Hiver 205,

L’hôpital de Kumo, le temps est hivernal et le temps est plutôt grisâtre, à croire qu’il va commencer à neiger au sein du pays de la foudre. Dans une chambre dans l’établissement médical, on peut y trouver une jeune femme allongée dans un lit, très affaibli et avec de l’aide respiratoire. Cette jeune femme n’est d’autre qu'Okita Sakura et ayant perdu beaucoup de poids, presque méconnaissable. Elle s’y trouve depuis la fin de sa mission à la recherche d’un homme capable de communiquer des informations cruciales pour stopper Reijiro et son armée d’Edo Tensei. Sa dernière mission, il semblerait que cela a été une réussite et là-dessus, elle se sentait rassurée que son aide ait pu marquer sa contribution dans la bataille contre Sakaze Tôsen et le Ningen. Son katana, Benihime était placé contre un mur tout comme sa wakizashi, Muramasa, armes qui ont été donné par son père avant son décès. Aujourd’hui, elle les transmet à sa jeune sœur, Sayuri pour protéger l'héritage familial. D’ailleurs, assis sur un fauteuil à côté droit du lit de Sakura, il y avait sa cadette avec un air triste qui lui tenait la main. La cadette avait un Hokazuka lionne qui ce dernier était assis à la gauche de sa maitresse et patiente tandis que le guépard de sa mère était présent et un peu déprimé, à la gauche de Sakura. En effet, il y a quelques mois, leur mère est décédée de sa maladie. Finalement, c’est une tragédie pour la famille Okita.

Sakura a été affecté par le décès de sa mère et sachant son temps approcher, elle n’avait plus la force pour se battre. Sayuri allait se sentir seule, au monde et elle avait tant perdu en si peu de temps. Cependant, il n’était pas question que sa petite sœur se laisse dévorer par le chagrin, car tout ce que souhaitait Sakura, c’est qu’elle ait un avenir radieux. Soudain, Nozomi et sa tante, Anko entrèrent dans la chambre afin de tenir compagnie aux Okita. La famille était réunie et pourtant, malgré la joie de la Genin, elle se sentait vraiment trop faible. Anko, malgré la perte de sa sœur, se montre maternelle avec ses nièces et surtout avec Sakura dont elle prend soin en allant la laver avec l’aide des filles afin de ne pas avoir du mal. Par la suite, elle l’habite assez bien en la replaçant dans le lit. Cela faisait quelques années qu’elles étaient à Kumo et elles ont toujours été forte ainsi qu’uni malgré les difficultés. Le temps passe vite, mais il reste malheureux que le mal n’est pas que le chakra, mais aussi les maladies qui n’ont pas encore été traité avec la découverte de vaccins ou sérums. Patientant après une infirmière, elles allaient discuter un peu.





Dit-elle en pleurant tandis que Nozomi, la cousine, vient prend Sayu dans ses bras et lui faire un câlin pour la calmer.

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Dit-elle en cherchant à la réconforter malgré ses yeux larmoyants. Sakura les observe malgré son regard fatigué et elle se met à prendre la parole. Après tout, il était inutile de voir une quelconque illusion d’un miracle. Elle sait que son heure est pour aujourd’hui et autant utiliser ses dernières forces pour leur parler, une dernière fois.



Sakura a eu pas mal de souci à terminer cela, parler demander trop d’effort pour l’ancienne Onna-Bugeisha. Des larmes perlent sur ses joues, même si elle a accepté sa fin, c’était impossible de ne pas craquer sous l’émotions de voir ses proches pleurer son départ de ce monde. Elle aurait aimé rester et veiller sur sa petite sœur, encore plus longtemps. Cependant, le destin en a décidé autrement et elle ne pouvait pas lutter contre la destinée. Or, tout ce qu’elle espérait, c’était que ses proches puissent vivre leur vie pleinement et avoir un avenir radieux, malgré son absence. Anko lui sourit tendrement et dépose un baiser sur son front.





La cadette se rapproche; en larme et s’allonge au côté de sa sœur aînée tandis que le guépard de leur mère les observe et Yoko, la lionne de Sayuri pose son museau sur le lit, attristée.



Finit-elle la prenant délicatement dans ses bras et posant sa tête contre sa poitrine. Sakura sourit tendrement, disant un simple merci, même faible pour tous ces mots. Maintenant, il fallait patienter jusqu’à tant que la mort vienne la chercher.