant, rappelle-toi d’une de tes leçons….

Yuan fronce des sourcils.

— Quand on a pas de farine…. avec quoi peut-on en faire?

— Des châtaignes, des marrons, des glands, toutes sortes de fruits à coque… répondit Yuan les yeux étonné que Ken se rappel de cette leçon. Il n’aurait biensur pas assez pour nourrir tout Kumo mais au moins, de quoi pouvoir tenir quelques semaines de plus avant fermeture si la situation s'aggravait encore.

— Exactement mon oncle ! En attendant que le Kubyuu arrange les choses, toi et les tiens, vous devriez aller en forêt, on est en automne, c’est la saison idéale après tout ! Pourquoi pas un partenariat possible? Je ne sais pas !

—- Mon neveu…. je…. Yuan avait les yeux pétillants de fierté. Certes son activité sera grandement ralentie, mais pris dans le tourment, il n’avait pas pensé à cette alternative. Finalement, la guilde des boulangers pourra vivre un peu plus longtemps. Espérons juste assez pour pouvoir revenir à leur plein potentiel avant que le pire arrive pour eux ou Kumo.

C’est ainsi qu’ils se disent au revoir, se prenant une dernière fois dans leurs bras.

—- Ne perd pas espoir Yuan, COURAGE !

Sous les ordres de Minako, Ken coupa l’étreinte et la rejoignit pour continuer leurs tourner. Après tout, ils avaient encore à faire ! Ce fut maintenant le tour du commissariat proche de la raffinerie. La ville endormi aura surement une mauvaise surprise pour le petit déjeuner. Au mieux, les vienoiseries et autres pains seront détruits. Au pire, pour les marchandises encore fiables, leurs prix grimperaient à un niveau record dû à la rareté du produit. Le pain deviendra sûrement un produit de luxe, un privilège que seuls les plus fortunés pourront s’offrir. Pour combien de temps? Ken avait tenté de rassurer son oncle mais au fond de lui-même, la terreur etait clairement visible. Dans les jours à venir, la forêt deviendra probablement un champ de guerre pour récolter les précieux fruits pour les moudres en farine. Surtout que l’hiver pointait son nez, la saison des fruits a coque touchait à sa fin.


Ken secoua son visage de gauche à droite en ajustant son col pour mieux se prémunir du froid, annonciateur d’un hiver violent. Il accéléra le pas en voyant Minako froncer des sourcils. Elle avait sûrement raison, plus vite le tour était fait, plus vite ils pourraient prévenir le Kubyuu de cette imminente crise. Aussitôt il lui emboîta le pas. Il se jura qu’il travaillerait bientôt avec se ninja aussi rapide que la foudre pour tenter de lui arracher le secret de la vitesse. Il se nommait Ikari, si il avait de bon souvenirs. Ken laissa Minako faire son rôle de supérieur et surtout de membre du Kubyuu. Il profita pour souffler dans ses mains pour se les chauffer, ce n'était certes pas très professionnel mais bon sang que cela lui faisait du bien !

L’officier le toisa d’un regard en biais par dessus ses lunettes. Ken aussitôt arrêta de souffler sur ses mains pour reprendre une attitude plus professionnelle. Il les invita alors a le rejoindre dans le burreau de se dernier. Ken se dit qu’avec son gros bidon et ses lunettes ainsi que ses cheveux frisées, il lui manquait qu’une barbe blanche pour devenir le premier père noel membre du Kubyuu.

Il toussota pour se déconcentrer lui-même et revenir à la réalité. L’homme leurs parla d’un incident dans un restaurant chic ayant subit l’attaque sur un enfant d’une haute noblesse. Par chance, ce n’etait pas un Nara, Ken donc, n’eut pas eu à faire de remarque désobligeante. Toutefois, il eu du mal a ne pas rire quand il entendit que l’arme du crime etait du wasabi explosif, ainsi que des sushis préparé avec des papiers doté de sceau explosif. Seul le cuisinier avait été touché dans l’explosion. Ken avait eu envie de rire en faisant remarqué que c’etait un repas du tonnerre mais il réussit à se retenir suffisamment fort. Peut-être qu’il ressortira la blague à Minako, à l’occasion.

Une autre affaire concerna des graffitis sur les autels du Kougen, dont Ken en avait rien à faire, par contre le fait que ceux d’Isonade etait également touché l’impliquait un minimum en pensant a ses adorateurs de Matshu.

— Ses grafitis ne me disent pas grand choses…. Minako, tu penses que Kaori pourrait aider le Kubyuu?

Devant l’homme et son sourcil levé, Ken se senti obliger de s’éxpliquer.

—- Kaori est une de nos amis proche. Elle membre de la famille Suzuri et donc, elle est habituée a l’art de la peinture, de l’écriture, et peut-être aussi l’art des grafitis? Que pouvez vous nous dires a se sujet?

Il fixa Minako et compris qu’il était entre un de mettre la charue avant les boeufs.

- D'un autre côté, nous ne sommes pas là pour résoudre cette affaire précisément. Toutefois, si on peut aider votre service à résoudre cette affaire….

“Non ?” Demanda-il en usant du dengon Angouka.

Il ne savait pas trop quoi ajouter sur cette affaire. Minako étant la chef d’équipe, elle seule avait le pouvoir décisionnaire sur la suite des évènements.

—- Au sujet des sushis explosif et le…. wasabi. Ken eu du mal a se contenir mais parvint toutefois à ne pas rire. La situation etait trop sérieuse même si la methode etait pour le moins des plus loufoques.

—- A t’on trouver le criminel? des pistes?

L’homme redressa ses lunettes avec son majeur en faisant comme un doigt d’honneur, sur la tige entre les deux patins.

—- Nous savons juste que c’est une personne douée qui aime assassiner en cherchant des moyens de plus en plus spectaculaire. De plus en plus étonnant. Ne m’énageant pas ses efforts pour effacé la cible de son contract par le moyen de la nourriture.

Ken fronca les sourcils.

— De la nourriture?

— Oui… il a une marque de fabrique…. il utilise toujours la nourriture comme vecteur. Nous ne savons pas grand chose sauf que des personnes importantes ont tendence a disparaitre en buvant de l’eau, en mangeant un gateau au amande, maintenant, si c’est le même tueur il semble se servir de nourriture pour cacher des dispositif mortel.

— On est certain que c’est le même ?

–- Justement non… d’un côté nous avons un assassin qui se contente d’empoisonner, lui va jusqu'à cacher des dispositif mortel dans la nourriture… [/b]
“L’un des deux aurait un rapport avec la farine? il faudrait se renseigner à ce sujet…”
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Zaiki Minako
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Dim 15 Mai 2022 - 18:07
« Il y a des membres du clan Suzuri qui travaillent au sein du Kyuubu donc ils pourront enquêter sur ce sujet. Il nous suffit simplement de centraliser toutes les infos que nous pouvons obtenir ici et les autorités sauront quoi faire, nous ne devrions pas nous éloigner de la mission qui nous a été attribuée. »


Minako prend note des infos sur les assassins terroristes à la nourriture. Il y a peut-être un lien avec les livraisons de farines empoisonnées mais rien n'est sûr. Ce qui est certain c'est que tout ceci doit être remonté au commissariat central.

Ensuite, elle eut vent de quelques personnes qui manifestèrent à cause d'une ombre humanoïde ayant tué une masse de personnes dans le coin. Les familles des victimes réclament réparation à cause de l'incident, d'autant plus qu'elles ont su qu'il y a eu au même moment un acte terroriste similaire avec un monstre similaire du côté de la bibliothèque. Elle eut mal au cœur à ce sujet, surtout que non loin de la raffinerie se trouve l'orphelinat. Ce qui veut dire que si des ninjas dotés de sensorialité avaient pu sentir leur présence ils auraient pu essayer de neutraliser ces ombres sorties des enfers et auraient pu sauver ces enfants innocents. Elle tient compte des paroles des familles des victimes, tout en intériorisant son envie de pleurer, et les a rassurées quant au fait que le créateur de ces odieuses malfaitrices a été tué et que les victimes ont été vengées.

Cela dit, elle a pu entendre des murmures comme quoi ils commencent à se méfier des Nara à cause de cet incident. Elle ne peut que les comprendre et fera part aux autorités de leur inquiétude afin de renforcer la sécurité du village, tout en espérant que sa parole de genin sera prise en compte.

Teiun no za, ou la guilde marchande du nuage bas. La prochaine destination du duo de shinobis. Il s'agit là d'une guilde qui recense tous les petits marchands locaux qui ont des petits stands sur différentes places publiques, sur les marchés. Par ici, rien de bien flagrant, des petits vols de nourritures mais rien de bien alarmant à signaler. Minako prend en note tout cela et remercie le chef de cette guilde. Apparemment, selon les dires, rien de spécial à noter. Ceci dit, avec les notes prises précédemment, Minako se demande s'il ne va pas y avoir des problèmes plus profond qui pourrait toucher ce secteur. C'est pourquoi elle leur demande s'il n'y a pas eu de client ou de fournisseur au comportement suspect qu'ils ont pu rencontrer ces derniers temps.

Spoiler:


Dernière édition par Zaiki Minako le Lun 30 Mai 2022 - 15:09, édité 1 fois
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Daishi Ken
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Dim 22 Mai 2022 - 18:26
« Comment peut-on en arriver la ? Pourquoi empoisonner femme et enfant ? Qu’elle est le but du pouvoir ? Qu’est ce qui peut bien passer dans l’esprit d’un homme pour qu’il confirme cette volonté de tuer ? Pourquoi ne pas y aller franchement ? Faut-il être un génie ou un idiot pour inventer une tel stratégie ? Qu’obtient-on à faire souffrir un peuple entier quand juste une poignée est la cible d’origine ? Enfin, si c’etiat la son but ? Pourquoi Kumo ? Qui peut bien haïr Kumo pour vouloir porter un coup aussi violent ? Est-ce réellement de la haine ? Combien de fois devrais-je subir de fois la haine pour que l’amour fleurisse enfin ? Devrais-je moi-même libérer mon hystérie pour répondre à l’hystérie ? La farine, vraiment ? Pourquoi les riches ? Est-ce deux assassins ? Pourquoi avoir choisi ses denrées ? Je ne peux pas croire que Kumo arrive encore à me décevoir, comment font-ils ? Est ce l’ensemble de Kumo qui est touché par la débilité destructrice, ou, est ce que la destruction apporte la benêtification du peuple ? Pourquoi la destruction est plus tentant que la création ? Comment faire pour ouvrir les yeux aux benêts cherchant à massacrer autant de monde ? Je me demande si le chakra n’est pas en liens avec cette folie ? Cette folie serait-elle comme un asticot que je saisis directement de la terre et qui ne vois pas que je l’enfonce dans ma gorge ? »

« Je me demande pourquoi nous faisons cette mission ? Qu’elle est l’intérêt au final ? Ne pouvaient-ils pas envoyer un rapport a Keisuke ? D’ailleurs, pourquoi ce dernier ne bouge t-il pas de son grand fauteuil ? Est-il pied et poing liés par les Nara ? Car oui c’est parait-il un Nara, vraiment ? Mais est-ce trop facile de les accuser car la cible est habile en sensorialité et qu’il est capable de se mouvoir d’ombre en ombre ? Certes je hais les Nara, mais, je dois rester neutre, sont-ils réellement coupables ? Je veux dire, oui ils sont capables de tout, pour prendre le pouvoir, mais sont-ils capables d’aller jusque au génocide ? Il y a Aizen, à cause de ce fumier j’ai failli aller en taule, mais il n’a pas été aussi loin dans la folie, pourquoi les Nara feraient-ils ça ? Ils ont plus du tiers de Kumo sous la poussière de leurs bottes pourquoi donc chercher plus de pouvoir ? Quelle intérêt de massacrer le peuple qui les servent car tuer le peuple, sur qui ils régneraient ? Je me demande cela dit pourquoi les gens se réveillent que maintenant ? Cela fait des années que les Nara sont dangereux, que s’est-il passé dans leurs esprit ? Pourquoi les Nara semble enfin être remis à leurs place maintenant ? D’ailleurs je n’ai jamais compris pourquoi Kumo les laissaient faire comme ca ? Je devrais me réjouir, moi qui ai toujours clamé que les Nara sont le poison de Kumo, pourquoi je n’arrive pas à me réjouir ? Pourquoi laissons-nous autant de pouvoir a si peu de personne ? Etait- là le plan de ce massacre ? Réveiller le peuple et le dresser contre les Nara ? »

« MAIS OUI !!!! et si tout ceci était une attaque contre les Nara ? Il est facile de se faire passer pour Nara grâce au genjutsu par exemple, non ? Si tout ceci était un moyen brutal de détourner l’attention du peuple ? Et si en réalité le but était de tourner les regards à gauche pour mieux frapper à droite ? Je me demande ce qu’est la finalité de tout ceci ? Ça expliquerait je pense, l’intérêt de cette violence, non ? La Cible a été la farine Ginzo, le principal producteur de farine, un choix judicieux pour attirer l’attention après tout non ? »

« Pour ma part, je n’ai pas eu cette fois, la même chance que Minako, je me demande pourquoi ? Il a été habile de ma part de me détacher d’elle pour couvrir plus de terrain mais étais--ce la meilleur voie à suivre ? Nous avons couvert plus de terrain durant notre viré au Teiun no za, pourquoi si peu de personne n’ai voulu me parler alors que elle, elle eut autant de confidence ? Je me demande comment un bout de tissus écrit « Kubyuu » dessus peut avoir un tel pouvoir  alors qu’a Humy, se tissus eu l’effet l’inverse, juste, pourquoi ? »

« Tiens, cette fois, ca à marché, pourquoi ? M’en veut-elle pour avoir pris autant de risque ? Lorsque je me suis faufillé dans la quartier chaud, j’etais étrangement à l’aise, je me demande comment ça peut-être ainsi ? Peut-être à force de changer de personnage ? Quoi qu’il en soit, j’ai réussi un être le client pour un réseau de prostitution. Comment autant d’homme était friand de sexe comparé aux femmes ? Pourtant je suis un homme, pourquoi suis-je autant si peu réceptif à la chaire humaine ? J’ai été surpris de constater que certaines femmes me prenaient pour une marchandise . Qu’elle-est la critère de choix, la frontière, entre l’homme normal, l’homme en chien et l’homme objet ? Pourquoi est ce que je suis autant mal a l’aise ? Je n’ai pas osé demander pourquoi Minako a réagi ainsi quand je lui ai tout raconté ? Quoi qu’il en soit, elle ma dit que nous reprenons la route. Est-ce parce que j’ai pris trop mon temps qu’elle a réagi ainsi ? D’ailleurs, pourquoi est-ce interdit la prostitution ? Il faudrait que je demande a Kaito. »

« J’ignore pourquoi autant de gens grelotte en entrant dans le secteur du cimetière ? Pour ma part, la tranquillité et la noblesse du lieu me prend aux tripes, J’ignore pour ce qui en est de Minako, aime-t-elle ce lieu ? J’aime d’autant plus ce lieu, là où je lui ai avoué mes sentiments  et notre premier vrai baiser. Je ne sais pas si l’endroit ma portée chance ? Est-ce qu’elle aurait dit oui si je lui avais demandé sur les toilettes ? HAHAHAHA Pourquoi j’ai toujours ce genre de pensée ? Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours l’impression d’avoir plus froid dans le cimetière, la puissance du mental est si puissante, où en est la limite ? »


Ken sourit à Minako se remémorant les longs moments d’amour et de complicité que ce lieu leur ont offert. Le gardien du cimetière leurs apprend que un ou des individus s’amusaient à saccager le cimetière en même temps, il y a eu la fête des morts il y a peu. Peut-être qu’il n’y aura plus rien à signaler ? Il a aussi parlé de fantôme la nuit qu’on pouvaient entendre gémir, des sons effrayants à ça Ken répondit un peu las devant tant d’idiotie

— les sons ca ose tout, c’est à ça que l’on les reconnaient. le gardien pencha la tête sur le coté d'un air cabot tentant de comprendre les doubles voir triples sens de cette phrase.

« Peut-être pourrions nous maintenant allez au commisarrait mon coeur non ? »
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Zaiki Minako
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Lun 30 Mai 2022 - 15:18
Lorsque la minareï était dans la guilde, Ken s'était éloigné d'elle. Aucune inquiétude ne monta en cette jeune femme car elle a confiance en son petit-ami. Lorsqu'il lui raconta s'être fait passé pour un client dans un bordel, elle lui demanda si tout allait bien, si personne ne l'a blessé de quelconque manière. Elle fut étonnée de constater qu'il a pris son courage à deux mains pour oser s'aventurer dans ces coins-là. Elle en était vraiment fière d'un côté, ça veut dire que le petit Ken effrayé s'efface peu à peu pour devenir un homme de plus en plus courageux et affirmé. Ça se lit dans son regard qu'elle est heureuse. D'un autre côté, elle a une certaine crainte parce qu'elle a peur qu'il se soit fait drogué.

« Excuse-moi, c'est juste que ça m'a étonné de ta part que tu t'aventures dans ces coins-là. C'est assez dangereux en général à cause du comportement décadent des personnes dans ces milieux qui se droguent. On en reparlera tranquillement un peu plus tard si tu le souhaite, en attendant, notre prochain objectif est le commissariat en face du cimetière. » exprime-t-elle. L'onkyotonka n'en veut aucunement à son homologue d'avoir exploré ces lieux. Elle sait qu'il est assez droit pour ne pas la trahir. Elle le sait et y croit avec ferveur au point où elle n'affiche aucune colère. Seulement, elle est concentrée sur le travail qui les attend.

En arrivant devant le cimetière, la demoiselle salue le garde. L'histoire de certaines tombes saccagées est prise en compte dans les notes de Minako. Elle demande des détails à ce sujet pour savoir s'il y a du hasard ou si l'on cible certaines catégories de personnes décédées afin d'éclaircir le mystère. D'après ce que ce garde a vu en regardant de plus près les dégradations faites, il n'y a pas de différenciations entre les classes sociales ou la tranche d'âge des défunts. Il s'agit là du pur manque de respect envers eux, à la limite du blasphème. De plus, les grafitis sur les pierres tombales ont un style graphique similaire à ceux retrouvés sur les autels des cultes de Isonade et Kougen.

Oui, elle le pense, quiconque est odieux envers une personne qui a fait ce long voyage jusqu'au Yomi mérite la peine capitale de finir dans les flammes de l'Enfer.

Arrivés dans le commissariat en face du cimetière, Minako eut vent de l'histoire d'étranges meurtres de prostituées dans le coin et si on relie les lieux des scènes de crime sur une carte, les trois points forment un triangle. Le point commun entre ces prostituées est qu'elles viennent d'un même macro reconnu par les clients aguerris. Elle hausse un sourcil en se demandant quel pourrait être le message derrière ce triple meurtre, si une seule personne en est coupable ou s'il s'agit d'un groupe, d'autant plus qu'ils ont été commis quasi en même temps selon les médecins légistes. Du coin de l'œil, elle observe Ken, demandant au dengon angouka s'il a vu quelques détails pouvant aider à éclaircir sur ce sujet en visitant le bordel en question et si oui, voir pour en informer l'officier qui leur a donné l'information.

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Daishi Ken
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Mar 28 Juin 2022 - 18:33
Ken regardait Mianko, intrigué. Elle avait un visage entre éffroi du au meurtre dans le cimetière et une haine, surement, l’envie de venger les victimes. Comme Ken la comprenait.
Il la laissa poursuivre son investigation pendant que lui explorait les tombes, on ne sait jamais. Il ressentit du coin de l'œil un vent glacial qui l'électrifia. Là, sur la tombe, il y avait écrit Joben. A y mieux regarder, l’écriture changea pour devenir Jaren. Il eut une pensée pour son défunt ennemi, finalement il aura eu ce qu’il voulait, il était au pied de sa chienne. Izanami. Ken soudain se demanda en quoi la mort était mal? en quoi est-ce mal de mourir? tout comme pourquoi les ténèbres était toujours associé au mal? Pourtant trop de clarté était aussi voir bien plus nuisible que trop de noirceur… Pourquoi serait-ce Izanami l’ennemi à abattre? Pourquoi est-ce forcément elle qui est la démone? La mort n’est-elle pas une belle chose? A y réfléchir, valait-il mieux ne pas mourrir avant de devenir trop vieux et de souffrir d’un corps bien trop douloureux?

Un second vent glacial lui prenait la nuque, puis la joue comme des mains qui le forçait à dévier du regard, ce qu’il fit, inconsciemment, comme une intuition. Il tomba sur un objet brillant et coupant, comme un couteau planté dans le sol d’une façon délibérée par quelqu’un. Le jeune homme haussa des épaules, probablement qu’un passant l’a perdu lors d’une visite? Un jeune l’ayant planté içi pour une raison obscur? A mieux regarder, ce n'était pas un couteau mais un objet pointu et coupant, une sorte de verre. La dernière fois qu’il en avait vu, c'était au quartier chaud !

Ken se remémorant, compris à se moment-là, où Minako voulait en venir, lui qui a prit un risque inconsidéré sans prévenir, il s'était jeté dans un potentiel danger sans mesurer les circonstances. Il n’avait rien appris de surcroît. Heureusement qu'il avait, toutefois cacher son appartenance à l'armée de Kumo. Un homme dans le quartier chaud de Kumo aurait pu y laisser plus que sa chemise. L'endroit lui lacèra une partie de son innocence, qui venait de lui être retirer. Sa souffrance était au moins égale à du sel sur la plaie fraîche des derniers lambeaux de son enfance.

Il aurait préféré n’avoir jamais eu l’idée de s’y aventurer. Des hommes qu’il pensait fiable comme le poissonnier s’offrait à des démones lui versant des bols entiers de saké dans sa gorge en utilisant leurs propres bouches dans des baisers alcoolisé. Certaines femmes en manque de maternité n'hésitèrent pas à prendre le visage des hommes comme un bébé pour les nourrir au sein. Ho combien de pauvres idiots à la dérive se réveilleraient de leurs rêves sans plus un seul ryo en poche. Pour certain, peut-être était ce leurs dernières nuit sur le Yukan

Ken Crus y voir a chaque coin de rue une Manara plongeant sa proie dans ce qu'il devait être un jour très lointain, son cercle vertueux. Depuis longtemps brisé. Il n’oubliera jamais la voix de cette femme entre deux âge le tenir par la main pour l’entrainer dans sa tanière afin de le dévorer. Faire qu’une bouchée de son innocence, lui planter ses crocs dans le bas ventre tandis que ses griffes se seraient plantées dans sa besace pour le délester de quelques kunais voir même, de ses ryos.

— Non lachez moi !!!! Avais crié le jeune homme face à cette femme à visage de faucon.

Elle le fixait de ses yeux perçant. Sa poigne de sèrra d’autant plus fort contre son poignet. Son bec s’ouvrit montrant des dents pointues d’un sourire malsain.

— Si tu es venu là c'est pour être un homme non? Sinon pourquoi serais tu venus? Allons, allons, je ne vais pas te mordre, sauf si tu te montres rebelle…

- Lâche- moi espèce de timbrée !!!! lui lança Ken juste avant de lui mettre un coup de pied latéral, en pleine face. La femme tomba à la renverse, visage en sang, surprise elle le laissa fuir sans broncher.

Ken crut s’être perdu, il courut un peu au hasard et finit toutefois par trouver la sortie, par chance mais surtout par volonté. Par chance, l'incident s’étant dérouler dans le quartier chaud, personne ne porterait plainte, les rixes de rue était plutôt monnaie courante.


“ Est-ce là la nature humaine? est-ce pour ça que les shinobis meurt ?”


Une sensation de picotement le prit à cette simple pensée sa main se serra sur le tissus e son kimono tout en écrasant sa mâchoire contre elle même. Minako continuait de le fixer d’un air un peu trop accusateur à son gout, Ken relacha presque de honte toute sa haine contre le quartier chaud. L'attitude de Minako lui mit du baume au coeur, changeant de la suspicion pour devenir un sourrire sincère avec une once de fierté. Ken rougit et cela lui mit en joie. Il en oublia presque son expérience des prostituées. Il lutta durement pour ne pas saisir Minako contre son torse et lui expliquer ce qu’il avait vécu. Il se jura que la prochaine fois, il avertirait avant de commettre une telle folie, il était certain que Minako l’avait vue partir. Minako avait dû ressentir son malaise car elle s’excusa surprise de le voir partir volontairement du côté du quartier chaud. Elle le connaissait tellement bien, elle savait que Ken aurait sûrement besoin de parler. Il se contenta toutefois de lui répondre.

— Parfois, c’est le rôle d’un ninja d’aller au charbon, n’es-tu pas d’accord? J’aurais dû t'avertir que j’y allais… Si tu souhaites que l’on en parle plus tard, alors quand tu veux…

------------------------------------------------------------

Minako le surprit en pleine rêverie, l’homme aussitôt sortit de sa torpeur et se remit en marche en fronçant des sourcils, il était certain qu’il avait vécu dans le cimetière, une expérience étrange. Par absence de preuve, il préféra ne pas inquiéter Minako avec ça.

Arrivé dans le commissariat en face du cimetière, Ken se mit en retrait, restant dehors. Minako étant dans son élément, il la laissa gérer seule cette partie de la mission. L’homme crut voir un oiseau haut dans le ciel. A mieux y réfléchir, en plissant les yeux, il reconnut une jolie buse qui semblait chercher quelque chose. L’animal plongea vers Ken pour dévier de sa trajectoire afin de se poser dans le poste de police, il ne saurait pas dire pour qui était destiné le message, mais cela avait l’air urgent. L’homme surpris entra dans le poste
Il reprit l’affaire en cours de route, un meurtre de prostituées du coin ciblée par un même type. Minako le forçait à replonger dans ses souvenirs une nouvelle fois.

Ou avais-je vue une chose étrange, partout biensur ! mais un détail, juste un détail, aussi insolite soit-il…

Ken se tortura l’esprit, puis il se rappela de trois hommes l’un semblait nerveux, il avait dit qu’il l’avait positionné dans le cimetière, de quoi parlait-il? et si c'était de ce morceau de verre étrange? Il en parla au lieutenant à tout hasard, aucun des hommes du Kubyuu avait entendu parlé d’un tel objet. On demanda à Ken ou était l’objet? Pour une raison étrange, Ken avait décidé de ne pas y avoir touché, il était dans le cimetière planté de façon volontaire.

En reliant les points comme l’avait fait Minako, il y vit également un triangle, il était certain que plus d’une personne avait fait ce constat.

— Qui a t il au centre, là, ce bâtiment? ne serait-ce pas….?

— Le lieu de travail du Raikage. Oui, j’ai fait la même supposition… c’est étrange… coïncidence ou…?

Ils n’urent pas le temps de pousser plus loin la conversation, un membre du Kubyuu tambourrina à la porte.

— Zaiki Minako? Ken Daishi, sont-ils là? cria une voix aigrelette, venant d’un shinobi en sueur

— LA OUI ! criez pas comme ca… dit Ken agacé

— J’ai un message pour vous… du lieutenant Kaito. Lanca l’homme ahurit

— Oui ? dit le lieutenant Alaran

Tendit que Alaran tendait la main pour prendre la missive et la remettre au duo, il écarquilla des yeux quand le minaraï se mit à tousser, et avec toute la décontraction du monde, osa réciter à haute voix et très fortement le message qu’il venait d’apprendre par cœur, avec une fierté non dissimulé.

— Je vous informes que votre camarade Okota à été victime d’un empoisonnement, les eiseinin après un premier examen ont trouvés planté dans sa gorge un aiguillon contenant un poison d’une redoutable efficacité. Nous pensons à un dérivé du curare ! Minako, Ken, agissez avec la plus extrême prudence, Okota n’est pas la seule victime. Je recommanderais à Keisuke-sama l'état d’alerte niveau C, au cas où nous aurions à subir une attaque contre le Kubyuu de grosse envergure. Soyez très prudent ! Fini de crier le messager. Son chef le regardait avec un air furieux.

“Oups…” il confia enfin le message déjà ouvert à Minako un air un peu penaud.

- Nous en parlerons quand l'équipe Kaito sera partie, je te la garentis ! Tu va être corvée de café et d'Inazuma no Kumo pendant très longtemps mon garçon !

Regardant autour de lui, le lieutenant vit comme il le craignait, plus d’un membre du Kubyuu se regardant comme chien de faillence avec des visages d’horreur peint sur leurs visages. l'état d’alerte C signifiait que le Kubyuu serait bientôt sur le branle bas de combat, près à imposer aux civils un couvre feu. Pourvus que Keisuke refuse, se dirent-ils en silence. Pour la plupart, c’est les vacances d’hiver qui étaient en jeu. Ne prenant pas encore pleinement conscience que si l’intuition de Kaito était juste, tout le kubyuu voir tout Kumo était en danger.
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Mer 29 Juin 2022 - 12:24
Peut-être que ce morceau de verre contenait un sceau invisible à l'œil nu, on ne le saura pas comme ça. Et s'il y en avait d'autres, dans d'autres endroits ? Et s'ils formaient un piège qui enfermerait des personnes dans une zone ? C'est quelque peu inédit de créer des techniques de ce genre, mais qui sait, selon Minako, on vit dans un monde de fou. Ils pourront enquêter sur cette affaire, eux ou d'autres shinobis. Dans tous les cas, elle est bien contente qu'un frère d'arme aussi talentueux que Ken puisse observer des détails qu'elle ne verrait pas.

Puis, un jeune messager, très certainement un apprenti du kyuubu, tendit un message à celle qui doucement, se rapprocherait du grade supérieur. Puis, au lieu de la laisser lire la missive tranquillement, annonça la couleur de manière bruyante. Tora a été presque mortellement empoisonné et l'auteur de la missive leur demande d'être extrêmement prudent pour la suite. Minako fit les gros yeux et voulut remettre les points sur les i du garçon, mais elle sentit que le lieutenant de cette section lui ferait de lui-même la leçon. Il fallait être discret au cas où le criminel faisait partie de leur rang. De plus, elle sait que les murs ont des oreilles…

Si de base, cette nouvelle pouvait lui mettre une boule au ventre, ce comportement lui provoque un stress un peu plus présent. Il lui fallait frapper quelqu'un, ou quelque chose. Elle devait extérioriser cela, tôt ou tard. D'une profonde respiration, elle fit signe à Ken de la suivre pendant qu'elle lit la missive.

Ken, Minako,

Je vous informe que Tora Okotta a été victime d'un empoisonnement. Les eisenin ont trouvé un aiguillon planté dans sa gorge, contenant un poison d'une redoutable efficacité. Selon les pronostics, il s'agit d'un dérivé du curare. Soyez extrêmement prudents dans vos agissements, Tora n'est pas la seule victime. Je vais envoyer une recommandation à Keisuke-sama l'état d'alerte niveau C au cas où nous devions subir une attaque au Kyuubu de grande envergure.

Soyez très prudent !


Le tout était signé de Tsukaima Kaito. La demoiselle ne fit mine de rien mais elle est frustrée. Comment cette attaque a pu passer inaperçue ? Dans tous les cas, elle doit ouvrir en grand ses oreilles afin de la protéger, elle et Ken, d'une future attaque. Elle a déjà été empoisonnée une fois et a failli mourir, elle n'a aucune envie qu'elle ou Ken trépasse à cause de leur impudence. Ils devaient arriver au commissariat à quelques rues de l'assemblée calcinée, ils devaient se montrer alerte, faire comme si rien n'était et surtout, ne pas attirer l'attention sur eux. Cela dit, au lieu de faire comme s'ils se promenaient en amoureux, ils ont une distance sociale amicale, comme si le duo ne faisait que traîner dans le coin, innocemment. Il aurait été pratique que Maorou soit là mais aucun des deux n'est Inuzuka, donc il aurait été impossible d'avoir un quelconque lien chakratique entre l'animal et l'un des deux shinobi.

Au loin, à l'entrée de ce commissariat, dans lequel la demoiselle s'est réfugiée lors de sa première rencontre avec ce cardinal de la mort, plusieurs personnes s'y présentent, fâchées, avec des officiers qui ne comprennent pas ce qu'elles essayaient de faire en se rassemblant. Toutes celles-ci avaient un point commun, elles voulaient, clairement, savoir, à l'assemblée, là où les autorités travaillent, ce qu'ils comptent faire pour que justice soit rendue. La raison : ils n'ont plus confiance aux ninjas qui devaient les protéger. Plus précisément, ils ne les ont pas protégé des furies de l'outre tombe créées par ce Nara Joben. Il y a quelque temps, d'autres plaintes furent lancées du côté de la raffinerie pour la même raison. Certains des civils, ici, se montraient plus violent, explosèrent de colère, pleurant, les yeux rouges, les phalanges blanchies par les poings serrés. Une petite dame assez ronde ayant vu la demoiselle portant le symbole du kyuubu vient à elle en pleurant pour raconter que ses enfants sont morts â cause de cette monstruosité sortie de l'ombre, dans ses bras, ensanglantés, demandant comment elle peut avoir confiance aux ninjas présents dans son propre village, en maintenant fermement les bras de l'apprentie, au point où la demoiselle en a mal. Minako ne broncha pas.

« Que justice soit rendue… Écoutez, je vous propose de lancer une pétition, que vous nous transmettrez, enfin, aux autorités à l'assemblée, ou alors aux autorités du clan Nara. La voix du peuple doit être entendue et je compte sur votre courage pour y parvenir.

J'ai été victime de cet homme, j'y ai perdu ma voix pendant un moment, alors que celle-ci est ma force, en chant, en combat… alors que je ne devais pas me battre à cause de ma respiration bien trop douloureuse. Je peux vous assurer que je vous soutiens. Cet homme est mort. Mais si vous avez besoin d'un porte-parole, je n'hésiterai pas à avoir ce rôle pour vous. Et si j'échoue, je n'hésiterai pas à me seppuku sur la place publique.
»

Assurée, la demoiselle calcinée a très certainement pu convaincre la femme. Peut-être grâce à ses derniers mots, dans tous les cas sa sincérité n'est pas à remettre en cause. Alors que la mère de famille et la jeune adulte allaient se quitter, et que la foule commençait à se dissiper en sachant qu'ils ne réussiront pas à se faire entendre aujourd'hui, l'un des officiers tomba, de la même manière que Tora au début de la matinée. Le sang de Minako ne fit qu'un tour avant qu'elle emmène de force Ken dans le commissariat. Au moins ils seraient en sécurité à l'intérieur.

De même, l'apprentie prévient que des eisenin doivent porter secours aux potentielles victimes dehors, qui se sont mystérieusement évanouies. Alors qu'elle cherchait du regard un lieutenant, une silhouette familière se profile sous ses yeux, lui disant qu'elle n'a pas l'air en grande forme.

« Kyra, cherche moi le lieutenant de ce commissariat. Je dois lui parler ! »

« Oh la, tu t'prends déjà pour Kaito à parler comme ça ! Calme toi, j'y vais, j'y vais ! »

Quelques instants plus tard, le duo de shinobis envoyé par Kaito se présentent dans le bureau du lieutenant Suzuri.

« Lorsque nous sommes arrivés devant le commissariat, la foule de manifestants en deuil commençait à se dissiper quand des officiers du kyuubu ont commencé à s'évanouir comme notre troisième comparse ce matin. Je voulais vous tenir au courant en tête à tête qu'il s'agit d'un empoisonnement au curare et qu'il était probable que d'autres victimes fassent leur apparition.

Je vois. Lieutenant Kaito a dû envoyer son message à tous les commissariats, comme à son habitude. L'institut prendra soin de ces victimes, n'ayez crainte. Quant à ces foules…

Oui ?

Ça fait quelque temps que l'on reçoit des personnes endeuillées à cause de la folie de ce Nara et on en a conclu une chose : il faut que l'on bouscule un peu le conseil de ce clan pour faire un procès public afin que le cœur du peuple soit apaisé. Vous n'êtes pas sans savoir que ce clan était mal vu dans son pays natal, n'est-ce pas ? S'ils voient que ça risque de recommencer de nouveau, alors ils agiront comme il se doit… J'espère.

Excusez-moi, mais… Keisuke-sama ne peut rien faire ?

Non. Ce n'est pas de son ressort. Ou plutôt, seul, il ne peut rien faire. Le Conseil Nara devra l'écouter.

Je vois. Cette demande pour le conseil Nara fera l'objet d'une partie de mon rapport, ainsi ça donnera de l'importance à ce que vous soulevez. Ai-je besoin d'ajouter autre chose à retranscrire pour le commissariat central ?

Non. Je t'en remercie jeune fille. Vous pouvez en disposer. »

Alors que le duo devait partir, le lieutenant revient à eux avec le gladiateur aux cheveux d'argent.

« Attendez ! Avant que vous ne partiez, je souhaite que Kyra vous rejoigne pour finir votre mission. Par sécurité pour ce qu'il s'est passé. Soyez prudents. »

Spoiler:
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Ven 15 Juil 2022 - 9:28
Le souffle court, l’homme était calé contre le mur à l’étage, sous la fenêtre. Son dos heurta le mur faisant trembler l’édifice où un pot de fleur chuta près de ses pieds, l’eau en se déversant lui mouilla ses chaussettes. Il pesta mais il n’avait pas le temps de les retirer pour les essorer. L’hiver précoce empiétait sur l’automne. Le tonnerre hurle couvrant les cris des criards. Parfois, les personnes plus véhément que les éléments scandaient leurs haines que tout le monde pouvait entendre. Un chant qui semblait révolutionnaire.

Le kubyuu, chien des Naras, jusqu’au bout
Le Kubyuu, sont de bon toutous
Le Kubyuu vous n’est que des mous
( Le kubyuu, vous etes que des sale trouuuuuu) X2

[Refreins]
Le Kubyuu le kubyuu la coooorde, LA COOORDE !
Le Kubyuu le Kubyuu la corde AUTOUR DU COUUUUU !

Le kubyuu, Keisuke a genoux !
Le kubyuu, Keisuke loin de nous !
Le kubyuu, trop de mort parmis nous
(Le kubyuu, aller vous faire fouuuu !) X2

[refreins]


Ken exhalait avec pénibilité en fermant les yeux. Pour le moment, il n’y avait aucune transgression de la loi sauf peut-être une réunion sauvage devant un bâtiment officiel. Si ken, avait bien compris ce qu’il avait lu dans les manuels de Minako avec son consentement bien entendu. Tout y figurait, les lois, la tenue, les outils, un peu d’histoire. A se propos, Ken n’avait pas trop aimer la façon dont Keisuke avait atteint le rang suprème du Kubyuu. Profitant d’un concours de cisconstance pour gravir les échelons, et non grace a son talent. Cet homme qui a eu le culot de le refuser au simple rang de Minarai alors qu’il n’avait rien obtenu de son propre chef. Utilisant les autres pour son propre profit, en bref, un Nara ordinaire. Une de ses espèces de fumier, la gangrène de Kumo. Aussi, il prenait plaisir au chant révolutionnaire et les laissa scander leurs rage. Il la partageait, d’autant plus maintenant que c’est un Nara qui a causé la mort d’autant de personnes. Les Nara s’en sortiront juste en allongeant un peu d’argent, comme toujours.

Soudain, alors que le chant révolutionnaire repris, Ken put entendre plusieurs voix. Par dela le chant il comptait deux, non, quatre voix différente réunis par mis les personnes. Un tremblement de terre avait forcé Ken a regarder par dessus son épaule. Il vit alors jaillissant des manifestant une gerbe de flamme ninjutsu léchant les fenêtres du commissariat faisant exploser les vitres à gauche. Tandis que la droite subit le même sort avec un dragon marin, si il avait bien compris le nom de la technique. Au milieu, deux shinobis, dont Ken ne pouvait pas discerner les traits, érigèrent une sorte de mur de brique rudimentaire par l’association intelligente d’un mur de boue et d’un mur Katon. Les civils, alors, chantèrent avec moins de cœur, ils ne devaient pas s’attendre à ce que certains d’entre eux, passe à l’attaque contre un bâtiment officiel. Pour le coup, ils étaient tous coupables de dégradation publique. Ken avait peur que la liste s’allonge avec des assassinats.
Comment est ce arrivé? Il n’avait rien compris à la situation pourtant tout était bien parti, enfin, de façon normale. La missive de Kaito annonçant qu’il y a des tueurs de flics, que même s' il ne portait pas l’uniforme, Ken étant en mission avec Minako, il était donc sujet au même traitement, apparemment.
Ken n’avait rien compris, pourtant, la foule s'était dissipée lorsque Minako leurs proposa de créer une pétition dans les règles et surtout conforme à la loi Kumojin. Tout comme Minako, il etait certain que la foule s’était dispercé, il en avait le cœur net. Pourtant, qui était donc dehors? Pourquoi cet élan de haine? Selon le lieutenant, il était de coutume pour des personnes de venir régulièrement afin de se plaindre. Les civils adoraient prendre le Kubyuu comme bouc émissaire. Ken ne pouvait pas sempêcher d’imaginer un vieu tomber par terre, enjamber le petit cailloux et lever sa canne pour disputer le Kubyuu car il n’avait pas rendu la rue plus sûre en laissant se piège mortel sur son chemin.

D’un autre coté, en écoutant le chant des personnes, il pouvait comprendre les civils. Lui-même avait plus d’une fois subit la folie des Nara, la folie du clan Nara, qui gangrènant Kumo tel un cancer. Le kubyuu voulait réellement arranger les choses, qu’a coup de conseil? Un procès public? Puis quoi? Minako, elle, espérait-elle qu’une simple pétition aiderait un peuple entier? Le peuple etaient-ils idiot? Elle avait au moins le mérite d’être proche du peuple et d’agir pour eux, avec les moyens mis à sa disposition. Au pire, la pétition fait mouche, alors quoi? Alors les Naras gagneront encore… avec leurs milliers de Ryo, ils leur sera facile d’acheter les juges, ou, d’acheter le résultat de la pétition. Au mieux, les Naras rembourseront les dégâts, et quoi de plus? De leurs milliers de ryo ils se feraient pardonner pour recommencer cinq années dans le futur. Kumo avait une infection appelée Nara. Cette famille possédait la plupart de la richesse du pays. De ce fait, leurs exterminations serait sûrement impossible, les bannir pas plus d’ailleurs. Cette comédie ridicule qui prendrait peut-être forme de procès public comme Minako lui avait dit sur l’oreiller quand Ken n’avait pas trouvé le sommeil, ralant et pestant une fois de plus contre cette pourriture de Nara. Tout cela ne servira donc à rien. Les Naras s’en sortiront toujours. Pire encore, ils feraient surement un coup de trafalgare pour gagner en popularité augmentant encore une fois, leurs emprise sur Kumo.

“Dans dix ans, si les shinobis ne prenait pas garde à cette gangrène, ils vivraient plus comme des Kumojin mais comme des Narajin.”

— FAIT CHIER !

Ken luttait pour ne pas leurs faire part de leurs ridicule façon de penser. C’est toujours pareil, les plus riches gagnent toujours à la fin. De plus, sachant que le Kubyuu est dirigé par un Nara, et que c’est le Kubyuu qui mènera le procès, alors les Nara sortiront vainqueur. Tout cela n’était qu’un simulacre ridicule pour mettre les maîtres de Kumo hors de tout soupçon. Quelle sera la prochaine étape? Devenir Narakage?


Ken essaya de cacher son rire quand Minako lui demanda si Keisuke ne pouvait rien faire.

“Ma naïve et douce petite femme, pourquoi il agirait? il n’avait pas besoin d’agir, ou plutôt, dans l’immédiat. Plus une personne était au aboie, plus elle était obéissante face à une solution même néfaste. Sans solution immédiate, l’humain prendra toujours la pire.”

Comment pouvait-elle être aussi naïve, croire qu’un Nara allait agir contre des Naras. C'était comme dire que son oncle Yuan allait trahir la guilde des boulangers… Surtout que ce n'était pas la première fois que le peuple grondait, mais il faisait preuve de moins en moins de patience. Comment peut-on leur en vouloir? un Nara au pouvoir qui s’en fichait éperdument du peuple qu’il avait sois disant juré de protéger.

Ken n’avait rien ajouté quand Minako leurs proposa la pétition, que dire de plus? Il était d’ailleurs mieux de ne rien dire de peur de mettre le feu aux poudres. Quand on sait qu’il a été trahi par Aizen, Joben que Keisuke lui a craché au visage alors qu’il avait mérité plus d’une fois sa place au Kubyuu ! Il se contenta alors de leurs offrir son plus beau sourire et d’offrir le petit pain de sa ration de ninja a la petite Kiwi dont la mère regardait avec des yeux reconnaissants.

Il se souvient alors que la foule s'était dispersée, il en était convaincu. Pourquoi était-elle donc revenue? était- ce la même foule? une autre? en tout cas, il n’avait senti aucun chakra en particulier, comme le pourrait-il n'étant pas un shinobi sensorielle. Il n’avait pas compris sur le coup, d’ailleurs avait-il réellement compris les intentions de la foule et des quatre ninja dissimulés? Avaient-ils réellement la rage contre le système qui les abandonne? Étaient-ils de simple Houligan dont le plaisir simple de tout casser justifiait leurs présences? Des membres du triangle? d’un autre groupe? Quoi qu’il en soit, le lieutenant l’avait bien fait rire lui aussi avec sa confirmation qu’un procès public, comme l’avait prédit Minako, allait avoir sûrement lieu. Son visage semblait trahir un manque de confiance dans ses propres paroles. A mieux à y réfléchir, peut-être que le procès public serait un excellent moyen de tuer les dignitaires de Kumo? Tout le gratin sera réuni… Si c’était là, le plan des pourritures de Nara?
Ken ne pouvait plus en supporter d’avantage quand le lieutenant parlait du conseil Nara.

— Pardon, j’ai du mal à comprendre la logique… Vous voulez organiser un procès public contre les Naras, présidé par…. des Nara? Vous rendez vous compte de votre st…. Ken ne fini pas sa phrase de peur de mettre sa femme en difficulté.

— Notre str….? fini ta phrase mon garçon !

— Votre… stratégie ! C’est comme si j'étais accusé d’avoir commis un vol et que Minako présidait la séance… c’est un peu r….. étrange non?

Le lieutenant se gratta la barbe un peu gêné. Ken écarquilla des yeux, apparement, le Kubyuu ne semble pas gêné qu’un Nara préside un procès public, contre les Naras. Le kubyuu avait-il déjà eu la patte graissé pour fermer les yeux sur ce détail pourtant faramineux?
Alors que le duo devait partir, le lieutenant revient à eux avec le gladiateur aux cheveux d'argent. Le trio allait partir, la main de Ken plongé dans la main de Kyra, une tappe sur l’épaule. Le peuple avait choisi de faire un blocus pour scander le chant patriotique.

— Puis je aller à l’étage mon lieutenant?

— Pour quoi faire? lui répondit Casteriano

— Avec votre autorisation, je voudrais me préparer à jouer un air Onkyoton pour calmer la foule…

— On a peur mon garcon? L’homme sonda le regard de Ken, méditant la question.

— Bon, accordé ! Minako, Kyra avec nous ! tentons de les raisonner de façon pacifique, je ne veux aucun mort !

Ken avait à peine le temps de plonger sous la fenêtre. Il ouvrit les yeux, après avoir fait le point dans son esprit. Il se retrouva à nouveau sous la fenêtre alors que les jutsus redoublait de vivacité, une odeur de brulé se fit sentir. La foule avait–elle réussi a mettre le feu? Il esperait que Minako n’ai rien.

Ouvrant la fenêtre, il sorti son dizzi et entamma le Kuzuri no Taïsen sur la foule enragé, cherchant les shinobis rebelle pour les distraire pour aider le Kubyuu a arrêter la foule.
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Zaiki Minako
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Mar 19 Juil 2022 - 11:35
« L'illusion apaisante de Ken est notre solution pour apaiser le peuple, Lieutenant… »

Minako et Kyra descendent et se mettent en position pour traquer et arrêter les quatre shinobi qui peuvent blesser les civils. Minako n'eut le choix que d'utiliser exclusivement des techniques au taijutsu. Quant à son collègue Kyra, son tetsubo devrait réussir à calmer les shinobi qui ont commencé à user de leur ninjutsu. Alors que les civils commençaient à se calmer grâce au Kusuri de Ken, la visibilité des 4 ninjas casseurs se fit plus conséquente. Le lieutenant Suzuri ne prit que quelques secondes avant d'envoyer une salve de serpents d'encre immobilisateurs…

Minako se débrouille pas trop mal jusqu'ici. Son endurance et sa force physique d'antan revenant en force, elle usa de prises de self-defense pour déboiter les épaules de son assaillant. Elle y alla de manière si brute qu'elle allait continuer avec le second qui était sur elle, qui avait du suiton pour l'emprisonner dans une bulle d'eau. Elle n'avait pas le temps de s'en défaire qu'un officier pu la sauver à temps en neutralisant l'homme. Finalement, grâce à Ken en soutien ainsi que du dessinateur, on pu facilement mettre aux arrêts les 4 utilisateurs de chakra qui par chance, avait peu blessé les foules. Le feu qui commençait à prendre au niveau de l'entrée a pu être étouffé par du doton.

« Super, Kenny, je ne sais pas ce qu'on aurait fait sans toi ! Ton art est vraiment ouf, reviens maintenant ! »

Minako était devenue toute trempée jusqu'aux os et avait besoin d'essorer ses cheveux afin de continuer la mission en ayant tout de même une apparence correcte, après quoi ils traversèrent le pont pour aller dans les quartiers riches et les quartiers résidentiels des clans majeurs de Kumo. Ce même pont qui a changé la vie de Minako et Ken dès lors que l'une a sauvé l'autre d'une mort certaine. Instinctivement, elle regardait par-dessus ce pont, une peur inconsciente que d'autres victimes aient pu se retrouver noyées… elle se rassura en n'ayant rien vu de particulier.

« Bah. C'est trop mignon de vous voir rêvasser va… Bande de p'tites Princesses. »

« Hé ho ça va hein, Pignouf, j'ai le droit de regarder le pont si je veux d'abord ! Bon, il faut qu'on aille à la guilde maintenant. »

***

Hekiun no Za, ou la guilde regroupant les artisans menuisiers, les costumiers et autres maroquiniers. S'ils ne semblent pas atteint par des incidents graves, ils se plaignent de contrefaçons de leurs produits qui font de l'ombre à leur propre travail. D'ailleurs, on peut y retrouver le marchand de poteries que le duo Minaken avait déjà croisé lors d'une ronde…
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Daishi Ken
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Lun 8 Aoû 2022 - 23:36
Kusuri no taïsen planait au pied des escaliers de bois et de pierre menant au Kubyuu donnant à la scène une atmosphère surréaliste. Comme lors de l’examen des chuunins, Ken inondait d’amour, là où résonnent les échos des pleurs, des hurlements, des cris de techniques mettant le bâtiment à feu et à sang ! Plus les lieux regorgeaient d’agonies, de fureur, de sons affreux de combats entre frère et sœur Kumojin, plus Ken mettait du cœur dans son ode à l’amour. Si bien, que parfois une femme, un vieillard, un homme, une mandiante, regardait stupidement devant lui ou elle, dans un etat bête comme pris dans un orgasme auditif sans fin, parfois un homme, une femme, poussait un râle de plaisir réclamant encore plus de Kusuri lorsque Ken chercha une autre victime.

Ken, en les fixant, compris qu’il était sur le point d’atteindre un nouveau niveau, un Kusuri plus puissant que jamais ! Y mettant chaque fois son amour pour Minako dans ses notes. Son amour devenant, jour après jour de plus en plus fort, son Kusuri, sans se rendre compte, suivait le même chemin de perfection. Désormais, son Kusuri dégageait un effet orgasmique plantant sa cible comme un piquet le regard vide avec pour unique expression, un sourire satisfait. La distraction surprenante rendait les boucliers humains de plus en plus raides. Si bien que les malfrats voulant s’en servir pour bloquer un jutsu trop agressif les utilisaient avec bien plus de peine.
Une grand-mère porta le dos de sa main et viens alors s’écrouler dans les bras d’un des malfrats dans un regard vers Ken plein de tendresse, un sourire au lèvres. Le jeune homme en etait un peu ecoeuré imaginant les grelots de chaire flasque de son buste lui foueter le visage.

“Faisons l’amour tout nue Ken, fait plaisir a une grand mère s’il te plaiiiiiit, tiens je vais retirer mon dentier pour toi !” Dit-elle avant de glisser vers son entre-jambe en embrassant le vide qui les séparent.

Alors que Ken se déconcentrait de plus en plus à cause de cette vieille folle, il eu tout le loisir d’observer ses collègues, heureusement, faire un travail plus qu’admirable. Sa femme avait décidée habillement d’éviter tout jutsu pour ne pas blésser les civils, trés habile de sa part ! Kyra lui, bien moins dans la finesse, se contenta de sortir son imposant tetsubo pour exploser quelques bouches. De là où il était, Ken ne voyait pas si il explosait des civils ou des malfrats mais il donnait beaucoup trop de cœur à l’ouvrage à son goût.

Toutefois, alors qu’ils semblaient réussir à calmer le jeu, le bâtiment se mit à trembler. Un puissant dragon volcanique explosa contre la roche du bâtiment faisant gicler du vomi magmatique sur la bâtisse. D’une réactivité exemplaire, le chef des lieux lança des salves de serpents d’encre au visage du reste des malfaiteurs ne prenant pas en compte les villageois, l’urgence faisait que les dommages collatéraux étaient envisageable. Au pire, les civils seraient aveugle quelques heures, du moins, ceux qui ne s'étaient pas évanouie à cause de Ken. Son action bien que brutal et sans risque, fut la bonne décision, les malfrats prient de cours etaient bientôt ficeler par un Uroboros d’encre se mordant la queue dans une menotte d’encre des plus robustes. Le reptile glissant de proie en proie resserra les anneaux en les constricant les un contre les autres.

Au même moment, des hommes à l’interieur du Kubyuu firent des pilliers de pierre pour éviter que la batisse s’éffondre avec un revetement de sol ressemblant à du marbre blanc le plus pure. Le bâtiment etait des plus étrange. l’arrière du Kubyuu resplendissait par l’art traditionnel Kumojin alors que le devant faisait un style inconnu dans tout le Yuukan. Les pilliers avaient des moulures étrange, des serpents faisait le tour de chaque colonnes la gueulle tournait vers l’exterieur d’un air menaçant, en guise d’avertissement. Le blanc marbré, doté d’une sorte de fumée noir parcemé un peu partout tenait une nouvelle porte en alcove.

Ken observait cette drôle d'architecture nouvelle, il tomba immédiatement sous le charme. Il obéissait a Minako avec une lenteur presque exagéré. Son visage admirait les colonnades tandit que certaines victimes s'étant relevé le fixait avec un regard plein d’appétit.

Au début, l’homme ni préta pas attention, se mettant proche de Minako, il créa quelques Kuukimakura, ses coussins d’air, qu’il faisait exploser presque au visage de Minako pour la sécher au plus vite devant un Kyra tout interogatif mais silencieux. Chaque coussin d’air produisit un courant d’air suffisamment fort pour pousser Minako sans lui faire le moindre mal. Une facon de sécher sa femme le plus rapidement possible.

Aprés avoir fait ses adieux au lieutenant, Ken fixa sa femme et Kyra avec de plus en plus de malaise au visage. Autant les femmes le mettait déjà dans un état pas glorieux mais plus il avançait dans la foule, plus en plus d’hommes, de femmes et pire, de grand-mère le regardait avec un appétit sexuel accru. Tel des zombies ils s’aglutinèrent autour du groupe

— Jeune homme, je dois vous parlez !!!!

— TROP BIEN TA MUSIQUE !!!! j’organise mon enterrement de vie de garçon, JE VOUS INVITE ! HEY ATTENDEEEEEEEEEZ !

— JE ME CONSUMMMME POUR VOUUUUUS !!!!! Cria un homme tout frêle, d’une voix aigrelette déchirant sa chemise montrant son téton et son poitrail velu et huileux de sueur.

Ken n’en pouvait plus. Il avait peur de créer une émeute. Pourquoi s'était-il lancé dans l’art de ce qu’il nommait le Nawak Jutsu?

— Heuuu… Je…. je…. Je me sens un peu mal Minako… je crois que… heuuu…. AAARRRGH !!!!!

Poursuivi par un fan un peu trop zélé, Ken fit quelques mudras gagnant une vitesse hallucinante battant le record du 40 yards en 4 secondes et 2 dixièmes. Il avait facilement atteint le double de cette vitesse. Il avait l’impression de s’être téléporté.

Ken n'eut pas le temps de s’en rendre compte mais il avait passé le pont où jadis il avait failli mourir noyé par le pied de plomb de Kyoko. Il stoppa sa technique quand il vit le panneau indiquant Hekiun no Za.

“Et merde…. avec toute cette connerie, j’ai trois heures d’avances, je fais quoi ? tein je vais éviter d’utiliser ce Kusuri… ou peut-être adoucir son effet, j’ai faillit en perdre ma chemise, tiens c’est quoi c…. AAAAAARGH !”

Ken crus voir un sous-vêtement sur son épaule, ou était- ce un mouchoir? Qu’importe, Ken a peine vit le chiffon, qu’il le jeta rapidement. Son genjutsu était devenu vraiment très voir, trop puissant. Il allait devoir se brider désormais face aux non initiés. Il se rendait compte que ses genjutsus avec le temps, serait de plus en plus mortel. Le kuzuri qui n’avait jamais fait de mal à personne, jadis, pour la première fois avait fait des victimes. Bien que physiquement, les civils n’avaient rien, mentalement c'était autre chose. Il espérait que les personnes s’en remettraient. Dire qu’il lui faudra à l'avenir modéré son Kuzuri, il n’avait jamais pensé un jour que son genjutsu le forcerait à revoir sa puissance en baisse.

Ken n’avait pas chômé en attendant Minako. Il profita dêtre sur les lieux pour glaner des informations, inutile pour la mission. Il comprit qu’ils allaient faire choux blanc, il n’y avait rien d’intéréssant au niveau Kubyuu, alors, il préfèra passé son temps à joindre l’utile à l’agréable. Il se proposa de passer une heure maximum à faire des emplettes. Minako passerait forcément içi avec Kyra. Inutile de rebrousser chemin. Il s’offrit un psalterion décoratif et prit pour Minako un qipao blanc, bleue ciel, et or. Il le cacha au fond de son sac s’assurant qu’elle ne le trouverait jamais jusqu'à ce que le bon moment soit venu. Au moment de ranger le Qipao, il se rendit compte que c'était un Qipao de mariage. Il n’en revenait pas. Tout son être désirait plus que tout d’être uni à elle au point d’acheter sans même faire attention, un vêtement de mariage.

Il voulu se prendre une bière ou du thé en attendant Kyra et Minako, se sentant bête, et s' il s'était fait attaqué par le tueur de flic? ou pire, si Kyra profitait de la situation? N’en pouvant plus, Ken perdit patience et partit à la rencontre des collègues.
finalement, de retour à la guilde, ils passèrent par un coin oublié de Ken ils tombèrent nez à nez sur le marchand de poterie qu’ils ne les avaient pas reconnu sur le coup. Ken proposa a Kyra d’y aller. L’homme connaissait le visage de Minako et le sien. Il ne connaissait sans doute pas le visage de Kyra.

— Ecoute mec, il ne te connait pas, fait pas chier je te dis qu’il nous connait… donc, pendant que tu lui parles, vérifie bien qu’il n’y ai pas de double fond. C’est un escroc, il cache de précieuses ressources dans un double fond. Peut-être a-t'il arrêté ses combines? mais dans le doute, va vérifier s’il te plait !
Kyra, finalement cèda a la demande de Ken

— J’aurais un truc à te dire à toi, Ken, au fait, mais plus tard, un truc a te demander plutôt…

Sans attendre de réponse mais amusé par le regard interrogatif de Ken, il s'avança vers l’homme ne cherchant pas midi a quatorze heure il lui sorti de but en blanc.

— Je veux voir ta marchandise !

— Pas de problème, tout est là…

— Non… je veux voir…. TOUTE la marchandise…. Insista Kyra en faisant claquer son pied d’impatience.

— Mais, je nai que ca …. ! répondit l’homme en tremblant.

—- Hummm moui…. admetons… je peu voir cette objet labas?

— Oui biensur, venez avec moi !

— Je préfère t’attendre ici…

L’homme peu rassuré fini par obéir. Tandit qu’il a le dos tourné. Kyra planta son poing à l’endroit que Ken avait désigné. En effet, son poing rencontra une matière étrange et des bruits de vaisselle cassé se fit entendre.

— MA VAISSELLE DE MIZU !!!! MON DIEUUUU !!!!!! L’homme écarquilla des yeux !

— Hein quoi ?

— Ma porcelaine de Mizu, qu’avez vous fait !!!!!




Dernière édition par Daishi Ken le Sam 3 Sep 2022 - 16:02, édité 1 fois
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Ven 19 Aoû 2022 - 19:06
Au moment où Minako pris des informations au sujet des contrefaçons vendues, que ce soit de l'argenterie ou des pâles copies de peinture célèbre, elle entendit un bruit de fracas de vaisselle. En effet, son collègue, Kyra a tout simplement brisé les céramiques en provenance de Mizu que le marchand de poterie avait en stock. Ce dernier paniquait et bégayait, ayant l'air blessé d'avoir perdu de tels objets, comme si l'on lui avait pris un être cher. Cela dit, un détail n'échappe pas aux oreilles de la banshee.

« Ma porcelaine de Mizu, vol… euh chérie, depuis ce temps, qui devait être vendue à prix d'or… oh mon dieu comment vais-je faire… » disait le marchand, tout penaud. Derrière son interlocuteur ayant commis l'odieux massacre de la vaisselle, approchait la femme du trio, d'une brise calme cachant une braise de colère.

« Vaisselle que vous avez chéri ? Où l'avez-vous eu ? »

Le vendeur s'est d'abord offusqué, croyant que la demoiselle l'insultait, puis s'est rendu compte qu'elle l'a entendu se corriger en mentant. Il resta quelques secondes bouche bée et pris d'une rage de voir toute son escroquerie tomber, il poussa les deux afin de partir : s'il n'arrivait pas à arnaquer qui que ce soit à Kumo, il n'avait qu'à voguer vers d'autres contrées. S'ensuit un magnifique croche-patte pour le faire tomber afin qu'il soit mis aux arrêts en tant que voleur et escroc. Prenant Kyra à part, la kunoichi lui fait remarquer que marchandises auraient pu être rendues et qu'il n'aurait pas dû faire la brutasse.

« Bah euh… j'pensais bien faire quand même. »

« Hmph. On en reparlera, trouduc. »

À part l'incident dont l'homme a finalement été mis aux arrêts, et dont Minako a pris des notes sur le comportement de son camarade du kyuubu, il n'y a rien à signaler. Ils partent pour le commissariat à une rue du complexe shinobi. De plus, ils pourraient laisser l'escroc aux officiers en question une fois arrivés sur les lieux.

« Ça va, Ken ? Vu comme tu as détalé tout à l'heure avec tous ces fans, on s'est demandé si tu allais réussir à t'arrêter dans ta course. »

« Je ne t'ai jamais vu courir aussi vite d'ailleurs, tu pourrais rivaliser avec Ryuku ! »

Le beau monde a fini par arriver en face du complexe shinobi, et en passant dans une rue en face, ils entrent dans le dernier commissariat à voir afin de finir leur tour. Ils sont accueillis par le lieutenant Muto. Ce dernier leur annonce d'étranges bruits venant de ruelles sombres la nuit dans le secteur, qui ont été rapportés par des habitants, sans trop savoir d'où ils viennent. La dernière patrouille a trouvé du sang séché sur les murs et après analyse, ceux-ci viennent de morceaux de viande cru que l'on trouve habituellement chez un boucher. On se demandait d'où ça venait, de qui et pourquoi faire cela. Était-ce une forme d'art venant d'un artiste quelque peu fou ? Une menace venant d'une personne voulant faire pire ?
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Daishi Ken
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Dim 4 Sep 2022 - 20:49
Comme toujours, lorsqu’il était question de Kubyuu de près ou de loin, Ken préférait s'effacer afin de laisser les plus qualifiées faire leurs œuvres. C’est pourquoi il laissa Minako et Kira dans leurs coins, observant la scène de loin, bras croisés. Il se mit à rire tout seul en se rendant compte qu’il avait instinctivement pris la pose de son beau-père.
Il ne fut aucunement surpris que Kyra explosa la vaisselle de l’escroc, tout s'était déroulé comme il l’avait prévu. Un coup de poker certes, il n’aurait pu ne rien y avoir, pire encore, le marchand aurait pu avoir appris la leçon et n’avoir que des produit légaux que le Kubyuu aurait dû rembourser à coup de Ryo et de bandeau de Minako. Heureusement que Ken avait vue juste. L’homme, toujours aussi éffronté vociféra des plaintes à l’encontre de Kyra.


Ken allait calmer le jeu quand il sentit la main invisible de Yuan sur son épaule. Un souvenir passé. Il se remémora Grisou fachée quand deux enfants torturaient un chien à coup de taijutsu. Ken, ivre de rage préparait un genjutsu bien sévère. Son oncle lui avait dit "Attends, regarde….” Le Jeune homme s'était tourné vers Grisou. Yuan avait alors ajouté. “Il faut jamais faire chier une femme en colère…. lecon une en séduction Ken… préfère toujours la fuite quand les femmes ont se regard….”.

Les yeux de Ken se sont alors humidifiés en revoyant l’expression de Grisou sur le visage de Minako. Il se remémorait les sévères coup de boken qu’ils avaient pris de la part de Yoko qui les insultaient d’idiots. Yuan avait du intervenir se prenant un coup de Bokken dans le dos pour protéger les enfants de la fureur meurtrière de Grisou. Peu de temps après, ses enfants là, devinrent d’excellent futur magistrat.

Minako n’avait pas se faciès de follie meurtrière comme Grisou se jour là, toutefois, elle etait arrivée à un stade où elle pouvait se gerrer seule encore, selon Ken, mais qui risquait quand même un dommage collateral si il s’opposait entre elle et l’escroc. Pourquoi interviendrait-il d’ailleurs? Il souriait dans le vague, l’image de Grisou fut soufflée par une forte brise méllé à de la nostalgie. Se soir, il avait décidé de boire en l’honneur de sa grand-mère, pour l’heure, il devait encore finir la mission.

L’homme tenta de plaider sa cause avec la colère, apparement, il n’etait pas au courant des leçons de séduction de l’oncle Yuan. Il aurait pu s’en sortir en enfumant Minako à coup de pardon. Quand il faisait des bêtises, supplier Minako comme on supplie l'empereur, avait toujours tendance à fonctionner pour Ken. Aussi, rigola t’il quand il vit l’homme tenter la fuite et avaler un hanneton à même le sol dans sa chute, à cause d’un magnifique croche-pied. Minako n’avait pas fini puisque, fachée, elle prit Kyra à pars laissant le soin à Ken de surveiller le lascard. Etonnament, Ken lui dit.

- Aller, elle ne regarde pas, tu es libre, petit brigand ! dit-il avait un sourire de facade faussement chaleureux.

HEIN ? répondit l’homme estomaqué.

-Tu ne m'as pas entendu? tu es libre, sauve toi avant que je change d’avis….Ken se recula de quelques pas pour lui prouver sa bonne foi.

L’homme sauta sur ses pieds remerciant Ken chaleureusement passant à côté de lui. Il souria bêtement ne croyant pas en sa chance. Ken l'attrapa par le cou et le plaqua à terre avec une grande férocité.

-J’ai changer d’avis ! désolé... ricanna le jeune homme.

Mais…. mais…. mais… fumier... répéta l’homme.

-prendre Kyra pour un imbécile je m’en fou, me prendre pour un abrutis passe encore, toute ma vie Kumo n’a fait que de me prendre pour un raté…. mais il ne faut jamais…. JAMAIS prendre Minako pour une conne devant moi !!!! TU M'ENTENDS !

Ken fit deux clones l’un des deux, sans aucun respect pris place sur les omoplates de l’escroc.

-Pour avoir pris Minako pour une conne devant moi,PAR DEUX FOIS, moi Ken Daishi, je te condamne à la honte éternelle et estime toi d’être toujours de se monde, quoi que…

Le clone bien installé accroupis contre l’homme, face tourné vers les pieds de la victime, lui souffla un fin jet d’air chaud, silencieux et malodorant contre la nuque, le gaz remonta dans sa chevelure bouclée.

- Te voila marqué du sceau de la honte vermine…. la prochaine fois, se sera le sceau de la mort ! Dit t’il en sortant à peine le Kunai de son étuis.

-Je sais que tu ne m’oublieras pas, j’ai souillé ton âme, partout où tu iras, partout on tu dormira, tu penseras à mon sceau, tu le ressentiras contre ta nuque. Je protègerais cette femme même par dela la mort, se manque de respect envers elle d’ordinaire enmène le coupable jusqu’a l’au dela, tu t’en sort bien, non vraiment ! mais quand tu seras en prison, profite pour renaitre sous les traits d’un homme meilleur.

Le clone alors, s’éloigne un peu de la tête de l’homme en continuant à le maintenir le temps que les renforts ou que ses camarades reviennent. Au retour de Kyra et Minako, le clone finit par disparaître ce qui permis au malandrin de se relever. Tout deux, sur le chemin, Kyra et Minako se moquèrent un peu de son sort.

— Ha ben non comment dire…. je pense par accident avoir créé une nouvelle version du Kuzuri. je ne pensais pas qu’un jour il deviendrait un genjutsu aussi puissant…. j’envisage même de brider le Kuzuri maintenant ! Kyra, tu m’excuseras je ne te montrerait pas hein…. chè, Minako, pardon, par contre quand on aura fini la mission… Je te montrerai si tu veux. Donc heuuuu oui j’ai courus normal hahahaha.

— Je suis sur qu’il etait vraiment puissant, serait-il possible de voir ca monsieur? dit l’escroc en tentant d’amadoué Ken.

Celui-ci montra sa nuque, et il pointa ses cheveux de son index afin que le faux marchand se souvient du sceau de la honte. l’homme fut muet comme un carpe, non pas par ce qu’il a compris la leçon, mais sur le sol giseait un lapin mort, comme ci il avait explosé de l’interieur. Ken trouva ça louche et alla immédiatement voir le pauvre animal, un genou à terre, il plaça sa main au dessus du cadavre comme si il allait invoquer l’âme de l’animal avant de se raviser.

“ Le pauvre, qui a fait ça? Je…. “Il fixa Minako, puis l’animal, il tenta de dissimuler l’animal a sa femme.

Tout en l’animal avait explosé, les yeux, les poumons, la gorge, la gueule, le museau. Il y regna une odeur de vieille charogne, des asticaux dansaient dans cette mane providentiel, là où quelques mouches à merde prirent leurs envols satisfaites par un succulent et copieux repas. Leurs centaines de bourdonnements écoeurant Ken. En temps que Shinobi, il ne devait montré aucun signe de dégout, se forcer d’aller au bout de son analuyse. Serait-ce l'œuvre d’un Aburame? d’un utilisateur d’explosif? un utilisateur futon? tellement de possibilités s’offrait à lui. En y observant mieux, malgré la barbarie, les plaies étaient propre, ce qui excluait le futon, les explosions, le suiton, le Katon…. bref, quasiment tout. La théorie Aburame semblait être la meilleure piste. A moins que se soit un nécromancien faisant des tests sur des animaux?

A ses mots, Ken ressenti une sensation étrange, il avait une rage en lui qui grondait, ce n'était pas sa rage à lui… comme s' il captait une rage d’une autre personne. Il préféra l’ignorer pour cette fois. ainsi ils continuèrent leurs route. Durant tout le trajet, Ken ne fit que de penser au lapin, au bourdonnements immonde.

Sur le chemin menant au dernier commissariat, le lieutenant Muto leurs fit un rapport plutôt horrifiant. Il a fait mention de plusieurs cris la nuit dans le secteur avec la découverte de morceaux de viande répandu partout, provenant d’un boucher, le plus sordide dans l’affaire, est que la viande était de la chair humaine. Ken se mit les mains devant la bouche devant ce rapport comme pour étouffer un cri d’effroi. Il garda en mémoire ce que l’homme lui avait dit avant de partir.

— Ha, au fait, sachez que nous avons relevé sur certaines parties du corps, des traces de morsure, comme si la victime avait été dévorée puis recrachée.


— mais c’est horrible !


— Il y a pire… nous avons perdu toutes communications avec le complexe scientifique durant l’attaque du Nara… Ffinalement quand nous avons reçus à nouveau la communication, nous avons eu vent d’une catastrophe, une catastrophe qui présage rien de bon pour Kumo.

Pour seule réponses, Ken le regardait le visage clos, seul les yeux, grand ouvert donnait un signe de vie.

— Apparemment, le Nara fou aurait fracassé une partie du complexe scientifique, mais nous avons été coupés, juste avant la coupure, il y a eu des bruits étranges. Deux jours aprés, nous avons envoyé une patrouille mais ils ne sont jamais revenus…nous savons juste qu’il y a un problème avec le pôle psychiatrie. Nous savons que l’un des murs est tombé suite à son attaque, et c’est surement des malades mentaux, se sont enfuis. Certains de ses dangereux criminels étaient là dans un projet secret… Étant des gennins, vous n’avez pas les autorisations pour en savoir plus au sujet du projet.

Après avoir accusé le coup, Ken instinctivement, il porta ses mains a son sexe ce qui ne passa pas inaperçus au commissaire qui le regardait bizzarement. Ken allait parler mais Kyra pris le relais voyant le shinobi de plus en plus blème.


— On peut avoir la liste des personnes? non affilié à votre projet secret?
L’homme réfléchit, et n’en voit aucune objection. Ken, fébrile, jeta un coup d'œil sur la liste, elle n’y figurait pas. Soit elle faisait partie du projet secret, soit elle était morte, ou soignée.

Ken, continua son chemin, rassuré d’être débarrassé de l’escroc. Il remarquait sur le chemin menant à l’institut, les stigmates des atrocités des jours précédant sur le visage des badauds. Les visages las, les yeux surveillant son voisin serrant son enfant fortement contre soi. Ken pensait surtout au boucher, une part de lui voulait y aller, tandis qu’une autre affirmait que c'était bien inutile, que les agents avaient largement fait le tour.

— Minako, tu penses que par acquis de conscience on devrait y aller tout de même surtout qu’on est débarassé de l’abrutis ou, est ce qu’on avance vers la suite de la mission? On…. on… on va …. voir?



************************************************************************************



sur le retour (vue avec Minako HRP)



************************************************************************************



Faisant un détour vers le boucher, par acquis de conscience, étant sur le chemin du retour. Ken faillit vomir, il imaginait la scène en voyant tout ce rouge sur les feuillages, l’odeur de fer subtile, les fenêtres et la porte fracassé. Un détail l'attira quand ils remirent en route. La, dans les fourés, non loin de la maison du boucher. La où l’herbe etait rouge carmin, il y avait également un cadavre de chien qui lui rappelait le lièvre. Tout éviscéré proprement, vider du sang, des muscles, museau, yeux, gueule, pattes, tout avaient explosé de l'intérieur. La seule différence est que c'était comme si tout le corps du chien était aspiré vers l'intérieur, comme une orange que l’on aurait écrasé contre sa bouche pour en extraire tout le nectar.. S’en était trop, Ken souilla la carcasse de son vomi.

A peine avait-il fini de vomir qu’un cri effroyable se fit entendre pour se taire aussi surprenant. Ken, ni une ni deux, sans attendre l’ordre de Minako, le ninja courus vers le cris à en perde haleine, c’etait exactement ce qu’il lui fallait, une distraction, tout pour s’éloigner de l’animal ! Il avait suffisement confiance en Minako pour savoir qu’elle le suivrait, il courrait donc sans crainte vers le bruit.

C’est la qu’il la vit, sur une branche d’arbre, une femme au loin fuyant la femme qui gisait à terre. Ken ne réfléchissait plus ! Il se doutait que Kyra ou Minako s’occupterait de la victime. La femme avait des bottes noir, des gants noirs, une veste noir avec une longue capuche noir. Seule sa poitrine trés généreuse laissait apparaitre une peau a peine plus halé que celle de Minako. Des bijoux semblait aider les regards a fixer cette poitrine. De son visage, uniquement le menton etait visible, un menton d’où perlait une flaque de sang. La femme semblait attendre l’homme ou attendait-elle quelqu’un d’autre?

— HEY TOI DESCEND DE LA !!!! cria-t'il en se croquant la langue pour récolter de la salive.

— HOOO friandise naaaan c'est toi? comme tu as grandiiiiis !!!! tu m'as manquée !

Ken s’arrêta sur le coup mettant fin a son jutsu, comment l’avait-elle appellé? Friandise? Tu ma manqué? qui pouvait-elle être?

— M'apporte tu… ma petite douceur, friandise? ou es tu venus seul? hahahaha wow ses muscles? Tu dois être tout congestionné... Tu me donnes faim Dit l’étrangère en se sucant le doigt de façon obscène.

— est ce que ça te manque? HAHAHAHA ! A plus tard friandise, salut ma douceur. Nous nous reverrons ! Dit-elle en s’apercevant de l’avantage numérique de Ken.

Son jutsu fut plus rapide que celui de Ken, elle se mordit le doigt et cracha une longue et épaisse gerbe de sang vers la figure de Ken. Par réflexe, il ferma les yeux limitant l’impacte de l’attaque mais percutant Kyra de plein fouet. Il entendit du bruit à côté de lui, il n’entendait presque rien, comme si ses oreille se bouchaient, il avait le visage rempli d’un liquide chaud. Quand il s’epongea le sang sur ses paupières, il ne la voyait plus devant lui. Minako l’avait-elle déjà vaincu? l’étrangère avait-elle fuit?
Presque sourd et aveugle il appela Minako et Kyra, il voyait tout flou avec beaucoup de mal pour distinguer les formes.
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Zaiki Minako
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Mar 13 Sep 2022 - 23:02
Un cri retentissait alors que la petite équipe était sur le chemin pour rentrer au commissariat central. Ni une ni deux, ils filèrent droit comme le vent, fiers comme des élans, jusqu'à la source de cette alerte sonore. Une jeune femme, par terre, blessée, en sang, avec des traces de morsures. Minako s'est affairée à lui porter les premiers gestes de secours en utilisant des morceaux de tissus afin d'éviter que l'hémorragie ne continue, alors qu'elle a envoyé quelques clones chercher des renforts médicaux. Et, alors qu'elle maintenait fermement les zones qui pissent le sang, elle jeta un regard aux deux hommes de la mission, puis à celui de l'assaillante…

Son cœur s'accéléra. Il fallait arrêter cette folle avant qu'elle ne fasse comme le Cardinal. Elle tonna à Kyra qu'il doit chercher du renfort et la traquer. Bien qu'elle ne soit qu'une genin, le traumatisme de ce combat contre le Nara est bien présent et il lui fallait donner des ordres afin que rien de tout ça ne recommence. Oui, elle avait peur. Elle avait peur de voir de nouveau des personnes souffrir de la sorte, et contrairement à celle qu'elle considérait encore comme son amie, la Banshee n'a pas pour vocation de fuir mais d'agir autrement.

Les renforts arrivèrent relativement vite afin de secourir la blessée, Minako fit le rapport pendant que les deux hommes étaient avec l'assaillante. Apparemment, celle-ci avait fuit. La peur de se faire attraper peut-être ?

On dirait qu'elle est moins conne que l'autre qui a sali le nom de Izanami.

Elle entendit Ken apeller son nom, ce à quoi elle se rapprocha de lui et lui frottât les yeux afin que le sang qu'il a reçu sur le visage ne sèche pas sur les paupières.

« On dirait que cette Shimazu a fui à l'arrivée des eiseinin, mais ça ira, je pense qu'ils sauront la rattraper cette folle. »

Minako tenait le bras de Ken non pas amoureusement mais pour l'aider à se rééquilibrer pour marcher jusqu'au commissariat. Il lui faudra tout raconter à Kaito lorsqu'ils se présenteront à lui. L'équipe devait faire confiance aux autres les ayant aidé alors qu'ils devaient finir leur mission.

« Je pense que tu feras le rapport oral à Kaito pendant que je fais le rapport écrit. Ça ira Kenny ? »

Silencieuse, elle se demandait qui était cette fille et pourquoi avait-elle un tel comportement.
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Daishi Ken
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Mar 1 Nov 2022 - 20:27
Ses trois phrases firent écchos dans l’esprit de l’homme comme une ritournel chanter par le diable.

— HOOO friandise naaaan c'est toi? comme tu as grandiiiiis !!!! tu m'as manquée !
— M'apporte tu… ma petite douceur, friandise? ou es tu venus seul? hahahaha wow ses muscles? Tu dois être tout congestionné... Tu me donnes faim
— est ce que ça te manque? HAHAHAHA ! A plus tard friandise, salut ma douceur. Nous nous reverrons !

L’étrangère le dominait sur tous les plans.

D’abord psychologique, Ken ne s’attendait pas à ce qu’on l’appel “friandise” de mémoire, il n’y avait qu’une personne qui l’avait appelée ainsi. Cela ne pouvait être elle, c'était impossible ! Le retour de sa némésis, lui, qu’il l’avait presque oubliée. Elle était là, montrant qu’elle dominait toujours malgré ses efforts, ses progrès. Son ennemie jurée était belle et bien de retour !

Sur la plan physique et émotionnel, le jeune homme fut pris de vitesse par un jutsu nettement plus rapide que le sien, il pensait avoir fait du chemin depuis l’académie, mais il se sentait à présent, de retour dans le rôle de Ken le raté. L’éternel perdant, les bras et les jambes de l’homme peinait à le porter. La femme hillare se pissait presque de rire constatant que son jouet n’attendait plus qu’elle. Son jouet sexuel, son jouet pervers. Combien de fois elle avait jouis les dents coincée dans la jugulaire de Ken.

Elle le fixait d’un air presque attendri quand trop de sang coulant sur son homme-jouet pénétra ses lèvres et ses narines. Sans d’autres choix, criant de surprise, l’homme avait ouvert la bouche couvrant sa propre langue dans le sang de son adversaire. Plus l’homme criait, plus la femme lui vomissait de son sang jusqu’a ce que son flot finalement prit fin, mais continua sans cesser dans l’esprit de Ken. Il la sentait couler dans sa gorge, il voulait recracher tout ce sang, mais poussant sur le flot, à présent, une part d’elle était de nouveau en lui.

Il entendit proche de lui, des bruits de combat, la voix de Kyra retentissait, la voix de la démone hurla qu’il n’etait qu’un chien et que si il conscentait à lui rendre Ken, son jouet, elle s’en irait. L’homme risposta que personne ne quitterait l’endroit sans qu’il y ai un mort. La femme ria en voyant Ken de plus en plus mal, il tomba alors à genoux et vomis le sang que la femme avait installée en lui. Kyra par surprise se tourna vers lui, ce qui offrit à la femme l’opportunité de fuir.
donnant un coup de poing plutôt ridicule quand il sentit une présence proche de lui, il se rendit compte par mégarde que c'était une présence amicale. Péniblement, il ouvrit les yeux et vit tout flou. On l’aida à se relever alors que son estomac rempli de sang de démon lui donnait des envies de vomir. Parfois, un filet rouge pendait de sa bouche. Il n’avait même pas fait attention au fait que c'était Minako qui le portait. Comment fait-elle pour restée de marbre comme ça? A t’elle compris? A t’elle vue qui etait là? Tant de questions que Ken se posait.

Il reprenait des couleurs petit à petit en regagnant le commissariat. Ni une, ni deux, il obéit à son supérieur sans rien dire, il avançait tout en automatique, même Kyra se demandait ce qui à bien pu arriver à Ken, lui toujours joyeux, toujours une vanne, toujours un chant, il était comme mort tout à coup. Qu'avait Elle pu bien lui faire?

— OUI ? fit la voix de Kaito
Ken tel une marionnette n’entra pas et toqua une seconde fois. Kyra fronça des sourcils, Ken n’etait pas si formelle d’ordinaire…

— ENTREE ! Ordonna la voix.

Cette fois, l’automate obéit et entra dans la salle. Le geant assis sur son bureau étouffa un juron en voyant son gendre couvert de sang des cheveux jusqu’aux doigts de pieds. Il laissa la porte ouverte fit quelques pas en avant et patienta étrangement.

— KEN !!!

— Oui? répondit l’automate non chalemment.

— Reste pas là comme un piquet, assieds toi, tu vas bien? tu veux une serviette? L’homme lui tendit un chiffon.

Ken prit le bout de tissus, prit place assise et patienta en laissant la porte ouverte, ce qui n’avait échappé à personne. Ken ne fit aucun geste quand Minako passa le couloir pour faire son rapport, il regardait juste devant lui, on aurait dit une machine qui attendait des ordres. Pas un regard, pas un sourire à sa femme, il était comme décédé de l'intérieur. Elle sembla tout aussi morte que lui. Homme fixa son gendre, il n'avait aucune reaction, il fixait dans le vague.

— BON SANG !!! KEN TU BOUGES PAS DE LA ! EISEININ !

Kaito furieux grimpa les marches quatre à quatre afin que son collègue et meilleur ami, Hanzô, descend voir de lui-même l'état de Ken. Kaito constatait que Ken n’avait pas bougé, conformément à l’ordre reçu, il ne s'était même pas essuyer avec la serviette qui demeurait sèche. A ses pieds, un mélange de sang mêlé à de la boue dégueulassait la moquette moutarde du commissariat.

— Alors?

— Sur le plan physique, se jeune homme n’a rien, il est même en excellente santée !

— Le plan physique?

— Oui, je pense que son problème est d’ordre émotionnel, il a subi un choc très profond, voir un traumatisme. qu’elle était la mission ?

— Une reconnaissance toute simple, qu’ont t-ils vécu pour qu’il soit comme ça? BONG SANG… Hanzô gère ça tu veux? Je vais interroger le troisième, comment va Minako?

— Je ne l’ai pas encore auscultée, je vais voir comment elle se sent.

— Si elle va bien, vous me l’envoyez, elle doit faire quelque chose pour lui… son rapport peut attendre un peu ! Lui non… Je veux qu'elle m'explique cette merde !

Hanzô crus voir un léger stimuli dans le regard de Ken quand Kaito avoua que Ken etait sa priorité, comme si le fait de savoir que son beau-père le tenait un minimum en respect lui soulageait le coeur.

— Bien Ken, tu ne veux pas me parler, pas grave, laisse moi être auprès de toi… Voyons ce qu’il ta fait tant souffrir…

Hanzo colla ses mains sur les tempes de Ken et hurla dans leurs cranes “OUVRE MOI TON ESPRIT !!!! TRANSPOSITION !!”


Ken se voyait alors soudain sortir d’un bureau, visiblement c'était pas un bureau du Kubyuu, non, c'était le bureau de l’institut, il reconnu Akio au bout du couloir Ken parlait a Akio mais ce n'était pas lui, d’ailleurs, ce n'était pas sa voix non plus. Il entendit les hommes discuter rapidement, une brève salutation chaleureuse et polie, Hanzô accepta la main de l’homme et s’en alla comme il est venu. Il sentit le froid mordant mêlé à la pluie, il grelottait de froid soudain, il s'entendait à nouveau parler.

— HUMMM… foutu flotte glacée !

Il comprit alors qu’il était dans l’esprit de son maître, Hanzô, mais où était son maître?


Hanzô lui, dans l’esprit de Ken revivait la mission au complet, Okotta tomber d’une flechette empoisonnée, les visites aux différents commissariats, et enfin, la femme qui lui a gerbée dans la gorge et sur la figure. Certes c'était immonde, mais rien de dégoûtant au point de traumatiser un ninja de la trempe de Ken. Non il devait s’agir d’autre chose… Elle l’avait appellé “Friandise” apparemment elle le connaissait depuis des années, pourtant Ken semblait ne pas l’avoir reconnus.

— Excuse moi Ken, je n’ai pas le choix…

Hanzô cèda une part de son passé à Ken, en échange il viola plus profondément le passé du jeune homme remontant jusqu'à l'académie. Afin que Ken ne revive pas ses événements traumatisants. Alors que son élève revivait comment Hanzô aait obtenu cette rare casquette de membre du Kubyuu et de l’institut, Hanzô lui véccu en directe le cauchemard permanent de Ken.





Il comprit que celle qui l’avait appellé “Friandise” etait l’une de ses ravisseuses. Est-ce la même chose pour Minako la “petite douceur”?


Peu à peu, Hanzô cajola Ken en lui remémorant Minako et tout leurs chemins parcouru jusque là, qu’ils ne sont plus seuls. Les deux qui etaient toujours enfermé dans l’institut, ayant fuit a cause de Joben, feront suite a un mandat d’arrêt, Ken, en principe, aura peut a s’en faire, bientot sa némésis retournera chez les timbrés, se n’etait qu’une question de temps. Ken commença petit à petit a se décongestionner et retrouver des expressions humaine.
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Jeu 3 Nov 2022 - 14:42
« Rah mais on s'en fout, je vais bien ! Il faut vite que des officiers traquent cette putasse avant qu'elle nous fasse des folies meurtrières là ! »

Minako s'agitait car elle aimait être écoutée, hors c'est tout l'inverse. Elle n'avait d'autre choix que de subir ce check-up de la part du médecin. Médecin qui demanda alors pourquoi Ken était dans un tel état si ce n'était qu'à cause de l'affirmation de Minako. Discrètement, elle avoua que cette fille devait lui rappeler un très lourd traumatisme et qu'il était actuellement entre de bonnes mains auprès de Hanzō.

Elle avait juste envie de partir d'ici et de traquer cette folle, mais elle est rappellée à l'ordre, car elle devait faire son rapport dans le bureau de son père. Par ailleurs, il était déjà en train de recueillir les informations de Kyra sur l'attaque qu'a subi la jeune victime, il a donc ainsi un descriptif détaillé de l'assaillante.

Minako se dépêcha d'aller dans son bureau et exprima sa volonté que l'on aille envoyer des patrouilles arrêter ce danger public avant que le pire n'arrive, et que si rien n'est fait, elle se débrouillera seule. La main du padre se posa sur la tête de sa fille pour la calmer; car il voulait des informations sur l'état de Ken. C'était sûrement le moment pour elle d'expliquer certaines choses qu'elle n'aurait jamais pu admettre fut un temps. Des aveux lourds sur ce que pouvait représenter le traumatisme de Ken et ce lien potentiel que le duo a avec cette demoiselle. La conversation se fit confidentielle et elle pu enfin s'exprimer sur ses maux qu'elle n'a pu justifier à sa figure paternelle. Minako souffla après qu'elle soit sortie du bureau. Elle n'aurait qu'à rédiger le rapport et…

Un blanc. La demoiselle sembla d'un coup déconnectée, une sensation d'engourdissement prit tout son corps et elle s'évanouit. Une infection au curare l'a assailli et elle devait se faire soigner dans l'immédiat. Elle écrit donc son rapport ultérieurement, à tête reposée.

FIN
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