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Sam 8 Jan 2022 - 8:38


Confronter le vent...
風に立ち向かう








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Sam 15 Jan 2022 - 17:31


Confronter la faune...
野生生物に立ち向かう






La fixer. De derrière ces verres. Ces hectares d’ers. Pâture brune, austère. Par où trimaient l’aride et l’amertume. Exempt de présence. D’un souffle. Si ce n’était les vrombissements d’un ascète. Les tambourinements d’un cœur. Les frémissements d’un derme. Coulait l’hidrorrhée. Le derme suintant d’abattage. Écorce roussie de par ces rayonnements. L’empourpraient de tiédeur. La lichaient à en faire s’exsuder ses excrétions. Etuve naturelle. Raison pour laquelle l’humus semblait si aride. L’air si sec. Qui rendait la coexistence si ardue.

Concubinage éprouvé. Promiscuité de mise. L’endurer pour d’éphémères aumônes. Longeaient la croissance. Lorgner l’accroissement. L’embellie, même de sa maigre lueur. Et faire en sorte de la croiser. Ne serait-ce qu’un peu. Un tant soit peu. Etait-il temps de s’y plonger. Se défaire de condition. Rejeter tout conditionnement, même. Germaient ces graines atones. Miser là-dessus. Alors, s’évertuer de patience. S’attifer de constance. La plus dense. La plus succincte. Dans les limites du possible. S’imager pouvoir le faire.

Et dans sa grande densité. Y lorgner ces artères dorées. L’allée lumineuse et luxuriante. Confronter à de réels aspects. Confronter différents aspects. Se vouloir sibyllin. Demeurer abstrus. Alors, non dans l’idée d’accroitre avec facilité. S’en persuader. N’y avait-il aucun autre moyen que l’image. La concentration. La focalisation. La concentration sur ses images. Trust de conception. S’imaginer se défaire de l’éphémère et du conceptuel. L’alizé et l’azuré. Le vent et les eaux. La tempête et l’ouragan. Focaliser sur l’image. Trust d’images.

Alors même s’affranchir de code. S’en désaxer encore plus. Dissoudre l’appui physique. L’accotoir visuel. Déifier l’image. Uniquement l’image. Concept de mise. Alors dans cette même lignée, le cortex qui devenait complexe. Qui s’intensifiait. Décharger à quel point pouvait-il être terrifiant. Alors essayer. S’y plonger. Sans retenue. De ce qu’elle pouvait admettre, la verve. La finesse de sa création. Alors y plonger, encore. Débutait-elle son édification. En lorgner les coutures. Ses contours. L’aspect bourru. Faire éclore son aspect. Bruiner sa concision.

De fil en aiguille alors le densifier. Y griffonner dorures et consistances. Toutes ces aspérités. Frissons haletantes. Que s’effrite la peau. Se dégauchi le pelage. À l’instant même, l’avoir éprouvé. Sa présence. Tonitruante présence. Image qui giclait. Donnait impression d’existence. Comme s’il avait déchiré la toile séparant la psyché d’une réalité brûlante. L’animal aux décatonnes. Nombreux mètres. Belle envergure. Qui procurait ses impressions. Boursouffler l’asphalte de sa non-existence. Vrombir à en briser l’air, lui-même. Bête de l’imaginaire.

Qui constituait ce en quoi l’esprit pouvait-être terrifiant. Ce en quoi l’image pouvait être efficace. Terriblement efficace. La première volée de coton d’emblée. L’atrocité qui déchaîna sa furia. Décocher son extension. La position qui ne dénotait pas. Ne le ferait plus, maintenant. La main droite ci-contre le flanc. Prunelles au combien fixe. Genoux fléchis. Sans pouvoir faire autrement. Tellement était-il réel pour l’esprit. Geste rapide. Celui d’un écart. Projection du corps sur un côté. Echappé au premier tambourinement. Se défaire de tous les autres, ensuite.

Férocité à l’aspect gargantuesque. Sans doute d’envergure supérieure à ses congénères. Sans émettre la pensée. Pas un seul instinct. Focus. Pourtant, la certitude de passer pour fou si lorgner par d’autres. Aliéné qui s’évertuait à s’évader d’une masse invisible. Qui écharperait à son tour l’imaginaire. Mirer le faire. Compter pourtant le bon moment. Tempérer. Aspérité qui ne quémandait pas ici vivacité ou précision. Dont la consistance de l’esprit était telle que l’imager dense. Si dense qu’il était impensable de le faucher. Du moins, si aisément.

Qui quémandait de la force, ici. Beaucoup d’entre elle. Pour ne serait-ce qu’espérer son écorce. Séparer son derme. Le dessiner si compact. Sous plusieurs couches. Animal à l’autorité d’une montagne. Alors compter. Encore et encore. Et tempérer. Se dérober d’assauts carillonnants. Qui martelaient ces fines herbes. Profiter pour s’y préparer. Echafauder les muscles à chaque appui. Avant tout ceux du tronc. Des bras. Des jambes. Pour un seul appui. Et lorgner. Lorgner l’insanité qui se déchainait. Ses crochets d’ivoires qui embrocheraient quiconque pénétrait son maaï. Paturons qui écacheraient quiconque giclerait dans son périmètre.

Petite erreur de calcul bénigne. La force, certes. Mais timing. Indubitablement, du timing. Tempérer. Encore tempérer. Profiter de son abattage pour entamer une avancée. Une première. Le leurrer. Lui laisser la peine de réagir. Pleuvoir de sa toute-puissance. Férocité qui trônait au-dessus. L’image qui n’avait aucune brèche. À l’épiderme immaculé. Sans fioriture. De son piédestal. Qui n’avait sans doute jamais été challengé. Qui était né avec sa couronne. Qui l’avait demeuré, depuis. Alors sans s’en douter. Qu’il en existait.

Aux crochets beaucoup plus acérés qu’il ne pouvait l’être, lui-même. À l’appétit beaucoup plus excessif. Entamer cette approche et la mirer, enfin. Cette possibilité. Après tant d’attendre. Encore. Tant de tempérance. Aurait-il été temps de le lui rappeler, à son tour. Qu’il ne restait qu’un herbivore, prédaté par plus avantagés que lui. À cet instant. Décharger les crocs d’Ikomikidomoe de toutes mes forces. Confronter la faune et la lui montrer, l’agonie.



Chanbara [Solo] 6cr2

« IAI »

居合

- litt. Dégainer. -

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Curiosité qu’était le système humain et sa psyché. Comment l’admettre, alors. Que la charpie semblait marteler alors même qu’il de n’agissait que de cela, depuis le début. La psyché…
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