Soutenez le forum !
1234
Derniers sujets
» Fangs & claws | Raizen
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyMar 5 Sep 2023 - 6:50 par Meikyû Raizen

» Dernier voyage solitaire vers l'avenir
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyLun 7 Aoû 2023 - 23:31 par Chinoike Katsuko

» AOS et son futur
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyVen 21 Juil 2023 - 3:05 par Yuki Misaki

» Higure Onkyou ✘ L'écho du crépuscule
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyMer 31 Mai 2023 - 21:17 par Zaiki Minako

» La Revanche d'Hayashi ? [Yamiko]
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyLun 29 Mai 2023 - 5:28 par Meikyû Raizen

» [Alerte] La Marée de Buntan
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyMer 24 Mai 2023 - 19:24 par Imekanu

» [Mission D] Stand en Péril [Ryuma]
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyMar 23 Mai 2023 - 16:40 par Nagamasa Ryuma

» [MinaYoshi] ✘ Carnet d'absence
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyDim 21 Mai 2023 - 15:08 par Unagi

» [Mission B] Subarashiiiii [Equipe Zenmetsu]
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyMar 9 Mai 2023 - 23:08 par Yuki Mamoru

» [Mission D] Théâtre du Silence [Kenpachi+Guest]
à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) EmptyLun 8 Mai 2023 - 14:27 par Ibara Keshi

Partagez

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako)

Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Mar 18 Jan 2022 - 20:07
intro



— Hummm…

Visage regardant l’horizon, les hommes admiraient les faucons et autres rapaces messagers. Le nombre de courrier ses derniers temps était astronomique. D’ailleurs le Kubyuu commençait à en manquer à force d’en utiliser. De plus, le nombre d’oiseau capturé ou tué atteint des sommets. Il faudrait d’ailleurs sérieusement se pencher sur la question. Si ça continuait, le Kubyuu risquerait bien d’être aveugle. D’où leurs présences dans le pigeonnier.

— tiens… cette buse...

— Kaito ?

— C’est de ma fille… Dit t’il en prenant la sacoche sur son dos.

— hummm…

— Tiens Hanzô… Dit t’il en tendant le courrier à son collègue et élève.

— Plai-t’il ?

— Elle demande à s’entretenir avec toi…

— Pfff… Elle veut devenir Eiseinin ?

— Non… prend ! Dit la montagne de muscle aprés avoir lu le papier. Remuant son bras donnant des signes d’impatience. Hanzô ne se fit pas prier et lu lui même le papier

— Hummm…

— Ca doit te changer…

— Hum hum

— J’imagine.

— Pas de traitement de faveur…

— Ta raison.

— Hum hum.

— Je vois.

— Hummm.

Kaito et Hanzô continuaient à observer les oiseaux ninja en voie d’extinction de Kumo. Hanzô n’avait rien à dire à Minako, il en avait pour ainsi dire, rien à faire. Il s’en fichait bien de ses envies. Elle n’avait qu’à venir avec les autres pour sa prochaine conférence, ainsi il ne lui à jamais répondu favorablement, ni défavorablement. Il lui rendit simplement son volatile. Il ne prit non plus le soin d’utiliser un autre papier, renvoyant la même lettre de Minako avec deux mots écrit à la va vite au dos «Message reçus ».

Tiens, voila un test pour toi Zaiki Minako… me traitera tu comme un connard quand tu recevras mon message ?Hummm. Tu viendras à ma conférence au lieu d’oser venir m’importuné dans mon burreau pas vrai ? Qui es tu Zaiki Minako ?

— J’en profiterais pour faire un check up.

— Merci.

— De rien.

— Un bilan psychologique ?

— Un check up j’ai dit, physique et mental donc…

— Parfait !

— Je vais la torturer tu as conscience ?

— Non, tu feras ton devoir !

— En effet…

— Elle est forte…

— Je sais.

— Si elle doit ne pas le supporter alors c’est qu’elle est trop faible.

— Hélas…

— Je te paye un lait de chèvre ?

— Je préfère un lassi de chèvre.



Les hommes, ayant fini la journée, en profitèrent pour se reposer au bar du coin. Ils y croisèrent des collègues comme Akagi, mais ils préférèrent se placer dans leurs coins préférés. Kaito se prit une sorte de milkshake au lait de chèvre crus à la fraise appelée un Lassi. Hanzô, lui prit la même chose mais à la vanille.

— Encore a faire tes tests a ce que je vois….

— En effet.

— T’aime vraiment etre pris pour un con…

— Avantage psychologique… On se méfit jamais assez des connards.

Kaito leva un sourcil perplexe.

— Quand on ne sait pas qui tu es, on est sur la deffenssive, si on te croit con, on te prend de haut, et donc le soit disant con à un avantage…

— Je vois.

— Hum hum.

Conférence sur la criminalité.



— ...Voilà pourquoi il faut revoir le concept même de criminalité. Est ce normal que l’enfant qui joue avec les Kunai de son grand frère et le tue soit traité comme un criminel ? Maintenant il faut voir chaque criminel comme étant unique. Il y a celui qui voit les femmes comme un sac pour…. Se soulager. Celle qui est une croqueuse d’homme, au sens propre du terme, oui. Je vous assure, des femmes font l’amour à de jeunes hommes et les dévorent ensuite... Il faut aussi bien comprendre la différence entre un sociopathe et un psychopathe. Quand enfin allons-nous arrêter de traiter chaque criminel de la même façon ? Il y a tellement de formes de crimes. Les crimes passionnels, crimes d’adultère, crimes de bien . Il y a les récidivistes ou ceux qui juste un crime suffit à calmer à vie. Pourquoi le jeune criminel devrait subir la même sentence qu’un multirécidiviste ? Prenez le tueur de kage. Akira Yamanaka, le Kirakage. Tueur en série tristement célèbre qui n’avait, comme unique moyen pour atteindre un certain degrés de joie, que celui de tuer les hautes autorités. Il a été multi récidiviste et même quand il a eu soixante quinze ans. Quand il est sorti la dernière fois de prison. Qu’a-t-il fait ? Tuer le Mizukage. Profitant de son faciès de vieillard pour l’atteindre sans que le Mizukage ne puisse se méfier. Cela dénote plusieurs problèmes. De un, le Kirakage n’en avait rien à faire de la prison preuve que la sentence n’était pas adaptée a sa personne. De deux, il put, en prison, devenir le Kirasensei. Oui, pour ceux qui non pas fait le rapprochement. Le Kirasensei et Kirakage sont la même personne. Si vous ignorez qui est le Kirakage, vous connaissez surement le Kirasensei. Celui qui a révolutionné l’art des jutsus assassin. On lui doit énormément de jutsu meurtrier. Il est celui qui à lancer cette fameuse vague de terreur ayant déferlé sur le monde ninja. C’etait comme ci il y avait eut un multiclonage de lui même. De plus, etant Yamanaka il avait des tas de gardiens sous ses ordres. Hanzô fit une pause pour boire son verre d’eau.

— Je vous le demande… est ce normal que le jeune homme qui a commit par mégarde un crime par accident soit traité de la même façon que le Kirakage ?Je pense que non… et c’est pourquoi j’ai inventé une nouvelle forme de Jutsu pénitencier. En m’introduisant dans le crâne du criminel, je peux lui faire passé six mois en prison en seulement six heures. Issus de mes propres souvenir. Je peux lui faire rencontrer un psychologue pour l’aider à se confier alors qu’il passe du temps en réalité, dans ça tête. Je peux lui faire une sentence douce ou au contraire, une prison des plus insalubre. Je peu également lui faire passé six mois de sentence attaché a des chaînes accroché à un mur ne buvant que de l’eau croupie. Ou pourquoi pas… un suivie psychiatrique d’un mois… les possibilités sont infini. Hanzô bu un peu d’eau.

— Si vous pensez que ça peut se tenir juste au Yamanaka, vous faites erreur. On peu vous apprendre à effectuer des genjutsu pénitencier d’illusion, fictif. Ca à un intêret sans précédant. La personne ne perd quasi aucune année de sa vie. Les prisons sont désengorgé. Le Kubyuu ne sert plus de maison au multirécidiviste comme au Kirakage. Est ce normal pour vous qu’un homme pareil sois loger, nourrit, blanchit pour avoir tuer autant de kage ? En plus on lui permet de créer un réseau directement dans la prison. Il peut manipuler les esprits, les empoisonner et convertir des esprits faible à ses délices meurtrier. Hanzô fit une pause pour boire de l’eau

— Une bonne fois pour toute, il faut changer la mentalité des sentences, changer la façon de voir, d’apprehender le crime. C’est votre taches jeune du Kubyuu. Je ne parle pas de souplesse, mais d’humanité. C’est comme si vous traitiez un voleur de pomme au marché avec autant de sévérité qu’un voleur à l’arraché qui aurait mis un poing dans la figure de sa victime. Bref j’ai fini… sur ceux. Ciao !!! Hanzô se tourna d’un coup. Remettant son cache nez sur sa figure

Hanzô allait partir, il tira une tête de six mètres de long les bras ballant et retira son cache nez.

— Rhaaaaaaaaaaaaa j’ai faillit oublier…. Vous avez des questions ? Non ? Super… aller salut… Sans laisser les gens de répondre.
Sans attendre, l’homme quitta le pupitre, et se dirigea vers la sortie. Il détestait depuis peu de donner des conférences à ces gens qui n’avait aucune envergure. Alors oui, ils écoutaient. Juste car ils en avaient reçus l’ordre. Ça ne lui suffisait plus, il voulait des gens qui s’investissent, il aimerait voir des flammes passionné brûler dans les regards des jeunes du Kubyuu. La plupart sont sois étouffé dans des carcans, des directives suivie à la lettre. Des ordres parfois stupide, comme celui d’assissté à des conférences qui, clairement, n’intéressait personne. Hors de question qu’il y a de l’originalité au Kubyuu. Des vieux cons qui comme tout les vieux cons, aimaient les habitudes. La plupart des recrues finissaient par perdre le goût du métier. Ont leur a coupé les ailes en leurs disant limite quand ils pouvaient aller pisser.
Pour d’autres, c’était la planque. Ils n’avaient qu’a défiler dans leurs beaux costumes, sois faire une ronde ou deux, sois faire le fanfaron dans les bureaux. Atteindre les quarante ans pour la retraite. Hanzô avait perdu le goût de former la future génération. Dire que lui, avant, était si heureux de former les nouveaux membres du Kubyuu. On lui arracha aussi les ailes. D’ou le fait qu’il donne de moins en moins de conférences passionné. Il a le même soucis avec les Eiseinin. Hideko Metaru, bien qu’étrange, était une personne bien trop rare. Il y avait sûrement des personnes comme elle devant lui. Mais qui ?

Il crut apercevoir la fille de son ami et sensei Minako. A mieux y voir, oui elle était présente, quelques rangs en arrière.

Humm… encore une deception… depuis son message, il y a une semaine elle n’est pas venue me solliciter. Quelle plaie… j’avais crus que le fait d’être la fille du grand Kaito aurait donné des résultats prodigieux…Pourquoi ne m’a t’elle pas limite agréssé comme l’aurait fait son père? mais elle semble comme les autres. Au moindre refus, a la moindre porte close, et elle abandonne. Tu me déçois @Zaiki Minako

— Pfeuuuh… @Zaiki Minako, où est ta flamme quand tu es venu me chercher durant ta mission de ronde avec Daishi Ken? Marmonnait t’il dans son cache nez.

Sans un regard en plus, il se retourna surpris par des personnes venant à sa rencontre. Il parla avec quelques élèves qui lui avait fait forte impression en l’arrêtant pour poser des questions. Qu’il aimait les gens qui prenaient leurs couilles en main. C’est ce dont avait besoin le Kubyuu, des personnes d’actions, et non pas des bureaucrates obéissant.

Peut être que la future génération n’est pas totalement perdue finalement…

Peu à peu, l’amas d’élèves se fit de moins en moins dense. Il patienta, et reprit sa route vers la sortie.

Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Mer 19 Jan 2022 - 12:12
« Tu as été rapide, Nefiwe. »

Alors que la buse de Minako se pose tranquillement sur son perchoir, la demoiselle lit les simples petits mots du Yamanaka. Arquant un sourcil, elle se demande s’il l’a bien lu, car la demoiselle a demandé quand il serait disponible pour parler criminologie, car souvent, elle ne peut pas assister aux conférences à cause de missions. Elle aurait juste pu l’insulter, mais elle n’a pas spécialement envie de s’énerver.

« Bon, voyons voir quand est sa prochaine conf... En espérant que cette fois c’est la bonne. Alors… Oh, lundi prochain, normalement si tout va bien je pourrai enfin y assister ! »

***


Entre temps, la demoiselle voulu venir à la rencontre de Hanzō, mais impossible pour elle de le voir, Kyra la prenant avec lui pour diverses combats et taches à effectuer s’ils veulent se faire bien voir par les autorités. Paraît-il même qu’un jour, ce gladiateur l’a plaqué contre un mur pour qu’elle cesse de vouloir se mettre des officiers dans la poches et pas lui.

***


Toute déception s’efface en écoutant le discours de Hanzō sur la criminalité. En effet, si un voleur est dans la même cellule qu’un tueur jubilant sur la mort, il est très probable que ce dernier puisse influencer les plus manipulables des humains ayant fauté.

Le concept de Genjutsu pénitencier dont il parle est intéressant, mais elle-même a perdu cette faculté d’en faire. Si seulement elle pouvait en être une professionnelle… mais étant donné que ça peut intéresser Ken, la demoiselle prend des notes à ce sujet.

Rangeant son crayon de bois dans la poche de sa veste de tailleur, elle eu un air surpris lorsque le comportement de l’officier changea, à la fin du discours. Comme s’il n’était plus le même homme. Même pas ils n’ont le temps de poser des questions ?

La demoiselle soupire, puis voit un peu ce que les autres participants comptent faire. Quasiment tout le monde se retire, et seuls quelques un d’entre eux ont eu le courage de l’aborder.

Putain de merde, comment diable les personnes peuvent rester ignorantes ? Indignes du Kougen, va. Qu’ils restent dans leur ténèbres qu’ils aiment tant.

Alors que le grand blond commence à partir, une voix se fait entendre derrière. Celle de Minako, paraissant tranquille mais qui apprécie d’être écoutée. Ce n’est pas parce qu’elle est genin et apprentie au Kyuubu qu’elle doit juste se taire et obéir. Elle en a marre de tous ceux qui lui demande de canaliser ses émotions, car ce n’est pas là le problème…

« Pas bouger. »

« Vous êtes vraiment chelou, vous passez d’un officier passionné par la conférence menée à un mec qui veut juste se débarrasser de la foule. Bref, je me demande surtout pourquoi personne n’a pensé à réévaluer les procès pour que justice soit mieux rendue. »

N’ont-ils vraiment pas les couilles de changer ?
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11345-zaiki-minako-o-presentation https://www.ascentofshinobi.com/t13849-dossier-shinobi-zaiki-minako https://www.ascentofshinobi.com/u1189
Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Ven 18 Mar 2022 - 22:18

— Hummmm
dit le professeur constatant qu’il a épuisé les questions de l’auditoire.

Dans son cache nez jaune Kumo et vert pistache l’homme sourrit. En fin de compte, il n’y avait pas que des attardés venus là que pour obéir aux ordres. Qui repartiront avec le tempon et signature de Keisuke pour signaler qu’ils ont bien été présent. Ses méprisantes personnes devraient être renvoyées du Kubyuu. Ils sont là sûrement pour l’argent. Pour le prestige. Pour la sécurité mais surement pas là pour protéger et servir.

Pour le séminariste, il y avait trois catégories de bons à rien. Le premier groupe. Les mendiants, comme il les appellent, ces gens là qui se contentent de tendre leurs carton histoire qu’on les tamponne présent, histoire de justifier d’une journée de vacance à dormir au lieu de mériter leurs place, car les mendiants, au lieu de mériter les sous en s’offrant en spectacle. Se contente de bouger leurs gobelets devant le nez des passants, parfois de façon agressive pour demander l'aumône. Le second groupe. Le terreux. Pour Hanzô, ce groupe là est pire que l’autre. L’autre au moins, à la franchise de montrer et démontrer leurs inutilités. Ils ne s'intéressent à rien et le font savoir.

Pour Kumo, il est terrible que le groupe des terreux soit le plus nombreux. Ses gens-là simulent leurs intérêts, par de la lâcheté. Ils hésitent à poser des questions et se montrent bien immatures. Leur intérêt n’est guidé que par une chose, la demande du supérieur. Ses manges merde lècheraient la semelle de leurs superieur complètement crotté de déjéction cannin si l’ordre leurs ont été donné. Le supérieur à sans doute dit que cette conférence à lieu, alors, il a répondu présent. Non pas pour la soif d’apprendre, mais uniquement par la soif de pouvoir au mieux, au pire, par la soif de tranquillité ! Ils n’y connaissent rien. Devant leurs ignorances manifestes, les bouches se cloîlent. Les yeux balayent la salle dans l’espoir qu’une âme charitable attire l’attention du bourreau loin de lui. Les aisselles se gorge de pleutrerie. Les vessies se contractent de nervosité. Comme maintenant….


“ cette charmante femme devra surement changer de culotte en rentrant chez elle…. la rendant bien moins attirante, sauf peut être pour cette homme assoiffé de phéromone féminine. Sans doute qu’ils ne dormiront pas seuls ce soir…. ma conférence n’aura pas été totalement inutile au moins… hummm"


Le troisième groupe…. haaaa oui…. lui-même se divisant en deux sous catégories. Comprenant les groupies, ses personnes là. Accroché au lèvres d’Hanzô dans l’espoir d’une exclusivité. Leurs décolletés à peine camouflés. Une promotion peut être? qu’elle interet… Non…certains hommes y étaient mais la pression sanguine, leurs frottis à leurs entrejambe. Il frémit d'effrois, et dans son cache-nez, il en vomirait presque. Hanzô balayent la pièce du regard. Il n’y a pas de pétillant… ou d’enfant prodige. Ce groupe était de loin le plus rare. Il y en avait quoi… peut-être une personne sur dix conférences? A quoi bon rester…

A peine fit t’il un pas, qu’une voix lui écrasait l’échine. On ordonnait de ne pas bouger. Surpris, il joua le jeu. Qui lui parlait ainsi? Finalement, il cru reconnaitre la voix et décida de se retourner.


— Zaiki Minako, j’aurais dû m'en douter… Comment va papa?


Cette question, bien qu’étrange, était un test. Comment allait t-elle réagir? déstabilisée? fascinée? allait t’elle être troublée? rire pourquoi pas…? Dans son cache-nez un semblant de sourire s’affichait. Il aimait les surprises de ce genre. Un esprit à décortiquer, à analyser, à dévorer. Quel goût avait t’elle? Le gout de la merde? un goût pétillant? ou aurait t’il la joie de découvrir une nouvelle saveur intellect? Minako lui répondit qu’il etait étrange de passé de quelqu’un de passionné à un je m’en foutiste. Elle accompagna sa réponse d’une question pértinante, pourquoi personne n’a pensé à réévaluer les procés pour que justice sois plus équitable. Hanzô activa ses pupilles un court instant, l’envie de goûter à cet esprit farouche, une sorte de feu… Non pas seulement, un feu amer, piquant… Tellement de saveurs… il lit aussi de la colère, de la haine. Une haine étrange mais justifié qui lui même avait partagé par le passé. Il lui répondit par un
“Hummm”
qui signifiait

Fascinante Minako… elle m'a ignoré… je ressens de l’amertume. Je ne suis pas trop fan du citron mais si il est acidulé ma foi… elle n’est malheureusement pas un prodige, sinon elle aurait eu sa réponse sans que je lui répond, ça coule de source après tout.

Hanzô fit la moue, déçu de ne pas être tombé sur un prodige. Toutefois, elle serait suffisamment apte à tuer le temps. De plus, il allait lui envoyer une convocation pour une consultation dans deux semaines. Il n’avait rien de prévu. Ca journée était déja gaché par temps de bouffe merde. Il n'était donc plus à une déception prêt. Il baissa la tête comprenant que se serait pas aujourdhui qu’il se la coulerait douce.


— Hummmm
fit-il de dépit.


— Bon… pour répondre à votre question… comment dire…. Nous sommes dans une période de guerre… nos kages ont beaucoup à faire et l’un de leurs devoir est de satisfaire… des exigences… émises par des hommes riche et ou puissant. La plupart sont vieillissants. Comme tout vieux, ils aiment leurs habitudes et c’est d’autant plus vrai sur le sujet de la politique… Garder leurs habitudes leurs assurant le maintien du contrôle… changer ses habitudes et le puissant risque la chute. Il ne s’y risqueront jamais… Plus d’une personne ont souhaiter réévaluer les procès mais, pas les bonnes personnes, ils ont reçus aucun appuis, voir pas l’appuis adéquat. Ils ont tous du plier genoux ou céder.

Ignorez- vous qu’il y avait des hommes, autre que notre illustre shogun, qui dirigent nos kages comme des pantins? Notre raikage n’est qu’une marionnette parmi tant d’autres, il est main et poing lié. Si lui-même ne peu aller à l’encontre des décisions des Métarus, des Naras, ou du Kubyuu. Qui le peux ?


Hanzô se penche prés de Minako afin qu’elle seule entendent ses mots.


— Je comprend ta soif de tuer les hommes riches, mais est tu certaine de ton choix? Es- tu certaine que couper une des tête de l’hydre a six milliards de Ryo, une autre ne va pas pousser?... Il y a un autre moyen de les vaincre que la mort. De plus, si tu les effrais, ils risquent de revoir leurs politique de justice oui, mais pas pour rendre la chose plus équitable ho non, pour se rendre bien plus inaccessible ça oui…


Hanzô sourit sous son cache-nez. Minako était une garce, mais à la fois une personne si magnifique. Son esprit etait presque hors catégorie. La complexité telle que Hanzô adorait. Il réfléchi et lui dit.


— Voulez vous sortir avec moi Minako? j’ai terriblement envie de sortir avec vous ! Allez dites oui !



Hanzô plaça une bombe mentale qu’il déclencha. Comment allait-elle exploser? Minako lui mangerait dans la main? Elle le giflait? Elle rigolerait? Aprés tout, son coeur appartenait à Ken Daishi, à prioris elle etait pas le genre de femme collectionneuse. Toutes ses groupies autour d’eux. Si Minako jouerait le jeu, il se pourrait que tous les deux se payent une tranche de rire. Deja une femme fixa Minako avec une bouche grande ouverte. Elle hallucinait devant cette scène surréaliste. Elle vennait à presque toutes les conférences dans l’espoir d’approcher son homme. Son idole. Son dieu ! Rien de tel qu’une déclaration d’amour pour faire fuire les groupies. Hanzô etait fier de son second test. Comment tout ceci se goupillent? Il pouvait déjà ressentir les bouquet mentales l’envahir comme des parfums subtiles. Il fixa Minako attendant sa réponse pour se diriger vers son bureau. Il voulait sortir avec elle, oui plus que tout. C’etait devenu une obsession, il ne désirait qu’une chose, sortir avec elle… de la pièce. Pour l'ausculter, découvrir ses couches, savoir qui elle est. Il etait fier d’avoir lancer cette phrase ambiguë, cette bombe, semant le chaos dans tout ses esprits.

— Hummmm

Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Dim 20 Mar 2022 - 18:27
“ Oui, de vieux cons riches quoi, qu’ils aillent crever ces mécréants ! ” pense-t-elle lorsque l’officier lui dit que tout ninja n’est que le pantin de la haute société, mondaine, superficielle, emplie d’êtres ayant des œillères sur ce qui se passe pour la plèbe. Elle se souvint alors de l’objectif premier de son groupe d’amis avant que le destin ne décide que Ryuku et Kaori, une jeune membre du clan Suzuri, ne tombent follement amoureux. Cet objectif était de pouvoir éliminer les plus riches affiliés aux grand cultes, aux clans majeurs de Kumo et à terme, la famille du Damnyo de la Foudre. Cet objectif qui s’effaça peu à peu pour une cause beaucoup plus noble et positive pour le monde qui les entoure.

Coupée dans ses pensées par le Yamanaka lui susurrant à l’oreille quelques mots, si elle est sûre de tuer les riches, que si elle agit de la sorte, la justice ne serait que plus inaccessible, réservée aux plus véreux.

“ NON. Le but est qu’ils se tuent à petit feu sans aucune aide extérieure. Sans fric, que peuvent-ils faire ? Sans fric, comment comptent-ils assoir leur égo dans l’esprit de tout un peuple ? De plus, la Justice, la vrai, est universelle, impartiale face aux émotions, voyant au-delà des apparences et des classes sociales, capable de juger que les faits. Justice ne serait plus si mal utilisée. Je sais que vous lisez dans les pensées alors je tiens juste à vous dire que l’argent, telle la drogue, peut être mortelle si la personne s’en voit privée totalement d’un coup. ”

Il y eut un silence alors que la minarai fixe l’officier Hanzō, lorsque soudain, une phrase inattendue sortie de la bouche de celui-ci, lui déclarant sa flamme et lui demandant de sortir avec elle. Toutes les groupies autour d’eux parurent choquées et l’une d’entre elle semble avoir la kunoichi à la chevelure d’ébène dans son collimateur au vu de cet air fâché. Minako sait ô combien le fait d’avoir une armée de pintades qui gloussent qui demandent à ce que l’on sorte avec, pour avoir eu plusieurs fois des lourdauds lui demandant à chaque fois de sortir avec elle à l’académie. Appréciant se moquer de ces personnes qui frôlent le harcèlement vis-à-vis d’une personne qu’elles admirent au point d’être obsédées, la jeune femme décide de jouer le jeu…

« Oh, avec joie, très cher. J’accepte de sortir avec vous, si vous saviez à quel point vous m’en voyez ravie ! » dit-elle de manière émotive, imitant le fait d’être profondément touchée par cette nouvelle. Elle n’attend donc que de pouvoir sortir des lieux pour exploser de rire à l’abri des regards car cette jeune qui l’a vit accepter la demande eut le visage décomposé, de la colère aux larmes cette groupie part en bousculant les autres, ses espoirs brisés. Minako semble donc être une horrible femme à jouer ainsi avec les émotions des personnes, mais elle se dit seulement que c’est bien fait pour elle.

« J’ai vraiment hâte qu’on sorte de ce pas pour discuter de manière plus tranquille, en privé, vous et moi ! »
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11345-zaiki-minako-o-presentation https://www.ascentofshinobi.com/t13849-dossier-shinobi-zaiki-minako https://www.ascentofshinobi.com/u1189
Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Mer 30 Mar 2022 - 22:32
Le télépathe mentaliste fit la moue lorsque Minako semblait froncer des sourcils quand il parlait des hommes riches. Il ne préféra pas la sonder pour justifié ses pensée, car de un, il pourrait la vexer et de deux, sa tête suffisait à trahir son état d’esprit. Minako avait apparemment un grief plus ou moins grave avec la caste fortunée. Il se dit naturellement, que ce serait intéressant s' il pouvait en savoir plus à ce sujet. Il n'était pas rare que la caste inférieure envoiyait de la haine sur ses gens là. Lui-même, il ne les portaient pas dans son cœur. Cela dit froncer des sourcils comme il avait juré la voir faire, même si c’etait que l’espace de deux secondes, trahissait à son gout, son envie de meurtre. Peut-être devrait-il pour son propre bien, faire en sorte qu’elle ne hait plus autant ses gens là? La mettre un peu en sécurité? Affaire à suivre.

Elle réussit néanmoins à le rassurer quelque peu en lui disant préférer les tuer sans aide extérieure, simplement en supprimant la richesse. Qu’elle était naïve. Son but, bien que noble, était impossible. Il était évident qu’ils avaient pallier à ce problème en avance. Si jamais une telle chose arrivait, ils remplaceraient tout simplement l’ancienne richesse par une nouvelle, comme par exemple le troc. Ou ils frapperaient une nouvelle monnaie,ils valoriseraient l’esclavagisme. Bref, ils s’en sortiraient, comme toujours, au détriment du peuple. Voilà pourquoi ils étaient les maîtres du Raikage. Minako démontra toutefois, un début de maturité en lui rappelant que la justice est universelle, impartiale face au émotions, mais elle oublia, que la justice devrait l’être aussi face à la puissance sociale. L’homme garda de côté la question qui lui brûlait les lèvres.

Cessant là ses réflexions. Il nota enfin que Minako avait accepté de rentrer dans son jeu.

— Viens alors, je ne peux pas attendre, alors, allons dîner ensemble ! Dit Hanzo en accélérant le pas.

A présent, il claqua la porte de la salle de conférence, accélérant le pas avec Minako qu’il avait attrapé par la manche, la relâcha et eu comme une douleur à l’estomac serrant les yeux avec intensité, il fronça énormément les sourcils lui donnant un air méchant. Minako pouvait entendre comme une sorte de grognement étrange dans le cache nez. Hanzô essaya de ne pas rire afin de garder son flegme légendaire. Comment ne pas rire devant les filles, surtout l’une qui avait gardé la bouche tellement ouverte avec ses dents aussi écartées qu’on aurait pu prendre sa mâchoire comme un cendrier. Hanzô n’en pouvait plus et grogna plus fort, il en avait mal aux yeux à force de les froncer aussi fortement. Le goût du sang lui arriva en bouche. Il serra si fort la lèvre inférieur entre ses dents. La douleur mit fin à son hilarité.

[color:3872=#0077ff" Ça m'a bien fait rire ! Au moins l’avantage de ses groupies, c’est que je peux manger à l'œil."

Hanzô sort un fondant au chocolat, sans doute une image obscène d’une des filles pour lui dire “Je fond pour vous”.

— Hummmm… j’en reçois tous les mois de ses machins là…. l’avantage des groupies…

— Tiens, tu l'offriras à ton amoureux au pire, tu lui diras que c’est toi qui la cuisiner, que c’est ton cœur qui fond, ce genre imbécillité… Il en rira surement.

Minako lui dit qu’elle avait hâte qu’ils discutent ensemble plus en privé. Contre toute attente, Hanzô ne prit pas tout de suite le chemin de son bureau, mais celui qui menait à l'extérieur.


— Tu as acceptée de sortir avec moi… alors, allons dîner… Je t’invite ! Il en va de soit

Tenant la porte à Minako, il sondait son âme, il se délectait des effets produit sur Minako. Comme il se doutait, il ressentait bien la fin de l’adolescence de la jeune fille. Tantôt à l’esprit aiguisé, tantôt naïve. Il lui dit enfin

— Nous allons avoir une discussion qui pourrait changer en partie… enfin, je t’en dirais plus tout à l’heure…

Hanzô n’en dit pas plus, il ne voulait pas révéler que Kaito était en dessous de tout ça. Aider l’esprit de Minako à s’ouvrir, à se libérer, à débloquer pourquoi pas, des capacités endormis. Le genre d'expérience qui l’exaltait au plus haut point. Retirer les verrous mentaux pour permettre à une âme de brûler plus fort.

Sur le chemin du restaurant, Hanzô lui demanda

— Tout à l’heure, tu m'as parlé de ton envie de justice…. de priver les riches de l’argent, comment t’y prendrais tu? Ne penses tu pas que les riches trouveraient un autre moyen d'asseoir leur domination? Nouvelle monnaie, nouveau moyen de transaction comme le troc, voir l’esclavage ? Pardon, je suis trop sérieux… Quel restaurant voudrais-tu aller ?

Encore un test pour Minako. Hanzô sourrit, qu’elle genre de restaurant allait-elle choisir, sachant que se serait gratuit pour elle.

— Au fait, tu connais mes capacités, si je pouvais changer quelque chose chez toi, qu’est ce que se serait ?

Il ne put attendre pour entrée dans le vif du sujet. Cette question d’apparence anodine, lui en apprendra beaucoup sur Minako. Était-elle du genre spirituel? physique? émotionnel? vollage? sans intérêt? Hanzô ne la quitta pas des yeux, l’invitant à entrer dans le lieu qu’elle aura choisis.
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Ven 1 Avr 2022 - 10:08
« Alors je pense qu’il va rire, surtout qu’il ne croira jamais si je dis que je l’ai fais, parce que j’ai deux mains gauches en ce qui concerne la cuisine… »

Minako pense qu’il est peu judicieux d’ingurgiter les mets offerts par des fan, imaginant que certaines groupies peuvent être si folle d’amour qu’elle pourraient empoisonner leur idoles pour avoir cette fierté d’obtenir l’objet de leur désir.

« Vous n’avez pas à vous excuser pour de tels sujets qui méritent d’être abordés de manière sérieuses… à vrai dire je n’en sais trop rien et j’ai limite envie d’abandonner cette idée farfelue qui ne verra jamais le jour, étant donné tous les revers de médailles qu’ils pourraient nous rendre. Aussi, j’ai fais le rencontre d’une amie qui m’a fait revoir cet objectif aujourd’hui abandonné. »

Une pensée pour Suzuri Kaori, une amie qu’elle s’est faite à l’académie ninja. Une jeune fille gentille, timide, qui n’arrivait pas à se défendre à l’académie contre les harceleuses. Elle a beau faire partie de l’un des clan majeurs, elle fut l’une des cible de ce quatuor horrible. Minako ne pu s’empêcher de la secourir et depuis la naissance de cette amitié, cette idée de mettre la misère à ces clans s’est éteinte.

« Cela dit, seule la justice pourrait, j’espère, les calmer sur le comportement décadent de certains d’entre eux. On me dit souvent que la justice va au-delà des émotions mais ça doit être également le cas pour l’apparence physique, les mœurs, et surtout les classes sociales des personnes. Si on croit que l’argent permet à des malotrus de se cacher derrière pour échapper à la justice, quoique... »

“Quoique la corruption existe et à ce compte là, la justice ne serait qu’une odieuse connasse. Bref, du coup non, je ne vais pas creuser davantage à ce sujet. Que fais-je ici à part vouloir étudier les cas désespérés et juste protéger les civils ?”

« Euh bref, je ne vais pas changer mes vieilles bonnes habitudes pour le restaurant dans lequel je voudrai qu’on dîne. Il est relativement tranquille et c’est ma foi assez sympathique pour se détendre un peu. »


Minako guide donc son supérieur vers un petit bistrot sur la place publique, n’étant pas un chic restaurant pour des soirées mondaines car la demoiselle n’apprécie pas tellement l’ambiance superficielle de ce type d’établissement. Elle préfère les lieux simples dans lequel l’hygiène est tout de même adéquat, que l’ambiance est assez tranquille et qu’on y mange relativement bien à moindre coût. Pendant le chemin, elle réfléchit à cette nouvelle question de la part du Yamanaka, très intéressante en soi.

« Si je devais changer quelque chose… comment dire ça… Disons que depuis le décès de ma sœur, je ressens comme un vide. J’ai beau essayer de me recentrer sur moi-même, je n’arrive pas à retrouver goût à ce que je fais habituellement. »

“ Notre très cher frère d’arme, Aizen, m’ayant également encouragé à me recentrer suite à la lettre que je lui ai envoyé, me donne davantage cette envie de progresser, mais par où commencer en dehors de mon style de combat…”

Ils entrèrent tous deux dans ce bistrot familial, chaleureux. À cette heure-ci il n’y a pas grand monde qui fréquente le lieu. Installés à table, Minako finit de parler à ce sujet.

« Avec ceci si j’arrive à m’en sortir, je pourrai retrouver goût à porter l'insigne du kyuubu et surtout une plus grande ambition que de vouloir protéger le peuple quel qu’il soit. »

“Même dans la sphère de la haute société qui ne mérite pas cette haine gratuite de ma part.”
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11345-zaiki-minako-o-presentation https://www.ascentofshinobi.com/t13849-dossier-shinobi-zaiki-minako https://www.ascentofshinobi.com/u1189
Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Mar 26 Avr 2022 - 21:03
Hanzo, comme toujours, masquait ses émotions derrière son cache-nez, seul ses yeux pouvait trahir ses émotions comme quand Minako lui dit que Ken rirait surement si elle tentait de lui faire croire qu’elle savait cuisiner. Elle se dit avoir deux mains gauches, ce qui était pour le moins impossible. Son problème venait d’ailleurs. Son dégoût pour la cuisine? Devoir attendre derrière un feu que le repas soit prêt? Savoir quand remuer la sauce afin qu’elle n’attache pas? Minako deux mains gauches en cuisine? Il n’y croyait pas, mais absolument pas ! S' il aura du temps, peut-être qu’il pourrait travailler sur ce détail? Cela dit, son mari, de mémoire, jouait souvent les victimes. Il n’aime pas la compétition mais pourtant se plaignait quand il était battu au go par exemple. Peut-être se plaindrait-il encore si elle commence à mieux cuisiner que lui…?

Il devrait prendre rendez-vous avec Ken comme il le faisait là avec Minako.

- Hummmm… dit-il de façon énigmatique.

Il préférait pour le moment ne rien lui suggérer dans ce goût là. Le problème quand on est Yamanaka est précisément ce qui faisait notre force. Cette particularité de changer le destin des hommes en changeant cette nature. Par exemple, deux mains gauches qui deviennent dès le lendemain des maestro du fourneau.

Prenons le cas Minako. Si elle savait cuisiner et, de plus, si elle en avait la passion. Elle aurait peut-être, ou ouvrirait-elle peut-être un restaurant? Dans ce restaurant, elle ferait ou aurait fait la connaissance d’un jeune prodige, ou une “âme charitable” qui réussirait à lui faire prendre conscience oh combien Daishi Ken est néfaste à cause de sa négativité et qu’il fallait couper les ponts avec lui. Minako elle, se serait mise avec lui. Elle serait alors abandonnée avec huit enfants crachant les derniers instants de sa vie dans les caniveaux. Pensant avec nostalgie à Daishi Ken qu’elle aurait abandonnée. Tout ça car elle à appris la cuisine.

Tellement de trame possible ! Tellement de drame possible ! Il n’y avait rien de mal a tenter de gagner plus ! d’avoir une meilleure situation. Le problème était que, déontologiquement parlant, changer le destin d’une personne, même infime était interdit. Du moins, dans le nord, dans son clan. Voilà pourquoi il était parti de chez lui pour venir a Kumo. Pas de Yamanaka présent, il avait donc aucune raison de se fier à la déontologie Yamanaka. Cela dit, il était assez d’accord, un changement même minime, par effet domino de cause à effet, pourrait avoir des répercussions réellement dévastatrices. Ainsi il s'était donné pour mission de ne changer que le moins de choses possible et ce qui avait de plus grave. Avec un mot de passe pour effacer tout ce qu’il avait apporté comme modification dans la psyché de la personne.

Dans le fond, quelle importance qu’elle sache ou non cuisiner? Daishi Ken sera au moins toujours le cuisinier du couple. Tant pis si l’effet boule de neige aurait tué l’homme au chapeau. Les risques que sa cuisine détruisent le monde ninja était bien trop présent.

Hanzo acquiesça quand Minako lui dit qu’il n’avait pas à s'excuser. Il se mordit la lèvre, ainsi, il avait laissé filtrer ses sentiments. il devrait faire plus attention à l’avenir. C'était Minako la patiente et non lui. Elle ne devait rien percevoir afin que la neutralité soit le seul maître mot ! Elle parlait d’une fille qu’il ne connaissait pas. Cela dit, elle parlait avec justesse, le problème de la vengeance etait le contre-coup possible. Quand les pâtes sont graissées, tout glisse mieux. La vengeance engendre facilement des guerres ou des fratricides. Il y avait tellement de façon de gagner une guerre autre que par la vengeance. Hanzo proposa un mini casse tête a Minako.

— La justice? De quelle justice parlons-nous? Loi du talion oeil pour oeil? la Justice judiciaire? La justice martiale, souci réglé par les duels à mort? Quelle est ta justice Zaiki Minako? Quelle définition donnes-tu à ce mot ? C’est vrai que toutes les justices ont des implications dépassant l’émotionnel, incluant les mœurs, les classes sociales oui. Mais pour l’apparence physique, hors se réchauffer. Ne le faisons-nous pas pour se sentir beau? afficher sa richesse? Donc l’émotionnel

Si l’argent est la clé de voûte permettant d’échapper à ta définition de la justice, alors qu’est ce qui est mauvais? La justice qui se permet de filtrer les criminels aux grosses bourses et faibles ressources? Ou l’argent qui permet à la justice d’être corrompu? Si la justice que tu vas me définir permet cette transaction afin que le démunis sois puni et les riches sois libre, n’est ce pas que ta définition de la justice est obsolète? A t-elle seulement été une fois exacte?

As-tu seulement chercher à définir ta vision de la justice? As-tu pris pour toi la justice que ton père, Kaito, t'a apprise sans réellement y songer?Ou celle de Akagi, ton instructeur? mais est ce que LEURS définitions de la justice est correcte? Pourquoi Kaito est-il aussi aigri sur le sujet de la justice à ton avis? Il a conscience qu’il fait fausse route au sujet de cette justice trop permissive pourvu qu’on sort les ryos. Si la justice était juste, le mot injustice n'aurait jamais vu le jour… alors quoi? est ce une raison pour accepter la définition erronée de la justice définie par la masse populaire? Non, forge ta propre justice. Sans te mettre pour autant en danger.. J’aimerais que tu y réfléchisse et que une fois assis au réstaurant, nous en discutionst.


“je n’ai que trop parlé ça m’ennuie… pfff“

Hanzô était satisfait de lui, en tant que Yamanaka il pouvait sans trop de difficulté voir combien pour Minako le sujet de la justice la torturait, il peut sans trop d’effort remarqué qu’elle commençait déjà à prendre ses distances sur le sujet. Hors elle ne devait pas faire ça ! Elle travail au Kubyuu elle devait donc avoir une base solide pour être un super flic et ca incluait une cause réel et inébranlable. Kaito, toujours aigris sa volonté d’être policier vascillait. Parfois Hanzô se surpris a sondé son ami pour y découvrir quelques fois, qu’il songeait a raccrocher mais pour faire quoi ? Cette justice pervertis comme une pomme pourris par un ver et des mouches à merde fragilisait le coeur du Kubyuu qui commencait à perdre de plus en plus de recrues.

Pour ne pas perdre de temps, pour ne pas se perdre, pour éviter un futur chaotique pour elle, Minako devait définir dans son coeur, une justice qui lui correspondait. La moins corruptible possible, une justice le plus en adéquation possible avec la vision de la justice Kumojin, si elle n’y arrivait pas. Peut-être envisager une carrière de chasseuse de prime où elle rendrait sa propre justice, pourfendant ceux qu’elle a jugée coupable ou ferait semblant de n’avoir jamais croisée, celui ou celle qu’elle aura jugée innocent. Si elle n’y arrivait pas. Tot ou tard, la cassure se fera fracture et elle risquait de rejeter le Kubyuu se jetant dans une abyssale torpeur et il risquait de la perdre.

Ses dépressions etaient monnaie courrante pour les membres de Kubyuu qui exercait un travail qui n’avait foie en rien. Perdant l’intêret de leurs besogne. Il suffisait alors d’un pourris de relacher dans la nature pour que le flic devienne criminel et passe lui même en jugement, biensur, sans argent. Il tombe et se retrouve dans la peau du criminel dont il a juré la perte. Voila pourquoi Hanzop oeuvrait, voila pourquoi Minako ne devait rien lâcher.

Il lui avait mit volontairement la pression pour que la femme parle d’instinct, sans réfléchir. Il s’attendait de toute façon à un “je ne sais pas” quitte à lui donner le sentiment de vouloir abandonner le Kubyuu. La foi perdu était comme un os mal emboîté. Il fallait souvent le déboiter pour le replacer dans sa cavite. Il se peut qu'à la fin de la journée, Minako le déteste et ne souhaite plus jamais entendre parler de lui, il en avait l’habitude. Elle le remerciera indirectement. Car soit elle s’accrochera au Kubyuu et se forgera un mental bien plus puissant ou alors, elle se rendra compte que tout n’est que chimère et donc qu’elle devait changer de voie.


Hanzo l’écouta parler du restaurant qu’elle avait choisi. Il en était satisfait. Ainsi elle n'était pas du genre a dire “je ne sais pas” a tout bout de champs comme la plupart des habitants, décidant au hasard. Elle, elle semblait plus réfléchie, plus ordonnée. Il apprécia cela et la gratifia d’un sourire chaleureux qu’elle pouvait lire dans son regard. Il se laissa guider vers un troquet. Ni des premier prix, ni des restaurants cossu. C'était un choix intéressant, il avait demandé un restaurant et elle lui proposa un bistrot. Alors oui on pouvait y manger, mais c'était principalement pour boire, ce genre d’établissement. Il reconnaissait là les traits de Kaito. Qu’elle part de sa mère Minako avait-elle bien pu prendre?

— Hummmmm, choix intéressant répondit-il simplement de façon neutre.


Il choisi de se trouver juste en face d’elle pour avoir un visuel sur son visage. Non pas pour lui faire la cours mais pour pouvoir y déceler plus facilement les failles que les Yamanaka ont appris très jeune à déceler et exploiter. Il trouva cet endroit charmant. Quelques rare badauds venaient s’installer ou passaient leurs chemin, le tout tranquillement. Il apprécia le choix de la Kunoichi. Il remarquait que malgrè la chaleur, elle préféra l'intérieur cosy de l'établissement. Coté fenêtre cela dit. Il apprécia également de manger a coté des fenêtres. Il avait gardé le silence volontairement quand Minako lui avait parlé de son trou béant dans son coeur a cause de sa défunte soeur. Il en evait en effet entendu parlé, un mal que personne, pas même Ken, ne pouvait combler. Il lui faudra boucher se trou avec cette fameuse clé de sécurité, au cas ou Minako comblée se transformerait par excès de fierté, en une personne détestable !

Elle semblait cela dit avoir été touchée par ce qu’il venait de dire au sujet de la justice. Elle lui confia vouloir retrouver le gout pour son insigne.

“Ainsi elle souffre deja par le manque de force, d’impact de la justice? hummmm”

— BRAVO !!! déja tu as une partie de réponse concernant ta justice ! Proteger qui que se soit !!!! Bravo ! continue !


Plus tard dans la soirée, au moment du dessert, Hanzo lui posa une question curieuse.

— Aimes-tu les tartes au Quetsch ? Moi je pourrais m’en faire péter le bide ! J’ai hate de gouter la leurs. Merci de m’avoir proposé ce restaurant, je déprimais à l’idée de ne plus en manger ! Mais avant d’en profiter, connais- tu réelement mes fonctions? la puissance d’un Yamanaka? Je veux te proposer une sorte de deal. Je peu te rendre plus forte en, par exemple, t’aider a combler ton manque par rapport a ta soeur. Faire en sorte que ta soeur ai eu un autre déstin. Je peu te faire croire que vois n’aviez jamais été siamoise. Tu n’auras plus accés a ton rapport médicale en intégrité. Ce que je change sera accrédité rang
A voir S+. Ce qui signifie que seul la haute autorité de Kumo, comme le raikage, sera autorisé a lire les modifications que j’ai fait en toi. Ton rapport sera falsifié pour correspondre à ce que je vais modifier. Bref beaucoup de paprasse….


Hanzo boit un coup, deja fatigué par tant de blabla. C’etait cependant necessaire.

— Voila comment ca va se passé… J’irais chez toi a notre prochaine séance voir dans deux ou trois seances. Je vais t’hypnotiser, toi, Kaito et ton mari pourquoi pas… Ccréer des rêves qui vous sembleront plus vrai que la réalité a tel point que je vais effacer votre réalité. Ainsi, Mitsui aura grandit comme toi, aura eu un homme, ou une femme, bref fera sa vie, Kaito n’aura ainsi, pas qu’une fille mais deux ! Pareil pour ce qui est du Kubyuu si tu le souhaites bien sûr !! Je ne suis pas encore sûre de ce que l’on fera j’ai besoin de réfléchir !

aprés un moment de réfléxion, il ajoute.

— Je souhaite qu’on définisse à notre prochain rendez ce que l’on va faire pour ta soeur ! Qu’aimerais tu comme destiné pour elle? Tu la souhaiterais plus proche? éloigné? bref tu vois ce que je veux dire !!! Ou alors, il y a une seconde méthode qui s’appelle le dreamstorming ! En gros, nous endormons plusieurs personnes, et ils influent tous sur le rêve créant ainsi une réalité alterné. Toi par exemple tu aimerais la voir plus espiègle, Ken la voudrait peut etre douée en mathématique et courrageuse? Kaito la verrait peut être chez les pompiers? Je ne sais pas…. Bref, je voudrais que tu prennes le temps de réfléchir. Si nous le faisons ou pas, si tu souhaites le faire seule ou en famille, alors parle en leurs ! Ca pourrait aussi aider Kaito a retrouver une seconde motivation, il adorait aller sur le terrain avant, maintenant il est de plus en plus dans les bureaux. Je soupconne sa motivation, mais garde ça pour toi héhé. On pourrait aussi par se biais cognitif, aider ton fiancé, Ken Daishi, en lui offrant une oreille attentive, une meilleure amie pour lui?

Hanzo soudain ouvre les yeux en grand.


— HAAA MA TARTE AU QUETSCH !!!! Tiens faut aussi que tu ou vous choisissiez un mot de passe pour briser mon travail et que tout redeviens comme maintenant au cas où le changement de destin, fasse de vous, comment dire…. des gens néfaste. Sait-on jamais !




Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Sam 30 Avr 2022 - 15:42
« Héhé, à savoir que les tartes quelles qu'elles soient sont mon péché mignon. »

Au fil de la discussion, Minako a quelques doutes quant à la possibilité de changer les souvenirs. Ça pourrait, selon elle, être dangereux émotionnellement parlant d'effacer ou de modifier la mémoire d'autrui. Et même au-delà de ça… L'idée que les Yamanaka peuvent réaliser cela lui inspire une certaine crainte car ce pouvoir, entre de mauvaises mains, peut être destructeur. Cela dit, elle fait confiance à Hanzō, le fait qu'il ait fait une simple proposition prouve sa bonne foi. Le hic c'est qu'elle pense qu'elle ne pourrait pas évoluer pleinement si elle ne fait pas d'effort par elle-même.

« Je dois réussir à surmonter ça de moi-même, il faut que je bouge, je sais qu'elle aurait toujours voulu son indépendance, son propre corps. Peut-être que je dois me rassurer en me disant qu'elle a un corps astral et qu'elle est désormais libre.

Je dirai que votre proposition est une solution de simplicité et ça ne me plaît pas, je n'ai pas envie de dépendre d'un quelconque pouvoir pour avancer. »


C'est à ces mots qu'une douleur se propage sur son bras, dès lors dénudé, les manches de sa veste remontées, laissant entrevoir du mouvement sur l'un de ses deux sceaux ancestraux. L'esprit du jigokuchō qui se manifeste, en faisant pulluler plusieurs papillons noirs de l'enfer sur ce bras, en désaccord avec son hôte. Selon lui, elle dépend du pouvoir des sceaux et surtout de ceux qui la rendent plus forte au corps à corps… c'est-à-dire le sien.

Elle soupire en se rendant compte de ce qu'il se passe avec son bras. L'apparition du capitaine Nobunaga n'est potentiellement pas anodine. Son esprit ancestral qui s'est présenté à elle comme son père et qui lui a avoué qu'elle a été volée par Junko, une femme ayant fait une fausse couche et qui a décidé de tisser un énorme mensonge autour de l'enfant qu'était Minako. Paraît-il que Nobunaga lui-même était un cousin germain de Kaito et ils avaient l'onkyoton en point commun, d'où le fait que personne ne s'est rendu compte qu'il y a un souci avec l'enfant. Mais, Minako n'a aucune preuve concrète qu'il s'agit là de la vérité, et personne ne pourrait l'aider à enquêter à ce sujet. Elle ne veut pas en parler à Kaito, car elle l'a toujours considéré comme son père, aussi bien spirituellement que dans les gènes.

C'est bien pour cela qu'elle marchait sur les traces du géant aux cheveux de platine, allant même jusqu'à penser que la justice que l'on lui dit est la bonne. Et si elle trouvait son propre sens de la justice en étudiant en profondeur la criminologie et particulièrement la psychée des criminels en profondeur, elle trouverait peut-être la réponse. Mais est-ce qu'elle n'est pas mieux de travailler au Sūken* pour ce faire et pas au Kyuubu ?

« J'ai quelques idées mais je ne sais pas trop comment étudier ça, disons que j'aimerai étudier l'humain qui se cache derrière le criminel afin de mieux comprendre les actes sans forcément chercher à les excuser. Disons, je cherche à approfondir la criminologie dans ce sens mais est-ce que je fais bien de rester dans cette unité ou une autre…



Hum. Il va falloir aussi que je fasse des recherches sur autre chose. »


Les papillons se mettaient à grossir et rétrécir, tels des battements de cœur. Cette manifestation anormale du capitaine Nobunaga signifie très certainement qu'il a besoin d'un peu d'attention de Minako, alors que cette dernière semblait le snober.

« Disons que depuis que j'ai rencontré cet esprit j'ai quelques doutes sur le lien de parenté que j'ai avec Junko, mais je n'ai aucun moyen de confirmer cette théorie. Va savoir, peut-être que ça ne mènerait à rien sachant que cette pleutre s'est suicidée après m'avoir mise à la porte. »
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11345-zaiki-minako-o-presentation https://www.ascentofshinobi.com/t13849-dossier-shinobi-zaiki-minako https://www.ascentofshinobi.com/u1189
Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Dim 22 Mai 2022 - 11:25
L’homme semblait timide en se repliant contre lui même, visage tourné vers la table. Le museau loin du visage de son élève. L’idée que quelqu’un puisse voir son sourire d’ange lui était intolérable. Comme tout le reste du repas, il prenait soin de s’assurer que Minako ne puisse pas voir ce que dissimulait son tissu. Parler sans se dévêtir lui était aisé, mais quand cela concernait le repas, la difficulté était tout autre. Il projeta dans l’esprit de Minako de façon régulière, un faux souvenir quand il avait la mauvaise surprise qu’elle croisait son nez sans peau et ses lèvres étiré au couteau suite à une séance de torture qui a mal tourné. Il lui implanta tout simplement le souvenir d’un nez et d’une bouche de son propre père. Il était improbable que Minako le connaisse et donc, la ruse était parfaite !

Le bruit de sa propre mastication était d’une forte pénibilité. Sa joue en partie déchirée le forçait à exécuter des bruits de sussion fort désagréable, a peine voilé par son tissu. Il feinta alors de ne pas avoir trop envie de manger, voila pourquoi il n’avait quasiment rien commandé. Trahi par le son de son estomac qui grondait et exigeait qu’on le remplisse. Il s’épuisait rapidement à effacer les souvenirs du repas qui semblait dégoûtée la jeune fille, selon lui. Il prit alors une mine déçus, encore une personne qui le rejetait suite à la séance de torture, ou, était-ce lui qui s’imaginait que Minako le fuyait ? Quoi qu’il en soit, pour sa part de tarte au Quetsche, il changea son fusil d’épaule. Il se contenta de lever légèrement son keffieh pour y glisser une petite part de tarte pour recouvrir son visage. A aucun moment il n’osa à nouveau se dévêtir devant elle. De peur de l’écœurée. Il cacha le son de sa mastication en mangeant de toute petit morceaux et en gemissant de plaisir a chaque part. Il avait honte de s’entendre ainsi manger, mais il n’avait pas le choix. Il portait constamment les stigmates de la première guerre pour l’annexion de Kumo. Il n’avait pas trahi et avait choisi de sacrifier son visage pour cacher des victimes d’assassin, il aurait été jusqu’a sacrifier sa vie. Heureusement, il n’avait pas eu à aller jusque la. Il a gardé depuis, des sequelles de la guerre comme l’isolement, la honte, mais aussi, une soif accrus de justice.

A chaque bouchée, il leva les yeux dans ceux de Minako afin de percevoir d’éventuel signe de dégoût à effacer, la mémoire immédiate était si simple à gommer. Voilà pourquoi il était aussi célibataire et préférait de loin la vie en solitaire malgré son envie d’enfanter. Qui aimerait un tel monstre ?

Il aimait également la fixer dans le regard car au-delà du dégout, il percevait autre chose en elle, comme ci, son état physique était secondaire. Avait-elle aperçu seulement son faciès monstrueux ? Avait-il effacé sa mémoire immédiate pour rien ? Heureusement qu’il n’y avait aucune sequel pour la victime de subir ses incessant attaques si elles n’étaient pas trop prolongés. Au pire, elle aura l’impression que le temps file a toute vitesse, voir, un léger mal de crâne au pire. Elle réagissait apparemment très bien a ses attaques mentales, il préféra arrêter avant de lui faire réellement mal en remettant son Keffieh une dernière fois pour savourer son ultime part.

Soudain, son attitude changea, Keffieh sur le nez, il se sentait à nouveau en sécurité, protégeant son visage d’ange loin des regards des mortels. Il profita aussi de cette sensation que lui offrait à présent Minako. Il ressentait la confiance qu’elle avait pour lui. Il esperait qu’elle ne lui en voudrait pas si elle apprenait un jour qu’il avait effacé cinq ou six minutes de sa vie. Minako lui annonça préférée se débrouiller seule pour faire le deuil de sa sœur. Il applaudit tendrement.

— Hummmm !


— Tu as surmontée avec brio mon test ! Bravo ! Je ne t’ai pas menti en t’annoncant pouvoir effacer ton passé et le remplacer par une vie fictive plus vrai que nature dans laquelle ta sœur serait toujours en vie et serait partie par exemple a Mizu ! Avec hummmm Guken Tadeka, nom fictif… Toutefois, je ne peu pas modifier le coeur. Même si ton esprit aurait crus sans difficulté que ta sœur vie un amour grandiose, ton coeur lui, aurait toujours su que c’etait un mensonge. On ne peu trahir le coeur ! Au fond de toi ta souffrance aurait été éternel.

Hanzo fit une pause pour créer un effet dramatique.

— Vois-tu, les esprits fort non pas besoin de mes services pour ça. C’est une solution de facilité préféré par les esprit faible. Si jamais tu changes d’avis, loin de moi l’idée de t’insulter d’esprit faible mais parfois quand on touche le fond…. Enfin tu sais où me trouver.

Hanzo fut surpris qu’elle changea de sujet mais il accepta son choix. Elle choisit de parler de son envie d’améliorer l’études de la criminologie.

— Hummmm

« Je suis fier de toi Minako, oui continue a t’investir c’est bien ! ».

— Je pense que peu importe ton service, les criminels que tu es ici ou hors de Kumo sont les même tu sais ? Qui sait ce qui se passe dans leurs esprit !

Il fit une pause intrigué par le silence.

— Minako ?


Hanzo remarque son visage crispée comme en etant en souffrance. C’etait si soudain, qu’arrivait-il a Minako ?
Instinctivement, il suivit le regard de Minako qui scrutait ses bras, elle semblait dans les nuages. Soudain, il ecarquilla les yeux. Minako semblait hors de son corps, il capta des pensées qui semblait étranger a ceux de la femme. Sans réellement les comprendre. Pour cause, sur le bras de la femme ce mit à danser deux papillons noirs suivie par d’autres de plus en plus petit.

« FASCINANT… »

Il préfèra garder le silence fixant le bras de la femme et essayer de comprendre ses pensées parasite. Il crut y déceler un multivers mental. Hanzo en avait entendu parler. L’autre personne ayant eu un multivers mental était autre que Raizen son raikage. Ainsi que son ami Kaito qu’il avait refusé que Hanzo s’y connecte. Il se pourrait que Minako soit donc une Meikyu comme Kaito lui avait dit.

Quand elle se reveilla, afin de ne pas la perturbée, il préfèra laisser le soin à Minako de la suite de la conversation. Elle avait confiance en lui c’était indéniable. Elle lui avoua butte en blanc qu’elle avait rencontré son ou ses premiers esprits. Elle l’intrigua en parlant de vouloir faire des recherches sur « autre chose »

— Hummm l’invitant à continuer à en dire plus. Parlait-elle de son ancêtre ? De ses origines comme il a perçu dans son esprit quand elle était dans les nuages ?

Elle lui avoua alors avoir des doutes sur ses liens de parenté qu’elle avait avec Junko, sa présumée mère, une immonde personne qui écorcha l’âme de Minako a diverse reprises. Elle lui avoua vouloir confirmer cette théorie, Hanzo eu une idée.

— Je pourrais procédé à une rétrocognition qu’en penses tu ? Il s’amusa de l’air incrédule que semble avoir Minako.

— Pardon, langage de psychologue, en gros tu as différentes mémoire. L’immédiate, latente et la mémoire chakratique. La rétrocognition est un procédé naturel par l’hypnose du sujet qui permet de remonter le temps dans les plus profond souvenir enfouis en toi. Ceci est la mémoire profonde. Je peu graçe a mes capacités Yamanaka remonter jusqu’a tes souvenirs chakratique, c’est a dire, a des impressions, comme la premiere fois que tu as eu une crise chakratique. Kaito ma dit que etant enfant tu ne controlais pas tes cris et qu’il t’arrivait par instinct de déclencher des catastrophe. C’est ca la mémoire chakratique ! Te souvenir de toutes les fois où ton chakra s’est emballé et à déclencher des évènements surnaturel comme ton premier contact katon, ou ton premier contact avec l’Onkyoton. Souvent on crois que notre premiere fois avec le chakra remonte a tel ou tel évènement alors qu’en réalité tout commence par un évènement si subtile qu’on ne le remarque pas.

Hanzo fit une pause pour boire un coup a travers le Keffieh sans le retirer.

— Penses tu réellement que le chakra se déclenche comme ca PFFFT !! Mimant une explosion.

— Non, c’est des événements subtiles de moins en moins subtile, c’est un peu comme un bouton. Au début on ne resens rien, puis une bosse, ensuite on a une rougeur enfin ca fait mal et pour finir, le pue essaye de sortir.

— La mémoire chakratique à une autre propriété. Tiens c’est comme cette eau. C’est ton chakra. Ca c’est le miens. Hanzo ouvre un paquet de sel et le plonge dans l’eau.

— Mon chakra entre en raisonnance avec ton chakra et ton chakra se retrouve subtilement altéré. C’est toujours de l’eau ! Mais l’eau a muté. Si j’utilise trop mon chakra, je peux alors saturer le tiens. C’est là ma théorie  sur la mémoire chakratique !
Hanzo fit une pause.

— D’ou l’importance de toujours s’entraîner afin que ton chakra entre en résonances avec lui-même et retarde une éventuelle saturation. Voilà pourquoi certain ninja feineant perdent leurs chakra et que certain, alors Raiton deviennent soudainement Raiton et Futon, ou Katon… c’est l’altération chakratique !

Hanzo sourit.

— Pardon quand on parle de recherche ou de criminologie on ne m’arrête plus.

— Pour finir avec le sujet. C’est que la mémoire chakratique garde en mémoire toutes personnes etant entrée en raisonnance avec ton chakra, une sorte de carte routière où tu as tracé tout ton trajet. Il m’est possible de lire ses « cartes » et donc de lire tes origines. Un état d’hypnose suffit.

Hanzo veux tenter de discuter avec l’ancetre puisqu’il est greiffer en grande partie dans l’esprit de Minako.

Si je réussi mon coup, on pourrai faire une retrocognition qu’en penses tu ?
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Jeu 26 Mai 2022 - 18:57
Minako ne s'est jamais rendu compte qu'elle a perdu quelques minutes de sa vie. Elle n'a rien vu défiler, rien entendu qui soit malaisant. Pour une fois, elle n'eut aucune réaction vis-à-vis de la mastication. Même lorsque Hanzō savoura son dessert, elle eut juste l'air déconnectée. Comme si ce n'était pas elle, alors que si. Elle s'entraine simplement à être dans sa bulle lors de repas, afin de tout simplement se détendre et ne pas être gênante vis-à-vis des personnes avec qui elle est. D'autant plus que présentement, une force extérieure lui efface tout dégoût sans qu'elle s'en rende compte. C'est si simple de ne pas se prendre la tête et enfin savourer la tranquillité de ces lieux en cette soirée. Peut-être qu'elle ne se rendra jamais compte de la mémoire effacée même si ce n'est que quelques minutes.

Minako qui est d'habitude odieuse avec les personnes qui ne savent pas manger, est si calme et impartiale vis-à-vis des mastications selon elle inexistantes semble étonner l'aubergiste qui a l'habitude de la voir en ces lieux. Il en fut ravi, enfin il vit la petite calmer ses ardeurs et grandir et ce de manière positive. Par ailleurs, maintenant que sa beauté naturelle est souillée par les cicatrices de brûlures, dont certaines ayant été ô combien douloureuse étant donné que les vêtements ont fondu et fusionné avec sa peau calcinée, elle a l'habitude de se voir sous un nouveau jour devant le miroir. Tellement que si jamais elle voit des personnes qui ont des stigmates de torture autre que des brûlures, elle ne pensera qu'à la douleur que celle-ci a dû ressentir à un moment de sa vie.

Minako se sentit rassurée vis-à-vis de sa volonté de réussir à surmonter le deuil par elle-même. Hanzō avait confirmé ce qu'elle pensait et ça lui redonna confiance en elle-même car elle est donc un esprit assez fort pour ne pas se montrer fainéante. Bien qu'au final, ses paroles vexent l'esprit du capitaine Nobunaga qui compte lui prouver qu'elle dépend de lui pour être stable. Il compte lui prouver cela en activant le sceau sans l'autorisation de son hôte et en prenant le contrôle du bras petit à petit. Le bras commençait à s'engourdir, il s'agit d'une sensation du chakra émis par l'esprit indomptable se mêlant au sien à mesure qu'il se montre présent.

Dans le même temps Hanzō lui expliqua qu'il peut via l'hypnose remonter dans la mémoire d'une personne jusqu'à celle du chakra. Un concept dont elle n'a jamais entendu parler mais qui l'intrigue. Il n’avait pas tort en parlant de l’onkyoton de Minako qui s’est éveillé de cette étrange manière, qui lui prenait aux tripes et qui l’épuisait à chaque fois qu’une telle crise se produisait. Attentive et intéressée par la théorie de son tuteur sur la mémoire chakratique, elle se dit qu’il n’y a que du bon si on peut essayer de creuser à ce sujet.

« C'est intéressant, donc lorsqu’on médite pour faire en sorte d’améliorer ses réserves de chakra ça pourrait le purifier du contact avec le chakra extérieur selon cette théorie ?

Par ailleurs on pourrait certainement tester la rétrocognition avec la présence de capitaine Nobunaga vu qu'il a l'air de vouloir passer un peu de temps avec nous. On pourrait se fixer cette expérience dans quelques jours tout au plus. »


Elle pensa que tester cette hypnose sur un sceau ancestral pourrait faire que l'on puisse connaître davantage l'esprit et décortiquer un peu ce pouvoir. Savoir entre autres si le lien de parenté entre ce capitaine et elle est fondé ou s’il s’agit d’un mensonge. Au moins, la rétrocognition semble beaucoup plus saine que la modification de souvenirs, la curiosité est alimentée et il est probable que ça puisse servir à certaines personnes devenues amnésiques. Qui sait, si ça fonctionne sur elle, pourquoi ça ne serait pas de même pour Ken ? Lui qui manque cruellement de confiance en lui, qui sait qu'il ne vient pas de Kumo et qui se sent rejeté en ces lieux, peut-être qu'en en découvrant un peu plus sur lui même et sur ses origines yasei, il pourra ne serait-ce qu'avoir une once d'espoir.
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11345-zaiki-minako-o-presentation https://www.ascentofshinobi.com/t13849-dossier-shinobi-zaiki-minako https://www.ascentofshinobi.com/u1189
Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Lun 6 Juin 2022 - 22:26
Hanzo à présent buvait son café. Le moment le plus délicat, le moment pour lui, de boire. Par moment, du liquide s’infiltrait par les interstices de ses blessures pour couler sur ses vêtements, c’était habituel. C’est pourquoi, d’ordinaire, il buvait que dans des gourdes munies de bouchon spécial ou à l’aide d’une paille. Il n’allait plus dans les restaurants pour les bar, mais il voulait se tester. Il s’en était voulu d’avoir été encore faible et avoir eu à nouveau recours à ses capacités Yamanaka pour quelque chose d’aussi puéril que l’aspect physique. De plus, lui qui prônait l’élévation de soit, ne respectait pas lui-même ses propres conseils. Qu’importe, au moins, il entraînait son genjutsu et avait tenté de se dépasser. Durant tout le repas, il avait décidé de ne quasiment pas dire un mot afin que Minako n’ait pas de souvenir étrange, comme des discussions tronquées. Au pire, une impression de temps qui défile. Si il lui effaca en boucle la mémoire, c’etait pour aussi qu’elle arrête de se projetée sur ses propres blessures. Hanzo ne voulait pas qu’elle souffre indirectement par sa faute.

— Je te laisse dix minutes, je vais faire la petite. Dit Hanzo en fixant l’aubergiste qu’il l’agaçait en ne regardant que lui seul.

Minako était peut-être différente des autres personnes, tant pis, ce qui est fait, est fait. L’aubergiste, lui, l’avait bien entendu a voir son visage écœuré, il donnait aussi l’impression d’être surpris en fixant Minako. Était-il au courant que Minako detestait ses sons ? Fort probable. Il en avait marre d’être épié alors il lui offrit en guise de remerciement pour reluquer les gens comme ça, une punition. Hanzo fouilla dans l’esprit de l’homme très rapidement, en lui demandant où etait les toilettes, le dernier moment de honte de sa vie. Au retour, Hanzo lui rappela combien il était soumis à son épouse et sa maîtresse la fleuriste d’en face et combien il serait dangereux pour lui, que deux femmes au tempérament de feu lui tir les oreilles. Histoire de le punir davantage, il inscrit dans la mémoire de l’homme une idée. Si les femmes étaient enceintes ?

En réalité, rien de cela n’était vrai, il était un aubergiste honnête et droit, juste que Hanzo voulait s’amuser avec le pauvre homme qui se détourna enfin de lui pour s’occuper des autres clients. Il n’avait pas le cœur a torturé l’aubergiste. Un simple rappel à l’ordre. L’homme connaissait que trop bien la puissance des Yamanaka et fixa son comptoir de honte.
Regagnant sa place, l’homme ajusta à nouveau son écharpe fou de joie que Minako se montre si curieuse pour ses théories.

— Hummm Dit-il de façon joyeuse. Minako y apporte une nouvelle vision fort intéressante.

Reflechissant sur cette nouvelle donnée, Hanzo lui dit :

— Oui, méditer avec une personne à tes côté qui expulse du chakra permettrais je pense a mieux capter son chakra. Un peu comme les animaux qui se reniffle les fesses pour reconnaître les membres de leurs meutes. Également, à purifier le sien, voir le saturé s’il a son chakra hostile au tiens. Tu pourrais même saturé son chakra à lui.

Prenons le cas de Ken, il a un chakra FUTON…. S’il médite et que tu lui offres ton chakra, le chakra de feu dominant le chakra de vent, donc tu pourrais au mieux altéré son chakra et il deviendrait feu avec le temps, au pire, le neutraliser. Je pense que les sendais ont du commettre cette erreur et se sont neutralisé avec le temps. Je ne serais pas surpris que les adultes médites énormement auprés des enfants pour s’assurer que le chakra soit purement neutre.

Reprenons le cas de Ken. SI à l’inverse, il enclenche son chakra, disons pour s’entraîner tandis que tu médites, il va nourrir ton chakra qui deviendra de plus en plus puissant sans altérer le siens, vue que le chakra de feu est plus fort que le chakra du vent… au pire, il pourrait juste t’altérer en te faisant développer un chakra futon. Le chakra est difficile a persevoir. Tiens lui qui ne connaît pas sa famille, il pourrait très bien être Doton de nature mais influencé par son entourage il aurait grandi comme Futon et aurait développé une nouvelle nature.

Lorsque Minako enchaine avec la retrocognition et surtout, avec Nobunaga, Hanzo y vit une nouvelle chance pour lui de remettre sur le tapis une vieille théorie laissé a l’abandon faute de Meikyu volontaire pour tester la dites théorie. Il vit la femme sous un jour nouveau.

— Pour Nobunaga… oui oui oui…. Hummmm….

— J’allais te le proposer mais avant cela j’espère que tu me permettra de tester quelque chose… si tu le souhaites, je voudrais essayer de discuter avec lui à travers toi, il suffirait que tu lui prêtes tes cordes vocales comme tu lui prêtes ton bras. Pour le moment, c’est instinctif visiblement, lui même ne semble pas trop savoir ce qu’il fait, les papillons volent n’importe comment… Votre don Meikyu est en enveil mais encore bien endormi. Il ma été donné de voir se phénomène qu’une fois dans ma vie…. FASCINANT ! Hanzo toucha, palpa, caressa chaque insectes. Il leurs faisait presque l’amour en les palpant de cette facon.

— Hummmm hummm mmmmouiii…. Hanzo était presque méconaissable. L’homme de science fasciné par le phénomène Meikyu etait de retour. De jolies specimens !

Il se caressa instinctivement la jambe à la recherche d’un kunai pour tester une énième théorie se rappelant qu’il ne les avait pas pris avec lui.

« Quelle dommage… OULA je déraille encore… hummm »

— Pardon. Dit-il en rendant le bras a Minako avec un grand regret de voir ainsi les insectes lui échapper.

— Hummm. C’est une théorie dangereuse que j’ai… Dangereuse car si l’hôte est trop faible, et l’esprit trop vil, il pourrait perdre le contrôle de son propre corps a vie et donc devenir l’invité de son propre corps et l’esprit deviendrait l’hôte de son ancienne hôte. Si ma théorie est juste PREND GARDE ZAIKI MINAKO ! PREND GARDE A TOI ! Tôt ou tard, l’un de tes esprits, voir tous pourraient former une coalition pour te défaire ! Ça reste une théorie, mais garde en tête d’avoir toujours l’esprit affûté ou tu risquerais de te retrouver prisonnière de ton propre corps que tu verrais alors bouger contre ta volonté. Une sensation que je ne souhaite a personne… montre toi digne de leurs confiance, si il le faut domine les tout les jours, fait tout ce qu’il faut pour ne jamais perdre leurs confiance ou tu le regretteras ! Si tu veux en savoir plus… consulte le journal de Bamako Meikyu. Tu le trouveras, normalement, j’espère à la bibliotheque de Kumo. Je suis tombé dessus par hasard quand j’ai fait des recherches pour Raizen, en savoir plus sur vous… C’était fascinant et effrayant, un destin que je ne vous envie pas ! L’homme n’a pas supporté les voix dans son esprit et est devenu fou. Je pense personnellement que l’un de ses esprits la combattue et qu’ils se sont entre tué...

— Cel dit, cette théorie à aussi du bon, de l’excellent même ! Si ça marche, cela pourrait t’aider fortement ! Imagine que la maintenant, je t’assomme… l’un de tes ancêtres pourrait prendre le corps et s’en servir comme une marionnette pour VOUS mettre en sécurité ! Se serait une découverte Meikyu hors du commun ! Imagine les implications millitaire ? Je ne parle même pas des ancêtres doué pour une discipline. Kaito ma parlé de Ken comme un génie du genjutsu, ne dit pas a Ken que je te l’ai dis Kaito me tuerait… mais imagine  que tu ai quelqu’un comme lui en esprit ? Tu te fais prendre dans un genjutsu et lui te kai de l’interieur mettant fin au genjutsu… mais IMAGINE ! Hanzo fit une pause pour boire un peu d’eau de sa gourde.

— Je part du principe que si un esprit peut interagir avec toi, par le biais d’un bras, ou en dessinant sur ta peau des papillons. Si certain ancêtre permet de fournir de nouveau jutsu comme aspirer du chakra, c’est donc que l’ancêtre influence plus que l’esprit de l’hôte mais, il influence le chakra, le bras, les capacités, la vie… jusqu’où va le contrôle ? Imagine que le contrôle pourrait être total ? Vous êtes même, sans doute le secret de la vie éternel non, mais TU IMAGINES ???

— Quelle dommage que Raizen, notre Raikage a refusé de se prêter à mon expérience . Vu la dangerosité, je comprends, tout comme je comprendrais ton refus, mais on peut gagner tellement gros ! Pour une perte aussi minime

Hanzo fit de gros yeux et se ravisa.

— Je ne veux pas dire que tu es une perte acceptable, je veux dire, entre perdre une personne et offrir l’immortalité à tout un clan voir tout un peuple… Tu n’aimerais pas toi vivre eternellement avec Ken ? Je t’avoue que moi j’en ai autant envie que ca m’effraie… Tu ne veux rien de plus ? Pas de glace ? Pas de chocolat chaud ? Pas de thé noir ? Oui pardon j’ai encore capté certaine de tes pensées oui…. Je sais que tu rafolles du thé noir.

— Tu sais, si je sais lire aussi facilement dans tes pensées c’est que tu es vraiment mauvaise… tu ne sais même pas kaï à ton niveau hierarchique c’est assez pathétique… surtout que tu as Ken comme compagnon… Si quelqu’un a besoin par-dessus tout de protéger son esprit c’est bien toi ! Contrairement à nous qui sommes parfois menacé, chez toi la menace est permanente  surtout quand tu dors! Je t’ai mis en garde contre tes propres compagnons d’infortune qui utilise ton esprit comme un radeau… Il serait dommage que l’un d’entre eux met un coup de couteau au capitaine pour lui voler le navire… Écoute moi, c’est un conseil, renforce ton esprit ! Tu es un vrai gruyère ! Ton Katon est impressionnant oui, bien au-delà du niveau d’un simple gennin de rang B, mais ton esprit c’est du vrai contre plaqué s’en est effrayant. Quand on aura vue tout ça, je pense que Ken et moi devrions te donner des cours, pour ton propre bien. Hanzo faisait référence au navire pour attaquer ouvertement Nobunaga, voir comme l’esprit réagirait, voir comme Minako prendrait la nouvelle.

Ils sortent du restaurant aprés avoir discuter de cette flagrante faiblesse. Hanzo, avant de quitter Minako lui dit

— Ha oui, que dirais-tu de nous voir a l’institut pour cette histoire de retrocognition ? Saches juste que ca marche bien mieux dans un endroit familier, on peu donc nous exécuter chez toi si tu veux.  Si Ken le veux bien, peut-être serais tu rassurée si il etait là pour veiller sur le bon déroulement ?
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken
Zaiki Minako
Zaiki Minako

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Mar 7 Juin 2022 - 17:08
Minako est intriguée face au comportement de son tuteur. Il semblait si fasciné par l'éveil d'un Meikyû qu'il palpa encore et encore son bras. Mais ça ne la dérangeait pas contrairement à Nobunaga qui a l'air indigné par un tel comportement ; si Hanzō pouvait au moins étudier un Meikyû en développement, alors elle accepterait sans aucune hésitation. Aussi, elle ne boudait pas sur le fait d'être potentiellement une perte. Après tout, un ninja peut se sacrifier pour la science, et si elle est consentante, personne ne pourrait blâmer qui que ce soit, non ?

Elle prend note de ses mises en garde, si elle veut se protéger et protéger autrui, elle doit donc étudier ce journal disponible à la bibliothèque au plus vite. Par contre, elle cligna des yeux plusieurs fois, se redressa sur son siège et semblait effarée que le Yamanaka mette le doigt sur sa faiblesse insoupçonnée. Elle s'est sentie touchée, offusquée, vexée, d'avoir eu ces informations, au point où sa volonté et sa motivation sont venues pallier cette faiblesse. Elle doit se renforcer au point où plus jamais qui que ce soit ne puisse sonder son âme sans son consentement. La flamme qui l'anime ne devra jamais s'éteindre.

Suis-je si naze que ça ? Si lui l'affirme alors tout le monde pourrait voir à quel point je suis pitoyable. Non, je ne peux pas l'accepter. Je suis la meilleure et je le montrerai. Je dois prendre des cours, je suis très forte physiquement mais ça doit aller au-delà de ça, mes muscles seuls ne peuvent rien faire.

Pour une raison quelconque, cette barrière mentale n'existe pas. Elle n'existe plus depuis le décès de Mitsai. C'est justement à partir de cet incident que Nobunaga réessaye, encore et toujours, de renouer contact avec Minako, à prendre le contrôle afin d'avoir lui-même ce corps. Par ailleurs elle imagina une chose : et s'il prenait le contrôle du corps lors d'une période menstruelle, comment réagirait ce capitaine face à cette douleur lancinante ô combien désagréable et à cette sensation gênante d'avoir l'impression d'avoir une fuite qui tâche les pantalons de façon humiliante ? Cette idée est alléchante mais comme l'a suggéré Hanzō, c'est dangereux lorsque le mental de l'hôte est faible.

Comme le sien est faible, alors elle doit recommencer tout à partir de zéro. C'est limite si elle ne doit pas réapprendre à l'académie ninja tellement elle est inférieure à tout le monde en plusieurs points. Alors c'est décidé, elle parlera à Ken et lui demandera de lui faire des leçons, notamment sur le kai. Seulement, elle sait qu'il est puissant dans le domaine du Genjutsu, si elle s'y renforce par le biais de son endurance au taijutsu ou par la rupture, peut-être se sentira-t-il de plus en plus impuissant ? Que doit-elle faire entre rester faible et faire gonfler l'ego de son chéri ou devenir plus forte pour le protéger au risque que le mental de ce dernier s'amenuise ?

Une envie de fuir. Elle le sait, elle peut encore se faire sonder son âme, il va lui répondre avant même qu'elle ne parle. Elle a confiance en Hanzō mais elle ne peut supporter une telle humiliation encore et encore. Mais, si à cause de ce comportement elle ne peut avoir droit à ses cours de renforcement mental, ce sera fini pour elle, elle n'aura peut-être plus jamais l'occasion d'y parvenir. Nobunaga, lui, est quelque peu touché, il ne savait pas à quel point cette enfant était fragile et avait besoin d'être renforcée. Mais qui est-il pour penser ça alors qu'il lui suffit simplement d'avoir continuellement le dessus, il est assez fort pour la protéger, lui. Il peut protéger le mental de son hôte, et essaye de la convaincre, sauf qu'il se tut en l'entendant parler à haute voix, de manière franche, et peu à peu, il se fait plus discret et pris ses distances, blessé de la voir repousser cette protection externe encore une fois.

« Ok donc je prends vos cours de résistance mentale puisque c'est pour mon bien. Je ne veux plus me faire humilier ainsi, je sais que je suis la plus nulle des ninjas de Kumo et ça ne peut plus durer. Je l'ai dit mais je ne veux pas dépendre de qui que ce soit, je dois me défendre moi-même, toute seule.

Qu'on ne me prenne plus en pitié et qu'on ne se serve pas de moi comme d'un livre. Je n'agirai plus jamais de manière impulsive, je saurai adopter des stratégies rapidement pour ne plus jamais reproduire les erreurs du passé et aussi, j'augmenterai ma sensorialité pour ne plus être réduite à l'état de boulet.

J'apprendrai le Kai, enfin, pas n'importe lequel, celui que Ken a car il peut soutenir ses alliés avec sa version. Donc je m'ouvrirai à lui et lui demanderai ce genre de service. Je le sais, en couple on doit communiquer donc je ne lui cacherai plus aucun secret, plus aucune pensée. »


En dehors du restaurant, Minako lui parle sur le sujet de la rétrocognition, de manière beaucoup plus détachée que ce qu'elle a dit quelques instants plus tôt. Car si ses paroles semblaient dures, ce n'était pas en visant Hanzō mais bel et bien ce démon pirate lié à elle.

« Ok, si l'expérience fonctionne mieux dans un endroit familier alors on se rejoindra au dojo, c'est assez confortable pour les séances de méditation. Que Ken le veuille ou non il viendra car j'ai besoin de sa présence, s'il le faut j'imposerai mes souhaits pour que notre duo soit meilleur. J'apprendrai à vos côtés à devenir une meilleure version de moi-même et je serai votre sujet d'expériences, je pense que c'est un bon deal. »

Bien qu'elle veuille de l'indépendance, il est indéniable qu'elle est dépendante d'une personne, de Ken. Elle a besoin de son approbation et de son regard fier, ce qui la rassurera fortement. Elle se sentit toute chose en imaginant la présence de son bien-aimé, son cœur s'emballe à cette idée. Son amour pour Ken étant plus fort que tout, elle ne peut imaginer une vie sans lui. Aussi, elle se sentit de plus en plus mal de ne passer autant de temps avec son chéri qu'elle aime tant.

Peu à peu, le temps s'écoule et ainsi, la demoiselle peut retrouver son mentor pour cette magnifique expérience qui attise sa curiosité, et qui a le mérite d'étancher la soif de connaissances de Hanzō. En parlant de boisson, elle a préparé la théière pour l'occasion. Il en aurait bien besoin. Il lui donnerait des cours de renforcement mental et en échange, elle serait son sujet d'expérimentations. Elle en a parlé à Ken bien sûr, de toute la soirée comme elle s'est déroulée, sans mentir une seule fois, sans cacher aucun détail. Lui ayant parlé de cette faiblesse mentale, elle lui a demandé de lui apprendre le Kai un de ces jours, sans quoi elle ne se considérait pas comme une ninja digne de ce nom si elle est dans l'incapacité de se défendre de tout.
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11345-zaiki-minako-o-presentation https://www.ascentofshinobi.com/t13849-dossier-shinobi-zaiki-minako https://www.ascentofshinobi.com/u1189
Daishi Ken
Daishi Ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako) Empty
Sam 9 Juil 2022 - 23:09
Sans gène l’homme prolongea le touché dans son esprit. Il avait été subjugué par la finesse de la soie qui recouvrait sa peau de lait, cette froideur presque cadavérique. Elle avait bien choisi son surnom de Banshee, surtout si on la fixait dans ses yeux d’un bleu presque surnaturel. L’éveil d’un Meikyu était un événement rarissime, pour peu qu’il sache, cet événement extraordinaire semblait être un moment intime à réaliser en famille. Sans doute pour protéger les secrets familiaux, ou préserver peut être le membre de la peur que devait représenter des âmes venus de nul part, parler dans son crâne. Par chance pour lui, Kaito semblait être un homme pour le moins “je m'en foutiste”, ce qui lui permettait d'assister à ce spectacle. Sa principale question était, pourquoi des papillons? Quel est le rapport entre Minako, cet esprit appelé ancêtre, et ses dessins? L’homme dans son corps était-il un Yasei papillon? un Aburame? Pourquoi un papillon et pas un faisan ou un thon?

Oui les yeux de l’homme pétillent devant cet énigme, si passionnante. Il avait également ressenti comme un dégoût mais ne venant pas de lui, il comprenait un peu le choix de Ken, cette soie si fine pouvait donner envie d'être palper et embrasser. N’etant plus intéressé par l’amour depuis la mort de sa Yorihime, l’homme rejeta de ses pensées, se plaisir exquis de pouvoir ainsi caresser une femme. Il avait l’impression de trahir l’esprit de son bonheur à jamais perdu. Ses yeux alors passèrent d’un bleu intense à un gris vitreux, les larmes lui piquaient les pupilles appuyant sur les frontières de son âme. Son cœur s'emballe. Ses poumons se gonflent avec difficulté. Par saccade le sac remplis d’air ce dissipait péniblement empêchant les larmes au bord de son âme d’exploser.

Avec pénibilité, Hanzo eut l'esprit ailleurs durant quelques instants.

— Yorihime non….

— Hanzo, mon coeur, kof, kof, kof. J… je ne veux pas partir, j’ai peur…

— Je suis là, reste avec moi Yorihime ! YORIHIME !

L’homme toucha le bras de sa femme mourante, se touché était quasiment le même qu’il venait de ressentir avec Minako. L’une des raisons qui l'a poussé à quitter son passé pour venir à Kumo.
Hanzo eut l'échine électrisée, un vent froid d’hiver s’engouffra sur ses pieds, pour lui dévorer les jambes, ses cuisses, ses hanches. Il frissonna mais au moins, il ne pensait plus a la mort de sa femme et de sa fille, morte dans le ventre de sa mère. Yuna fut étranglée par le cordon ombilical, tandis que l’arme du crime ainsi tiré par l’enfant fut sectionné formant une hémorragie interne dans le ventre de Yorihime. Hanzo perdit à la fois sa fille et sa femme le même jour. Se même jour, le froid lui avait lacéré le cœur, les jambes, la gorge.

Au dehors, une litanie se fit entendre, le vent glacial chantait de façon lugubre, une complainte offerte à son intention. Etait-ce sa femme qui œuvrait à travers le vent? Il est vrai qu'aujourd'hui était un jour spécial. Cinq années, jours pour jours, l'anniversaire de l’anéantissement de sa famille. Il fixa de nouveau Minako qui semblait être en proie à une confusion. Ses mots avaient-ils fait mouche? Comme il etait bon de voir son élève en proie au doute, voir au désespoir. Selon Hanzo, c’est seulement en proie au doute, à la souffrance, à la rage, au désespoir, que les meilleurs hommes se surpassent. Ainsi, il prenait un mâlin plaisir de voir son élève pris dans un tourment. Allait-elle s'écrouler dans un moment de désespoir, ou, au contraire, allait-elle devenir rebelle et exploser? Ou pleine de désespoir, se redresser, et devenir meilleure?

Hanzo a, d'ailleurs, voulu réaliser un autre test. A quelle point Minako était faible? Un jutsu sous la table, un coup de pupille et le sensei donna en souvenir a la Kunoichi. Un souvenir un peu simpliste mais c’est souvent les plus efficace. Aussi, Minako, si elle n’avait comme il le voyait, aucune résistance, d’avoir effectuer un tremblement de terre à l’aide de son postérieur. En réalité, rien de cela n’etait réel. Il se demandait en réaliser combien de temps lui faudrait-elle pour se rendre compte que tout cela etait le fruit de son imagination? Allait-elle devenir verte de honte? Rouge de rage? Hanzo prenait un plaisir coupable à la torturer de test en test. Il n'était pas très fier de son test, mais il avait lu en elle que son homme etait sujet a se type d’humour au point d’en faire certains jutsus. Bien que personne n'ait entendu ce son là. Parfois, des personnes dans la salle se retournent vers eux. Des vagues de froid influencé par le Yamanaka afin de torturé Minako. Il se lassait mettre en place se test mais il avait hate de savoir ce qu’elle ferait.

Il comprit qu’elle ne comptait principalement que sur une dénommée Mitsai pour défendre son mental, sa soeur défunte, la raison de son échec. Peut-être que simuler son retour serait une bonne chose? une sorte de mystification mental, lui faire courbé le mental pour le retour de cette soeur apte au genjutsu? Un égrégore de soeur. Hanzo garda cette information dans son esprit. Il y réfléchirait dès qu’ils se diraient au revoir.

Il apprécia l’humilité a laquel elle se confrontait, s’imaginer devoir repartir de zero, peut-être avait-il été trop fort? Qu’importe. Le mal était fait. Hanzo comprit que sa tâche sera plus difficile à cause de son cheri. Elle etait un véritable livre. Elle n’avait aucun secret pour lui. Elle etait si forte de Katon, apparement, mais coté genjutsu, elle n’etait malheureusement plus faible qu’un concombre. Partie comme ça, elle sera morte bien avant que les poules aient des dents, il y a de forte chance qu’il soit grabataire avant qu’elle sache survivre face à un genjutsu. Il devra être patient, ou utiliser des méthodes violentes pour l’aider au mieux.

— Hummmm Dit simplement Hanzo quand elle lui dit qu’elle accepte de le prendre comme sensei.

Elle faisait preuve de discernement, comprenant qu’il était un allié. Quand elle dit qu’elle en avait marre d’etre lu comme dans un livre, qu’elle ne serait plus impulsive, qu’elle ne sera plus un boulet. Hanzo lui sourit.

— A propos de tes soucis de gaz… non oubli…. lui répondit-il

“Je ne devrais pas le lui dire… elle se méfierait alors de mes soins et je la perdrais….”

Hanzo alors effaca de la mémoire de Minako, ça remarque.

— Je t’apprendrai a Kai, ou alors… Nan tu as raison, laissons Ken le faire. Tu as raison, ne lui cache rien, se serait te rendre faible si jamais tu avais des secrets. Un fardeau porté a deux, est deux fois plus léger, tu n’es pas d’accord ? Ho attend moi dehors, je vais payer le repas.

Hanzo alors alla avec le papier affichant le prix des repas. La femme recus l’argent avec le sourrire. Il lui lanca les pièces mais pourtant, elle continua à tendre la main. Il patienta quelques secondes, mais la dame continait a tendre la main. Hanzo pesta mentalement lancant cent ryo de plus à la femme veinale qui lui souhaita alors une excellente soirée.

En dehors du restaurant, le vent mangeur d’homme faisait son office. Plusieurs personnes courbaient l’échine, certains se tenaient le chapeau pour éviter que le vent voleur ne s'en empare. Hanzô apprécie la dureté avec laquelle Minako lui parlait de la rétrocognition. Elle accepta cela dit, peut-être trop facilement tout ce qu’elle lui disait. Avait-elle foi en lui à ce point là? ou était-elle naïve?

— Excellente idée, il faut qu’il vienne, je devrais peut-être utiliser mon art Yamanaka sur lui également… Nous verrons bien, cela dit. Sache que pour la complète réussite de la séance dépend d’une chose essentielle. Tu sais laquelle? L’utilisation d’une tarte au quetsch ! Ne sous estime pas l’efficacité d’une tarte au Quetsh ! elle permet de ressouder les liens d’amitié, de ce mettre en condition pour réussir l’impossible. Crois moi, si tu ne connais pas la puissance de cette tarte, pense y.

Hanzo avait conscience qu’il cassait un moment important, elle qui parlait avec solennité. Il parlait en plaisantant presque au sujet de la tarte. Toutefois, il était sincère. Il ne connaissait personne qui résistait aux tartes aux quetsch. En partie car il implantait aux gens la haïssant, un souvenir d’un incommensurable bonheur après avoir manger ça. Il réserverait au couple, une expérience peu commune. Accompagné d’un café bien chaud, il ne connaissait rien de meilleur. Soudain, la pensé d’ Hanzo fut coupé en captant les songes de Minako. Elle se sentait à la fois forte, et faible auprès de Ken. Elle semblait désirer à la fois n'être dépendante de rien ni personne mais à la fois, la dépendance de cet homme. Il devraient peut-être également les secourir à ce sujet?

Quoi qu’il en soit, l’homme lui dit qu’elle y réfléchit avec Ken, qu’elle lui parle de tout ça. Si ils étaient d’accord, qu’elle l’invite alors chez eux. Il viendrait avec grand plaisir. Il sourit en examinant sa mémoire immédiate. Il la vit le faire entrer chez eux avec ce regard pétillant, cette soif d’apprendre qu’il aimait tant. Il la voyait en l’acceuillant avec du thé noir. C'était presque aussi bon que du café, d’un côté le choix était plus judicieux puisque le café était moins diurétique. Par contre, elle semblait avoir changé d’avis au sujet du kai en imaginant que c'était lui qui le lui apprenait. Il n’en etait pas question, il valait bien mieux que se soit lui, Ken, de s’en charger.

—- Désolé chere élève, c’est lui qui t’apprendra le Kai, pas moi, vue?

Il était un peu triste de ne pas avoir vu de tarte au quetsch. Il souffla de dépit.


— J’ai besoin de réfléchir à comment vous aidez au mieux, on se revoit ce week-end au plus tôt, parle à ton homme !

L’homme fixa le ciel. Il blanc immaculé avait perdu de sa clareté, passant a un gris souris. Le temps etait changeant.

— Dépèche toi de rentrée. Dit-il en pointant le ciel du doigt.

Vérifiant que Minako lève les yeux au ciel, il disparu dans un petit nuage de fumée.
(FIN POUR MOI concernant se RP, je te laisse en ouvrir un autre pour continuer l’histoire merci beaucoup pour m’avoir permis de développer Hanzo DES BISOUS !)
Revenir en haut Aller en bas
https://www.ascentofshinobi.com/t11373-daishi-ken-le-taiko-de-kumo https://www.ascentofshinobi.com/t11421-dossier-12457887-daishi-ken

à propos de la criminalité (Avec Zaiki Minako)

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Ode à la quiétude — avec Zaiki Minako
» Dossier shinobi ✘ Zaiki Minako
» Celui qui murmure [Zaiki Minako]
» La sécurité est de mise [Mission B/Libre/Zaiki Minako/Daishi Ken]
» Tipiak, pirates [Mission rang B / Ft Zaiki Minako & Daishi Ken]

Ascent of Shinobi :: Territoires de la Foudre :: Kumo, village caché des Nuages
Sauter vers: