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[Teikoku] Les cendres fertiles et l'insurrection du Dieu du Ciel

Shinrin Hanzo
Shinrin Hanzo

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Jeu 19 Mai 2022 - 18:40
L’Empereur se leva d’un sursaut. Une migraine absolue l’affligeait, mêlée aux reliquats tonitruants des cauchemars qu’il venait de vivre. Depuis plusieurs jours, son sommeil était tourmenté. Son corps toujours endolori et las de la bataille qu’il avait eu contre le félon Inuzuka Seimeiten ne cessa de lui rappeler à quel point son ire était justifiée. Il avait eu de vagues nouvelles du Sommet de la Coalition, mais attendait encore d’avoir un rapport complet évoquant à l’encre indélébile le canevas du destin à parcourir pour vaincre cette nation qu’il avait menacé de sa propre personne, lorsqu’il avait fait s’abattre une comète majestueuse sur les toits de Tsume.
Dire qu’il n’avait jamais eu de repos était un euphémisme. Tout s’était accéléré depuis la mort de son frère, et sa colère n’avait fait que grandir à mesure que le rang de ses ennemis ne faisait que s’alourdir. Il avait tenté de gouverner avec philosophie, d’apparaître en odeur de sainteté au sein de son propre Empire pour faire prospérer la félicité de son peuple. L’expérience lui avait appris qu’il avait eu tort, et que seule la force lui permettait de pouvoir encore avoir son assise sur le trône de bois gravé des motifs de feu d’Urahi.
Et pourtant, une question ne cessait de le tourmenter : et s’il avait raté quelque chose ?

Alors qu’il sortit de son couchage, il remarqua qu’à son propre insu les ailes de son Dieu intérieur s’étaient formées le long de sa colonne vertébrale. De larges appendices tégumentaires avaient déchiré le voile de ses vêtements sans qu’il ne décidasse de leur essor, et il conçut, à cet instant, que la situation ne tarderait pas à devenir critique. Ses forces s’étaient étiolées, et son esprit affaibli cédait de plus en plus de place à ce démon scellé à l’intérieur de son enveloppe charnelle. En proie à cette constante guerre du tous contre tous, il avait ouvert des fenêtres d’émancipation qu’il ne sut clore avec les forces restantes de ses différentes rixes. Ces ailes, apparues contre son gré, furent le premier symptôme qui lui permit de réaliser l’imminence du danger.
Quelques minutes plus tard, sa peau se lézarda d’un exosquelette membraneux, puis le Dieu du Ciel frappa.

Hanzô se recroquevilla sur lui-même, poussa un cri de hardiesse en bandant tous ses muscles et enveloppa sa tête de ses doigts, comme s’il tenait un soleil brûlant entre ses paumes. Des visions s’accumulèrent dans sa boîte crânienne, autant de souvenirs de lui-même que de l’être plurimillénaire qu’il avait enfermé sous sa peau.

« Abstiens-toi de me provoquer, abstiens-toi de me provoquer, abstiens-toi de me provoquer ! Abstiens-toi… de me résister ! »

Ses bras s’écartèrent vigoureusement en croix, alors qu’il poussa un hurlement sauvage et que jaillirent de lui des méandres de chitine et des flots de chakra à n’en plus finir. Ses yeux s’écarquillèrent devant la torture que son parjure lui imposait, et devant le tumulte rugissant de Nanabi qui tentait d’éclore de cette enveloppe charnelle, l’Empereur irradia de filons de chakra qui s’agrippèrent à tout va autour de sa position, cherchant avec désespoir ses pantins pour contrôler la colère d’une antique force de destruction. Plus qu’une rébellion, ce fut une punition que lui infligea son Dieu scellé : pour avoir trop joué avec le fil ténu de sa propre vie, Shinrin Hanzô accumula trop de cicatrices pour que ce cocon de chair et de sang qu’était son corps continue d’être une chrysalide assez solide pour empêcher le Dieu d’éclore.
Tel était le danger des hôtes. Là où il y avait une brèche, on trouvait le regard avide d’une créature prête à agrandir la plaie pour dévaster son sujet, sur l’autel d’une explosion de chair dont elle se régalerait avec avidité, comme pour se venger d’avoir été trop longtemps retenue prisonnière.

« Mais ce n’est pas du monde extérieur dont tu dois te soucier, Nanabi. »

S’évertuant à déchirer l’enveloppe charnelle dans laquelle il était retenu, le Dieu du Ciel ne réalisa que trop tard que son hôte avait retourné le processus contre lui et s’était instillé dans le royaume interdit de son âme. Il n’eut qu’une seconde pour tenter de se retourner, avant que d’être agrippé par une multitude de fils qui s’occupèrent de le faire ployer par une pression écrasante contre la dalle de son propre temple. A cet instant, les yeux de l’Empereur s’enflammèrent d’une avidité brûlante d’assujettir cette force intemporelle à sa propre doctrine. Une lutte intérieure s’engagea entre un Homme et un Dieu.

* * *

Au dehors, le Palais Impérial était déjà envahi d’extensions filandreuses, comme une toile maudite d’où s’écoulait du mucus et de la sève mélangés. Une sorte d’antre s’était formée, et on eut dit que l’Empereur habitait à présent dans un nid d’insecte géant. Soulevé à plusieurs mètres du sol, il devint le centre névralgique de tout une extension de tissus chitineux et organiques, mélange de Dieu et d’Humain. Nul ne pouvait voir qu’à l’intérieur, il continuait d’essayer de dompter un Dieu rebelle. Pour autant, à l’extérieur, des bribes de conscience continuaient d’agiter les quelques spasmes qui le secouaient parfois.

Dans sa torpeur, la Chose cabalistique qu’il était en train de devenir avait parlé, dans un entremonde entre le songe et la réalité. Happé dans cette tornade asymétrique l’obligeant à lutter sur tous les fronts, entre le devoir de régner dans un Empire extérieur et celui de devoir dominer son destin dans un Temple intérieur, Hanzô parvenait, lors de rares éclairs de lucidité, à donner la voie.
Se sachant vulnérable à cause de la Crise de Nanabi, il dût se résigner à faire des choix pragmatiques, et la foule qui se massa dans son antre divin et qu’il surplomba de son trône de chitine apprit, par ses vœux, ce qu’il convenait de faire.

« Je bénis le jour qui vous a vu naître, fit un homme contemplant le spectacle de cette lutte intérieure et de cette mise en scène théâtrale de deux forces majeures qui continuaient de s’affronter. L’Empereur a dicté ses ordres. Que sa volonté soit faite. »

Et la foule, de se mettre au labeur, se hâta.

* * *

Il fallut plusieurs heures pour les réunir. Au sein du Palais Impérial, ils se hâtèrent de se présenter sous la coupe maudite d’un être transcendé par la Crise d’un Dieu détenu en son propre intérieur. L’Empereur était muet, comme plongé dans un coma dont il ne jaillirait que pour une consigne précise. Eu égard à ce qu’on savait de ce qui venait de se produire, nul n’osa commettre l’effronterie de juger son titre. Tous savaient qu’un jour, Shinrin Hanzô redeviendrait l’Empereur du Feu, car jamais il ne s’était détourné de son devoir de Teikokujin. En l’attente de sa résurrection toutefois, ils furent ceux choisis pour reprendre les rennes d’un Empire ébranlé.
Ceux qui feraient l’avenir des terres du Feu.

Les nouveaux Capitaines.

Ce post marque la fin de la guerre civile liée à l'Alerte Inuzuka, ainsi que le début d'une nouvelle ère pour le Teikoku.
Suite à une lutte acharnée menée contre le Bijuu scellé à l'intérieur de lui (Nanabi), l'Empereur du Feu s'est enfermé dans une sorte d'antre fonctionnant à la manière d'une chrysalide à l'intérieur d'une des pièces du Palais Impérial, mettant ainsi son corps en stase afin de faciliter le combat intérieur mené contre le Dieu du Ciel.
Par sursauts de conscience, l'Empereur du Feu parvient encore à donner ses directives à partir des éléments qui entrent en sa possession. Tout ce qui lui est rapporté est retenu dans sa mémoire, bien qu'il ne puisse que très rarement s'autoriser à revenir à la réalité, au risque de laisser trop de terrain à Nanabi.
Ainsi, les nouveaux Capitaines et son Porte-Parole seront chargés de transmettre ses ordres à sa place, tant qu'il n'aura pas terminé sa lutte intérieure.
Bientôt seront introduits les nouveaux Capitaines (PNJ), lesquels vous permettront d'en savoir plus sur ce qui attend l'Empire.
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Shinrin Yoshio
Shinrin Yoshio

[Teikoku] Les cendres fertiles et l'insurrection du Dieu du Ciel Empty
Lun 23 Mai 2022 - 21:12
De timides rayons perçaient à travers d’opaques nuages lorsque la Capitale s’éveilla avec ses marchés d’épice, de poissons et de fruits. Les odeurs d’arômes se mélangeaient encore à celles de l’humidité et de la moisissure, reliquat des âpres combats qui avaient déchiré la Capitale des semaines plus tôt. D’abord calmes, les rues se mirent à grouiller de vivants écumant les allées bondées de marchandises comme le soleil se plaisait à jeter de plus en plus de clarté sur les étables, au milieu des soldats encore affairés à inspecter les bâtisses usées par les inondations ou dévastés par les combats ; à leurs trousses, des prévôts chargés de faire les bilans financiers et matériels cochaient différentes cases, indiquaient des prix à vue d’œil après avoir, parfois, étudié des objets pour vérifier leur authenticité.
Le tintamarre des roues défiant le pavé survola la clameur des marchés bondés et la délégation passa comme un orage qui ne gronde qu’une fois, puis s’évanouit dans les brumes. Autour d’elles, des soldats bardés de plaques métalliques grimées des couleurs vertes de jade trottinaient à la même cadence, à quelques détails près, si bien que le tambour régulier de leur foulée se voulait presque uniforme, se calquant sur le sabot des chevaux. Sur leurs armures ceintes de chaînes d’or véritable, des motifs de feu noir trahissaient leur allégeance pour l’Empire et leur dévotion pour celui qui en était le chef absolu ; toutefois, sur leurs bannières, la représentation d’une fleur d’amandier vue du ciel, prisonnière d’un cercle à cinq arcs, soulignait un alignement connu de la plupart. Le clan Shinrin. Mais il y avait un détail que seuls certains connaisseurs purent distinguer de l’original ; visible, certes, mais signifiant pour une caste très spécifique de combattants. Plus qu’un clan, cela désignait une personne. Sous la fleur d’amandier caractéristique du môn du clan Shinrin, il y avait d’ordinaire un polygone à cinq pointes, égales au nombre de pétales. Ici, il n’y avait plus de pointes ; le tout représentait un cercle noir parfait, donnant de l’arrondi aux pétales et une fleur d’apparence plus obtus.
Ce n’était donc plus la fleur d’amandier, la première à fleurir après l’hiver. C’était le liseron des champs, que les fermiers appellent aussi « boyaux du diable ». Une plante aux fleurs opalescentes d’un rare cachet, certes, mais qui cache un bien sombre secret : pour vivre, le liseron des champs s’enroule autour des autres plantes, les étouffe et plante ses racines à leur place.

Après avoir traversé la Capitale en flèche, la procession s’arrêta au pied du Palais Impérial. La calèche qu’ils escortaient était décorée de motifs boisés, et lorsque la porte s’ouvrit, un homme masqué et couvert de pierres précieuses et d’accessoires en or en descendit, le pas léger, ses beaux cheveux noirs balayés par les vents. Tout en lui exhalait la richesse. Et pour le montrer autant, c’est qu’il aimait s’en parer, comme s’il voulait faire savoir que les ryôs coulaient à flot dans sa trésorerie. Son escorte referma la porte de la calèche, et les hommes se mirent à sonder l’environnement puis à se placer comme une haie d’honneur.
Derrière son masque noir, l’homme parut décontenancé par tant de manières. Après avoir avalé sa salive, il avança néanmoins d’un pas franc et décidé.

Il préférait de loin l’oisiveté de son domaine, ses tissus brodés et ses riches décorations. Se trouver ici ne lui disait rien qui vaille, pour la simple et bonne raison qu’il n’en avait pas décidé ainsi. Cela avait le mérite d’être surprenant, voire même déroutant pour le commun des mortels. Pour autant, futé comme il pouvait l’être parfois, il savait très bien les tenants et aboutissants d’une telle pirouette politique, et là où les autres voyaient une tentative de réconciliation entre l’Empereur et son clan, lui savait qu’il n’y avait pire pied-de-nez adressé à son père.
Tel est le sort que le destin réserve au lignage. Les problèmes s’héritent de père en fils.
Et c’est encore pire lorsque le père en question se nomme Shinrin Kanshisha.

D’un geste de la main, Yoshio congédia son escorte et entama seul le périple de marches qui le mèneraient jusqu’à l’antre maudite de Shinrin Hanzô. Chemin faisant, il croisa bon nombre de gardes qui inclinèrent du chef en zieutant les parures éclatantes de l’ombrageux fils de Kanshisha. En tant qu’héritier connu, Shinrin Yoshio n’eut même pas à quémander le respect : l’aura de son père gravitait autour de sa personne et imposait une terreur sourde dont il ne mesura même pas l’étendue. Il ne lui fallut que quelques minutes pour escalader la tour où se terrait le dévot du Dieu du Ciel, sanctionné du parjure de la guerre. Il arriva bientôt devant une porte couverte de méandres résinifères d’où coulait une sève noirâtre, et il n’eut qu’à tendre la main pour que les battants réagissent sans même qu’il ne les touche : il était attendu.

Devant lui se dévoila la scène apocalyptique de l’Empereur luttant contre lui, érigé à plusieurs mètres au-dessus de son dallage, suspendu dans les toitures comme une araignée sur sa toile. Autour de son corps se formait déjà un large cocon, une chrysalide qui lui bouffait les jambes et ne laissait dépasser que son buste et sa tête. L’homme, les paupières closes, ne daigna même pas réagir à cette irruption. Mais Yoshio savait qu’il était entendu.
Alors, en tant que nouveau Porte-Parole, il obéît à son rôle.

« Votre Altesse. Shinrin Yoshio, votre obligé. A votre service. »

Comme l’Empereur du Feu ne répondait pas, l’intrus inclina la tête et posa ses yeux sombres sur le réseau filandreux qui hantait la pièce. La sentence était lourde, et le jeune homme se figura qu’il préférait que ce soit lui, ce cousin germain, qui fut projeté dans l’abîme de l’ultra-responsabilité : celle de se faire obéir d’un Dieu, en même temps qu’il devait se faire obéir d’un peuple.
Mais à ce rôle, il l’avait choisi pour agir en son nom. Au sein du clan Shinrin, nul n’en ignorait totalement la raison.

« Mon père vous transmet ses hommages. Il salue également l’habileté avec laquelle vous venez de le chasser de la course au pouvoir, en me nommant pour vous seconder. Lui-même n’ignore pas à quel point peuvent être précieux les otages politiques, comme je le suis depuis que vous en avez décidé ainsi. Aux grands maux, les grands remèdes. Sachez néanmoins, Votre Altesse, que je ne suis ni le pantin de mon père… »

Yoshio, de colère, fronça les sourcils et, s’il n’avait eu ce ruban pour dissimuler sa bouche, il n’aurait rien caché de cette grimace de déplaisance.

« … ni le vôtre. Je mesure l’ampleur de la responsabilité qui m’attend, surtout depuis que vous êtes enfermés dans le monde des songes. Derrière cette pirouette politique, je présume qu’il y a aussi de la confiance ; de la mesquinerie, à l’évidence, puisque vous m’avez choisi pour empêcher mon père de revendiquer le titre qui vous revient ; mais de la confiance, aussi. Vous savez à quel point les idées sont précieuses à mon cœur, autant que peut l’être le ciel à la terre. Je ne vous reprocherais pas de vous servir de moi comme vous le faîte ; d’écarter mon père comme vous l’avez fait, en m’utilisant comme un pion. Je ne vous le reproche pas, car cela relève d’un trait de génie. Je vous avise, cela dit, qu’au-delà de la fidélité, il y a les causes. Et la cause que je sers dépasse ces bassesses auxquelles vous vous livrez. »

Yoshio infligea ces remarques comme s’il se parlait à lui-même, en sachant qu’il n’aurait guère de réponse. Aussi recula-t-il, ayant tout dit ou presque.

« Pour mon père, pour le peuple et le clan Shinrin, je défendrais le Teikoku tel que je le conçois. »

Et sur ces belles paroles, Shinrin Yoshio, nouveau Porte-Parole, disparût dans les ombres.

Shinrin Yoshio est nommé Porte-Parole de l'Empereur du Feu.
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