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Le Stand de kebab Sawada. [Libre]

Sawada Tsunayoshi
Sawada Tsunayoshi

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Sam 11 Jan 2020 - 5:15

Encore un jour se lève sur la planète Kumo, l’attente était longue. Hanae, son nouveau professeur, l’avait prévenu de rester tout de même alerté quant aux chances assez grandes de se retrouver envoyer en mission à ses côtés, faisant maintenant partie de son équipe. Le ressentit de Tsunayoshi face à cette situation restait tout de même assez étrange, il acceptait la situation mais avait quelques misères à voir celle qu’il considérait comme étant sa petite sœur en tant que maître. Enfin bon, ceci étant dit il ne pouvait tout de même passer ses exaspérantes journées à attendre impatiemment qu’une opportunité se présente, l’ennuie devenait son nouveau mode de vie et il n’aimait pas ça. Une idée traversait néanmoins l’idée du blondinet, la cuisine que sa femme faisait lui manquait, aussi, son but d’aujourd’hui serait d’essayer de reproduire la fantaisie qu’habitait ses papilles gustatives lors des chaleureux repas de sa défunte épouse. La volonté de parvenir à cette réminiscence devenait son leitmotiv. Il s’habillait d’un léger kimono blanc, arborant la flamme de la dernière volonté de son clan disparut, ne prenant pas la peine d’enfiler des sandales pour le bien être de ses pieds, il partait en direction de l’habitat de la première personne qu’il avait rencontré à son arrivé: la demeure de Yahiko. Un ingrédient clé dans ce qu’il avait en tête se trouvait chez le maître boulanger des Sendai de Kumo. D’un pas rapide et léger, il arpentait les rues encore déserte de Kumo, effectivement, notre protagoniste était un héros qui rimait avec lève tôt.


Une quinzaine de minute, la hâte d’arriver à son résultat finale lui faisait presser sa marche jusqu’au commerce de son ancien sauveur. Finalement, il arrivait devant la porte du père de Yahiko, les piliers et les marches en marbre de la maison familiale montrait toute la passion pour son pain et ses pâtisseries. Le marbre étant le matériel parfait pour travailler de la pâte fraîche, du chocolat, du sucre tiré. Il cognait avec une force telle que sa motivation manquait de trouait la porte de l’habitat, l’attente de fût pas longue. Il tombait nez à nez avec la vendeuse qui arborait une expression mécontente quant à la violence du Blondin face a l’entrée du magasin. Ne voulant pas tergiverser il s’excusait poliment avant de rejoindre le propriétaire à l’arrière afin de lui quémander quelques pain en forme de pleine lune, lui expliquant son projet. Le père de Yahiko devait sentir la volonté enflammé du jeune adulte car c’est avec un sourire de compréhension et de satisfaction qu’il lui donnait l’objet de sa convoitise sans rien demander en retour. Tsuna baissait sa tête jusqu’au niveau du torse du paternel, le remerciant mille fois, démontrant l’évolution sociale des pupilles dorées ou bien n’était ce que sa démonstration de son respect face à ce travailleur acharné. Son pain en main, il sortait à la quête du reste de ses ingrédients.


Le second ingrédient phare, maître de son plat était de l’agneau, ou en trouver, il le savait. Comment en acquérir, cela allait être une histoire de discrétion et certainement d’emprunt à durée indéterminée. De ce fait, il se dirigeait tout de même hésitant vers les abords du village. Un fermier y tenait une ferme dans lequel des agneaux, cochons, poules, vaches et chèvre broutaient et picoraient à longueur de journée. Tsunayoshi se doutait de la qualité de la viande, en effet, un élevage comme celui-ci ne pouvait que donner naissance à une viande au goût supérieur. Il avait déjà vu le propriétaire aller jusqu’à masser ses animaux avant de les emmener à l’abattoir. Peut être que pour certains cela pouvait représenter une certaine cruauté mais pour le Sawada, il était plus question de respect de l’animal. Aucun fermier digne de ce nom ne pouvait être sans émotions lorsqu’il abattait ses propres bêtes, la manière dont celui-ci s’occuper des animaux démontraient son amour envers eux. Tsuna voulait aider ce producteur à se faire connaître, lui et sa faune.


Le blondin passait l’enclos tout en caressant une chèvre qui portait le nom de « Madame ». Il s’arrêtait face à une grande porte de grange, faites en vieux vois de cerisier et appelait de vive voix le fermier qui se trouvait sur son tracteur. Le kumojin se considérait comme chanceux de pouvoir quérir l’aide du fermier avant qu’il ne se retrouve a devoir le déranger dans son champs. Prenant son courage à deux mains, il demandait si il pouvait lui prendre un agneaux avec entente de paiement car les moyens lui manquaient pour une bête d’aussi haute qualité. Roger le fermier ne manquait pas d’émettre son mécontentement et son refus fasse à la proposition honnête du jeune homme.


«  nom didjou mon ptit blondin. On a pas élevé les cochons ensemble, mes bêtes valent plus que les couilles de godzilla réunis, s’pas un pauvre qui va pouvoir s’les payer »


Tsunayoshi mordait ses lèvres, fermait ses mains, plantant ses ongles dans sa peau. Si il y avait bien une chose que notre anti héros détestait c’était les paroles d’un hypocrite ignares, dégageant l’haleine putride de la dite « haute société ». Ne voulant pas commettre un meurtre et entacher le nom des personnes qui l’avaient recueillis dans ce village, il lui tournait le dos et attendait patiemment dans des buissons que Roger se décide de sortir son tracteur pour aller labourer sa terre. Deux longues minutes passaient lorsque la voie du malfrat se libéra. A la course et sans pitié, il touchait le tatouage de son poignet droit afin de faire apparaître une hache entourée de chaîne dans sa main. Rapidement, il envoyait son arme en direction de l’animal le plus excentré, la hache se planta dans le crâne, atteignant le cerveau, tuant la pauvre bête sur le coup. Le silence des agneaux fut, parmi les cris désespéré et emplit de frayeur de la ferme. Tsunayoshi ne pouvait se permettre d’être vu, le doute quant à sa personne allait déjà planer au dessus de son crâne. Il mettait l’agneau sur les épaules et repartait à la course, ne pouvant s’empêcher de s’extasier à la vue de son nouveau joyaux. Lors de sa course il pouvait entendre le râle intempestif du fermier, peut être était ce le nouveau saint râle, à ne pas confondre avec le saint graal.


Maintenant qu’il avait ses deux ingrédients principaux en main, il ne lui restait plus qu’à se munir de concombre et de menthe fraîche afin de faire une sauce « tatziki », enfin il ne manquerait plus que des tomates et de la laitue tout aussi frais que le reste pour compléter son plat. Il lui suffisait d’aller dans la supérette à côté de chez lui afin de trouver les pièces disparut de son puzzle.


[....]
Après quelques longues heures de préparation, tout était finaliser pour l’heure du midi. Tsunayoshi avait finalement monté son stand avec une bannière rouge et blanche avec leurs nuances et sur laquelle nous pouvions y lire « Le stand Kebab Sawada ». Il avait dépecé son agneau qu’il faisait maintenant cuit à feu moyen sur une brochette avec quelques épices faites de ses mains. Le sens olfactif commençait à sentir la voluptueuse odeur qui se dégageait de la viande. Le jus et le sang qui s’écoulaient de la viande excitaient Tsuna au plus haut point. Les souvenirs d’une époque joyeuse remontait à la surface de l’affamé et en même temps, ses yeux reflétait le voile d’eau qui les couvraient. Il secouait sa tête et se giflait doucement de ses deux mains dans le but de remettre en place ses pensées: l’heure n’était pas au pleurs mais au labeur. Il voyait certain passant renifler tels des animaux incertains les odeurs qui se dégageait de son stand. Certain de son resulat, Tsunayoshi n’attendait plus que les clients, il en suffisait d’un seul pour que le bouche à oreille commence. Peut être que les kebab Sawada allaient finir par se faire connaître par les différents villages shinobi, Tsunayoshi deviendrait le premier et seul maître kebabier du monde.





Dernière édition par Sawada Tsunayoshi le Lun 13 Jan 2020 - 12:52, édité 1 fois
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Kogami Akira
Kogami Akira

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Sam 11 Jan 2020 - 8:32
Les premières gouttes de la rosée matinale vinrent perler sur les feuilles de l’arbre dans lequel dormait un soldat. Allongé sur une branche de tout son long, Akira avait passé la nuit ici après avoir fini son tour de garde. N’ayant pas envie de se mêler à la populace et aux bruits de fornication ou de gémissements de bambins, le ninja avait donc préféré se tenir éloigné dans un coin tranquille afin de bénéficier d’un sommeil réparateur. Et ce fut une petite goutte de rosée matinale qui vint le réveiller alors qu’elle coula sur son front pour venir caresser sa peau diaphane. Drôle de réveil, soudain et doux à la fois. Presque reposant. Il n’aurait manqué que le chant des oiseaux pour agrémenter l’ambiance, mais le bêlement des agneaux au loin semblait avoir pris le pas sur la mascarade des passereaux.

Puisque la journée venait de commencer, et que le soleil dévoilait ses premières aurores, quoi de plus judicieux que de se lever. D’un mouvement vif, l’Hijin posa pied à terre. De son imposante stature, le jeune homme se redressa pour observer un peu les alentours, les yeux plissés. Tout en s’étirant, il remarqua quelque chose. Non pas visuellement, mais olfactivement. Une odeur de nourriture bien singulière, à vrai dire Akira n’avait jamais rien senti de tel. Serait-ce donc la cuisine de Kumo ? Son séjour ici s’annonçait donc sous les meilleures hospices. Du moins, culinairement parlant. C’est avec sa neurasthénie habituelle que le soldat se dirigea donc vers cette odeur si particulière, main droite posée sur la poignée du katana qu’il portait à la ceinture.

Son passage par la ville ne manqua pas, bien sûr, d’attirer les regards de méfiance comme de mépris. Ici, son bandeau -qu’il avait accroché à son bras droit- faisait de lui un envahisseur. Et son mètre 95 n’aidait en rien à se faire discret, pas plus que la largeur de ses épaules et la tenue qu’il portait. Chaussé comme un samouraï jusqu’à la taille, portant une sorte d’armure de plaques, le haut de son corps n’était pourtant couvert que d’une simple veste de tissus. Nul besoin d’entraver ses mouvements avec une protection supplémentaire lorsqu’il pouvait se contenter d’utiliser un jutsu ou de son katana pour se protéger des attaques. Des attaques physiques, en l’occurence. Car Akira n’accordait aucune importance au mépris des habitants de la foudre. C’était après tout compréhensible, ils étaient les occupés et lui l’occupant. Simple soldat ou pas, ceux-ci devaient bien s’en ficher. Grand bien leur fasse.

Ses pas le menèrent finalement jusqu’à un petit stand, tenu par un jeune homme ayant approximativement son âge à première vue. Mais le plus surprenant fut lorsque leurs regards se croisèrent, deux paires d’yeux aussi dorés les uns que les autres. Il était rare de croiser un homologue oculaire, du moins en Teikoku. Mais ici… peut-être y avait-il une corrélation entre la foudre et le jaune de ses yeux. Qu’est-ce qu’il en savait. Akira avait le don pour se poser des questions peu pertinentes intérieurement, oubliant parfois le monde qui l’entourait. Ce n’était de toute manière pas comme s’il y accordait grand intérêt de manière générale.

“ Bonjour. “

Dit-il de sa voix naturellement suave et grave, bien que tarie par un ton monocorde. Ses yeux se baladèrent un moment sur le stand, avant de retourner vers son interlocuteur.

“ Il ne me semble pas avoir déjà vu pareils mets auparavant. C’est une spécialité du village ? “

Demanda t-il en toute simplicité. Depuis qu’il était ici, Akira n’avait rien fait d’autre que la guerre. Et en temps de guerre, on ne dispose pas du luxe de goûter aux produits les plus sophistiqués.
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Sawada Tsunayoshi
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Mer 15 Jan 2020 - 6:39

L'attente semblait insoutenable et pourtant cela ne faisait quelques minutes qu'il venait de mettre ses services à disposition. Peut-être était-ce dû à la peur de ne pas parfaire ses exigence quant à la satisfaction que procurait ce plat. Enfin, il n'était pas le temps pour lui d'embrumer ses pensées de doutes inutiles, sa volonté se devait être de marbre pour accompagner sa performance culinaire. Il percevait quelques passants risquer leur odorat avec quelques reniflement mais la peur de l'inconnu les faisait fuir, pourtant, leur babine ne cachait pas l'humidité se poser sur leurs lèvres affamées. Enfin, ses pupilles dorées se portèrent inévitablement sur ce qu'il pensait être son jumeau visuel. Depuis la mort de son clan il n'avait encore jamais vu des yeux qui portaient cette couleur inhabituelle. La curiosité s'emparait fatalement de Tsunayoshi. Il souhaitait que celui-ci se laisse porter par sa curiosité et ses désirs furent écoutés.


Le jeune homme foulait les terres inconnues du stand Sawada. Sa venue était accompagné d'une politesse feinté de peu de sentiment. Peut-être était-ce un homme las de tout, une personne sans envie ou plus simplement une personne ne trouvant aucune joie à sa vie. Tsuna allait certainement trop loin dans son raisonnement mais son passé n'était que source de ce cheminement, essayant lui même de trouver un nouveau but dans sa vie depuis quelques temps, il ne pouvait s'empêcher d'accorder monotonie avec lassitude. Cependat son interlocuteur ne tardait pas à montrer sa curiosité, questionnant le cuisinier quant aux origines de ce plat.


Le jeune blondinet s'apprêtait à répondre mais dans un même temps, un jeune couple s'aventurait à son tour dans son stand. Ne prenant pas la peine de dire bonjour, ils s'asseyaient non loin du premier visiteur, encore debout, qui semblait appartenir au Teikoku, au vu du bandeau qui était accroché autour de son bras. Voyant l'impolitesse et n'ayant aucun don sociale, le chef et seul cuisinier leur tenait un béant et lourd " Bonjour ". Rien ne fit, ils s'arrêtèrent un instant et reprenaient leur discussion puéril. Tsuna se tournait afin de répondre à la question qui lui avait été posé plus tôt.


" Non du tout, ce plat n'est pas originaire de Kumo et encore moins d'ici. Ma femme en est l'inventrice et ... "


Il se faisait couper la parole par " l'homme " du couple qui semblait vouloir en apprendre sur les origines de l'animal. Le sawada leur répondait poliment d'attendre patiemment quelques secondes, étant déjà occupé à répondre à un client. Une réponse qui ne semblait pas satisfaire les impolis. L'homme du couple se levant d'un bond, faisant tomber sa chaise par la même occasion. Il semblait outré plus que jamais, levant sa futile voix, il criait sur Tsunayoshi.


" Les clients sont roi ici, on ne vous a jamais vu en ville, vous devez être nouveau et vous vous permettez de satisfaire un membre de ces ravisseurs de put... "


Notre anti-héros qui détestait ce genre humain, laissait son corps réagir avant sa tête. Sa main droite toucha son tatouage de son poignet et y fit apparaitre une hache qui vint entourer sa chaine autour du bras du blondinet. D'un coup sec et rapide il planta sa hache au côté de la main du chien qui aboyait.


" Teikoku ou Kumo, vous êtes pareil à mes yeux. Je fais du cas par cas car la majorité m'exaspèrent et m'énerve. Tu fais partie de cette majorité que je considère comme des déchets et mon stand n'accepte pas les "clients rois" donc partez et cherchez des ennuies ailleurs avant que je ne décide de cuisiner de la langue d'hypocrite. "


Des perles de sueurs coulaient le long du visage du civile, sans perdre une seconde, le couple partait maintenant la queue entre les jambes. Tsuna pouvait maintenant reprendre là ou il en était. Voulant s'excuser de son comportement sans faire fuir son premier client il tenait à lui offrir quelque chose à boire et, tout en continuant son histoire sur les origines de son met il fouillait dans l'une de ses mini étagère afin d'y sortir de la liqueur faite avec du venin de serpent - qu'il gardait seulement pour lui, normalement. - du saké pour les plus conservateurs et de la limonade pour une personne qui n'aimait pas l'alcool.


" Je disais donc que ma femme en était l'inventrice. Elle aimait cuisiner et faire des expériences avec toutes sortent d'ingrédients. Celui-ci est un plat assez spécial. C'est un pain en demi lune contenant des tranches d'agneau d'une rare qualité. Cuit d'une façon lente afin d'en garder la saveur et de récupérer un jus de cuisson qui ne sera pas abimé à cause de la chaleur, ce même jus vient s'imbiber dans la mie du pain. Nous y mettons en plus des tomates, de la salade et une sauce faîtes à base de concombre et de menthe fraiche. Un véritable délice qui réchauffe le cœur et bourre le ventre. "

Il espérait avoir répondu à la question du garçon et lui servait un verre de ce qu'il désirait.


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Kogami Akira
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Mer 15 Jan 2020 - 11:23
Akira fut fi des impolis, c’était monnaie courante et il assimila cela à sa présence. Peu lui importait. Cet homme n’avait pas l’air spécialement contrarié par le fait d’avoir un client Hijine et c’est tout ce qui lui importait. Ce plat avait l’air vraiment intéressant, il aurait été dommage de se faire recaler en raison de ses origines. Akira pouvait toujours invoquer l’autorité de l’empire, mais créer des histoires pour un simple déjeuner serait peut-être un poil trop excessif pour lui. Et de toute manière, le soldat préférait en général manger à l’écart. Sa présence à ce stand était pour le moins exceptionnelle. Tout comme la nourriture présentée.

A sa question fut apportée un semblant de réponse, du moins avant d’être interrompu. Akira aurait bien demandé d’ou venait sa femme et d’ou tenait-elle ce savoir-faire. Après tout, il lui arrivait d’avoir soif de culture et particulièrement culinaire. Lui qui n’avait jamais mangé plus que des restes lors de son enfance, il avait certainement accumulé un manque à compenser. Quel dommage que cela soit gâché par un citoyen impoli et méprisant. S’il se tenait prêt à intervenir, Akira laissa le tenancier gérer le problème en sa qualité de chef. A lui de régler le soucis comme il l’entendait, tant que les choses ne tournaient pas trop mal.

Et alors que l’insulte allait fuser -en lui passant royalement au dessus- l’homme adopta une solution plus radicale en lui clouant le bec, générant une arme par un moyen qui lui était inconnu. Quel était ce jutsu ? Intéressant, peut-être serait-ce tout aussi digne d’intérêt que l’origine de ce plat. Croisant les bras, le soldat silencieux et placide resta observateur devant l’expression de l’agressivité -justifiée- du restaurateur. Ce n’était donc pas un simple citoyen, mais un shinobi. Nul doute que ce client impoli réfléchirait à deux fois avant de cracher son venin désormais.

“ …”

Sans surprises, le couple pris la fuite sans demander les restes. Intéressant, cet homme faisait donc passer son intégrité avant les intérêts financiers et commerciaux. Il était donc, de prime abord, plutôt du genre honnête et intègre. A sa manière du moins. Un soldat de l’empire lambda l’apprécierait sûrement. Et si Akira ne s’était pas senti plus gêné que cela par l’agressivité de cet idiot, il apprécia de pouvoir entendre la réponse à la question qu’il avait formulée plus tôt. Ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait en apprendre plus en matière de cuisine. Et son explication, qu’il nota bien dans un coin de sa tête, lui convint parfaitement.

“ Oh, je vois. Merci pour l’explication. Et vous faites-vous fournir les ingrédients ? “

Dit-il en désignant la liqueur au venin, ce breuvage lui faisant de l’oeil. Tout en attendant d’être servi, une seconde question lui vint en tête. Plus personnelle, il n’eut néanmoins aucun soucis à la poser puisqu’Akira ne connaissait pas la gêne.

“ Pourquoi votre femme n’est-elle pas aux cuisines avec vous ? “

Dit-il simplement. Tenir le stand à deux serait plus productif.
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Nakamura Syoto
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Ven 6 Mar 2020 - 0:22
Cette journée était comme les autres à un détail près, la personnalité du Nakamura avait laissé place à celle de son alter égo : Gin. Bien que son nom eût une consonnance masculine mais c’était bien une entité du sexe opposé. La jeune femme déambulait dans les rues de la cité à la recherche de personne à dépouiller, elle fit d’abord une halte dans une taverne non loin de la place centrale du bourg. Elle y resta une bonne demi-heure, à la sortie de l’établissement elle tenait une dizaine de bourses qu’elle subtilisa en tout discrétion aux malheurs clients. Prudente, elle exécuta des mudras pour faire apparaitre une grande malle, elle y déposa son butin à l’intérieur puis fit disparaitre l’objet. Une femme avec autant d’argent sur elle, allait paraitre suspect il fallait donc dissimuler précieusement ses trésors, oui c’était comme ça qu’elle voyait l’argent voler. La flavescente n’était pas qu’une chapardeuse mais aussi une séductrice hors pair, elle savait faire jouer ses atouts pour obtenir tout ce qu’elle souhaitait.
 
La jeune femme répéta la même opération dans d’autres lieux différents, c’était pour elle une façon de passer du temps et de s’amuser un peu. N’ayant pas souvent l’occasion de profiter de ses moments de liberté, elle maximisait son temps à la prise de renseignements et bien entendu à du vol.
 
Sa journée de travail étant finie la femme à la longue chevelure prit la route pour rentrer chez elle. Sur le chemin du retour la Kumojine remarqua un stand bien différent des autres, l’odeur qui venait de cet établissement lui semblait bien particulier. Par curiosité elle se dirigea vers ce dit stand pour essayer d’en savoir plus sur les aliments préparés. Sa nature de voleuse prit de nouveau le dessus, elle fit donc exprès de percuter le grand homme qui se tenait devant le stand. Durant le moment de confusion elle fit les poches du Teikokujin sans même qu’il s’en rende compte, malheureusement pour elle ce type était fauché.
 
« Quelle gourde je fais… Je ne vous avais pas vu, vraiment désolé… »
 
La jeune femme devenait rouge de honte mettant ses mains devant son visage pour que le monsieur ne la voit pas dans cet état. Evidement qu’elle jouait la comédie, il lui fallait bien plus que ça pour être dans un état de honte. Après quelques instants, la kunoichi reprit ses esprits en dévoilant son visage. Celle-ci n’avait qu’un seul œil apparent l’autre était dissimulé par sa tignasse dorée.
 
Elle s’adressa ensuite au blondinet.
 
« Un homme au fourneau ? C’est un homme à marié ! » dit-elle avec plein de malice dans la voix.
 
 
Cette fois-ci elle s’adressa aussi bien au Teikokujin qu’au Kumojin.
 
« Moi c’est Gin ! Enchanté messieurs. »
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Sakana Ayanokoji
Sakana Ayanokoji

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Ven 6 Mar 2020 - 8:57
« Tu tires ou tu pointes ? Choisis Ayanokoji-kun ! »

Héo, il ne me la faisait pas à moi mon oncle. Je connaissais parfaitement cette petite expression, j’en étais même l’inventeur – ok peut-être pas-. Moi j’étais un peu mi figue, mi raison, il m’arrivait de pointer et des fois de tirer. Assez polyvalent dirait-on…

Cette fois, ça n’avait pas été mon jour de chance puisque ma tentative de tir s’était soldée pas un échec. Il m’arrivait d’être nullos malgré mon expérience et surtout le temps que j’investissais dans ce sport super reconnu qu’était la pétanque. Pour moi la pétanque, c’était un art, il fallait le partager aux autres et surtout parvenir à le propager dans le monde entier.

Il y a peu, je m’étais donné comme objectif de créer une association de pétanque. Au début j’avais imaginé la p’tite assoc’ tranquillou bilou, ça vend des crêpes une semaine sur trois, quelques gyozas pas très bons et un peu d’alcool pour les messieurs mais finalement… je m’étais penché sur quelque chose de plus ambitieux : une fédération.

Et c’est comme ça qu’était née la FKP. La Fédération de Pétanque Kumojin, la seule, l’unique !

« Bon le vieux, ça ira pour aujourd’hui-.. »

Vlaaam, petite tape sur la tête pour me faire retirer mes dires, mon oncle n’appréciait pas que je l’appelle comme ça. Pourtant il était assez âgé, du coup ça collait bien… Fin bon !

« On va manger quelque chose ensemble ? »

Dis-je en lui faisant un grand sourire avec ma gueule d’ange. Avec un peu des chances, des rayons de soleil appuieraient mon côté angélique.

« Raaah non, je suis un peu fatigué. La pétanque c’est quand même usant, je passe mon tour pour cette fois. Prends ça. »

Bim il m’envoya son porte-monnaie. À la réception de ce dernier, je sentis qu’il était plutôt léger. Je n’allais pas pouvoir faire des folies. Mais quand même, c’était cool de la part de mon oncle que de me filer sa bourse. J’étais payé après tout, j’avais de quoi de faire mais il continuait encore et encore à m’épauler… Un gus cool mon oncle, vraiment très cool.

« Merci, à toute le vioc ! »

Et je pris la direction des quartiers populaires pour trouver quelque chose à manger. J’adorais vraiment la nourriture locale. Quelques minutes plus tard, je fus attiré par une odeur pas très habituelle. Je connaissais pas mal de trucs ici mais cette odeur là, je ne l’avais jamais sentie. C’était bizarre mais… attirant ! Avec ma petite sacoche contenant les boules de pétanques, je rejoignis le stand de nourriture.

Une explication était en cours, apparemment c’était l’invention d’une gentille dame. Du pain, de l’agneau ? Waouw mais, ça donnait grave envie ! J’en salivais rien qu’à l’entendre. Non mais… j’en voulais absolument ! Je n’étais pas le seul intrigué, un paquet de gens l’étaient et me paraissaient eux aussi décidés à attaquer !

« Salut salut ! Je vais vous prendre un… euh... »

Je me permis de lire ce qu’il y avait écrit sur la pancarte.

« Un kébab ? C’est bien ça ? »

Dis-je avant de repenser à ce que le m’sieur avait dit.

« Waouw, ça me donne trop envie ! La sauce à la menthe, la viande de qualité cuite lentement, le pain imbibé… Je remercie les dieux de nous permettre de manger ces choses-là. »

J’avais les joues roses, comme si j’étais face à une belle damoiselle… Je priais pour que ça soit excellent puisque là, le m’sieur l’avait super bien vendu héhé.
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