Afin de satisfaire sa demande, Arima s’était mis dans la tête de discuter avec quelques hommes du village. Pas se lié d’amitié avec eux, mais au moins discuter. Le rapport avec sa « demande » et bien… Comment dire… Il voulait tout simplement apprendre à effacé cette haine envers les hommes. Certes, certains le méritait amplement, et il n’y parviendrait d’un claquement de doigts non plus, mais bon, qui ne tente rien n’as rien. Sa haine envers les hommes était problématique, notamment en mission en coopération avec d’autres membres du même sexe. Et bien qu’il arrivait à faire avec, il savait que ce n’était réalisable que sur des missions « courtes ». Sur des missives plus longues sur la durée.. Outch, il doutait pouvoir y parvenir. Mais avec qui parler ? Un inconnu ? Quelqu’un qu’il connaissait déjà ? Plus vieux, plus jeune ? Même grade, plus gradé ? C’était un coup à se donne mal à la tête… Il avait tendance à trop réfléchir, et ça lui jouait encore des tours. Enfin ce qui est fait est fait, inutile de s’y attarder de toute façon. Il se dirigea donc vers un stand de ramen, vu l’heure tardive de la journée, et se permis une petite coupe de sake pour accompagner son bol de nouille, et surtout, ses dangos adorés.
Il s’étira après s’être assis, attendant sa commande calmement, tandis que dans sa tête, les questions se bousculaient encore une après l’autre ? Il secoua alors calmement la tête de droite à gauche, histoire de chasser tout ça de sa tête et se vider un peu l’esprit, pour savourer son repas. La coupe de sake arriva en première, au grand plaisir du jeune shinobi qui la saisi calmement et la sirota. Il frissonna, bon sang, il était corsé celui-là ! Il se dépêcha de finir la coupe et la reposa en voyant son bol de nouille venir. Chouette, il commençait VRAIME NT à avoir faim. Séparant les baguettes, il remercia le chef qui lui avait apporté son plat et commença alors la dégustation. Ce n’était pas la première fois qu’il venait, et pourtant, le cuisinier parvenait encore à le surprendre avec le gout de ses plats… A croire qu’il s’améliorait de jours en jours !
- Divin…
Il regarda son bol avec délice et repris sa dégustation sans plus attendre, se revigorant le corps et l’esprit par le gout délicieux qui envahissait sa bouche. Il fallait vraiment qu’il emmène Shiori ici un de ces jours. Un peu de détente ne lui ferait pas de mal, enfin, en supposant qu’il trouve le temps, bien entendu ! Il termina par la suite le bol et décida de rester un peu, regardant les étoiles en se penchant légèrement en arrière. Le ciel était dégagé pour une fois… Et il n’allait pas s’en plaindre la vue était magnifique.
Rencontre culinaire Voila deux semaines que Shioshi se nourri essentiellement de racines qu'il trouve dans les bois. Il vient de faire une indigestion et décide donc de se rendre dans les rue pour se trouver un repas digne.••• Voila deux semaines que j'étais parti dans les marais afin de mettre fin à mes jours. Un super plan en théorie, mais résultat des course? Une indigestion avec un mal de bide et une diarrhée sanglante! Encore une fois j'avais raté ma tentative de suicide et je commençais a penser que le destin voulait que je vive. J'avais donc rejoins mon appartement où je comptais savourer un repas, mais un petit problème était arrivé. il se trouve que mon frigo avait sauté et que toute ma nourriture avait faisandé. Il n'y avait plus rien de bon, juste tout à mettre au composte pour le potager. Mon problème n'était toujours pas résolu, j'avais faim. Je pris quelques pièce dans mon tiroir à pièce et je me rendis dans la ruelle des restaurants. Bien évidement mon calvaire ne faisait que commencer, tous les restaurants bio étaient fermés. Il restait la un stand de ramen, ça ne m'attirait pas mais il fallait que je mange!
-Bonjour monsieur, est ce que vous avez des légumes bio?
-Salut p'tit bonhomme! Euh.. elle est bien étrange ta question, je ne comprend pas vraiment... Enfin bon il est tard! Tu veux un bol de Ramen, je te rajoute des légumes dedans si tu le souhaites!
-Oui
L'homme me prépara un bol avec un supplément légume. J'allais manger ça mais c'était bien parce que j'avais faim. Qui aurait bien voulu manger un bol de ramen au blé blanc.. Je suis sur qu'il n'y avait pas non plus de ramen a l’épeautre. Ne parlons pas des légume qui devaient provenir d’Espagne et produit par Monsanto... Mais, il fallait que je mange. L'homme me donna donc ce bol de nouille et je commençai à le manger. Je pris beaucoup de temps, si bien qu'il y eu le temps à une nouvelle personne de rentrer dans le stand, de commander et de manger. Quand j’eus fini l'homme était toujours présent malgré son assiette fini. Il semblait regarder le ciel et surtout avoir apprécié le repas. Je trouvais cela bien étrange, je me demandais même si cela était possible d'aimer un repas non bio. Je pris la parole.
-Bonjour monsieur, je me posais une question, auriez-vous apprécié ce repas? Car ce n’était pas Bio donc du coup je ne comprend pas comment on puisse aimer ça?
Légumes bios ? C’est bien la première fois qu’il entendait ce genre de termes. Enfin, il en avait déjà entendu parler, certes, mais il avait toujours cru que ce n’était qu’une façon de parler… Il se contenta alors de haussait les épaules, se disant que ça ne devait pas affluence le goût tant que ça, si ? Bah, ce n’était pas vraiment important dans le fond, un repas reste un repas. Il se contenta alors de répondre calmement en reportant son regard sur le jeune homme, prenant sur lui pour ne pas cracher quelques cinglantes insultes de par sa condition masculine.
- Je préfère manger ça que laisser mon corps s’auto dévoré pour survivre. Et je n’ai pas trouvé ça mauvais qui plus es…
Il s’étira un peu et se commanda une simple tasse de café, noir, afin de digéré plus calmement et efficacement son repas. Qu’est-ce que ça pouvait bien faire de toute façon, bio ou pas, des ramens restes des ramens, non ? Enfin, ce n’est pas le fait qu’ils soient bio qui va changer drastiquement le gout ? Si ? Il n’en avait pas la moindre idée, et dans le fond, il s’en fichait pas mal en fait dans le fond. Recevant sa tasse de café, il s’en délecta sans tarder, savourant le goût légèrement amer, mais fort, d’un café bien préparé. Et puis bon, en regardant l’aspect du gamin, il n’avait pas vraiment… Disons qu’il n’avait pas l’air d’être le genre de personne qui s’inquiète de son état de santé. En fait, on aurait plutôt l’impression que c’est même totalement l’inverse ! Ca ne l’étonnerait même pas d’apprendre qu’il était parti se suicider dans les forêts, vu l’odeur qu’il émettait.
Un mélange d’herbe, de bois humide, de terre, et de pollen. Pas terrible quoi… Quand il disait qu’il n’avait pas l’air de faire gaffe à son état de santé, il ne pensait pas que c’était aussi… Poussé. C’est à se demander pourquoi il semblait en avoir si peu de considération. Enfin, non pas qu’il en avait quelque chose à faire mais bon, sa curiosité était piquée. Ça arrive non ? On remarque quelque chose qui sort de l’ordinaire, et instinctivement, on a envie d’en savoir plus… Enfin, ceci dit, il n’avait pas vraiment ni l’envie, ni le besoin de poser plus de question que nécessaire, surtout si ça entraîner une réaction un peu trop amicale de la part du jeune Shinobi émo gothique. Dans tous les cas, il voulait savourer son café en paix, donc il espérait simplement qu’il ne le harcèlerait pas de question plus étrange les unes que les autres durant sa dégustation. Il se demandait d’ailleurs ce que pouvait bien faire Yogan… Très probablement se balader, ou en train de se taper l’incruste chez sa conquête fleuriste. Ou peut-être la fille du vendeur de ramen plus proche du centre du village, allez savoir. Les deux aimaient bien la boule de poils, au moins autant que lui si ce n’est plus. Il ne serait donc pas surpris d’apprendre qu’il avait passé la journée à se faire cajoler toute la journée.
Rencontre culinaire En pleine digestion Shioshi avait aperçu un homme qui semblait apprécier la nourriture de ce restaurant qui n'était pas bio. Il avait été intrigué par ça, il avait pauser la question ••• L'homme m'avait drôlement répondu. Plutôt que de m'expliquer ce qui lui plaisait dans le repas, il avait critiqué la nature même de ma famille, les insectes présents dans mon corps. C'est vrai que ce n'était pas ce qui avait de plus glamour que d'avoir des insecte dans mon corps, qui plus est que je devait nourrir constamment de mon chakra si je ne voulais pas être moi même dévoré... Enfin, l'idée de ne plus nourrir mes insectes pour les laisser me dévorer m'avais travers l'esprit, mais je n'avais tout simplement pas eu le cran.
L'homme en face ne semblait pas vraiment vouloir entamer une discutions avec moi, cela me convenais mais quand même, ne pas manger bio c'était difficile a accepter. Je semblais le dégouter, peut être l'odeur de la forêt que j'avais gardé sur moi. Il m'arrivait parfois de me doucher, la dernière fois remonté à deux semaines donc je ne voyais pas vraiment ce qui pouvait le gêner. L'homme s'était commandé un café et le buvait tranquillement en faisant mine de ne pas me voir. Pourtant, j'allais devoir intervenir encore une fois, s'en était trop:
-Je suppose que c'est un café Nespresso ou Senseo? Pff... Du café commerciale évidement... Vous pourriez faire l'effort de prendre du café provenant du commerce équitable, ce qui aiderai les agriculteurs concerné plutôt que d'enrichir les multinationales. Enfin, je dit ça dans le vent je suppose, mais pensez y pour votre prochain café.
Vu la réaction qu'il avait eu après ma première remarque, je suppose que la ça n'allait pas du tout lui plaire. Mais tout ceci ne me gênais pas, je préférais être mal vu et transmettre ce genre de message plutôt que rien dire. C'était bien les seuls moment où je me faisais remarquer, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. En attendant sa réaction je m'étais pris une tasse de thé locale pour m'aider à digérer mon repas qui n'était pas terrible à mon gout.
Il observa calmement l’Aburame du coin de l’œil en soupirant, posant calmement sa tasse par la suite pour lui répondre en le regardant, non sans avoir l’air véritablement agacé. Que devrait-il faire, lui dire que c’en était, et qu’il se fichait éperdument de son avis, ou bien lui dire la vérité et le faire se sentir bête de parler trop vite ? La seconde option, sans aucun doute possible, était la plus amusante.
- Perdu, c’est du café moulu à la main, une spécialité de cet endroit.
Il reprit une gorgée de café, préférant ne pas en abusé de par la nature de ses technique, il aimait toutefois se faire ce plaisir de temps en temps. Quoi de mal à ça après tout ? On a qu’une vie non ? Il s’étira en déposant sa tasse de café, voyant une boule de poil rousse approché et grimper sur ses genoux, il sourit. Caressant doucement le renard, il commanda au chef une pièce de viande, visiblement, le brun était un habitué du magasin.
- T’étais passé ou toi hm ?
Le renard semblait être sauvage, à la différence près qu’il possédait un petit ruban rouge autour du cou, et semblait vraiment à l’aise avec le manipulateur de sang. Il glapit un peu et se glissa sous le kimono du jeune homme, pour n’en faire dépasser que sa tête, sous le regard attendrit de la gente féminine présente sur les lieux. Le patron lui se contentait de sourire, visiblement habitué par cette scène. C’est après quelques minutes que le chef cuisinier ramener une belle pièce de viande, secouant la tête quand Arima sorti son portemonnaie, expliquant que pour Yogan, très certainement le renard, c’était gratuit. Il était un peu comme la mascotte de la boutique à force. Et beaucoup de sa clientèle, surtout féminine, venait en espérant voir l’adorable boule de feu tout en fourrure. Arima remercia alors le patron du magasin et offrit le morceau de viande au renard qui s’en régala en glapissant de bonheur. Il n’était en temps normal pas très fan de renard, il se souvenait a quel point ils étaient emmerdant avec les poules de son villages, les dévorant souvent et ruinant un bon repas ainsi, mais Yogan était différent, la première fois qu’il l’avait vu, il était comme lui. Blessé, apeuré…
Rencontre Culinaire La discutions avec l'inconnu n'avançait pas réellement et cela commençait à irriter le patience d'Aburame, d'ordinaire calme .•••
Et voila encore une réponse de quelqu'un qui ne s'y connaissait absolument pas. Certe, le café était moulu à la main et planté localement, mais en aucun cas cela prouvait que que l'arabica planté pour produire ce café était Bio. Peut être que certains produits de chimies avaient été utilisés afin d'accélérer la croissance de la plante pour une plus grande production. Mais tout cela était extrêmement néfaste pour l'organisme humain. Un renard arriva et se jeta sur les genoux de l'homme en question. Il semblait à présent plus occuper a attirer l'attention de la gente féminine que de ma présence. Il devait surement se dire qu'avec les propos qu'il venait de me tenir, je devais être au fond du sot. C'était plus ou moins l'impression générale d’ailleurs, mais j'avais l'habitude, j'étais souvent peu aimé par les gens dû aux insectes présents dans mon corps, je comprenais bien ça. C'est bien à cause de ces enfantillage que l'envie de mettre fin à mes jours m'avait traversé l'esprit.
Enfin bon, je venais d'être ridiculiser, c'est une chose, mais il continuer à maintenir que la consommation de produits non bio était "normal", ce que je ne devais pas laisser faire. En face du restaurant il y avait des chats errants, pleins de puces et de tiques. J’ordonnai à un de mes insecte de les rejoindre et donner la consigne aux puces de se jeter sur le renard. En quelques secondes, ma vengeance allait être exaucer. Le problème, c'est qu'il y avait beaucoup de puces, bien trop de puce pour que cela paraisse normale. Faisant parti du clan Aburame il allait me démasquer en un rien de temps. Je devais trouver une ruse pour me sortir de la. Les puces avaient infesté le renard qui commençait a avoir un comportement effrayant pour les passants. Je pris la parole discrètement en me levant.
-Voyez comme les engrais chimiques utilisés sur l'arabica attire la vermine! Il faut mangez Bio, je vous l'assure, sur-ce, je vous laisse!
Je pris la direction de la ruelle la plus proche et arrivé là, je pris le pas de course pour rentrer chez moi.
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