Le jeune shinobi de la brume se rendais donc vers la dernière étape de son voyage au pays du vent, et non des moindres... La fameuse banque Sabaku, l'endroit où il aurait le plus de chance de revoir la belle Asaara aux cheveux blancs. Il lâche un profond soupire afin de chasser les diverses pensées négatives qu'il avait, et surtout, cachant dans son dos le bouquet de fleur qu'il avait. Classique ? Oui, sans aucun doute, mais il faut dire qu'il n'avait pas vraiment eût confiance en cette histoire de bouteille de lait. Non pas qu'il ne voulait pas faire confiance à la femme lui ayant donner ce conseil, mais plutôt qu'il ne faisait jamais confiance en de parfaits inconnus. Et puis il préfère quand même jouer la sûreté. Enfin bref. Ils 'avance et pénètre enfin dans la bâtiment, s'adressant à la femme de l’accueil.
- Heu.. Excusez moi ? Je viens ici pour voir Assara Fuu, qui travail ici. Dites lui que c'est Tatsuya qui la demande.
Il sourit calmement par la suite, attendant donc simplement la suite des choses maintenant. Enfin, il espérait surtout que sa venue ne dérangerait pas trop la jeune femme. D'un autre côté le courant semblait être plutôt bien passer entre eux, donc il ne s'inquiétait pas trop à ce sujet. Mais bon on est jamais à l’abri d'une mauvaise surprise, c'est donc pour mettre toutes les chances de son côté qu'il avait mis son katana sous sceller pour entrer, histoire de ne pas se faire refouler à l'entrée. De toute façon, ce n'est pas comme s'il allait en avoir besoin.... Peut-être. Enfin allez savoir, le monde est quelque chose de tellement imprévisible parfois. Ses yeux se ferment calmement, tendis qu'il sonde un peu son esprit, histoire de se vider la tête comme il faut, pour ne pas trop s'emballer devant elle. Il en venait d'ailleurs à se demander si elle porterait une tenue plus civile, Ou si au contraire elle serait plus en mode shinobi, comme lors de son combat contre elle à Kiri. Enfin, combat... Façon de parler, c'était plus un sparring en vérité. Mais ce n'est pas vraiment le point le plus important, mais plutôt ce qui en avait découler. Quelque chose qui avait rendu ce combat totalement rentable et ce à plus d'un titre.
Fuu était pratiquement tout le temps à la banque depuis un certains temps, il fallait après tout qu'elle reprenne cette histoire de filiale, il fallait trouver des volontaires kazejins qui sont près à faire le déplacement à Kiri pour y travailler en tant qu'employée de la filiale, mais il fallait aussi qu'elle prévoit le déplacement là-bas, après tout, il fallait que quelqu'un la gère cette filiale, et il fallait que ce soit un kazejin qui travaille pour la banque Sabaku et pas un kirijin, cela allait devoir dire retourner à Kiri pour s'en occuper. Cela la dérangeait à moitie, d'un côté, cela l'embêtait car elle était enfin de retour à Kaze après être partie à Kiri pour tenter de trouver un Yamanaka en vain, mais surtout, elle devait tenter de le dire à Kuuli qui, elle le sait, aimerait qu'elle reste à Kaze. Cependant, elle n'a pas le choix : elle est représentante de la banque Sabaku, et c'est son travail de devoir gérer un tel projet.
Enfin, Fuu avait finit son travail pour aujourd'hui, quelqu'un venait la voir, une employée qui lui disait qu'un certain "Tetsuya" voulait la voir. Elle se doutait qu'il s'agissait en vérité de l'Akiyama qui est venu la voir, après tout, il lui avait promis ceci lorsqu'elle était encore à Kiri, lorsqu'ils se sont endormis ensemble. Elle se demandait combien de temps il allait attendre pour la voir ... à vrai dire, elle avait un peu changé physiquement ... pas des masses, bien sûr : mais la puberté faisait petit à petit son effet. Elle n'a pas beaucoup grandi cependant, elle est toujours aussi petite, mais paraissait moins l'air d'une petite fille, plus ... d'une petite adolescente en vérité. Ses cheveux avaient aussi poussés depuis le temps, bien plus qu'elle, d'au carré, ils sont devenus plus long, bien plus long, il faut dire qu'elle n'avait pas vraiment le temps d'aller chez le coiffeur, même si c'est surtout par envie, se rappelant d'une jeune femme félin aux cheveux si long qu'elle voulait avoir les mêmes à l'époque, mais que ces parents refusaient.
Elle finit par sortir, elle avait sa cape de représentante sur elle, était habillée de la même façon que d'habitude, bien qu'elle commençait à se sentir à l'étroit dans ces habits. Fuu chercha du regard le jeune Tatsuya qui l'attend, puis, finit par le trouver, venant à sa rencontre.
- Bonjour Tatsuya, cela faisait longtemps.
Elle sourit, puis vient se mettre à pied joint pour lui faire un baiser sur la joue, afin d'éviter de l'empêcher de parler.
Il sourit en la regardant, voyant ce baiser comme un feu vert, il se pencha et l'embrassa doucement sur les lèvres, lui faisant un petit clin d'œil dans la foulée. S'il allait bien ? Oh que oui, il était même aux anges maintenant. Comme elle le soulignait, ça faisait longtemps... Trop longtemps même. Il caressa tendrement la chevelure cendrée de sa belle en l'enlaçant un peu.
- Une éternité si on me demande mon avis. Oh, j'ai quelque chose pour toi.
Il lui tendit alors le bouquet de fleur, se grattant un peu derrière la nuque de son autre main. Il n'avait aucune idée de quoi lui prendre en cadeau, et la suggestion du lait n'était pas vraiment à son goût, il soupçonnait vraiment beaucoup que tout ceci n'était qu'une blague de la part de la femme qu'il avait rencontré plus tôt. Enfin, peu importe.
- Je ne pourrais hélas pas rester longtemps.. J'ai eût quelques.. Mauvaises nouvelles.. Je devrais donc rentrer à Mizu d'ici un ou deux jours, tout au plus. Je compte aussi me proposer à mon retour pour être l'agent de liaison entre Kiri et la banque, en espérant pouvoir travailler avec toi. D'ailleurs, ma proposition de venir vivre chez moi est toujours d'actualité.
Il tire légèrement la langue en souriant, s'adossant tranquillement au mur en voyant que la belle n'avait pas vraiment grand chose à faire d'être vu avec lui, ce qui dans le fond l'arrangeait vraiment, il n'avait pas vraiment envie de se cacher. Il la regarde tendrement en souriant, puis rougit légèrement.
- Donc.. Heu.. Si tu m'accordais cette nuit, j'ai envie de profiter d'un maximum du temps qu'il me reste à Kaze en ta compagnie. Enfin, sauf si tu as plus important à faire bine sûr, je comprendrais si c'est le cas.
Enfin, il disait ça, mais dans le fond c'était plutôt le contraire. Il ne lui en voudrait pas, ça c'est vrai, en revanche il serait assez triste de savoir qu'il n'est pas important pour elle, même si il sait bien que son travail est important. Il la regarde alors, caressant tendrement sa joue droite avec un sourire.
- Ah, et je compte en profiter pour combattre le Mizukage au passage. J'ai envie de me battre contre lui depuis quelque temps déjà, mais bon, si j'arrive à avoir une audience, autant que j'en profite, pas vrai ?
Il prit ensuite son courage à deux main et viens l'embrasser tendrement, avant de lui murmurer tendrement au creux de l'oreille.
Fuu se laissa embrassé, puis, observait le bouquet de fleurs. Si une jeune femme sur les autres pays aurait agit en étant enchanté de recevoir de jolis fleurs, Fuu se contentait de cligner des yeux, ne savant pas vraiment comment prendre ce cadeau ... certes, très bien, mais à vrai dire, les fleurs ne sont pas des cadeaux courants à Kaze, tout simplement car ce n'est pas un climat très propice aux plantes, donc les fleurs ne sont pas vraiment très rependu. Elle pris le bouquet dans les mains, ignorant ... quoi faire de tout ça. Elle observait Tatsuya, l'air perdu, avant de le reposer à nouveau sur les fleurs.
- Je ... merci ? Ce n'est pas vraiment un cadeau qu'on fait à Kaze tu sais ...
Une maladresse qu'elle lui pardonne, c'est certainement une coutume mizujin, enfin, elle ignorait quoi faire de ce bouquet maintenant, elle est un peu embêtée de l'avoir et de n'avoir nulle part où le mettre. Elle le mis à la taille du coup, autour de la ceinture ... ignorant que cela pouvait bien abîmer les fleurs, de toute manière, elle n'a pas vraiment eu la main verte, normal quand il n'y avait rien de vert au pays du Vent.
- Je vois ... je comptais allez acheter de nouveaux vêtements. Comme tu peux le voir, j'ai ... un peu changé physiquement et je dois changer ma garde robe, tu voudras bien m'accompagné ? Tu me diras ce que tu penses de mes habits, et puis, comme ça, on pourra arriver au soir là où je loge.
Elle lui sourit, lui tenant la main alors qu'il lui annonce qu'il voulait affronter le Mizukage, elle ne pouvait lui souhaité que bonne chance. Elle l'embrasse en retour alors qu'il venait lui susurrer qu'il ne comptait pas la laisser dormir ce soir ... chose que Fuu ne comprenait pas.
- J'ai déjà des difficultés pour dormir tu sais ...
Il savait bien pourquoi, elle l'embrasse encore, puis vient lui tirer la main pour l'emmener dans un marché proche de la banque Sabaku.
Le shinobi de la brume et la regarde, c'est vrai qu'elle avait bine changée à plus d'un titre. Il hoche donc la tête doucement, se disant qu'il en profiterait pour acheter un souvenir tant qu'à faire. Il s'étire calmement, avant de marcher avec elle main dans la main. Il sourit alors doucement en la regardant du coin de l’œil, il en pouvait pas laisser la tristesse de son deuil gâcher de telle retrouvailles, hors de question qu'il plombe l'ambiance après cette longue séparation.
- Eh bien, on ne peut pas dire que tu as peur d'afficher que nous somme en couple. Enfin.. Désolé du temps que j'ai mis pour lez dire mais.. Tu es devenu encore plus jolie, Fuu. J'ai presque failli ne pas te reconnaître.
Il regarde alors ailleurs légèrement en se grattant calmement la joue droite avec son index de sa main libre. Il l'avait dit comme ça, sans vraiment réfléchir, et après coup, il se rendait compte que c'était assez gênant. Enfin, autant lui dire ce qu'il pense et ne pas mentir, après tout, il la trouve vraiment plus belle, plus femme même. Elle avait pris quelques centimètres, ses cheveux avaient poussés et.. Sa poitrine et ses hanches aussi. Elle avait plus de formes en un sens, un petit plus non négligeable, même s'il était tomber amoureux d'elle avec son physique précédent, il ne pouvait pas nier que l'actuel était encore plus plaisant à voir. Lui était sensiblement pareil, même si ses cheveux avait pris un peu en taille et qu'il avait des traits plus adultes. Il avait aussi augmenter un peu sa masse musculaire en y repensant. Enfin, même si elle ne le verrait qu'une fois qu'il serait moins vêtu. Sur la route, il glisse calmement ses doigts entre ceux de l'Asaara, la regardant calmement en lui souriant.
- Tu devrais opter pour un kimono, ou quelque chose du genre, ça t’allait vraiment bien au festival, t je suis certain que ça serait sûrement même encore mieux maintenant que tu as grandie. Enfin, c'est que mon avis bien sûr.
Calmement, il repose son regard devant lui, souriant calmement. Si on lui avait dit qu'il prendrait autant de galon dans un village ninja, trouverait la femme de sa vie lors d'un festival dans ce dit village et trouverait une autre raison de vivre que simplement gagner en force, il ne l'aurait probablement jamais crû. Mais d'un autre côté, ce n'est pas plus mal. Ce genre d'ambition à souvent ses limites.
Si elle n'a pas peur de s'afficher en couple ? Pourquoi aurait-elle peur de s'afficher en couple ? Elle avait le droit de sortir avec qui elle veut, non ? Fuu hausse les épaules, pourquoi avoir honte ? Et qui viendrait l'engueuler pour ça ? Ce sont des affaires que ne la concerne qu'elle, personne n'a le droit de se mêler de ses affaires amoureuses, et puis, elle a bien le droit d'expérimenter un peu la vie amoureuse. Fuu observe Tatsuya, souriant en entendant les compliments sur son physique, rougissant un peu aussi, mais pas tant que ça. Elle appréciait, mais n'était pas non une personne qui se mettait à rougir énormément pour si peu de chose, même si elles sont gentils.
- Merci, toi aussi tu as un peu grandis, t'es devenu plus carré. Par contre, personne ne m'a dit que l'on me reconnaît pas, j'imagine que tu exagères un peu.
Elle sourit encore, laissant ses doigts entrecroisés alors qu'elle l'emmenait dans une échoppe de vêtement, Tatsuya, lui proposait un kimono, car cela allait bien avec son corps devenu plus vieux, mais Fuu ne sait pas trop. Les kimonos, c'est pas non plus un habit très répandu à Kaze, ça tient chaud, ça prend facilement le sable, mais surtout, ça s'envole pour peu de chose. Non, il fallait une tenue plus adapté à sa vie de Kaze, mais elle ira quand même prendre un kimono pour lorsqu'elle reviendra à Kiri.
- Ce n'est pas vraiment un habit qui survit longtemps à Kaze, mais j'en prendrais un lorsque je reviendrais à Kiri si tu veux.
La jeune femme passa dans l'échoppe, elle observe les différents habits à disposition, puis, elle finit par trouver un ensemble qu'elle trouve plutôt jolie : une sorte de robe d'un mélange de couleur qu'elle aimait bien. Fuu demande à l'essayer, on lui montre un paravent qui servait de "cabine d'essayage", elle s'y dirige, puis retire ses vêtements pour l'enfiler, puis, elle finit par ressortir. Cette tenue lui allait bien, elle était bien dans cette tenue et ne semblait pas trop voyant, ni même trop couvert.
- Qu'en penses-tu ?
Demande-t-elle à Tatsuya, même si lui voulait une tenue plus "kirijin".
Il la regarde alors, sortant de la cabine, il rougit vivement. Maintenant qu'il la voyait dans cet autre tenue, il se rendait compte de sa prise de taille et de forme, bien plus qu'avant en tout cas. Il ferme alors les yeux en souriant, secouant lentement la tête. Il avait eût tord sur toute la ligne... Un kimono ? Au diable les habits traditionnels. Il lève alors son pouce droit en la regardant.
- Tu es sublime ma douce.
Il s'approche d'elle et viens ajuster le nœud de la robe en la regardant dans les yeux. Il faut croire qu'il n'aurait pas dût lui offrir des fleurs, mais plutôt une robe. Ceci dit, il n'est pas trop tard. Il se retourne vers la vendeuse et lui jette une bourse de Ryos, souriant calmement à celle-ci.
- Je prend, gardez la monnaie.
Et hop, le tour est joué, sa belle n'avait même pas eût le temps de réagir, tout bénef. Il vient tendrement embrasser les lèvres de sa petite amie, caressant sa joue droite doucement. Il se tourne vers la vendeuse calmement, se disant qu'il avait lui aussi besoin d'une tenue, même s’il aurait préféré s'en passer pour le coup. Il faut dire que la raison le poussant à prendre cette tenue ne le motive aucunement. Qui le serait après tout ?
- J'aurais besoin d'un ensemble noir, pour des funérailles. Quelques chose d'assez proche de ce que je porte actuellement, ce serait parfait.
Il disait cela en se retournant vers la vendeuse. Il avait bien préciser que la tenue était pour des funérailles, histoire de ne pas se retrouver avec quelque chose de trop tape à l’œil. Il se retourne ensuite doucement vers sa belle, soupirant légèrement en fermant les yeux, secouant doucement la tête. Il venait de casser l'ambiance ? Peut-être, mais il ne pouvait vraiment pas aller à l'enterrement de sa mère avec une tenue colorée.
- Désolé mon cœur... J'ai casser l'ambiance, hein ? Pour tout te dire, si je dois rentrer si vite... C'est que j'ai reçu une lettre de mon père qui... M'annonçait le décès de ma mère.
Il ne pouvait plus le garder pour lui, et puis de toute façon, il ne voulait pas spécialement lui cacher, c'est juste qu'il n'avait pas non plus envie de rompre ces retrouvailles avec une triste nouvelle. Il se doutait qu'elle n'en aurait plus pour longtemps, après tout la maladie semblait de plus en plus grave, mais il ne se doutait pas que ça arriverait si tôt.
Fuu l'observait en train de rougir, visiblement, il aimait bien la tenue et comment ça rendait sur l'assimilatrice, de son côté, l'Asaara s'était vu dans un miroir sur pied et trouvait que cela était parfait, c'était une tenue pas trop vulgaire, pas trop habillé, pas trop chaud aussi, c'était important ça, surtout en pleins désert, mais surtout, cela lui allait, ce n'était pas aussi serré que ses anciens vêtements actuellement. Fuu sourit, l'embrasse en même temps que lui, se mettant sur la pointe des pieds pour l'aider, après tout, l'assimilatrice reste encore petite malgré sa prise de taille. Fuu le laissa payer du coup, vu qu'il a déjà donner sa bourse, cela était déjà trop tard de toute façon. Enfin, il commanda son costume pour les funérailles de sa mère, un costume noir, il se tourna ensuite sur Fuu, désolé, pensant avoir gâcher le moment.
- Ne t'inquiètes pas, je comprends ... prends ton costume, j'attendrais que tu ais fait tes commissions pour tes funérailles.
Elle sourit, l'embrassant à nouveau, puis se recule, le laissant tester son costume. Fuu donna son approbation, même si, c'est un costume de funérailles, donc pas le genre d'habits qu'il mettra au quotidien, mais cela lui allait quoi. L'Asaara sourit, puis vient le câliner, posant sa tête contre son torse, elle se serait bien blottit contre son épaule, mais elle est trop petite pour ça.
- On va manger pour oublier ça ? Il y a un restaurant tout proche d'ici, il fait des spécialités kazejins.
Elle sourit, puis lui prends la main, venant l'emmener vers le fameux restaurant, même si ça ressemble à une petite taverne.
Le shinobi de la brume sourit calmement à la réponse de sa belle, soulagé de voir qu'elle ne lui en tenait pas rigueur. C'est après avoir essayer diverses tenues qu'il se laisse guider par les dires de son amante, qui vient se blottir contre lui. Elle avait beau avoir grandit, elle était toujours plus petite que lui, ce qui dans le fond était plutôt adorable. Il caresse alors tendrement ses cheveux cendrés, déposant un baiser sur son front en hochant la tête à sa demande, marchant donc en sa compagnie, main dans la main, jusque ce fameux restaurant aux spécialités Kazejins.
- Hmm.. Dit moi Fuu... J'ai un autre cadeau pour toi, enfin.. C'est pas vraiment un cadeau c'est plus.. Un lien ?
Il sorti de sa poche un pendentif doré représentant une tête de flèche en or, brillant d’un léger éclat bleu. Il sorti ensuite de sa veste un pendentif similaire, à la différence près que le sien ne brille pas, regardant ailleurs.
- C'est un collier que j'ai fait fabriquer, en y insufflant mon chakra ça donne cet éclat, mais il change de couleur aléatoirement à cause de la nature de mon chakra.. Là il est bleu, mais il peut être rouge, vert, jaune ou brun aussi. Je me suis dit que... Ça nous permettrait d'être plus proche l'un de l'autre, même si on est pas ensemble. Donc je me demandais si tu voulais bien mettre de ton chakra dans le mien ? Ce serait un peu comme si j'avais un petit bout de toi toujours avec moi.
Il rougit légèrement, c'est la première fois qu'il à une petite amie après tout, donc il ne sait pas trop la marche à suivre, ni même s'il exagère ou non. Il trouvait l'idée stupide dans le fond, mais d'un autre côté, il se disait que ça lui permettrait de tenir un peu mieux la séparation, en se disant qu'il pouvait ressentir la présence de sa belle n'importe quand. Bon ce serait certes infime, insignifiant même, mais au moins, il se sentirait moins seule en attendant la prochaine fois qu'il aurait l'occasion de la revoir. Et puis peut-être bien qu'elle serait touchée par ça, allez savoir ? Il rougit toujours en tout cas, son regard se posant dans le vide, ailleurs que dans celui de Fuu, tout de même un peu gêné en se disant que c'était presque enfantin comme raisonnement.
Fuu sourit, l'emmenant au restaurant offrant des spécialités kazejins. En chemin, il voulait lui montrer quelque chose, il sorti un pendentif, le bout de ce ornement semblait briller d'une couleur bleu, rappelant les hautes couleurs aquatiques du Suiton. Peut-être est-ce grâce à son chakra élémentaire ? Peut-être, Fuu observait le pendentif, il en sorti un nouveau, sauf que celui-ci ne brille pas du tout. Son petit ami explique qu'il brillait parce qu'il avait mis du chakra à l'intérieur, et donc qu'il pouvait changer de couleur. L'assimilatrice observait le pendentif qu'il tendait, celui qui ne brillait pas, il pensait qu'avoir du chakra dans son pendentif lui permettrait d'avoir une partie d'elle près de lui. Elle l'observe, puis le prend, trouvant cela mignon comme moyen de toujours penser qu'elle soit près d'elle.
- Je vois, je vais te donner un bout de moi alors.
Elle pose les yeux sur le pendentif, puis essaie d'injecter du chakra en lui. Elle injecte du chakra dans le pendentif, essayant de lui donner une lumière comme celui de Tatsuya. En injectant, le pendentif pris une couleur orangé, voire un jaune très sale qui représente les sables de Kaze. Son sourire est moins grand, un peu comme si elle était déçu de voir ça.
- Ce n'est pas très jolie comme couleur ...
Après, elle n'avait pas d'affinités élémentaires, donc cela ne pouvait pas changer. Enfin, on vient les mettre sur une table pour deux, puis l'observer.
- Le Potjiekos est un genre de ragoût avec du petits gibiers et des légumes, c'est très bon, je te le conseille. Et puis, on peut prendre la forme "en couple" pour manger dans le même plat.
Souriant, il attache le collier autour de son cou, secouant légèrement la tête aux dires de sa belle. Pas très joli ? Non, c'était une belle couleur, mais surtout, c'était la sienne. Il attrape alors doucement le menton de sa petite amie et l'embrasse tendrement, lui souriant par la suite en venant caresser doucement sa joue droite.
- Ne te rabaisse pas de la sorte.. C'est une belle couleur, mais surtout, c'est TA couleur. Donc pour moi, c'est la plus belle des couleurs.
Il avait dit cela avec un grand sourire, mais surtout, un sourire sincère. Après quoi il se rassied par la suite, croisant les bras contre son torse en hochant la tête à sa proposition. Partager son plat avec elle ne lui posait pas de problèmes, après tout il avait déjà partager son bain et son lit avec elle, alors un plat, c'était probablement le moins gênant des trois. D'autant plus qu'il préférait de loin partager le plat avec elle que s’imaginer manger chacun de leurs côtés. Et puis de toute façon, c'est une expérience intéressante, probablement.
- Va pour la portion de couple.
Et puis, il aurait très probablement besoin d’énergie pour le reste de la journée, mais surtout cette nuit qui s'annoncerait très probablement plus que longue, mais non moins plaisante. Enfin peut-être, après tout elle n'aurait peut-être pas envie de s'offrir à lui, mais dans ce cas là, il attendrait, de toute façon ce n'est pas comme s'il était amoureux d'elle pour cette raison. D'ailleurs en y repensant, pourquoi il était tomber amoureux d'elle ? Il ne s'était jamais vraiment poser la question.. Mais qu'es-ce qui lui plaît à ce point chez elle ? Son esprit combatif ? Son ambition ? Son côté mignon ? Non, rien de tout ça, ce qu'il aimait le plus chez elle, c'était.. Eh bien elle toute entière en fait, physiquement comme mentalement. Il avait beau retourner la question dans tous les sens possible et imaginable, il ne trouvait rien chez elle qu'il était capable de détester. D'ailleurs, il ne saurait même pas lui trouver un défaut maintenant qu'il y pense. Mais une question le turlupinait à ce moment là.. Et si sa famille ne tolérait pas cette relation ? Est-ce qu'il devrait la kidnappée ? L'enlevée pour la gardée rien que pour lui ? Non... Il sait ce que ça fait d'être séparé de sa famille, ce n'est pas quelque chose de bien plaisant, et il serait donc incapable de cela. Mais comment faire dans ce cas ?
Fuu sourit en observant Tatsuya, puis pose son regard sur l'amulette qu'il garde pour lui, tant mieux elle a envie de dire s'il trouve cette couleur jolie, même si, Fuu rougit fort en disant que cela est dû parce que c'est SA couleur, elle trouvait que c'était terriblement mignon et romantique de dire, bien que c'était un peu trop romantique et mignon, peut-être en faisait-il un peu trop ... mais Fuu ne lui en voulait pas, c'était peut-être parce qu'il avait peur de la vexer, mais c'est pas grave voyons, ça arrivait. Enfin, l'Asaara l'observe remettre le pendentif en sécurité, puis accepta la portion couple. Le serveur venait, Fuu donne leur commande, et pendant ce temps, Fuu pouvait voir le regard questionnatif de Tatsuya qui semblait se poser des questions.
- Ca va Tatsuya ? Tu as l'air ailleurs ?
Demande-t-elle alors que, après quelques minutes d'attentes, le repas fut prêt à être servi : au milieu d'eux se trouve un grand plat, on leur donna une paire de couvert chacun. Le plat était rempli à rabord et possédait des morceaux de gibiers accompagnés de tous les légumes allant bien pour un ragoût : des carottes, des patates, quelques légumineuses ... de quoi bien se remplir la panse, même en mangeant cela à deux.
- Bon appétit Tatsuya.
Elle sourit, puis vient commencer à prendre un morceau de viande avec sa fourchette, puis se mettre à manger le morceau.
Il sort subitement de ses pensées, secouant la tête doucement en souriant, embrassant tendrement sa joue droite, venant caresser sa joue droite par la suite avec tendresse.
- Ce n'est rien, je me posait juste quelques questions, mais j'ai la réponse c'est bon.
Il prend sa fourchette et prend lui aussi un morceau de viande, mangeant calmement celui-ci. La réponse il 'lavait oui. Il aimait tout chez elle, aussi fort qu'il le pensait, impossible de trouver quoi que ce soit qu'il n'est pas capable d'aimer chez elle. En fait, c'est surtout ce que lui avait pour elle qui lui posait problème pour le coup. Est-ce qu'il la méritait ? Il n'en savait rien, mais elle semblait heureuse en sa compagnie. N'est-ce donc pas le plus important ? Peut-être qu'il s'inquiète trop pour pas grand chose. Il la regarde du coin de l’œil, les joues gonflés par la nourriture, lui donnant un petit air de hamster. Il avala alors par la suite et lui sourit.
- C'est vraiment bon... A Kiri c'est beaucoup des plats à base de poisson. J'aime beaucoup, mais je préfère encore la viande, il n'y as pas à dire. D'ailleurs, c'est bien juteux cette viande, c'est quoi ?
Il reprend un morceau de viande et l'inspecte alors calmement, arquant un sourcil. Du lapin ? Nan, trop rouge... Du cerf ? Il y as seulement des cerfs dans le désert ? Ou alors tout est importé ? Pitié qu'on en lui disent pas que c'est du renard, sinon il croit bien qu'il allait vomir.. Nan, impossible, ça ne peut pas être du renard.. Si ?
Son regard larmoyant se pose sur sa belle, un regard humide et attristé.
- C'est pas du renard hein ? J'aurais l'impression de trahir Kitsunebi.
Il en faisait peut-être un peu trop aux yeux de certains, mais pour lui manger du renard serait une forme de cannibalisme. Il faut dire qu'il à un liens très puissant avec son invocation, presque familiale. D'un autre côté... Est-ce qu'elle se sentait pareil quand elle mange du scorpion du coup ? Ceci dit ce n'est pas très bon.. C'est très amer et sec. Donc elle ne devait pas en manger si souvent que ça, si ? Après tout ils habitent quand même dans un vaste désert, et le pays semble tout de même assez pauvre...
Toute les réponses ? Eh bien, cela la rend encore plus curieuse, qu'est-ce qui pourrait bien s'agir comme question ? Elle l'ignore, mais la jeune femme a bien envie de s'avoir ce à quoi il pense en ce moment ? Enfin, Tatsuya semblait bien aimer la viande, mais il semblait presque en train de ... pleurer ? Etait-ce à cause des épices ? Pourtant, Fuu pensait que ça manquait un peu d'épice, mais sinon, ça allait, mais on dirait qu'il avait peur de manger du renard ... Fuu cligne des yeux, du renard ? Il y n'y en a pas à Kaze, il pouvait reposer sur ses deux oreilles, enfin, Fuu se met à rire légèrement, puis essaie de le patpat en se mettant debout - parce qu'elle n'avait pas le bras si long que ça -, avant de se rasseoir.
- Je te rassure, il n'y a pas de renard à Kaze, plus des fennecs, mais c'est de la gazelle qu'on mange. Rien à voir donc avec du canidé.
Elle rit encore, il pensait vraiment qu'on mangeait du renard ? Ce n'était pas le cas heureusement, elle se sentirait mal pour lui et pour son invocation qui est si trognone que ça lui ferait mal de manger un de ses semblables, même aussi éloigné qu'est le fennec. De toute manière, il n'y avait pas grand chose à manger ... Enfin, elle mange les légumes, continue de manger les joues bien remplis telle un hamster, puis finit par tout avaler une fois bien mâcher, puis lui sourit en continuant de manger.
- Tu peux te rassurer, je ne t'aurais pas fait manger du renard, je ne suis pas sournoise ou cruelle à ce point.
Mais surtout, pourquoi lui en aurait-elle fait manger du renard ? Et surtout, elle ignorait que le renard se mangeait. Enfin ...
Soulagé, le shinobi termine son plat tranquillement, trouvant adorable le fait que Fuu le taquine gentiment avec ça, il faut dire qu'il y avait de quoi se moquer. Enfin, il aurait préféré éviter ça, mais bon, comment est-ce qu'il pouvait lui en vouloir hein ? Il était impossible pour lui de lui en vouloir, enfin, pas pour si peu en tout cas.
- Je dis surtout ça parce que je sais qu'on peut manger des animaux carnivores, du coup je préfère demander par précaution, désolé d'avoir douter, je sais bien que l'idée même ne te traverserais pas l'esprit.
Il sourit un peu en se laissant tapoter le haut du crâne, à se demander qui était l’aîné ici après tout maintenant. Mais il remarquait surtout qu’elle n'avait pas peur de s'afficher en sa compagnie, ce qui lui faisait grandement plaisir. Il fallait bien avouer qu'il avait un peu peur qu'elle préfère garder ses distance en publique de part leurs origines respectives, même si la banque était en bons termes avec Kiri. Elle n'avait peut-être pas envie que certains s’imagine que la Brume bénéficie d'un privilège parce qu'elle est amoureuse d'un des shinobis de ce village, ou quelque chose dans ce style. La politique n'était pas vraiment son fort après tout. De toute manière, ce n'est pas comme s'il comptait se cacher de son côté, bien au contraire. Il termine donc le repas calmement et s'étire un peu par la suite, se levant pour s’asseoir près d'elle, souriant doucement en passant un bras autour de sa taille pour la garder contre lui, tendrement.
- J'ignore quand on pourras se revoir une fois que je serais parti, pour être tout à fait franc avec toi.. Je ne sais même pas si on se reverras un jour, et pour être franc, cette idée m'effraie un peu. Avant, je disais que je vivais pour protéger ma famille, rembourser ma dette auprès de Kiri... Mais maintenant si je reste en vie c'est pour une raison plus égoïste... L'envie de te revoir. Je te reverrais, soit en certaine, c'est une question de quand, pas de si.
Il rougit un peu et regarde ailleurs en jouant avec ses doigts, murmurant de façon à peine audible en rougissant de plus belle.
- Ce que je veut dire, c'est que je t'aime de toute mon âme, et que même si ma loyauté va envers Kiri, mon cœur lui, il t'appartient.
Fuu sourit, terminant son côté du plat, il avait vraiment peur qu'elle lui fasse manger des renards, mais il pouvait dormir sur ses deux oreilles, il n'y avait pas de renard à Kaze, et Fuu sait de quoi elle parle vu qu'elle est une protectrice des sables avant d'être responsable de la banque, donc elle connait la faune du désert bien plus que n'importe quel kazejin, et en plus d'être devenue la personnification du désert, elle est devenue aussi un de ses animal symbolique, c'est-à-dire le scorpion, comme si Kaze tentait de faire passer un message à la jeune femme qui devenait de plus en plus une entité propre à l'étendue de sable que représente le désert de Kaze.
Enfin, elle rougissait lorsqu'elle vit Tatsuya se mettre à côté d'elle, elle sentait sa main contre sa taille, elle vient poser sa tête contre son épaule, profitant un peu de sa présence alors qu'elle fermait un peu les yeux. Elle se doute bien qu'elle le reverra plus tard, dans un autre jour, mais pour l'instant, Fuu veut profiter de sa présence actuelle. Elle lui prend la main, la serre en entrelaçant ses doigts, profitant un peu de sa poigne avant qu'il ne lui dise qu'il ne vivait désormais que pour l'espoir de la revoir, et elle trouvait cela touchant.
- Je te remercie de cette attention, mais je ne peux pas te promettre que j'en aurais une aussi dévouée que la tienne ... Kaze est bien plus que ma vie, c'est mon pays et ma raison de me battre, je veux redonner à Kaze ses lettres de noblesse. Même si je t'aime, mon coeur est déjà trop à l'ouvrage pour que je puisse te porter la même importance que toi tu portes pour moi.
C'était bien plus qu'une kazejin, c'était une personne qui luttait pour que son pays se relève, une patriote qui veut que son pays soit resplendissant à nouveau, tel l'astre qui éclaire constamment les terres sableuses de Kaze no Kuni.
Il secoue la tête doucement aux excuses de sa belle, souriant tendrement en riant même un peu, se penchant pour embrasser tendrement ses lèvres. Il le savait, elle as bien des responsabilités, et jamais il ne lui demanderait de passer avant ce qui est important pour elle de toute façon, alors bon. Il sourit alors calmement et lui bise la joue droite en se demandant bien comment désamorcer une situation aussi épineuse, souriant, il rougit légèrement cependant.
- Dit mon cœur, je repartirais bientôt et j’ignore quand on se reverras.. Donc je me disais... Est-ce que tu aurais envie, par hasard, que ce soit on... Tu sais... Partage notre première fois, si tu vois ce que je veut dire.
Peut-être qu'elle ne verrait pas du tout, mais en toute franchise il en doutait fortement, après tout inexpérimentée ou non, elle n'était pas non plus complètement débile, surtout avec son histoire de ne pas dormir de la nuit, elle devait bien se douter maintenant ce qu'il sous entendait par là. Enfin, peut-être qu'il se trompait et qu'elle ne verrait absolument pas ce qu'il voulait dire là dessus, mais bon, ce n'est pas comme s'il était pressé non plus, c'est juste que.. Comme tout garçon de son âge, il était intéressé par la pratique sexuelle. Il pose doucement sa main droite sur celle de la femme, entrelaçant donc ses doigts comme elle semble vouloir le faire, caressant tendrement ses cheveux de sa main libre en regardant ailleurs.
- Si tu ne veut pas ce n'est pas grave bien sûr. Ce n'est pas comme si on était ensemble pour ça de toute façon, je suis déjà bien heureux de dormir avec toi, je ne sais pas trop pourquoi, mais je me sent vraiment exciter à cette idée. Peut-être parce que dormir avec quelqu'un est plus agréable que dormir seul, je ne sais pas.. Mais je dois bien avouer que j’attends ce soir avec impatience. En fait, je me demande même si j'anticipe ça plus que n'importe quoi depuis mon arrivée à Kaze.
Il avait dit ça en riant un peu, à moitié sérieux, l'autre moitiés étant celle voulant taquiner sa petite amie. Il faut dire qu'elle est incroyablement mignonne quand elle rougit, donc il y avait quoi d'étrange à vouloir voir cette facette de sa personne hein ? Pour lui, rien du tout, en fait c'était même parfaitement normal de la vouloir sous ce visage rougissant.
Fuu était un peu soulagée de voir qu'il l'aimait toujours, même si elle pouvait pas lui redonner tout l'amour qu'il lui offrait, elle avait peur qu'il le prenait mal. Mais Fuu a un pays à redressé, et malheureusement, elle ne pouvait pas prédire l'avenir, elle ne pourrait pas dire si elle pouvait toujours aimer Tatsuya ou pas. Et elle espérait qu'elle l'aimerait encore, après tout, c'est son premier amour en quelques sortes, mais elle sait que peu de gens réussisse à garder la première personne qu'ils ont aimé dans leur vie dans leur coeur, enfin, l'Asaara se laisse embrasser, d'abord sur les lèvres, puis sur la joue, elle rougissait un peu. Mais ce n'était rien face aux rougeurs de son visage qui devient pivoine lorsqu'il lui demande si elle veut partager sa première fois avec lui.
- Eh bien ... oui, je veux bien tester avec toi.
Elle rougissait encore, un peu pompette, elle n'a jamais pensé tenter de faire du sexe avec une personne qui a à peu près son âge, en même temps, il est difficile pour une protectrice du désert de trouver du repos dans un environnement aussi hostile que celui du pays du sable. L'Asaara est une patriote, mais surtout une survivante. Enfin, elle pourra dire qu'elle aura essayé, et ça au moins, elle est sûre que l'autre mercenaire ne va pas lui rabâcher cette histoire de "on est assez grande que lorsqu'on passe le pas".
- Enfin, si ça ne te dérange pas de dormir dans une tente, directement sur un matelas. Je sais que vous, les mizujins et les autres étrangers, dormez surtout dans des lits, mais peut-être pourras-tu tester comment on dort dans le désert ... Je vais te montrer si tu veux.
Elle sourit, puis paye la note, avant de tenir la main de Tatsuya. Elle voulait l'accompagner jusqu'à sa fameuse tente, une tente qui n'a rien à voir avec celle qu'on utilise pour le camping, non, il s'agissait d'une grande tente, entière rouge, pouvant ressembler à un genre de petit chapiteau, suffisamment grande pour qu'au moins cinq personnes puissent bouger librement. Dedans se trouvait des "meubles" : une caisse pour servir de table, un matelas pour le lit, un tonneau pour servir de bain, un tapis pour éviter de marcher sur du sable chaud en sortant du bain, mais surtout pour éviter que des bestioles puissent se glisser jusqu'au matelas. Il brûlait d'ailleurs dans un coin quelques herbes pour servir de répulsifs naturels qui était agréable pour eux, mais pas pour les insectes et les serpents, étrangement.
- C'est ici que je vis pour le moment, c'est ma propre tente. On est proche d'une oasis si tu as soif, ou si la baignoire est trop petite, je sais que t'es plus grand que moi alors ...
Elle rit un peu, c'est vrai que ça aurait été étrange de voir Tatsuya tenter de se laver alors qu'il entre à peine dans ce tonneau ...
Le jeune shinobi se surpris à rougir à son tour, en fait, il ne s'attendait pas vraiment à une réponse favorable à sa demande, plutôt même le contraire, et pourtant, voilà qu'elle acceptait de lui offrir sa première fois, aussi gênée que lui, ce qui la rendait absolument adorable. Il rougit alors en la voyant se lever pour payer et l'emmener avec elle, ne sachant pas vraiment quoi faire à partir de là, il la suivait simplement, main dans la main, en se disant qu'à l'heure actuelle, il était très certainement l'homme le plus chanceux du monde.
- Je vois..
Il ne disait rien de plus, ne sachant pas vraiment quoi dire, il se voyait mal lui dire que lui adorait dormir sur le toit de son appartement pour dormir à la belle étoile, il ignorait pour quel genre d'imbécile ou d'étrangeté il passerait en disant cela. Son cœur se mis à battre de plus en plus vite une fois dans la tête, alors qu'il avala sa salive. Il rit un peu en observant la décoration sobre, caressant un peu la main de sa belle avec son pouce.
- C'est beau, et puis, j'ignore pourquoi, mais je trouve que ça te correspond bien. Je t’imaginait mal vivre dans un palais ou quelque chose comme ça, peut-être ton côté sauvageonne ?
Il tire la langue doucement en la tirant contre lui, la regardant droit dans les yeux avant de l'embrasser amoureusement, se serrant doucement contre elle. Pour le moment, il se fichait bien du bain, ou de quoi que ce soit d'autre d'ailleurs, tout ce qu'il voulait dans l’immédiat, c'était ne plus la lâcher, rester dans ses bras jusque s'en lasser.
- J'ignore si notre relation va perdurer dans le futur, ou même si on resteras en bons termes mais.. Je m'en fou. Je sais seulement que là, maintenant, tu est la personne la plus importante à mes yeux, et même si ce n'est pas pareil pour toi, je m'en fiche royalement. Je t'aime, et je sais que dans le fond, j'aurais toujours des sentiments pour toi. Tu.. Tu est une personne incroyable.. Brave, belle, intelligente... Forte... Tu est capable et étonnante, une femme comme jamais je n'en avait vue de ma vie avant, et en toute franchise, je suis heureux, et extrêmement chanceux de t'avoir. Je ne sais même pas comme j'ai réussi à te séduire, ni même pourquoi tu partage mes sentiments mais.. Je suis heureux que ce soit le cas.
Fuu observait son beau en train de rougir lorsqu'il apprend que Fuu souhaite l'emmener là où elle vit en ce moment. Il voyait, elle ignorait ce qu'il voyait, ou plutôt, peut-être a-t-il maintenant en tête qu'elle vivait dans un endroit plus luxueux ? Elle sourit lorsqu'il voit que cette tente lui correspondait bien, en même temps, il est vrai que Fuu ne ressemble pas à une noble, plus à une survivaliste, à une sauvageonne comme il le dit si bien. En même temps, Fuu est une enfant du désert, elle n'est pas née dans la richesse, et "vivre à la dure", elle sait ce que sait, bien mieux qu'il pouvait l'imaginer ou que les sauvageons sur son île, car eux au moins ne devait pas lutter contre ce soleil étouffant, les tempêtes de sables et une bonne partie de la faune locale qui veut ta mort.
- Eh bien, habituellement, je dors au manoir de ma cousine, enfin, ce n'est pas vraiment un manoir, plus une très grande maison, mais on aime appelé ça un manoir. De toute manière, on n'a pas beaucoup de manoir à Kaze, alors on se dit que s'en ai un.
Et puis, Kuuli n'a pas l'air de s'en plaindre de ça, qu'on dise de sa maison que c'est un manoir, en même temps, sa maison était assez grande pour que beaucoup de monde y vive, pratiquement toute l'organisation a une place dans cette maison, c'est fou, c'est presque une maison familiale, sauf que ce n'est pas vraiment que de la famille qui dort sur place, ni que des kazejins d'ailleurs.
- Mais je dors ici depuis que j'ai appris que j'avais un animal qui sommeille, mais généralement, je dors dans cette tente quand je dois patrouiller dans le désert.
Elle sourit, avant de se faire embrasser amoureusement, l'Asaara tente de l'imiter - ce qui est dur avec sa taille -, voulant transmettre tout l'amour qu'elle a actuellement pour lui. Elle était bloqué dans ses bras, il ne voulait plus la lâcher, mais elle se doutait qu'il finirait par s'en lasser, on finit toujours par se lasser d'un câlin malheureusement. Enfin, Fuu lui embrasse à nouveau les lèvres, se mettant sur la pointe de ses pieds pour réussir à l'atteindre, puis sourit.
- Comment tu as réussi à me séduire ? Pourquoi te le dirais-je ? Ce n'est pas mieux de garder un peu de mystère pour préserver la magie de l'instant ? Saches juste que je t'aime aussi, et que tes compliments me vont droit au coeur, mais comme je ne suis pas douée pour en faire, je souhaiterais que tu saches au moins que c'est réciproque. Tout ce que tu penses de moi, je le pense de toi aussi.
Elle continue de l'embrasser amoureusement aussi, s'accrochant à son cou tout en restant sur la pointe de ses pieds, bien qu'elle pourrait s'assimiler et devenir un djinn des sables, comme un esprit sortant d'une lampe pour exaucer ces vœux, même si, elle les connait, ses vœux, et elle accepte d'en satisfaire quelques uns ...
Il la regarde, sur la pointe des pieds. Il pouvait bien lui donner un petit coup de main, non ? C'est donc avec un sourire qu'il attrapa les fesses de sa belle et la décolla du sol avec un petit sourire aux lèvre,s lui faisant un clin d’œil en embrassant son front tendrement par la suite, venant lui mordiller le cou doucement avec de lui chuchoter au creux de l'oreille, doucement, d'un murmure aussi suave que tendre, en accord parfait avec l’excitation qui se faisait peu à peu ressentir. Il ne s'en cachait pas, au contraire, il ne se gênait même pas pour faire comprendre à l'assimilatrice au sable du désert qu'il était plus qu'envieux d'elle.
- C'est plus facile comme ça, pas vrai ma chérie ?
Il sourit et l'embrasse alors de nouveau, se disant que même si cet instant n'était rien sur l’échelle d'une vie, il comptait bien savourer chaque seconde comme si c'était la dernière d'entre elles. Il aimait la jeune Asaara, et ne s'en cachait pas, pas plus qu'elle ne s'en cachait, le taquinant même sur la raison de son amour pour lui. C'était assez frustrant de ne pas savoir le pourquoi du comment, mais était-ce si important que ça ? Elle est amoureuse de lui, et il lui rend son amour au centuple, n'était-ce pas là le principale et le point le plus important dans cette relation ? Il ne s'étaient jamais vu avant, et pourtant, il avait cette étrange impression de l'avoir toujours connue, comme s'ils étaient amant d'une vie passée, ou quelque chose dans ce genre.
- Je t'aime, Assara Fuu.
Souriant alors de nouveau, il caresse tendrement la joue droite de sa compagne, la gardant contre lui avec un bras sous ses fesses pour la maintenir, venant la regarder droit dans les yeux, une façon pour qu'elle remarque bien que ces paroles ne comportent pas une once de mensonge ou d'hésitation. C'était un coup de foudre, un vrai, et pourtant, contrairement à la plupart, l'amour entre les deux shinobi avait fleuri, et à cet instant précis, s'épanouissait à son apogée. Elle était prête à s'offrir à lui, et lui, de même. Le soucis étant cependant qu'il ne savait pas vraiment quoi faire... Tout ce qu'il savait à ce stade, c'est qu'ils devaient être nus tous les deux, mais ensuite ? Est-ce que l'instinct suffirait à tout faire ? Ou bien est-ce qu'ils seraient tous deux dans un état d'embarras et d'incompréhension aussi amusant que perturbant ?
Fuu se fait soulever, elle n'était heureusement pas très lourde, donc à peu prêt n'importe qui pouvait facilement la portée, surtout Tatsuya qui était plutôt costaud. Elle se laissa donc faire, bien qu'un peut surprise sur le coup, vu le mouvement qu'il faisait et alors qu'elle sentait ses bras au-niveau de ses fesses, il y avait de quoi être surpris lorsqu'on n'est pas habituée à être portée. Enfin, Fuu se doutait que cette attention était gentille de sa part, sans mauvaise pensée, mais l'assimilatrice ne pouvait cacher sa bouderie d'avoir été soulevée de la sorte à cause de sa taille, bien que l'homme ne le voyait pas, occupé à lui mordiller le coup et à la faire frémir. Elle pouvait sentir les poils de sa peau se dresser alors qu'elle s'accroche en plaçant ses mains derrière son cou, s'accrochant à l'aide de ses bras pour ne pas tomber à la renverse.
- Vilain, tu m'as presque fait complexer.
Dit-elle alors qu'elle rend arme pour arme les embrassades qu'il lui fait. Elle ignorait pourquoi elle est tombée amoureuse de lui, certainement parce qu'il avait ce quelque chose qui lui a fait pétiller les yeux et qui a conquis son coeur. Mais Fuu s'en fichait, car il lui rendait tout l'amour qu'elle lui offrait, pour ne pas dire qu'il lui en rend bien plus qu'elle le lui en donne, car si Tatsuya avait tout son coeur porté sur l'assimilatrice, celle-ci ne pouvait dire la même chose, car son pays avait une place importante lui aussi, et elle a bien peur que, ce qu'il reste comme place, n'est pas aussi vaste que celle que Fuu a dans celui du gardien.
- Je t'aime aussi Tatsuya.
Ce coup-ci, elle l'embrasse en premier, un long baiser qu'elle fait sur ses lèvres, avant de s'arrêter, puis de descendre sur son cou pour venir le mordiller, lui suçotter le cou, non sans laissé une petite marque peu douloureuse. Elle rit, presque nerveusement, alors qu'elle vient poser son front contre le sien.
- Je dois avouer ... être un peu nerveuse pour ce qui nous attend plus tard ... j'ignore si c'est aussi le cas pour toi.
Elle reste ainsi, passant ses mains sous son haut pour venir lui caresser le haut de son dos, elle n'avait jamais fait ça avant non plus, elle se sentait comme si elle était en train de passer une étape importante de sa vie.
Il sourit doucement en la regardant dans les yeux, répondant à chacun des baisers de sa belle, aux anges. Il était amoureux d'elle, un fait qu'il ne pourrait nié peu importe la force qu'il y mettrait, et fort heureusement pour lui, ces sentiments étaient partagés. Elle prend alors les devants suite à l'échanges de mots, déposant un baiser dans son cou, comme pour le marquer, ce qui le fit un peu rire. Son corps se tend alors légèrement tendit qu'un long frisson parcoure son dos, faisant un peu hérisser ses poils, se rendant par la même occasion qu'il est bien plus sensible au coup qu'il ne le pensait. Il pouffe alors de rire en touchant la marque du bout des doigts.
- Mince alors, me voilà marqué maintenant. Madame est du genre possessive on dirait.
Il rit de bon cœur en la regardant droit dans les yeux, laissant son front reposé contre celui de sa belle, regardant un peu ailleurs à sa question en rougissant légèrement, se faisant déjà des films dans sa tête.
- Eh bien.. pour être tout à fait honnête avec toi, je mentirais si je disait ne pas être nerveux. Mais je me sent aussi... Impatient ? C'est une étape importante dans une relation, encore plus quand on est.. Tu sais.. Vierge. Ce qui n'est pas bien dur vu que je dois bien avouer que tu es la première personne avec qui j'ai une relation amoureuse.. J'ai déjà eût quelques attirance pour être franc, mais ce n'était que ça, une attirance physique, alors qu'avec toi c'est.. Bien plus fort que ça. C'est presque comme si j'étais lié à toi, en quelque sorte.
Il regarde de nouveau la belle dans les yeux, venant caresser tendrement sa joue droite un moment avant de l’embrasser de nouveau avec une envie et une passion dévorante, se pressant un peu contre elle durant le baiser, comme pour ressentir un peu plus la chaleur de son corps, comme s'il ne voulait faire qu'un avec elle, ce qui était en quelque sorte le cas. Il ne se cachait pas de son amour pour elle, oh non, il le vivait et l'assumait pleinement. Il n'avait aucune honte à se déclarant l'homme d'Asaara Fuu, il en tirait même une certaine fierté. Et pour cause, à ses yeux il était en couple avec la femme la plus parfaite du Yukan, non, du monde tout entier à n'en pas douter.
Possessive ? Si elle l'était vraiment, elle lui aurait imploré de rester à Kaze, chose qu'elle n'a pas fait, elle l'a même aidé à retrouver un nouveau costume pour son enterrement qui aura lieu à Mizu, donc elle ne pouvait pas vraiment se prétendre possessive si elle laisse Tatsuya s'éloigner très loin d'elle, là où elle ne pourra pas voir si des filles s'approchent trop de lui, même si, Fuu n'était pas particulièrement jalouse, tant que son partenaire l'assumait et ne le cache pas, cela lui convenait sans problème. S'il était polygame, tant qu'il lui disait qu'il l'était, il pouvait l'être, de toute manière, elle pouvait comprendre qu'il finisse par trouver mieux qu'elle à force, même si ce serait très triste qu'il finisse par la délaisser à cause de ça. Enfin, elle lui sourit après ce suçon, c'était juste pour ... tester en fait, voir si ça marche et ... oui, ça marche plutôt bien.
- Je voulais tester surtout ... j'ignorais que ça laissait une marque aussi voyante.
Elle riait doucement, puis, elle lui avoua se sentir nerveuse à propos de ce qu'ils vont se mettre à faire ... c'était sa première fois, elle avait bien des raisons d'être très nerveuse ... ce qu'ils allaient faire, beaucoup considéraient ça comme un passage à l'âge adulte en quelque sorte, une sorte de flambeau à passer comme si elle se faisait tatouer ou qu'elle faisait un rituel de passage à l'âge adulte. Tatsuya avoua aussi sa nervosité, mais il ajouta à ça l'excitation, exciter donc ? Elle rougissait, entre savoir qu'il était excité à le faire, et qu'il avait été tenté physiquement par d'autres personnes pour finalement décidé de la choisir elle, elle ne pouvait que se sentir très touchée par ce qu'il vient de dire.
- C'est ... comme une sorte de rituel ... pour le passage adulte et pour un couple. Je me sens aussi lié à toi ... c'est très étrange, mais pas désagréable.
Elle le suivit dans son baiser passionné et chaleureux, se laissant porter et blottir contre lui pour partager sa chaleur. Elle en profite aussi, lui répondait à toute la passion qu'il déverse à travers ses lèvres, se tenant à lui en croisant ses bras derrière son coup, sentant sa chaleur corporel à travers ses habits. Une fois le baiser finit, elle se met à rougir, puis demande de manière très timide.
- Tu veux bien commencer ? Je te suis juste après ...
Elle était encore rouge, après tout, ça va être sa toute première fois ...
La première fois qu'il partager sa couche avec elle, enfin, pour être exact, la première fois qu'il ne faisait pas que dormir. La relation entre eux avait bien évoluée, à un point qu'il n'aurait jamais crû atteindre dans sa vie, un point qui allait faire de lui un homme véritable. La nuit fût longue et agréable pour lui, bien qu'un peu tumultueuse au début, il était satisfait de cette expérience. Il avait prit une autre des premières fois à sa belle, mais pas des moindres cette fois. Sa virginité. Il était un shinobi, une arme de guerre, au service de la brume, et pourtant, il était actuellement simplement Tatsuya, l'amant de Fuu. Il le savait au plus profond de son être, il était totalement fou d'elle. Son regard s'ouvrit alors doucement, regardant le corps dénudée de sa belle blottie contre lui, le souffle léger, totalement endormie dans ses bras. Un sourire illumina alors les yeux du shinobi de la brume, alors qu'il retire doucement une mèche de cheveux de la jeune Asaara de devant ses yeux, l'observant simplement dormir, sans chercher à al réveillée. Non, il voulait rester encore comme ça, le plus longtemps possible, sa vie entière même si c'était possible...
- Tu es si belle quand tu dort...
Doucement, il s’en va déposé un tendre baiser sur le front de celle-ci, la serrant tendrement contre lui en déposant son menton au sommet de la tête de la jeune femme, fermant les yeux pour simplement profiter de c moment parmi les plus agréable qu'il est eût le loisir de vivre. Il était là, blottie contre son amour. Ses origines, sont pays, rien de tout ça n'avait d'importance en ce moment. Mais est-ce qu'il pouvait faire quelque chose pour la voir plus souvent ? Est-ce que sa relation avec elle avait un avenir dans un monde aussi incertain que celui des shinobis ? Les alliés d'un jour peuvent devenir les ennemis d'un lendemain. Mais aurait-il la force de la combattre ? Probablement pas. Et même si elle faisait passer le pays du vent avant tout, que pensait-elle d'une telle éventualité ? Sincèrement, il préférerait sûrement déserter que devoir lever la main sur elle. Il secoue légèrement la tête, se disant qu'il était inutile d'y songer pour le moment. Il savait déjà sa réponse, et savait aussi qu'elle l'aimait en retour, c'est tout ce qui comptait à ce moment précis, le reste n'avait tout simplement aucune importance.
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