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[Calamité] Aux Portes de la Peste

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Shinrin Hanzo
Shinrin Hanzo

[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 Empty
Ven 16 Juil 2021 - 2:00
[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 NUAGE
:copyright:Yenno



Naître, vivre et mourir, tel était leur destin, tel était le décret de Dieu. Ils auraient beau être preux, vaillants, droits, absolus, tout ce qu'ils étaient ne se résumait qu'en trois mots, et ô combien c'était peu. Si l'instant obscur qui leur a donné l'être leur avait promis un avenir sans fin, nanti de ce que l'on appelle la vie ils eurent compris que du fleuve du temps ils devraient un jour débarquer. Leur terre n'était qu'une route vers le ciel, ce n'était qu'une heure unique et sans sœur qui ne frappe qu'un coup. Mais Dieu bénit ceux qui sur leur esquif comprirent que la mort que l'on craint n'est qu'une renaissance et que vivre, en un mot, c'est loin d'être peu.

Putride était l'air, nauséabonde était la sentence de leur outrecuidance. Bras de chair au ciel, c'était tout son corps qui criait au martyre. Cuir de prune, derme ondulé, muqueuse serrée, il en venait à se dire que si son corps ne faillirait, son esprit le ferait. Car plus épouvantable que l'épreuve de la chair, c'était la géhenne des civils qui menaçait l'Empereur, se faufilant par-delà son corps pour atteindre son être. En son esprit résonnait ainsi la désolation des vivants, le doux requiem de l'échec, le doux tintement infernal annonciateur de sa plus grande calamité : la folie.
"NON ! NON ! NON ! NON ! NON !" rugissait l'Empereur, épris de la contrition de les avoir abandonner.
"Deux manœuvres tragiques pour le prix d'une" s'était-il dit, repensant naïvement à ses syllabes tandis qu'il lorgnait sur le Samouraï qui se faisait l'écho de ses propres mots. Héraut de sa providence, il valsait alors avec son fer, portant le présage d'une mort certaine par l'exhalation de ses miasmes. D'instinct, le Jinchuuriki battait alors une nouvelle fois convulsivement des ailes, peinant sous la douleur à conjurer une nouvelle fois une bourrasque salutaire qui viendrait braver la tornade, offrant là un brin de calme aux protecteurs du feu en contrebas tandis qu'il luttait lui-même pour sa vie avant de comprendre amèrement qu'aussi divin soit son art, il ne suffirait guère à rivaliser face à un tel mal enfiellé.

Soudain, un cri, un appel à la survie.
"APPROCHEZ-VOUS VITE !" venait de tonner la silhouette rubiconde en contrebas, celle de la Neko étrangère.
Rejoint par son rapace trouvant refuge en son habit, l'Empereur faisait fit de toute réflexion tandis qu'il se portait alors à la hâte dans la protection offerte par l'Indépendante vêtue de rouge. Et s'il s'époumonait durant ce bref instant de pause à supporter cette gangrène qui prenait possession de son être, il trouvait un réconfort dans son ire, là sa meilleure amie, qui cultivait en lui de noirs desseins à l'égard de l'objet de sa souffrance. Mais un regard suffisait alors, celui qu'il partageait avec ses compagnons d'armes s'assurant qu'ensemble, unis, ils vaincraient.

[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 Blessz18
"Ensemble…" implorait l'Empereur, le blanc de ses yeux dénotant des sombres teintes infernales.
Dégainant alors de son fourreau une lame à l'aspect grossier, il vint d'un trait disposer de sa propre chair, faucher son propre genou afin de couper court à la gangrène laissant sa cousine interrompre aussitôt par ses fils les flots de plasma qui s'évidaient au sol. La plus grande volonté demandait les plus grands sacrifices. Pour sûr, un tel état ne lui permettrait pas de tenir assez longtemps, mais peut-être suffisamment pour voir le fin mot de cette histoire.

Dès que le sifflement s'estompa, c'est le voile de terre qui se levait alors, laissant les héros de la flamme s'en extirper armes au poing. L'heure n'était alors plus à la survie, là était venue le temps de l'assaut : le dernier.

[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 Dzomon11
"YOTHITSUGU, CE SOIR TU ERRERAS SANS TÊTE NI VERTUS ! YOTHITSUGU, ENTENDS NOTRE IRE ! ENTENDS LE REQUIEM DES EXALTÉS DE L'ORIFLAMME !"
Un mûdra, c'est ce qu'il fallut au chef d'orchestre afin de sonner le début de la symphonie et que s'embrase les restes de son pantin de capture qui, subsistant en quelques fragments attachés aux pieds du Samouraï, représenterait là le point d'ancrage de sa fin. Ainsi détonnaient les restes de bois annihilant ce qu'il restait de l'ouvrage du marionnettiste, emportant dans son dernier souffle quelques lambeaux de peau d'une carcasse déjà décharnée.

[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 Blessz19

Puis, profitant de cette ouverture déflagrante, il n'était là aucunement question de laisser au défunt le moindre espoir de répit. D'un coup de dextre, faisant du Kogami à ses côtés sa nouvelle marionnette, il délégua le poids de sa colère sur le fil de sa lame, propulsant avec puissance et promptitude ce dernier vers le revenant avec la solennelle intention de détacher une tête d'un corps. Si l'Empereur ne serait pas le faucheur de cette calamité, il demeurerait le vecteur de sa déchéance.

D'aucuns projetaient alors dans le sillage du colosse les traits d'un dragon ignescent. Mirage ? Echo d'espoir ? Ersatz de miracle ? Qu'importe les fluctuations de la réalité, rien ne pourrait contrarier la foi des zélés de la flamme.


Résumé
État de chakra :  [1 S / 6 A / 2 B / 0 C / 0 D] (Kuchi = 1C)
État de santé :    Amputé d'une jambe (Garrot) / Douleur lancinante sur toute sa chair
État mental :      Fielleux à l'extrême

Résumé :
1) Hanzo subit les effets de l'Averse Funeste (S). Cette dernière lui atteint principalement la jambe droite, ne manquant pas de menacer son être tout entier.
2) Face à la Tempête de l’Éclipse Lunaire (??), il utilise dans un premier temps la Bourrasque Démoniaque (A) afin de détourner la tornade le temps de quelques instants pour permettre à Katsuko de conjurer son Dôme Doton (S) (prochain tour). Duquel il se réfugie aussitôt suite à l'annonce de ce dernier.
3) Profitant du temps de la technique et de la protection du dôme, il se sépare de sa jambe au niveau du genou afin de stopper court à la gangrène. Akemi lui fait un garrot. La douleur est intense, il tient le coup uniquement grâce à l'adrénaline et à l'effet de sa colère, mais ça ne durera pas. Dès que l'assaut du Samouraï prend fin, il quitte le dôme et entame la contre-attaque.
4) Hanzo fait détonner les restes de sa marionnette de capture qui subsistent aux pieds du Samouraï grâce à L'Oblation de Karushifā (A), permettant ainsi d'ouvrir sa garde pour enchaîner directement sur la suite des hostilités.
5) Hanzo propulse Akira qui est à ses côtés grâce à sa Charge Supérieure (A) vers le Samouraï. La suite dépend alors des beaux gosses suivants ! (Je nomme ce moment précis Alpha, pour qu'il soit reconnaissable et utilisable par mes pairs)



Dernière édition par Shinrin Hanzo le Dim 6 Fév 2022 - 3:11, édité 2 fois
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Itö Luna
Itö Luna

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Ven 16 Juil 2021 - 3:17



Les mains couvertes de sang, Akemi serra aussi fort qu'elle pouvait la jambe dégoulinant du fluide de son maître aimé. Reliant ses propres fils, la Yokai enrageait intérieurement en attendant de pouvoir faire subir le même supplice à l'immondice qui lui avait provoqué cette séparation de chair. À travers ses vêtements troués par la gangrène, un corps de rage se déchargeait au plus profond d’elle, alors même qu’elle ne ressentait pas ce poison ronger lentement, mais sûrement son torse. Et c’était sans s’en apercevoir qu’Akemi s’était pris les chutes putrides durant l’assaut pestilentiel pendant sa course pour se mettre à l’abri de cette tornade morbide.

Faisant résonner les paroles de son Seigneur, la vengeance hurlait son dû et son lot de morts. Même quand la coupole se brisa sous les joutes acides, la jeune femme enragée prépara la contre-attaque avec l'aide de sa divinité. Contrôlant ses liens, ses fils s'enroulaient autour d’Akira, le seul homme qui savait réellement se battre en plus des deux Shinrin, dans cet état de lâche. Et tout en harmonie, les deux sangs de bois envoyèrent valser le Valeureu, regardant sa cible à travers ses yeux de braises, comme un éclair écrasant le ciel par sa force brutale.

Dans son esprit, Akemi ne pouvait pas laisser un pur Hi-Jin démembrer seul un être aussi abject que leur ennemi. Elle ne pouvait pas laisser un tel insecte impuni face à la douleur qu’il avait provoquée à Hanzo. Elle devait réagir par n’importe quel moyen pour assouvir sa soif funèbre…

S’accrochant à l’Akira-Missile, ses fils de soie l’emportaient avec celui qu’elle avait combattu et reconnu la force. Tels deux fusées dans le ciel, les aiguilles de la mort retentissaient sur le champ de bataille.

Et alors que les deux projectiles vivants s’approchaient rapidement de leur cible, la jeune Yokai utilisa ses liens pour projeter en premier une attaque contre le samouraï de la peste avant qu’Akira puisse venir déchaîner sa lame sur lui.

Maintenant ses mains à ses fils transparents, ceux-ci se propulsaient droit sur les bras du mort pour en lui défaire de son être. Telle une offrande, la chair mourante qui tenait son katana serait pour elle une juste récompense à la douleur de voir sa chère dans cet état.

Résumé

Résumé :
1 - Akemi se réfugie sous le dôme et aide Hanzo à mettre un garrot autour de sa jambe à l’aide de ses liens.
2 - Elle aide Hanzo à projeter Akira sur le Samouraï à l’aide de ses liens.
3 - Elle s’accroche à Akira pour se projeter avec lui.
4 - Alors que les deux sont en plein vol, elle envoie ses liens en avant pour arracher le bras qui tient le katana et permettre une ouverture à Akira.

Santé : Akemi a été touché partiellement par la tornade SS, mais ignore pour le moment la douleur et l’augmentation de la gangrène sur son torse dû à la rage. (Endurance rang S) Il en résultera une lourde conséquence par la suite. (En gros, tkt pas le narra, ça ne devrait pas te décevoir)

Chakra : 6A | 2B

Liens utilisés lors de Ca, c’est à moi :


Techniques :
[Projection - rapide]

[Charge - rapide]

[Téléguidé - Dégâts rangs B] + [Dissimulation rang C]




Dernière édition par Shinrin Akemi le Ven 16 Juil 2021 - 16:41, édité 2 fois
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Chinoike Katsuko
Chinoike Katsuko

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Ven 16 Juil 2021 - 10:52
Sous terre, Neiko s'était approchée du Samouraï, pensant l'attaquer de dos. Elle aurait voulu le décapiter par surprise, terminer rapidement cet affrontement. Mais... Mais les choses ne semblèrent pas si simples. Alors qu'elle se pensait à l’abri, elle sentit une étrange morsure, celle du souffle de la bête. L'immondice semblait entourée d'un nuage nauséabond étrange qui perçait même le sol. Tout en étant invisible, ce dernier commença très légèrement à atteindre sa peau et sa gorge. Immédiatement, la kunoichi se mit à expirer son air le plus longuement possible tout en évitant de faire du bruit. Elle s'écarta alors le plus vite possible, revenant dans les environs de sa position de départ. La douleur la rongeait de plus en plus alors le poison progressait notamment sur sa jambe gauche qui avait été atteinte en grande partie avant qu'elle ne plonge sous terre. Elle ne pouvait rester ainsi, mais que faire...

Katsuko ne se posa la question que quelques tous petits instants puisque déjà son clone hurlait à la surface tout en lâchant son bouclier et son katana.

« APPROCHEZ-VOUS VITE ! »

L'instant d'après, il cria à nouveau.

« JE VAIS FAIRE UN DÔME PROTECTEUR ! »

Ce dernier le donnait ainsi sa localisation plus précise, lui permettant de le rejoindre également sous terre. Elle ne comptait pas en sortir pour le moment, plutôt à l'abri face aux ravages du samouraï. Pour autant, il fallait agir. Une attaque imminente arrivait sur le groupe et il fallait une défense que son double ne pouvait pas créer. Alors ce serait elle qui le ferait. Tandis que tous rejoignaient le clone résistant voyait sa peau se transformer à vue d’œil dans ce qui aurait été une douleur terrible si c'était la jeune femme qui l'avait subit elle-même.

Enchaînant les mudras directement sous le groupe en coordination avec son clone qui les connaissait sans posséder le chakra nécessaire, la vampirette se mit à créer un immense dôme de roche qui s'éleva pour protéger l'ensemble de la compagnie venue pour balayer cette chose démoniaque qui était venue jusqu'à eux.

Tandis qu'à l'extérieur, la tempête faisait rage, cette dernière finit par détruire la défense dressée contre elle, laissant les adversaires de nouveau dans un face à face sans merci. Tandis que le groupe se jetait sur le samouraï, le clone encore debout de la Chinoike se mit à courir vers le samouraï avant de lever ses mains en enchaînant les mudras.

« YOSHITSUGU ! TU ES MORT DEPUIS DES CENTAINES D'ANNÉES ! RETOURNE À TON REPOS ÉTERNEL ! ACCEPTE LA RÉALITÉ ET REND CETTE TERRE AUX VIVANTS ! TON TEMPS EST TERMINÉ ! »

De plus en plus rongé par le poison nécrotique qui comme un acide dévorait ses chairs, le double n'avait pas dit son dernier mot. Tel un humain affecté par cette technique maudite, sa chaire commençait à partir en lambeaux, violaçait et pourrissait. Mais sa propre technique était déjà lancée. Utilisant directement le sang maudit du marcheur mort qui suintait de toutes les blessures de ce dernier, Katsuko accumula le sang au niveau du cou de la créature et se mit à le serrer si fort qu'elle finirait par lui broyer la nuque. Véritable poigne de la mort, bras brandis en avant comme si elle enserrait elle-même la gorge du profanateur, la demoiselle aux yeux vermillon le fixait tout en l'étranglant avec son propre sang. Qu'importe sa couleur, qu'importe son état, ce dernier saignait. Et ceci causerait sa perte une nouvelle fois, elle en était persuadée.

Sous terre, désormais en arrière et commençant à sentir sa limite chakratique approcher, Neiko réfléchissait à plein régime pour trouver une solution. S'ils n'en venaient pas à bout cette fois-ci, parviendraient-ils à le vaincre ? Ou était-ce là la fin de cette escouade teikokujine ? Quoi qu'il en soit, elle devait sortir.

Revenant à la surface, elle attrapa le katana qu'avait abandonné son double sur place et en serrant les dents fortement, la Chinoike se sectionna la jambe gauche, retenant un hurlement de douleur. Elle ne connaissait que trop bien la douleur. Comme une amie trop collante, cette dernière ne la quittait jamais longtemps. Et elle était de retour d'une horrible manière en ce jour funeste.

Apposant ses griffes au pouvoir glaçant proches de sa blessure pour utiliser ce pouvoir glaçant qu'elle maîtrisait si peu, la vampirette tâcha ainsi de limiter sa douleur ainsi que l'écoulement du sang tandis qu'elle se faisait un garrot. Elle avait fière allure tient... Non loin, elle remarqua que l'Empereur s'était infligé le même sort à la jambe opposée. Ils étaient nombreux à être ainsi affectés et n'avaient visiblement pas d'autres solutions pour empêcher la gangrène de s'installer. Putain, pourquoi cet imbécile avait utilisé un poison corrosif et non un poison passant par le sang ? Ça aurait été tellement plus simple pour elle... Elle savait que l'Empire connaissait des moyens de faire des prothèses comme le lui avait dit Aimi dans sa lettre, indiquant que la Coalition avait réussi à remettre sur pieds les shinobis blessés par Yonbi dont ce crétin de Taishi. Ah... Il lui manquait...

Retenant les larmes de douleur qui apparaissaient aux coins de ses yeux, Katsuko comptait bien parvenir à tuer cette entité. Parce que désormais, la fuite promettait d'être complexe.

HRP:
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Kogami Akira
Kogami Akira

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Ven 16 Juil 2021 - 15:51
Aux portes de la peste
げきりん

Takenosato, le village aux champignons. Hameau autrefois paisible, la venue du samouraï d’un autre temps avait réduit à néant toute la quiétude qui y régnait. Pire encore, ce rejeton des enfers clamait son droit de tout détruire sous prétexte qu’il fut autrefois le maître des lieux. Seulement, le Kogami n’avait jamais entendu parler de lui ni du nom de ses ancêtres. Cet homme, ou ce qu’il en restait, n’était qu’une pitoyable tentative de revenir sur un échec datant de plusieurs centenaires. Quelle qu’en soit l’issue, il avait déjà perdu. Le monde l’avait déjà oublié.

“ … “

Cet être cadavérique commençait à faire monter l’ire accumulée au sein du Kogami depuis toutes ces années. Par tous temps, ses terres se voyaient assaillies d’êtres pernicieux croyant posséder tous les droits possibles justifiant leurs actes. Sakaze Tôsen, Yamanaka Rei, Ono Ryushi ou ces satanés Kumojins… il n’était plus question d’en laisser un seul en vie. Plus question de faillir. Désormais, la menace viendrait de l’intérieur.

" ... "

Le Kogami tremblait de rage alors que les râles d'agonie des pauvres villageois résonnaient en chœur autour de lui. Véritables psaumes mortifères le renvoyant à son incapacité de tous les sauver, ceux-ci eurent plus d'effet sur le capitaine que le poison pleuvant en trombe depuis le ciel pour cueillir à même sa chair. A vrai dire, Akira ne sentit même pas la douleur provoquée par l'averse pernicieuse qui lui assaillait tout le pan droit du corps. Regard vide et translucide, le capitaine ne semblait plus avoir la moindre once de conscience.

" Tu vas payer... "

Marmonna t-il, dément, alors qu'il tirait son instrument de mort du fourreau accroché à sa ceinture. De sa garde forgée dans la flamme symbole de l'empire, le Kogami vint brandir son katana en direction de son ennemi, décidé à l'annihiler de la manière la plus symbolique qui soit juste avant que sa vue ne soit coupée par le dôme de la vagabonde. Un dôme salvateur mais qui lui donna l'occasion d'assister à l'état désastreux des troupes, leur empereur mais aussi la vagabonde étant à présents défaits d'un de leurs membres. S'il s'agissait sûrement de la manière la plus sûre de s'en sortir... le Kogami ne fut pas de cet avis, préférant réduire l'ennemi à néant avant de s'occuper de son propre état.

" Assez joué avec le poison. Je vais te montrer comment se bat un vrai samouraï. "

Déclara t-il une fois le dôme retombé tandis que ses camarades firent de lui l'instrument de leur vengeance. Utilisé comme un véritable projectile humain, le Kogami fut doublement envoyé en direction de la menace. Une action lui permettant d'économiser une charge mais aussi de déchainer toute sa puissance, sans doute l'offensive la plus dévastatrice qu'il n'ait jamais eu à livrer jusqu'ici. En l'espace de quelques secondes, le corps du capitaine se vit devenir iridescent, ses membres déployant une quantité colossale d'éclairs azurs crépitant tout autour de lui, déployant toutes ses capacités au delà de leurs limites.

撃滅
げきめつ
[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 Sans_titre-2
げきめつ
撃滅

Ainsi, dans une vindicte infernale, le valeureux déchaina une pluie de coups vers le cadavre animé dans l'unique but de le réduire en bouillie informe, symbolisant à lui seul la vengeance de tous les innocents ayant péri par sa faute dans sa quête absurde. Se frotter à l'empire sera sa dernière erreur, eux qui avaient connu bien des menaces avant lui. Qu'importe qu'il perdre un bras ou la vie, il ne ferait que s'abaisser au niveau de leur ennemi.

Résumé
Chakra: 2S 2A 2B (Encore une bonne marge)
Santé: Bras droit violacé et progressivement rongé par le poison, mais il tient le coup (Endurance S).

Résumé:
- Akira est doublement projeté vers le samourai comme un véritable missile.
- Durant la courte fenêtre ou il se trouve au niveau de l'ennemi, il exécute un enchainement rapide S doublement boosté (Vitesse/Dégâts) en visant en priorité le bras restant du samourai et sa tête. L'assaut est exécuté en même temps que les autres pour ne laisser aucune échappatoire au samouraï.
- Il continue sa course en atterrissant un peu plus loin.




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Bakuhatsu Kenpachi
Bakuhatsu Kenpachi

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Lun 19 Juil 2021 - 12:27


Le combat fait rage, la calamite se prend des dégâts et se protège d’autres, avant de préparer sa contre-offensive, une attaque visiblement plus dangereuse que la normal, face a quoi l’escouade Teikokujin doit travailler de concert pour s’en sortir.

C’est d’abord la Chinoike qui annonce sa défense afin de mobiliser tous ses camarades, puis l’empereur use des pouvoirs du Dieu qui sommeille en lui pour retarder de son mieux l’assaut de la calamite, donnant a ses comparse le temps de se rassembler autour de la Chinoike.

Kenpachi quant a lui use d’une charge pour se rapprocher de ses camarades, et invoquer lui aussi un dôme défensif pour venir renforcer encore les parois de celui de la Kunoichi.

La tempête passée, il était temps de revenir à la charge pour l’unité, c’est Akira qui portait toute la détermination des siens pour cet ultime assaut, qu’ils espéraient définitif. Les Shinrins et le Kogami avaient travaille de concert pour élever le Kogami l’espace d’un instant au rang divin de dieu foudroyant, à voir comment le samouraï tricheur sans vertu allait bien pouvoir s’en tirer.

Le Bakuhatsu restait tout de même à l’affut, attendant la fin de l’offensive du capitaine, pour venir damner la peste si jamais elle en rechapait.


Recap:
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Anciens Samouraïs
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Ven 23 Juil 2021 - 13:43
Le délai de 72h étant passé, le tour de @Soejima Yenno est sauté. Au prochain tour sans réponse, elle sera par conséquent exclue de la Calamité.

C'est donc au tour de @Aburame Kakuzo de poster.
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Anciens Samouraïs
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Lun 26 Juil 2021 - 15:15
Le délai de 72h étant passé, le tour de @ABURAME KAKUZO est sauté. Au prochain tour sans réponse, il sera par conséquent exclu de la Calamité.

C'est donc au tour du Narrateur de poster.
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Anciens Samouraïs
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Jeu 29 Juil 2021 - 14:12
Il était venu le temps des tempêtes surgissant de l'enfer pour Takenosato, le village aux bambous.

Un spectacle de désolation se substituait dorénavant à la sombre litanie des villageois, tantôt mutilés, tantôt nécrosés, mais tous exaltés par le Don du Porte-Peste. Après l'averse, vint le typhon. L'hégémonie du poison en ces lieux atteignait son acmé. Et le maître aux commandes de ces hordes de volutes léthifères ne cessait de tournoyer pour alimenter la dite tornade. La bourrasque verdâtre s'étendait tout autour de la colline, épicentre malsain de la corrosion. Les débris du pantin furent balayés, réduits en fragments plus insignifiants. Même le temple qui trônait au sommet de Takenosato fut mis à l'épreuve de la tempête. La vague céladon brisa la toiture, ébranla les fondations du lieu de culte. La roche se soumettait à la tyrannie de la toxine acérée. Finalement, la structure s'effrita en gravats, et bientôt, seul l'Esprit de la Maladie subsista en unique maître de la colline. Le mugissement du vent de jade étouffait tout dans les alentours. Exit, l'écho des complaintes de toute une bourgade en proie à la pestilence. Même le cri de hargne du samurai des temps anciens s'éteignait dans l'œil de la tempête.

En contrebas, la résistance des guerriers de l'Empire s'organisait. Une courte accalmie fut initiée par l'élu de l'Oriflamme. Une bourrasque salvatrice qui empêcha la propagation du Mal Vert. Puis s'en suivit un, puis deux coupoles venues des entrailles de la colline. Le déferlement de rage du guerrier se heurta aux parois minérales des fortifications du Teikoku. Le mugissement s'accentua, alors que progressivement, le poison projeté avec force pulvérisait la roche et la terre. Aucune lumière ne s'échappait néanmoins entre les failles de cette double protection. Les quelques rais solaires qui éclairaient le village de Take furent bloqués par un écran verdâtre. L'éclipse lunaire plongeait dans la pénombre les soldats les plus avancés de l'Empire du Feu. Puis, progressivement, l'ombre recula. Les ténèbres se dissipèrent, et vous pouviez constater l'étendue des dégâts. La terre, ravagée. Le temple, réduit à l'état de ruine. Les gardiens de l'autel, terrassés. Et tout autour, la foule zélée qui s'éteignait aux pieds de l'émissaire de la putréfaction.


La silhouette malsaine de l'Esprit de la Maladie vous guettait attentivement. Malgré sa condition de non-mort, son corps est dans un triste état. Son enveloppe se teintait presque entièrement d'un éclat sombre, fruit des multiples perforations qui constellaient la chair de Yoshitsugu. Ses traits, déformés par la haine de l'envahisseur, vous toisaient avec gravité. Il observa avec circonspection la dame aux fils et le sabreur de l'Empire se préparer à quelques manigances à son encontre. Malgré ses pouvoirs surnaturels, l'héritier des Asakura disposait d'une enveloppe charnelle faillible. Et ses adversaires lui prouvèrent à de multiples reprises, ici, ou dans les bois, que ses seules compétences ne suffiraient à contenir la puissance du chakra. Alors, tandis que deux des sauveurs du Teikoku tentèrent de fuser sur sa personne, l'Esprit de la Maladie décida de se replier pour gagner du temps. Ses jambes décharnées poussèrent l'ensemble de sa carcasse en arrière de quelques maigres mètres, de quoi tout juste le préparer à l'offensive qui l'attendait. Alors qu'il s'était écarté de la menace, il sentit la pointe d'une lame ravager son torse dans une impressionante giclée du pétrole organique qui stagnait en lui. Puis une aiguille, en réalité la pointe d'une épée, percer ce qui subsistait de son foie, dans une explosion de fluides séculaires. Le tout à une vitesse prodigieuse. L'instinct du guerrier d'antan s'éveilla aussitôt. Sans plus tarder, le samurai des temps anciens convoqua l'énergie de la terre, avec pour réceptacle la lame de son épée. Le sommet de la colline répondit à son appel, et grâce à ses pouvoirs, l'Esprit de la Maladie érigea une armure primitive. Étrange agglomérat de gravats, de morceaux de terre qui ceinturaient son corps et de pierre pure, le corps en piteux état du guerrier fut provisoirement masqué derrière la copie d'un ensemble de protections digne d'un porteur des idéaux du bushido.

Tout s'enchaina si vite… Il s'apprêtait à prendre une grande inspiration quand soudain, il sentit une nuée de serpents remonter le long de son corps. Une horde à la peau froide, fraîche, venue de ses entrailles. L'espace d'un instant, sa gorge fut comprimée. Sa voix s'étouffa progressivement, alors que son souffle s'éteignait. Le poison qui l'entourait s'écoulait dès lors faiblement des perforations qui marquaient son poitrail et exposaient ses poumons à l'air libre. Malgré sa protection tellurique, l'Esprit de la Maladie se voyait agressé par sa propre substance. La strangulation sanguinolente ne fut qu'un avant-goût de ce qui attendait Asakura Yoshitsugu. Il distinguait face à lui un bruit étrange, dangereux, inédit. Un crissement extraordinaire. Un hurlement aigu continu de l'air, qui s'affolait en présence de quelque énergie. C'était l'aura électrique de son nouvel agresseur qui fonçait sur lui, lame braquée sur son bras et sa tête. A cet instant, l'intuition du samurai dépassait la simple expérience de son passé de sabreur. Il fallait là y deviner davantage l'instinct d'un prédateur apeuré par quelque nouveauté.

Dès lors que la silhouette surnaturelle de son adversaire s'approcha dangereusement de lui, Yoshitsugu savait ce qui lui restait à faire. Sa main cadavérique enserra avec toute la poigne qui lui restait la poignée de son katana. Incapable de se donner du courage au moyen de quelque exclamation à l'encontre de son ennemi, il grogna de son mieux alors que le sang l'étouffait. Et s'élança par la suite dans un enchainement de frappes précises qui confronta l'assaut du samurai des temps modernes. Ce qui attendait l'apôtre de la déliquescence dépassait tout ce qu'il imaginait jusqu'à présent. Face à lui se présentait un homme recouvert d'une armure de la même étoffe que les entrailles des orages les plus féroces. Et la vélocité déployée par son adversaire le fit douter à chacune de ses frappes. Au sommet de la colline se jouait une joute incroyable entre les deux escrimeurs. Un choc des générations, qui traduisait pourtant la continuité d'un art séculaire : le kenjutsu. L'hostilité caustique de l'éclair se confrontait à la tranquille fermeté de la terre. Une tempête d'acier se dessinait tout autour d'eux, invitant quiconque à s'éloigner sous peine de subir un triste sort. L'Esprit de la Maladie repoussait de son mieux les tentatives de son opposant. Mais force était de constater que la vitesse dont il fit preuve dépassait de loin sa capacité à absorber les coups. Si l'armure octroya un bref répit à l'Esprit de la Maladie en le prémunisant d'un second démembrement, la force de sa lame vagabonda autour de lui permit de trancher le fil qui le menaçait. Mais rapidement, cette même égide de pierre fut mise à mal par l'agressivité de son opposant.

Malgré la maestria de l'héritier présumé du domaine Asakura, de nombreuses frappes de son opposant trouvèrent non pas sa lame, mais son corps. Son armure fut érodée par le poids de l'acier. L'Esprit de la Maladie fut bien assez vite délestée de sa protection terrestre, avant d'être mise à nu par le Courroux du Kogami. Progressivement, son corps fut couvert d'entailles profondes, parfois transpercé par la pointe du katana. L'aura surnaturelle qui entourait l'agresseur foudroya par endroits le guerrier d'outre-tombe. Sa chair en putréfaction fut grillée, dégageant une odeur insupportable. Avec pour seule alliée la chape de poison qui l'entourait comme la cape d'un suzerain dément, l'Esprit de la Maladie confronta son homologue samurai. Incapable de rétorquer la déclaration ambitieuse de son vis-à-vis, Yoshitsugu se contenta de répondre par la lame, en bon samurai.

Si l'assaut du Kogami s'interrompit finalement, ce fut au prix de lourdes conséquences pour le Porte-Peste. Du dos de la lame, il repoussa devant lui le guerrier, et alors que son enchainement allait toucher à son terme, il fut confronté à une stalagmite géant qui fusa sur lui. La vitesse du projectile de pierre n'avait rien à voir avec la célérité de son opposant, aussi fût-elle réduite en morceaux à l'approche de l'Esprit de la Maladie. Les gravats qui en résultèrent constituèrent néanmoins une séance de lapidation improvisée pour le créateur du pic de pierre. L'épaule dépourvue de bras du guerrier fut brisée sous la pierre, tout comme son abdomen.

La nuée d'acier s'interrompit, et vous pouviez constater l'étendue des dégâts infligés sur l'Esprit de la Maladie. Outre sa gorge ensanglantée qui continuait de le priver de l'usage de la parole ainsi que de certaines de ses arcanes, son corps n'était plus qu'un ensemble de haillons de chair en putréfaction, teintée d'un sang vicié. Ses jambes étaient en lambeaux. Si bien que l'amas de chair qui constituaient les dits membres s'effondrèrent dans une coulée de chair et de sang répugnante. Son visage, lui, était méconnaissable. Ses deux yeux furent arrachés par la tempête de fer, alors que le masque qui ornait sa bouche fut réduit en morceaux, laissant place à un gouffre vers l'horreur. A vrai dire, son faciès n'était plus que le support de la fureur de son ennemi. L'expression même d'une vengeance creusée dans la chair par l'épée. Son bras lui aussi accusait le coup. L'unique membre supérieur du guerrier tenait à peine sur l'épaule. Pire encore, une triste scène se jouait à la lueur de son épée. La confrontation avec l'Hérault de l'Oriflamme fut si intense, si violente, que le fer de son arme s'ébréchait. De multiples failles se dessinaient sur l'héritage de son père, et menaçaient de rompre à tout instant. À défaut d'admirer de ses propres yeux, il apprécia une dernière fois l'œuvre de son poison faire son office en tendant l'oreille. Le poison dévorait le bras de son agresseur, et s'étendait à présent vers le torse. L'enveloppe brumeuse qui entourait Yoshitsugu dévora aussi les chairs du samurai du Teikoku. Ainsi diminué, il rejoignit bien assez tôt son opposant au sol, soulevant dans son sillage un léger nuage de poussières verdâtres. Quant à son acolyte, venue en renfort, elle s'effondra à son tour. Le Don de l'Esprit de la Maladie libérait ses organes de leur cage thoracique, avant de les ronger définitivement.

Pour le reste, il était temps de périr. Alors une nouvelle fois l'Esprit de la Maladie leva péniblement sa lame vers le ciel. Un poison verdâtre suinta de la pointe de son katana tremblotant, afin qu'elle s'agglomère au ciel en une masse informe pareille à celle qui recouvrait la majeure partie de la bourgade forestière. La plupart d'entre vous connaissaient déjà le sort qui vous attendait. Certains en payaient lourdement le prix. Mais l'averse répandant le Mal Vert ne vint jamais. Asakura Yoshitsugu lorgna tristement sur son arme. Dans l'espoir de délivrer une ultime punition à l'encontre des envahisseurs, son arme se décomposa en éclats aciéreux, sonnant la fin d'un héritage séculaire. Il sentit sa poigne vacillante se desserrer sur les fragments de son trésor familial, alors que son bras s'effondra à son tour au sol en morceaux. Il demeura étendu à terre au sommet de la colline, estropié, éborgné par deux fois, en lambeaux, désarmé. Auparavant despote impitoyable de Takenosato sous l'égide de sa Brume, il gisait maintenant dans son propre sang, fruit corrompu de décennies d'empoisonnement et de mithridatisation traversant les éons.

Il était prêt à accepter le sort que lui réservait la Providence. Mais toujours empli d'une profonde haine à votre égard. Une hargne si terrible qu'elle semblait échapper aux affres du temps et de la décrépitude. Peut-être était-ce la fin pour lui. Mais son œuvre, elle, demeurait intemporelle. Tout autour de lui, la brume de jade avait touché les cœurs des enfants de ses sujets d'antan. Son esprit serait immortel jusque dans leurs entrailles. Dans un sourire sinistre, il leva lourdement la tête. En dépit de son visage énucléé, le samurai observa la fausse lune qui se dessinait parmi les nuages de poison. Son corps commença à se décomposer doucement. Si son souffle ne transmettait plus le Don, alors son être entier, ou ce qu'il en restait, serait le réceptacle de quelque chose de plus grandiose encore. Le catalyseur d'un ultime Don pour l'Humanité. Depuis les innombrables failles qui déchiraient son corps, un essaim de jade s'évaporait, par l'air ou le sang.

Pour tous ceux présents au sein de Takenosato, et peut-être même au-delà, vous pouviez sentir une énergie colossale se déployer. Quelque chose qui dépassait tout ce que vous aviez pu ressentir aujourd'hui. Pour quelques rares privilégiés, l'espace d'un instant, fugace, mais vif, vous pouviez ressentir la même pression qu'en confrontant un des démons à queue. L'ultime souffle du monstre qui se reposait au sommet de la bourgade sinistrée. Un avertissement viscéral qui vous invitait à prendre une décision difficile : fuir, ou sacrifier les vôtres pour enfin terrasser… la Calamité.

Vous pouvez tenter de combiner les deux options. Toutefois, si vous ne vous donnez pas les moyen nécessaires à leur réalisation conjointes, elles pourront ne pas être un franc succès. Ce tour sera décisif et vos actions détermineront l'issue de la Calamité ainsi que ses conséquences sur vos personnages.

Porter le coup fatal au Samouraï en restant à distance pour mettre fin aux dégâts de la Calamité de la Peste en abandonnant vos troupes


Vous abandonnerez Kogami Akira à son sort et serez dans l'impossibilité de récupérer le cadavre de Shinrin Akemi au pied de l'Esprit de la Maladie.
Vous réussirez à sauver partiellement les ruines de l'ancienne Capitale, Shîto, qui resteront praticables mais extrêmement difficiles d'accès. Elles deviendront une zone continuellement entourée de poison et de venin irrespirable, ouvrant la porte à de nouvelles possibilités de missions de récupération et d'exfiltration de l'héritage et des biens qu'elle aurait pu (ou non) garder précieusement en son sein.

Rapatrier l'ensemble des troupes saines et sauves à Urahi pour le bien de l'Empire en laissant l'Esprit de la Maladie de tout emporter avec lui


Vous sauverez la vie du Capitaine de l'Unité Coloniale, serez en possibilité de récupérer le cadavre de Shinrin Akemi pour empêcher sa possible récupération par l'Homme au Chapeau pour la Grande Guerre à venir et assurer le rapatriement sains et saufs de l'ensemble des participants ayant dû s'amputer dans des conditions déplorables (Shinrin Hanzo, Chinoike Katsuko).
En contrepartie, vous n'empêcherez pas l'Esprit de la Maladie de répandre son poison dans sa mort et condamnerez définitivement les ruines de Shîto, symbole de l'Empire, ainsi que l'héritage du Feu qu'elle portait pour les habitants de Hi.


Spoiler:
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Kogami Akira
Kogami Akira

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Sam 31 Juil 2021 - 20:45
Aux portes de la mort
げきりん

L’assaut était donné. Dans une ultime tentative d’en finir avec la menace, le valeureux avait rassemblé toutes ses forces pour résultat en une combinaison des plus létales, supposément parfaite. Le résultat d’années d’entraînement et de perfectionnement de son art, qu’il déversa ici avec haine sur l’esprit de la pestilence. Un véritable courroux, implacable… mais si beau.

A la grande surprise du capitaine, colère et haine se mêlèrent à la passion lorsque le samouraï mit enfin son escrime en exergue. Loin d’être suffisante pour s’abriter du courroux d’Akira, le mort offrit toutefois un duel digne de ce nom au samouraï du feu tout en lui confirmant que, bien qu’insuffisant, son assaut n’avait pas été vain. Qu’il périsse ici ou non, l’assaut du valeureux fut un succès. Un succès lourd de sens venant ravir l’Hijin au plus profond de son être partiellement consumé par la décrépitude.

“ Hah… “

Ainsi, une fois son adversaire quasiment réduit en lambeaux, le capitaine put sentir la vie quitter son bras droit et le mal se propager à son torse. Etait-ce ainsi la fin ? Tant de choses restaient pourtant à faire. Venger l’âme de ses camarades, terrasser le traître Rei, fonder une famille… sans avoir la force de se retourner pour s’en assurer, le Kogami espérait que sa fiancée soit trop loin pour assister à sa chute. Ce genre d’images marquent à vie, Akira ne le savait que trop bien.

“ … “

Sentant ses forces le quitter, un sourire vint pourtant fendre le visage terne du Kogami.

“ J’ai vu la peur dans tes yeux… samouraï. “

Dans un dernier souffle de conscience, le corps du capitaine vint heurter lourdement le sol. Si sa vue s’avérait déjà trop trouble pour distinguer quoi que ce soit, son ouïe, elle, ne le trahissait pas. Ses camarades n’étaient pas en meilleur état que lui. Sans doute en était-il fini d’eux… et de ce satané démon aussi. Aurait-il pu espérer mieux ?

“ Comme si un mort allait dicter sa loi aux vivants ! “

Rugit soudainement le jaguar, qui se précipita de toute sa stature en direction de la zone des affrontements. Ouvrant grand la gueule, c’est en tentant de récupérer son maître et le maximum de combattants incapacités qu’il marqua son dernier coup d’éclat, invitant ceux le pouvant encore à se saisir de son pelage au passage. Ce revenant ne pouvait pas gagner, il le fallait.

Résumé
Chakra: 2S 2A 2B
Santé: K.O, bras droit manquant (ne pas s'amputer était volontaire) et torse progressivement rongé.

Résumé:
Akira tombe dans les pommes. Son Kuchiyose s'élance vers lui et rugit vers le samouraï pour le déstabiliser et amorcer la contre attaque de ses alliés. Il tente alors de récup Akira dans sa gueule (gardons les proportions de l'animal en tête) ainsi que le corps d'Akemi (par le pied seulement, pas question qu'elle entre en contact physique avec Akira) et effectue une esquive pour s'éloigner rapidement du samouraï. Il s'occupe ensuite de récupérer les autres plus loin (Hanzo, Katsuko en priorité) en invitant ceux encore conscients à se hisser ou s'accrocher à son pelage pour fuir le plus loin possible.



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Chinoike Katsuko
Chinoike Katsuko

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Sam 31 Juil 2021 - 22:51
La créature... Elle semblait vaincue, défaite par les attaques terribles qu'elle venait de subir. Mais... Mais pour autant, ça n'était pas tout à fait la fin. Une énergie énorme semblait s'amasser autour du corps de la créature alors que le kuchiyose d'Akira s'élançait vers son camarade et Akemi qui s'était effondrée au sol juste après avoir atteint leur adversaire. Impossible de dire ce qu'il lui était arrivé d'ici. Les griffes plantées dans sa jambe amputée, la jeune femme tentait d'y injecter du chakra Rinton pour essayer de la préparer à une meilleure préservation.

À côté d'elle, Katsuko remarqua Kenpachi. La douleur était affreuse, elle sentait encore sa jambe, les pulsasions du sang qui s'y déplaçait. Et pourtant... Pourtant elle n'était plus rattachée à son corps. Si la jeune femme n'avait pas connu tant d'années de tortures atroces, fait direct de son chien de père, elle aurait perdu connaissance. Pour une fois, elle aurait presque envie de le remercier. Mais non, ce n'était pas fini. S'agitant ainsi faiblement, elle enchaîna les mudras, essayant d'absorber sa jambe avant qu'elle ne se vide du sang qu'elle contenait et que le poison ne continue de s'y propager pour la détruire, aidée de sa tentative avec ses griffes obtenues auprès du Collectif. La sceller sur son corps pour l'empêcher de pourrir plus longtemps. Elle trouverait une solution pour la rattacher. Un médecin suffisamment expert, qu'importe. Elle fouillerait le Yuukan et plus encore s'il le fallait. Mais elle retrouverait sa véritable jambe. Plus tard. Pour l'instant, une dernière étape lui restait à faire. Sa vision était assez troublée par la douleur, mais elle tenait encore le coup.

Elle gérait sa respiration de son mieux, rassemblait ses forces. Elle s'adressa au jeune soldat à ses côtés dont la jambe était en piteux état.

« Je vais... faire s'effondrer le samouraï et le temple dans une crevasse... Dès qu'ils se seront écartés tous... Donne moi le signal... Et embarque moi loin de là... »

Patientant ainsi quelques instants jusqu'à ce qu'enfin Kenpachi lui déclare qu'Akemi, Akira, Yenno et Hanzo soient à leur niveau, uniquement concentrée sur son objectif, Katsuko enchaîna de nombreux mudras depuis sa place non loin du pied des escaliers du temple.

« REJOINS LES TIENS, YOSHITSUGU ! TU AS BRAVEMENT COMBATTU ! REPOSE EN PAIX ! »

Alors qu'elle hurlait de toutes les forces qui lui restaient, la jeune femme développa une immense crevasse qui partit de ses pieds et qu'elle maîtrisa pour la limiter au temple uniquement, qu'elle n'atteigne pas la ville. Les débris commencèrent alors à s'effondrer dans le vide, emportant le corps sans vie en train de gagner en puissance étrangement, des morceaux de roc ayant été autrefois ce magnifique temple ici sacrifié pour tenter de sauvegarder le reste de la cité de ce qu'avait l'air de vouloir libérer le cadavre.

Observant le gouffre emmener avec lui le temple et le corps du samouraï, la jeune femme fut soudain parcourue d'un sursaut de douleur qui lui arracha un hurlement de douleur et la fit sombrer dans l'inconscience plus brutalement qu'elle s'y attendait avec l'épuisement quasi total de son chakra, ne restant plus que pour tenir ses fonctions vitales. Un peu plus loin sur le côté, son clone avait finit de rendre l'âme, restant sur le sol, pourri de toutes parts par la terrible averse. Ce fut bien le retour d'informations de ce dernier qui revint dans l'esprit de l'informatrice et la traversa, lui faisant vivre toute l'horreur qu'elle s'était évitée en se coupant la jambe d'un seul instant.

Sur le dos, inconsciente, elle espérait désormais uniquement que Kenpachi l'emporte, qu'importe sa manière, sa vie était entre ses mains désormais.

HRP:
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Soejima Yenno
Soejima Yenno

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Dim 1 Aoû 2021 - 13:24
Aux portes de la Peste
feat. l'équipe calamité n°1

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Plutôt que de s’immiscer proche d'une rage ensanglantée au cours de laquelle son âme aurait surement trépassé en un craquement d'os, son poids resta en contrebas, après avoir réussi à maîtriser, de concert avec ses co-équipiers, le paysan frénétique. Observatrice, concentrée. Bien qu'occupée à tenter de tenir éloigné d'elle et du freluquet, toutes menaces externes, la brune, accrochant son cœur de toutes ses forces à ses membranes vivantes, suffoquait à chaque envolée d'un membre de sa troupe enflammée. Son regard tournoyait rapidement sur le plateau paysager à son niveau, regorgeant de vies qui, depuis ses pupilles dilatées, semblaient précieuses puisqu'il s'agissait de frères et sœurs du feu, bien que possédés. Il oscillait également très régulièrement en direction du spectacle putride du mort-vivant, tout aussi déchaîné que son équipe à arriver à ses fins nauséabondes. L'encapuchonné volant semblait ne pas vouloir lâcher de leste quant à leur triomphe, bien remonté à l'idée d'en venir à bout. Si bien qu’après une affluence de puissance venant de toutes parts, de chaque membre de la troupe ainsi que du ciel lui même, un premier membre fût sacrifié, suivi d'un autre et puis... La chair de ses compères partait en lambeaux. La kunoichi ne senti rapidement plus son pouls dans sa cage-thoracique, trop enivrée par le désespoir pour respirer convenablement. Le sort semblait se sceller sous les coups de la colère funeste de l’électricité des nuages. L'étrangère, battante et prête à se donner pour protéger les Teikokujins autour d'elle offrait une larme chaude à Yenno, rapidement absorbée par le tissu qui couvrait le bas du visage de la soldate. L'empereur déployant une grâce divine pour les siens, accompagné par la Shinrin sanguinaire et puis le soldat de la coloniale, assumant tous un rôle nécessaire. Son futur mari également, le valeureux, qui tentait lui aussi de sortir ses plus grand atouts de maître dans un combat captivant de grandeur, se voyait ronger par cette acidité qui faisait bouillir sa bile, de plus en plus fort, de loin. Tous, tous étaient de vaillants personnages prêt à donner leurs âmes pour sauver Shito... S'il était suicidaire de tenter quoi que ce soit d'offensif de son côté, il devenait difficile pour l'oiselle de contenir la furie azimutée au creux de son estomac, immobile jusqu'à lors face au désastre se dessinant au sommet.

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Une œillade maintenant trempée en direction du compagnon géant du Kogami, encore tout prêt de la Soejima. Difficile de savoir si la chute contre ce sol rongé et poussiéreux de toxine de son fiancé serait la dernière de son existence. Yenno voyait ses partenaires, pourtant tous tassés d’expériences et de puissance combative, soufflés par la véracité de ce monstre qui lui aussi, touchait du doigt les méandres de la fin. Il ne restait qu'elle, intacte, au loin des affres sanguinaires et des gouttes rongeuses de d'humanité et puis ce fidèle jaguar gigantesque qui surveillait de près chacune de ses nuitées depuis plusieurs mois maintenant. Tous deux poussés par la même motivation, les iris d'un rouge vif en direction du félin toujours, elle en pu s’empêcher de lui demander d'un ton stimulé par une puissante sincérité, bien qu'elle connaissait très bien le caractère impétueux et solitaire du matou, elle savait qu'il ne lâcherai pas son maître.

« Toriyama, va le sauver je t'en pris... »

Le voyant prendre chemin à toute vitesse en direction du capitaine, confiante, l'oiselle fût prise de son élan le plus soudain, dans une course effrénée elle aussi, après avoir lancé ses mudras d'invisibilité, souhaitant rester le plus discrète possible dans sa lancée. Voyant les actes de l'étrangère demeurer jusqu'au bout de son souffle conscient, elle ne pouvait plus rester de marbre dorénavant. La menace était probablement encore présente bien que l'esprit soit gravement atteint mais il était dans son devoir de tenter de sauver son équipage, ou au moins, le plus important pour la survie de son pays, l'empereur de sa flamme la plus précieuse. Puisque l'invocation féline s'occupait de rapatrier le corps de son valeureux. Esquivant alors les morceaux de ruines alentours pour atteindre l'inestimable corps de son supérieur le plus haut dans sa hiérarchie, la brune expirait avec une haute concentration afin de rassembler toutes les forces dont elle était capable de faire surgir la puissance de ses entraînements. Ses muscles dessinaient sous son uniforme, la trace de sa détermination à vouloir sortir de là, le plus indemne possible, auprès de ses confrères.

« Hanzo... » Dit-elle, hébétée quelques secondes, en reprenant son apparence tangible. « Abandonne ce qui ne te semble pas précieux et qui pourrait nous ralentir par un poids trop grand. » Reprit-elle rapidement, en s'approchant des fronces que les sourcils de son interlocuteur dessinait au dessus d'un regard lourd de sens.

Attrapant les épaules du marionnettiste, une grande chance qu'elle eut à ce moment de n'avoir perdue pratiquement aucune de ses forces pendant ce combat acharnée, simple spectatrice. Elle y songea en hissant le gaillard contre elle, bien que l’impulsion de toute l'adrénaline du moment l'aide grandement à porter le poids du blondin, elle aurait surement eu plus de mal à traîner le poids du valeureux, même avec la plus grande des volonté. Une fois bien accroché contre son corps, la Teikokujin fît comprendre à son empereur de se tenir le plus fermement possible quitte à arracher quelques morceaux de tissus qui traîneraient sous ses paumes.

« On s'en va. »

Reprenant sa course dans l'autre sens, traînant alors l'homme de toute son énergie, le plus rapidement possible, le plus loin possible de cette pestilence. L'attraction de son euphorie effaçant pour l'heure, la quelconque difficulté à tracter le Shinrin, trop nécessaire pour la suite des événements de la flamme.



© Laueee


hrp:
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Bakuhatsu Kenpachi
Bakuhatsu Kenpachi

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Dim 1 Aoû 2021 - 15:42


L’empire poussait de toutes ses forces pour mettre un terme a son existence, mais pourtant l’abomination ne lâchait rien et comptait profiter jusqu’à la dernière seconde de sa nouvelle vie.

Malgré l’assaut surpuissant du plus grand bretteur du feu poussé au paroxysme de son art et la tentative assez opportuniste du Bakuhatsu, l’esprit de la maladie ne comptait pas rendre son dernier souffle tout de suite, malgré son corps totalement réduit en lambeau, cette fois c’est toute son être qui s’éveillait dans un sursaut d’orgueil pour venir tenter de marquer les ruines de shito des traces du passage du passage mort vivant.

Le temps était donc désormais compté pour le bataillon d’éradication, il leur fallait se replier au plus vite, et les nombreux blessés graves ne rendaient pas la tâche plus simple. L’imposant Kuchiyose du capitaine de l’unité coloniale s’attelait à la tâche, allant ramasser son maitre tandis que la manipulatrice d’Hikariton se retrouvait elle comme par enchantement aux cotés de l’empereur.

Katsuko toujours aux cotés de Kenpachi et désormais amputé d’une jambe annonçait son intention d’envoyer la calamité milles pieds sous terre d’où son baroud d’honneur serait potentiellement contenu, mais avant il fallait que les éléments de l’armée du feu la voie.

Restant encore à peine consciente, focalisé sur l’atroce souffrances que lui faisait subir sa jambe en moins, la Chinoike n’attendait que le signal du Bakuhatsu pour donner son baroud d’honneur, ce qui ne tarda pas arriver lorsque l’unité d’exfiltration improvisé avait enfin libéré le sillage pour tout faire s’effondrer.

- Tiens le coup, tu peux y aller.

Annonça l’écarlate posant sa main sur l’épaule de la manipulatrice doton, qui s’exécutait ensuite pour ouvrir une énorme crevasse béante sous les pieds du samouraï, l’engloutissant dans la profondeur de ses entrailles. Le soldat rattrapa alors la jeune femme qui s’effondrait dans d’atroces souffrances.

- Par contre son âme ne trouvera jamais la paix.

Rajouta le jeune homme, lui qui ne pardonnerait jamais au porte peste même dans la mort. Le bakuhatsu exécuta un mudra faisant apparaitre a ses cotés deux copies de sa personne, les deux clones tapaient alors du poing sur ses épaules en signe de leur abnégation, ils savaient ce qu’ils avaient à faire.

D’une démarche bancal, les deux clones se rapprochaient du gouffre, leur regard écarlate luisant de leur rouge le plus vif, le porte peste était certainement capable dans sa chute de les apercevoir tout la haut le maudissant du regard, mais que pouvaient bien être ses dernières pensées, lorsqu’ils constatait que même dans la mort, alors qu’il s’apprêtait a rendre son dernier souffle, il subsistait un homme qui continuait a le traquer, et si cela était seulement possible, il continuerait même dans l’au-delà.

Alors que Yoshitsugu croyaient en sa fin paisible, Les clones du Bakuhatsu sautaient dans le gouffre a sa poursuite, tandis que de l’autre côté, tenant la Chinoike inconsciente, le Bakuhatsu se débrouillait pour s’accrocher, au Kuchyose qui menait le repli, il pouvait d’ailleurs apercevoir Kakuzo dans la foulé.

- Casse-toi de la tête d’artichaut.

Adressa t’il a l’Aburame sans le crier pour autant. Tandis que l’autre coté en plein cœur du gouffre, dans leur chute sans se rapprocher du porte peste du fait de ses propriétés, les clones du Bakuhatsu posaient la main de chaque côté des parois de la crevasse, avant de déclencher simultanément chacun une énorme explosion avec l’intention de faire s’effondrer les parois et refermer le trou, ensevelissant définitivement Yoshitgu, bonne chance pour lui redonner une troisième vie.

Les clones du Bakuhatsu accompagnant le porte peste jusqu’à sa dernière demeure, ce dernier aurait le privilège de vivre jusqu’au dernier moment l’agonie du porte peste.

Le bataillon d’éradication pouvait alors simplement constater dans leur dos alors qu’ils se repliaient, de nouvelles explosions. Remontant jusqu’au dos de Toriyama, l’écarlate pouvait désormais s’amputer à l’aide d’un kunai de son pied, avant que la gangrène ne le mette dans le même état que ses camarades.

- gros naze.

Susurra Kenpachi alors qu’il s’assoupissait repensant a son frère désormais vengé qui avait pris sur lui d’affronter tout seul une créature pareil.


Recap:
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Shinrin Hanzo
Shinrin Hanzo

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Lun 2 Aoû 2021 - 16:09
[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 NUAGE
:copyright:Yenno



Vision mortifère, sens troublés, mine aggravée, c'était comme si le monde de l'Empereur semblait se terminer. Naguère n'eut-il subi affront si insolent. Arrogant il était devenu en ces capacités et en la confiance qu'il accordait à ses soldats, à tel point qu'il en vint à sous-estimer un poison aussi affligeant qu'imparable, aussi mortel que punitif. Lui, tête d'un Empire, voué à se désolidariser de son propre membre face aux arcanes d'un revenant. Et si son esprit demeurait vindicatif, son corps lui avait rendu toutes ces forces, baignant progressivement le jeune Shinrin dans un sommeil qu'il combattait avec ardeur mais qui finirait tout de même par vaincre.

Et comme derniers égards de sa conscience, c'est la sensation bras et la voix de la Soejima invisible qu'il perçut. Elle, hardie malgré le cataclysme, qui s'en était rendu à sauver son ami d'un possible trépas.
[Calamité] Aux Portes de la Peste - Page 2 Blessz20

"Yenno…"
Nuls mots ne pouvaient s'extraire de cette bouche au souffle coupée. Seule cette vue au loin d'une légion imparable se donnant cœur et âme à la tâche venait inquiéter son esprit, avant que dans un dernier éclat avant le repos il crut apercevoir la carcasse sans vie d'une guerrière-cousine qui s'en était allé. Et puis, plus rien…


Mais impétueuse comme jamais sa pie demeurait sur le champ de bataille. Se dérobant de l'habit de son maître où elle avait trouvé protection, c'est avant toute vers la soldate d'ébène que ses croassements s'en allaient :
"FUYEZ ! FUYEZ ! L'HEURE EST LA DEROUTE ! FUYEZ ! FUYEZ !"
Puis, comme épris d'une colère inhabituelle à son caractère de boursicoteuse, elle donnait son attention vers ce qu'il restait du guerrier revenant qui subissait les dernières plaidoiries d'un Empire à bout de souffle.

Alors à pleine voix, égayant son plumage vers les cieux comme symbole de gloire, elle piaillait à gorge déployée sa hargne sous la forme d'une bouffonnerie qui s'apprêtait agréablement à l'occasion :
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"MORT ! MORT ! CE TOMBEAU SERA VOTRE TOMBEAU ! MORT ! MORT !"
Jacassant alors ses derniers babillements, elle s'en allait alors à quelques flopées d'ailes, joignant la course de la femme invisible et de son compagnon voleur tout en tentant d'agripper de ces petites pattes l'automate de métal qu'elle traînait péniblement à y crisser le sol. De sang et de mort se terminerait ce conte, pourvu que le sang des innocents demeure.

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Résumé
État de chakra :  [1 S / 6 A / 2 B / 0 C / 0 D] (Kuchi = 1C)
État de santé :    KO / Amputé d'une jambe (Garrot)
État mental :      KO

Résumé :
1) Hanzo est KO, il se laisse porter par Yenno
2) Sa pie sort de son habit, jacasse un peu avant de prendre la poudre d'escampette en tentant de traîner le robot

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Koori Kakuzo
Koori Kakuzo

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Mer 4 Aoû 2021 - 1:22
Après avoir frappé sa cible kakuzo avait naturellement sauté de la monture d’où il était perché depuis le début. Voyant que l’invocation et son chef partaient vers le danger. Le jeune Aburame était peut-être un chercheur d’embrouille, un insolant, un tombeur de ces dames et surement le plus beau gosse de tout le village. Mais il n’était pas fou. Il connaissait ses compétences au combat et vu le gros morceau qu’était leur ennemie celui-ci n’allait pas risquer sa vie pour rien.

Quand il atterrit sur le sol le jeune Aburame voulu prendre une pose de vainqueur mais il glissa et tombât au sol ce qui l’étourdit un moment. Il était beau le jeune Soldat du tekoku. Kakuzo reprit ses esprits quelques minutes après. La tête dans la boue il cracha un mélange de salive, de terre et de sang. L’Aburame se leva tout en se frottant la tête.

-Aie aie aie. C'est malin. Moi qui pensais être le sauveur du monde. Me voilà la tête dans la boue.

Kakuzo tente se regardait autour de lui pour comprendre un peu la situation. Il était seul, un peu en retrait des villageois et il ne voyait pas du tout les autres membres de l’expédition. Il entendait seulement les bruits du combat. Celui-ci n’eut pas par le temps de s'approcher pour bien voir. En effet au même moment où il se leva il vit l’invocation de son chef partir de la zone avec toute l’escouade sur son dos. Kakuzo ne préféra pas rétorquait à kempatchi et s’exécuta aussi. En meilleur forme que les autres, l’Aburame préféra parti en courant dans la même direction que l’invocation. Et de toute façon il n'y avait plus trop de place.

-Et bien voyait l’état des autres. J'ai bien fait de tomber dans les pommes un petit moment moi. Comme quoi ils ne peuvent pas survivre sans moi. Dit-il tout en soupirant

Tout en suivant l’invocation, kakuzo sorti sa dernière cigarette de son paquet et se l’alluma. Un clope bien mérité pour un fainéant comme lui.

- Vivement qu'on finisse cette journée au bar moi je vous le dis
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Anciens Samouraïs
Anciens Samouraïs

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Ven 6 Aoû 2021 - 23:35
Au centre de la colline, ce n'était pas une simple carcasse qui s'étendait à même le sol. Non.
Au sommet des bambous, c'était le reflet de chair de toute une bourgade qui gisait sinistrement en son sein.

Décharné. Défiguré. Énucléé. Démembré. Éviscéré. Et pourtant… Asakura Yoshitsugu inspirait toujours la terreur. S'il rampait au sol comme une larve agonisante, son esprit lui bouillonnait dangereusement. Si bien que d'inquiétantes vapeurs vertes se propageaient depuis les nombreuses blessures du guerrier. Et ces fumeroles infernales colportaient avec elle une énergie intense et malsaine, dont le message se résumait à : les portes de la Peste s'ouvraient sur le Yuukan.

Il ne voyait plus le monde qui l'entourait. Mais entendait un calme sinistre planer sur les hauteurs de la bourgade entourée de bambouseraies. L'écho de ses fidèles récitant en cœur les psaumes du Mal se tarissait pianissimo. En lieu et place de ce chœur de soupirs, le chakra du Porte-Peste continuait inlassablement de s'intensifier. Ce dernier commençait à accepter le sort inévitable qui l'attendait. Mais il envisageait également l'empreinte qu'il laisserait lors de son second passage parmi les vivants. Et cette perspective lui arracha, malgré sa gorge, un sombre éclat de rire qui éclata jusqu'en contrebas de la colline. La Providence avait choisi pour lui : dorénavant, son œuvre ne dépendrait plus que de son propre Don.

De nombreuses tentacules éthérées jaillissaient de son enveloppe charnelle. Dans le même temps, les troupes de l'empire à la flamme se retiraient. Ébranlé par le rugissement d'un grand félin, l'Esprit de la Maladie demeura impassible. Bien qu'un large sursaut parcourût son échine, son corps immobile lui empêcha une quelconque réaction visible auprès des vivants. Il ne se doutait en aucun cas de la riposte qui l'attendait. Ni de ses agresseurs. Certains se repliaient, d'autres traînassaient face à lui, en dépit de leurs blessures. Seul importait pour l'Esprit de la Maladie la perspective de parvenir à accomplir son ultime dessein. Enfin, tout s'accéléra.


Le sol gronda sous lui. Le poison serpentait par hordes depuis son être, émergeait à partir de son sang souillé. Quelque chose d'infâme grandissait. Quelque chose d'indescriptible. La colline se fendit en deux sous l'impulsion de Chinoike Katsuko. Une plaie béante défigura le sommet sacré de Takenosato. La fosse dévora le pied de la colline, avant de remonter inexorablement en direction du temple. L'Esprit de la Maladie ignorait encore une fois ce qu'il se produisait. Une nébuleuse malfaisante prenait racine à la source de sa carcasse sanguinolente. Inquiétante, malfaisante, cette engeance d'outre-tombe continua de grandir, jusqu'à ce que la gravité extrait cette horreur de la vue des derniers survivants sur place. Là, en proie à l'apesanteur, Yoshitsugu devina quel sort lui fut réservé. Mais malgré l'inévitable, une autre certitude s'accomplissait, au point d'étendre le sourire déformé du guerrier des temps anciens. La nébuleuse céladon se mua en une galaxie informe de bras et de tentacules gazeux. Le poison abondait de son corps. Il était le Poison même. Le réceptacle de toute l'immondice de ce monde, accumulée des décennies durant, et maturée des siècles ensuite. Dans sa chute, l'Esprit de la Maladie était parvenu à sa dernière volonté : le Grand Don était libéré.

À cet instant, il était quelque chose que les deux clones mal en point de Kenpachi parvenaient à voir. A voir, oui, mais impossible à décrire. La masse protéiforme qui fut invoquée à partir de la chair de l'Esprit de la Maladie était une aberration de la nature. Aucun qualificatif ne suffisait à peindre ce tableau d'horreur, tant le Grand Don échappait aux lois de la nature. C'était un éclat incroyable, et l'ombre à la fois. La pénombre qui caractérisait le fond de l'entaille tellurique fut recouverte d'un amas de ténèbres supplémentaires, insondables même pour la plus avertie des pupilles. Pour les deux spectateurs en pleine descente dans la faille menant à la géhenne, la scène était insoutenable. L'expansion de ce chaos rampant échappait à toute géométrie conventionnelle. La roche même qui constituait le sommet de Takenosato se décomposait à grande allure. Le poison s'immisçait par quelque mécanisme surnaturel, et se fragmentait irrésistiblement. Le terme de poison même s'avérait à présent bien insuffisant pour qualifier la substance qui remontait vers la surface. La déliquescence semblait aller jusqu'à affecter l'air même. Et doucement, le Grand Don entamait son inéluctable ascension vers le ciel, afin de déferler sur le monde.

En un sens, vous aviez échoué à empêcher l'ultime action de l'Esprit de la Maladie.
Il était trop tard pour le chant du cygne noir de Takenosato.

L'Esprit de la Maladie avait accompli son souhait final. Il se laissa emporter dans les flots tumultueux de sa création toute-puissante. Sa bouche se referma dans un ricanement sardonique. Toute perception du peu qu'il subsistait de son être fut abandonnée. Le Grand Don submergerait le monde à sa place, et répandrait son idéologie. Celle d'apporter la justice par la toxine. De se venger des envahisseurs par le mal qu'ils tentèrent de lui inoculer. Ainsi, seuls les plus dignes survivraient dans le monde d'après d'Asakura Yoshitsugu.






Mais en réalité, que se passait-il ?

La Peste dans sa forme la plus aboutie menaçait les deux copies conformes de Bakuhatsu Kenpachi. Le geyser infernal remontait lentement mais inexorablement vers le sommet de la colline. Alors que l'Esprit de la Maladie s'octroya le plaisir de ne prêter guère attention aux sons qui l'entourait, sa sinistre quiétude fut soudainement troublée par un bruit assourdissant. Deux fulminations surgirent à l'orée de la faille. L'éclat de lumière qui perçait à travers les ténèbres. Pour Asakura Yoshitsugu, l'intervention des clones de Kenpachi scellèrent définitivement son entreprise perfide. Avant qu'il ne réalise ce qu'il se produisait, la colline sur laquelle il trônait auparavant en despote moribond s'effondra sur lui. La faille entière s'écroula dans un vacarme qui résonna par-delà la bambouseraie. Une véritable éruption qui mêlait gravats et abomination vaporeuse. Dans les entrailles de ce simulacre de volcan… l'Esprit de la Maladie réalisa que le centre de cette bourgade qui avait vu naître sa mère serait à présent son second tombeau.

Le Grand Don s'essouffla alors que son créateur gisait quelques lieues sous la terre. Les deux clones disparurent dans l'éboulement généré, au même titre que le temple, dont le coffret au contenu séculaire fut confiné parmi les roches et la vapeur qui montait au ciel. Nul doute que pour Kenpachi, artisan de la fin de l'Esprit de la Maladie, l'expérience visuelle vécue, puis rapportée par ses clones de l'ombre laisserait un certain traumatisme dans son âme. L'expérience du Grand Don aux premières loges, dépassant toute convention de la nature. Pour les derniers sur les lieux, vous pouviez observer quelques volutes de poison s'élever depuis le sommet de l'ancienne colline de Takenosato. Une fumerole inquiétante, certes, mais qui faiblissait pour se réduire à peau de chagrin. En définitive, le Grand Don n'était plus rien, sinon la trace fugace du combat féroce que vous aviez livré comme Asakura Yoshitsugu, l'Esprit de la Maladie.

Vous aviez dorénavant l'habitude des retournements de situation. Le samurai des temps anciens, par son caractère quasi-immortel, vous avait montré qu'il se joua à plusieurs reprises de la mort. De son temps, il avait échappé au poison, avant de succomber à la maladie. Aujourd'hui, il revenait en avatar de la pestilence. Et maintenant…

Dans votre fuite vers les alentours de Takenosato, vous sentez une puissance étrange resurgir. Un chakra qui vous est tristement familier. Mais rien de la décharge d'énergie côtoyant presque la force des dieux qui façonnèrent l'ère des shinobis. Un œil avisé tourné vers le cœur du village aux bambous pouvait visualiser un amas de gaz s'agglomérer en une silhouette spectrale. Elle quitta la cime de Takenosato pour vous rejoindre, sans que d'aucune manière vous ne puissiez interférer avec son arrivée. L'entité vaporeuse se détaillait à mesure qu'elle s'approcha de vous. Bientôt, vous deviniez dans ce nuage humain les traits… de l'Esprit de la Maladie.

« Le poison… De mon temps… j'ai vaincu toutes sortes de poison. Sous toutes ses formes. Dans bien des situations. Jusqu'à devenir le Poison. »

Mais force était de constater qu'en cette ère nouvelle, celle des ninjas, un nouveau poison éprouvait les cœurs. Le chakra.
… à moins que l'Homme n'ait toujours été qu'un poison pour l'Homme.

« Vous pensez m'avoir vaincu, moi, Asakura Yoshitsugu, héritier légitime de la province de Takenosato, mais… vous vous trompez. Tout comme j'ai goûté à l'immortalité, vous goûterez désormais… à mon Don. »

La voix caverneuse qui surgissait dans vos méandres appartenait bel et bien à Yoshitsugu. Son corps vaporeux se désagrégea progressivement en une masse informe de tentacules nuageux. Lesquels vinrent s'infiltrer dans vos narines et vos bouches. Certains purent être sujets à quelque quinte de toux, d'autres à une légère nausée, parfois une migraine. Vous vous sentiez, en plus de votre état actuel, comme affligés par quelque maladie. Et pour cause… alors qu'un dernier ricanement éclate dans vos pensées, vous sentez progressivement quelque chose changer profondément en vous. Une force nauséabonde, une ressource moribonde certes… mais dans la quête de l'Oriflamme de Jade, pourrait vous être utile.
« … et ainsi, je demeurerai immortel en vous. »
Vous quittez ainsi Takenosato, accueillis par vos semblables. Au loin, la Brume verte s'éteint, emportée par la pesanteur et quelque vent salvateur. Difficile de parler de victoire tant le bilan s'avérait terrible. Tout autour de ce qui se définissait davantage comme une caldera de jade, la foule de Takenosato n'était plus qu'un charnier à ciel ouvert. Quelques rares survivants subsistaient probablement parmi les carcasses en piteux état. Dans vos rangs, vous emportiez avec vous le corps nécrosé de Shinrin Akemi, dont le torse fut marqué à jamais par le baiser de la Peste céladon. Le majestueux jaguar charriait également de multiples amputés, parfois inconscients. Mais le plus préoccupant demeurait le cas de Kenpachi, dont la gangrène continuait de se propager en dépit de la perte de son pied. Et surtout d’Akira, dont la nécrose atteignait dangereusement son poumon droit. Si votre combat s’achevait ici, la lutte contre la mort ne s’arrêtait pas pour autant pour certains d’entre vous.

Ainsi se concluait la bataille de Takenosato… aux Portes de la Peste.

Spoiler:
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