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Bolero [Minako]

Hayai C. Taishi
Hayai C. Taishi

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Mar 9 Aoû 2022 - 7:49
Une fois les longues conversations terminées et leurs accommodements mis en place, Taishi eut cette étrange impression, bien inhabituelle, d’avoir un peu de temps devant lui. Il n’était venu à Kumo que comme un simple accompagnateur après tout. Si quelqu’un devait négocier des accords, c’était Aimi. Et l’avantage de servir de garde du corps à l’une des plus grandes kunoichis du continent, c’était qu’elle n’avait, au final, pas vraiment besoin de lui pour se défendre.

Il eut rapidement envie d’aller explorer la ville, la voir sous un jour différent de celui qui l’avait mené à sa conquête jadis. C’était une étrange impression que de voir ces rues en paix. Pas de débris, pas de maison en feu… Pas d’hurlements. Au coin d’une rue, Taishi eut la distincte sensation qu’il avait probablement combattu quelqu’un ici. C’était un souvenir lointain désormais, et pourtant…

Taishi secoua la tête. Pourquoi s’accrocher à ce genre de réflexion. Il était passé à autre chose. Mais pourtant, ça l’intriguait. À cette époque-là, il avait été une personne si différente, si… Détachée. Et si… Paisible peut-être. C’était une façon de le voir. À ce moment-là, il était encore un nukenin, un déserteur, mais un qui avait accepté sa situation, la vivait à part entière.

Acceptait-il celle actuelle ? Assurément. Probablement. Il avait Aimi, non ? Ou du moins, quelque chose avec Aimi. Un village. Quelques amis. Alors pourquoi ce désespoir qui le rongeait, comme si quelque chose lui manquait quand même, un morceau invisible. Ce n’était pas du regret, c’était… De la rancœur ?

Il soupira, exaspéré envers lui-même. C’était un côté de lui qu’il ne pouvait pas montrer, pas maintenant, pas si près du but. Autant penser à autre chose, ce qui était plus simple à dire qu’à faire. Par chance peut-être, quelque chose vint le distraire.

Un son. Ou plutôt, une note, puis une autre. Un accord, deux, une mélodie. De la musique. Mais le ton de l’instrument l’intriguait. C’était un sifflement, mais il avait quelque chose de différent de… De personnel peut-être. Curieux, et sans avoir autre chose à faire, l’homme au manteau vert se faufilait entre les badauds à la recherche de l’origine du son harmonieux.

Il trouva la réponse sur un banc près d’un… Parc. L’Hayai se mit la main derrière la tête. La dernière fois qu’il avait vu cet endroit, ça n’avait été qu’un champ de ruines.

Mais Taishi reportait son attention sur la musicienne et l’étrange instrument qu’elle manipulait avec expertise. Facile de la reconnaître; c’était cette étrange femme qui avait accompagné celui qui les avait accueillis à l’entrée, Ikari.

Il écouta encore quelques instants, mais elle semblait soit avoir terminé sa chanson, ou bien elle l’avait remarqué de ses grands yeux bleus face aux émeraudes fatiguées de Taishi, pour le même résultat.

Un léger signe de tête à l’appui, il se rapprochait.

« Minako… Je ne pensais pas vous recroiser aussi rapidement. »

C’était sincère, dans ce village où il ne connaissait pratiquement plus personne. Les yeux de Taishi se posèrent sur l’instrument entre ses mains.

« J’ai vu beaucoup d’instruments dans mes voyages, mais j’avoue n’avoir jamais entendu un son semblable à celui-ci. Vous avez beaucoup de talent musical. Il m’arrive moi-même de jouer, mais je suis davantage habitué aux instruments à corde, qui sont plus communs là où je suis né. »

Chaque peuple avait ses coutumes, après tout. Il désigna l’espace vide du banc de la main.


« Je ne voudrais surtout pas vous déranger. Puis-je ? »

Il n’allait pas s’imposer, et en cas de refus, continuerait son chemin. Et cet étrange fil de pensée dans sa tête, peut-être.

@Zaiki Minako
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Dim 14 Aoû 2022 - 11:47
Un lieu de vie extérieur, dans le village. Un petit havre de paix dans lequel s'amusent les enfants alors que sur eux tombe une pluie de flocons d'argent. Un parc dans lequel la Banshee jouait de son ocarina afin de donner un peu d'ambiance aux passants et avoir ainsi un peu de ryos en dehors de son travail de ninja. De quoi remplir la caisse de son groupe de musiciens onkyotonka, Higure Onkyou, ou l'écho du crépuscule.

Ce lieu auquel Minako y tient, est celui dans lequel elle avait rencontré son petit-ami, @Daishi Ken, pour la première fois. Un doux souvenir hivernal de l'an 201, date à laquelle la douce venait de s'installer à Kumo apprendre à maîtriser son chakra. Le jeune homme l'avait comparé à une yuki-onna et il semblerait que c'était cet instant qui a marqué leur esprit. La kunoichi aux airs de pirate attendait son cher et tendre par ici alors qu'il avait quelques bricoles à faire, tout en jouant un petit air qu'elle apprécie.

Une fois sa joute musicale terminée, la demoiselle vit de nouveau l'homme qu'elle avait accueilli sous l'arche grise, Taishi, celui qui avait un dindon blessé à ses côtés.

« Une chance de vous voir de nouveau. »

Donc, l'homme est friand de musique. Voilà donc un excellent sujet de discussion, d'autant plus qu'ainsi, la probabilité que le lien musical qui se tissera lors de la discussion améliorera sans doute l'idée de la coalition shinobi.

« Merci, cet instrument est un ocarina, j'y jouais souvent dans ma ville natale sur les côtes de Kaminari. Les instruments à corde sont ma foi assez sympathique aussi. Cela dit, je préfère donner de ma voix. »

Et, alors que l'interlocuteur demanda à la calcinée s'il pouvait rester un peu avec elle, la demoiselle lui répondit de manière toujours aussi calme.

« Je suppose que l'art musical permet de resserrer les liens entre les nations, venez donc ! »

Aussi, elle entama un peu la conversation.

« Je fais partie d'un groupe de musique ici-même. Moi et deux autres personnes, liées par cette passion qui sort du plus profond de nos tripes. C'est un plaisir de pouvoir parler musique avec des shinobis d'autres contrées animé par cet art. D'ailleurs, l'un des deux autres membres de mon groupe devrait nous rejoindre afin de passer un peu de temps dans ce parc. »

Minako ne voulut pas communiquer sur sa nature de chakra, car dans le doute, elle préfère garder ses petits secrets en tant que combattante, et surtout, elle se voit comme une artiste encore plus que comme une ninja. Aussi, elle ne parla pas de la nature de ses liens, elle est relativement discrète à ce sujet.
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Hayai C. Taishi
Hayai C. Taishi

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Mar 16 Aoû 2022 - 5:42
« Une chance, dites-vous… Vous êtes trop aimable. »

L’ombre d’un sourire au visage, il hochait la tête doucement, ses yeux fatigués décrivant une certaine sympathie comme seul celui d’un homme ayant trop vu dans sa vie pouvait le faire. Elle n’était pas hostile à sa présence et il en était reconnaissant, c’était tout ce qui comptait au fond. Il prit place sur le banc, à une distance respectable.

« Un ocarina. Comme c’est intéressant. J’avoue au contraire être peu porté à la voix. Peut-être par embarras. Chanter… C’est un peu montrer à tout le monde l’envers de son âme, non ? »

C’était peut-être plus simple que ça, mais ça expliquait peut-être sa réticence, aussi.

« Une simple conversation, et nous en sommes déjà à espérer des liens diplomatiques ? »

Il eut un petit rire.

« Je ne veux pas décevoir, mais je ne suis pas la bonne personne pour cela. Je ne fais qu’accompagner Aimi ! »


Ou presque. Mais les mots de la femme l’intriguaient. Un groupe ? Voilà qui était…

« Un groupe !? J’avoue être jaloux d’une telle chance. À vrai dire, Iwa ne semble pas avoir beaucoup de musiciens. Quant à moi… Avant d’être ninja, j’étais un simple messager. Comme vous pouvez vous en douter, le salaire n’était pas très élevé, alors j’arrondissais mes paies en jouant dans les rues. Plus que pour les dons, j’ai toujours eu cette impression que la musique est un baume qui transcende les mots. À quelque part… Ça me faisait du bien aussi. »

Il posa le sac qui contenait Glouba sur le côté.

« J’aimerais beaucoup entendre la musique que vous produisez. Chaque région a ses airs, et je n’ai pas entendu ceux de Kumo depuis… Bien longtemps. »

Il joignit ses mains en un unique mudra, activant un sceau sur sa manche qui fit apparaître dans un petit pouf de fumée une petite guitare, usée par le temps mais de bonne facture. Le jônin la montra à Minako, avec la simplicité de musiciens qui conversent de leur art.

« Cinq cordes à l’origine, mais j’en ai rajouté une sixième, à peine plus grave que la plus basse. Pour que le son porte plus loin, c’est une vieille astuce de troubadour pour attirer les badauds dans les rues. »

L’Éclair Vert d’Iwa pinça les cordes gentiment, une mélodie simple, un peu désordonnée, tout comme l’homme qui la jouait…

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Daishi Ken
Daishi Ken

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Mar 16 Aoû 2022 - 23:46
— Deux Inazuma no Kumo Yuan !

—HOOO? ma petite meringue n'est pas avec toi? elle m’en veux encore? répondit Yuan d’un air triste.

— Tu t’attendais à quoi ? moi aussi je t’en veux encore ce que ta fait, c’est dégueullase… mais tu es de ma famille que je le veuille ou pas… Le ton tranchant de Ken eu raison de son oncle qui eut un moment de faiblesse.

— Je comprends mon garçon… au moins vous allez bien. dit Yuan d’un air triste

— Oui ne t’en fait pas mon oncle, ca va…

— Hummm et… lui? Comment tu l’appelles? Kiwe’an ? ta des nouvelles de….. ta mère?

— Pourquoi toutes ses questions, tu te planques encore? Kiwe’an va bien, tu veux lui parler? Je ne l’appel pas comme ca, c’est son nom, Minako la choisi alors un peu de respect…

— Oui, bien sur… Tu maitrise la forme Yasei? répond Yuan avec de grands yeux impressionnés.

— Nan, bien sûr que non…. Les enfants Yasei apprennent ça en 1 ans pour les plus doués, voire 10 ans pour les plus lents…. Je ne peux pas maîtriser ça en quelques semaines…. Je peux traduire ce qu’il raconte pour toi cela dit !

— HEuuuu…. SALUT heuuuu…. ca va? Je suis un peu dérangé de parler avec un buffle en regardant mon neveux hahaha. YOUHOUUUU ya quelqu’un? hahahaha

— alors il te dit “ A PRRRRR” . Répond Ken, sans une once de sourire, dégoutté que son oncle prend ça avec humour. Ou comme si Ken perdait l'esprit.

— A PRRRR ?

— En gros il s’en fou….même ton manque de respect lui passe au dessus de la tête, sinon, il va bien, il est… comme d’hab quoi…. "Mieux vaux que je ne lui dise pas que ça voulait dire va te faire fourrer par tes éclairs..."

—HA… ça ne doit pas être facile tout les jours… il est pas commode dit donc !

— Nan il est pas commode et pour cause, il est buffle HAHAHA….

— Ta mangé un clown toi didonc !

—N ‘est ce pas ? Bon, cette commande elle vient? s'impatienta le jeune homme à l'idée de revoir sa femme.


Ken, soudain, happé comme par une force mystérieuse, regardait avec admiration, les nouvelles trouvailles de son oncle. Il y avait de nouvelles pâtisseries dont une intrigua le jeune homme en lisant le nom. “Banshi Minako”. La viennoiserie ressemblait à une coque blanche, Ken eu un sourire en reconnaissant une meringue saupoudré d’une poudre rouge sur le dessus reposant apparement une bille en chocolat blanc.

— Tu apprécies mon garçon?

— Tu ne vas pas l’acheter avec si peu tu sais?

— Je m’en doute…. mais je n’ai pas fait ça pour me faire pardonner, comme tu la dis, elle est de ma famille, et il se trouve que je l’aime et je l’aimerais toujours ma petite meringue. Tu sais, elle m'a changée moi aussi…

— Tu t’es encore fait largué?

— Même pas, j’ai arrêté les femmes !

— Pas possible T’A VIRER DE BORD? Tu m’annonce comme ca ton comming out? Railla Ken

— IDIOT !!! Répond Yuan en le menacant du poing tout en riant. Les femmes et moi c’est à jamais hahahaha, non, j’ai juste en vous voyant… disons… j’ai envie de rencontrer la bonne… recoller les morceaux entre vous deux, et ma belle soeur, ta mère…

— Tu parles toujours aussi bien, tu auras pas de mal a conquérir une femme, mais il faut mettre des actes sur tes paroles….et arrêter de… QUOI ? Ken surpris le regarde intrigué

— Depuis quand….? Yuan regarda son neveux avec un regard étrange

— Quoi ?

— Je te trouve…. différent… je te trouve plus sage mon garçon.

—Hahaha, je sais pas…. j’avoue que je suis bien plus en paix depuis que je ne suis plus en froid avec Kiwe’an, lui parler a été la meilleure décision de ma vie, on est encore en froid, mais au moins, on ne cherche plus a tuer l’autre….

— Je vois…. heuuu. Dit Yuan d’un air géné.

— Bref, parles moi de cette trouvaille un peu ! il y a quoi dedans ?

— Visuellement, comme tu as du le voir, la coque est une meringue qui cache un coeur coulant de fruit rouge, surmonté d’une bille de chocolat blanc peu ordinaire puisque c’est une bille de combat Rentanjutsu.

— Tu commercialises le Rentanjutsu encore?

— Ca t’étonnera toujours on dirait…. hahahah

— Oui, tu es pas numéro un pour rien…. Elle a quoi cette bille de spécial ?

—- Elle permet d’atteindre l’Unagi !

— L’unagi ? NAAAAAN TU? TU AS REUSSI L’UNAGI !!!! Explosant de joie, Ken mit ses mains a sa bouche comme pour etouffer un cri

— Non seulement je l’ai réussi mais en plus je l’ai adapté à la patisserie ! L’unagi, l’ultime saveur !!!

— Je…. nan tu me fais marché, arrête vieux con !. Les yeux de Ken s’illuminant, parlait pour lui.


— HAHAHAHA Inutile de m'insulté…. tiens, sert toi mon garçon j’en ai toujours en avance !

Yuan mit dans la main, une perle de ce qu’il nomait “la saveur Unagi” a Ken. Sans méfiance, l’homme le posa contre son nez et ne distingua qu’une odeur proche du gingembre, du bout de la langue, il fut comme coupé par un effet de froid intriguant. La posant sur sa langue, son esprit s’embruma. Il comprit alors ce que son oncle entendait depuis si longtemps par l’Unagi. Tel une anguille, la saveur échappait au cerveau de Ken. Elle se faufilait sans jamais être réellement attrapée. En premier lieu, venait le glacial. Le petit bonbon d’un goût glacée presque piquant tel la colère de Minako. Puis, soudain, le froid se calmait pour laisser envouté le gouteur par une sensation de douceur, puis arrive l'amer, l'onctueux, le salé, l'aigre, l'âpre, l'astringent l'acide pour finir sur une touche de chaleur comme la plus étrange des liqueurs.

— Que…. QU…. QUOI ???

—- Genjutsu en pillule….

— C’est… c’est possible ???

— Va savoir, un magicien ne dévoile jamais son tour non? HAHAHAHA.

— Vieux renard ! ta réussi ton coup on dirait !

— Je n’en suis pas peu fier mon garçon crois moi, je pense que cette année je vais affronter le concours mondiale de la pâtisserie… Je ferais honneur à Kumo, je vais aller le proposer à notre Raikage !

— Aucun effet secondaire?

— Procurer de la joie, et une légère hausse de l' appetit, d’ou le reste du gateau… tu ne la ressens pas?

— De la drogue?

— Comme la plupart des effets des pilules rentanjutsu non? pilule de combat ca te parle? en si petite quantité, aucun risque d’accoutumance, par contre, viens pas t'avaler plus de dix billes!

— Mouais… c’est vrai que ca me donne sacrément faim ton truc !

— J’appelle cette pillule, BANSHI, car Minako me fait cette effet mais surtout à toi…

— hein?

— Elle nous met en appétit, moi la câliner et toi…. enfin, je serais pas étonné que tu sois père rapidement mon garçon, si tu sais t'en servir HAHAHA.

— Je croyais que tu en avais fini avec les femmes…. Dit Ken d’un air malicieux.

— HOULAAAAA c’est ma nièce aprés tout ! enfin elle le sera quand tu te mariera avec elle… d’ailleurs c’est pour quand ?

— …. Ken rougit

— NAN TU T’ES PAS ENCORE DECIDER ??? putain KEN !!!! Je vais te casser la gueulle !

—Quoi ?

— Je vais te faire manger un pain et il sera pas fait en farine, si d’ici l’hiver prochain elle n’est pas madame Daishi !

— On est un couple nouvelle génération tu sais ?

— hein?

— Si elle veux elle pourra s’appeller Minako Daishi Zaiki Ca ferait genre Minako D Zaiki…. enfin j’espere…. au pire elle s’appellera toujours Minako Zaiki je ne lui imposerait jamais rien tu sais ca ?

— Ta bien raison….

— Bon je vais en prendre une de ses… Banshi Minako, ou, plutot trois…. Je veux qu’elle y goutte, un pour elle se soir, et un pour moi !

— En plus des Inazuma no Kumo?

— Bien sur héhé, au pire se sera pour se soir !

— 1500 Zeni s’il te plait…. Au au fait, pardon, dit, ca ne te dit pas le week end prochain une virée en famille?

— Je le lui demanderais mon oncle, nous verrons bien….Elle sera plus difficile à te pardonner. Peut-être même est ce trop tot encore pour moi...


Yuan regardait s”éloigner son neveux avec le coeur à la fois meurtrie et remplis de fierté, il était loin le temps ou Ken racontait idiotie sur idiotie, le temps ou Ken ressemblait a un hamster avec ses joues pleins de gateaux, maintenant tout de muscles. Il était fier de l’homme que devenait son neuveux.

— Prochain gateau…. “Yūgō yasei” j’ai hâte d'assister à cette fusion sauvage.

*******************

quasi arrivé au parc

*******************

Ken était tout joyeux, Son oncle changeait, ou plutôt, il voulait y croire ! Il avait en main une pâtisserie pour honorer Minako. Ken le savait, c'était un moyen de l’acheter même si c'était plus complexe que ça. La neige tombait mais plus important encore, il passera du temps avec sa femme dans le parc.

Son bonheur fut de courte durée quand il la voyait en compagnie d’un étranger, ils semblaient être dans une conversation des plus agréable. Il avait presque envie de faire demi-tour, l'impression de déranger se faisant forte. Surtout que l’étranger semblait insistant. Une pointe à l’estomac, comme un coup de sabot retentit dans son nombril.

" Non mais quelle honte ! ta interet a lui botter le cul sinon je sors de tes tripes et je lui piétine sa tronche de playboy pour caniche et tant pis si je t’explose les phalanges sur sa face, je vais me l'attendrir le gugus, ta interet donc à aller défendre Minako, si je m’en occupe… "

Kiwe’an fut des plus explicites. Ken n’avait donc pas le choix, sois aller voir l’homme et sa femme, ou assisster a un carnage. De plus, elle semblait bien se tenir, preuve qu’ils n'étaient pas en discussion graveleuse. Ken ue une pointe de honte, il devrait vraiment arrêter avec ses délires. Il inspira à plein poumon, et relâcha l’air. Un jet puissant sorti de sa bouche tel un dragon fonçant vers le bellâtre.

Ken etait presque arrivé auprés de sa femme qu’il entendit distinctement “l’un des deux autres membres de mon groupe devrait nous rejoindre afin de passer un peu de temps dans ce parc”. L’homme sur le coup fut un peu véxé.


“ elle aurait pu dire mon homme, mon cheri…. et pas juste “un membre” je suis quoi moi? un copain?”

“Ca me donne une idée….”

“QUOI ?”

“Marque ton territoire, Minako est notre femelle, montrons lui qui nous sommes !”

“Kiwe’an, tu devrais vraiment arrêter de parler des femmes humaines en disant “femelle” ou "notre territoire" On aura des ennuis un jour…”

“C’est pas ce qu’elle est? une femelle???”

“Si mais…”

“Ya pas de mais, c'est une femelle, et elle est dans notre troupeau, sujet clos. IMPOSE TOI ! rend moi fier de toi !” Coupa Kiwe’an

Poussé par le buffle, ne pouvant rien dire face au machisme de l'animal, cela dit, tout a fait juste. Ken sauta au cou de Minako feintant ne pas avoir vue l’inconnu.


— CHERIIIIE Tout ce temps sans toi, sa me semblait une eternnité ! ENFIN je suis au prés de toi, je t’aime mon coeur !

Ken embrassa sa douce moitié sans se soucier de l’inconnu. Il voulait un baiser affectueux mais rapide sachant combien se présenter en public la dérangeait. Cela dit, poussé par Kiwe’an, l’homme y mit toute sa passion dans ce baiser qui ne se voulait ni trop long, ni trop court, optant pour l’intensité, une passion dévorante. Comme si il ne l'avait pas vue depuis des jours.

“BEN VOILAAAAA !!!! LA TU ME FAIS PLAISIR !!!!”

Ken n'écouta pas son buffle, profitant de son bonheur en rougissant plus que d'ordinaire. Puis, il se tourna vers l’inconnu se mettant à côté de Minako.

—- Salut moi c’est Ken, je suis le petit ami de Minako et vous ? Alors vous parlez de quoi ?

Ken voulais lui parler des vienoiseries mais il préfèra savoir ce que voulait l’étranger à sa femme. Ken savait qu’il devait ne plus faire de conclusion hâtive, il laissa alors de côté ses préjugés et ouvrait son cœur à un potentiel ami. Il tendit le bras a l’étranger pour lui montré qu’il n’avait aucun hostilité en lui. Kiwe’an fut surpris de l’attitude presque adulte de Ken, même si il y avait encore quelques lacunes.

— Je ne t’ai jamais vue à K…. Ken vit le symbole d’Iwa

— HA BEN OUI….. hahahaha… alors vous, vous plaisez à Kumo?

Puis il fixa les interlocuteurs.

— Si vous avez faim, j’ai pour vous des vienoiseries, elle vienne de chez mon oncle Yuan, le meilleur patissier de Kumo. Hummm il y a des Inazuma no Kumo. Sa patisserie signature… en gros c’est des éclairs au citron vert, meringué et copeau de citron jaune. Il y a une nouvelle spécialité. Minako, je crois qu’il ta rendu hommage héhé. Des Banshi Minako ! Faut que tu goûtes une TUERIE !!!

Ken prit un moment pour réfléchir a ce qu’il avait entendu.

—- Si je puis me permettre, j’ai eu quelques bribes de votre conversation, excusez-moi je ne voulais pas vous espionner mais bon. Le chant est en effet un moyen d’ouvrir non pas que notre âme, mais l’âme du groupe entier ! d’ouvrir l’âme des fans pour communiquer directement avec eux. Une conversation très intime d’âme à âme. Tout comme les instruments qui subliment l’âme et permettent une meilleure conversation. Cette conversation entre âmes est étrange. Discuter sans discussion, se comprendre sans réellement de mots. Se toucher sans gestes ni d’intention sauf celui de s’offrir le temps d’une musique.

Ken oblitéra totalement la conversation concernant cette Aimi d’un mouvement de main, comme pour chasser une mouche. Il n’en avait cure d’elle, pour lui, elle était une ninja comme tant d'autres. Sûrement une privilégier comme l'était Aizen. Il préfèra rebondir sur la partie importante de ce qu’il avait entendu. Si elle voulait du respect, qu'elle vienne le mériter.

— Oui, nous avons un groupe, je suis principalement chanteur, Ken Daishi, mais il n’y a pas de chef chez nous, ainsi il arrive aux autres comme Minako de prendre la place de chanteur. D’ailleurs il arrive parfois que je chante une chanson qu’elle a écrit ou qu’elle chante une chanson de l' autre membre. Il n’y a pas de préférence, ainsi, on a pas la monotonie qui s’installe.
Vous jouez okay mais vous etes plutot artiste de rue sans distinction particulière ? Plutôt chanteur no? théâtre Kabuki? Vous pouvez jouer avec nous si vous le voulez.


L’homme posa un drole d’animal sur le coté que Ken n’avait pas vue, il fit des yeux ronds qui voulait en savoir plus a son sujet. Il vit cependant l’homme ne pas répondre pour effectuer un mudra afin de faire apparaître une guitare. Ken se sentant un peu oublier puisque l’homme insista un peu trop lourdement sur Minako a son gout pour leurs montrer son instrument de musique. Ken, alors, exécuta un chant diphonique réalisant à la fois un HO et un HI en un souffle avec sa bouche. Deux sons différents en une seule fois, montrant sa capacité spéciale à l’Iwajin. Bien que Ken n’en dit mot, il prit l’astuce de l’homme en considération, attirer les badauds avec la sixième cordes. Pour sa part, il comptait sur l’originalité de sa voix.
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Dim 21 Aoû 2022 - 14:30
« Je suis assurée qu'une simple conversation pourrait plus ou moins déboucher sur quelque chose, et puis… Ne vous écrasez pas non plus, je ne suis qu'une genin donc le poids de mes actes ne seront pas suffisants contrairement à ceux des gradés, même vous qui accompagnez dame Chiwa. »

Alors que la demoiselle lui parla par la suite de son groupe de musiciens composé d'un trio, et surtout lorsqu'elle dit que l'un des siens viendrait, son petit-ami vient à eux et ce de manière romantique, en embrassant sa dulcinée. Le baiser amoureux de Ken a caressé le cœur de sa bien-aimée. Elle appréciait ces moments de tendresse bien qu'elle ait toujours appris à montrer son côté pudique en public. Aussi, elle ne repousse pas l'homme aimé et le lui rend bien.

Il fait par ailleurs de la publicité pour la boulangerie du rentanjutsuka Yuan, ce qui n'est pas une mauvaise idée en soi car la joie de vivre est la nourriture. Minako haussa un sourcil lorsque Ken fit allusion à une nouveauté de chez Yuan en son nom.

“ Il me fait honneur avec une pâtisserie, vraiment… Bon, je vais faire un effort mais en échange il faudra que je lui parle, en tête à tête… ” pense-t-elle, en sachant que l'oncle en question avait l'air de cacher bien des choses sur les origines de Ken. De par la trajectoire que prend ses techniques onkyoton, Minako pourra l'interroger tranquillement et de la meilleure des manières.

Elle réfléchissait au fait que le chant peut refléter l'âme et pensait à la petite Yotsuki muette, celle-ci n'ayant aucune voix son corps entier pouvait être le reflet de ses états d'âme. Et, dans le cas présent, le tout pouvait dépendre du message donné au public, on pouvait très bien donner de l'émotion à travers des instruments, il suffirait de les connaître par cœur et de réussir à retranscrire ce que l'on a sur le cœur. Rigueur est de mise mais le résultat y est au final. Cela, elle l'a appris en écoutant les jutsus sonores de son bien aimé, lui qui maîtrise l'art du Genjutsu.

« Je dirai que tout dépend de ce qu'on veut offrir au public… Ken a bien résumé notre mode de pensée ainsi que le fonctionnement du groupe, aucun d'entre nous n'agirait en solo sur scène. »

Minako apprécie la petite joute musicale via l'instrument à corde de Taishi. S'ensuit d'une joute vocale de Ken, ses chants diphoniques feraient toujours autant effet, il en était réellement doué selon elle. Elle avait, de son côté, une prière pour Isonade dans un vieux langage.



Le partage musical se passant tranquillement, au bout d'un moment la demoiselle posa les yeux sur le sac contenant le dindon shinobi. À ce qu'elle sache, il était déjà bien blessé lorsque le duo est arrivé à l'arche grise.

« Comment se porte Glouba-san d'ailleurs ? On pourrait partager avec lui un quelconque met que peut proposer notre boulanger préféré. »
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Hayai C. Taishi
Hayai C. Taishi

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Mar 23 Aoû 2022 - 7:28
Un instant il jouait, le suivant c’était un chaos organisé. Un cri qui semblait sortir d’outre-tombe, l’irruption d’un inconnu.

D’abord, l’apparition d’un homme bien curieux et manifestement l’amoureux de la dénommée Minako, du moins si on se fiait à la preuve d’affection en public qui laissa Taishi amusé, si un peu mal à l’aise logiquement. Mais de par son passé, ce n’était pas le genre de chose qui allait le scandaliser non plus.

L’autre homme, le dénommé Ken, passait très rapidement à un autre missive, posant des questions tout en se présentant et confirmant ses liens avec la kunoichi.

« … Taishi. »

Décidément perplexe mais tout de même intrigué, il serrait la main de l’homme, reconnaissant la poigne d’un adepte des arts shinobis, sans aucun doute. Taishi allait répondre à sa question première, mais Ken parlait bien vite et semblait déjà être passé à autre chose. S’il se plaisait à Kumo ?

« Autant que possible. »

Autant que le permettait cette escale qui rallongeait leur voyage déjà trop long hors d’Iwa, dans cette ville qu’il avait participé à faire tomber jadis. Ken leur offrait ensuite de la nourriture, une invitation subite qui lui arracha un rictus.

« Pourquoi pas ? Ça semble délicieux. »

L’Hayai avait toujours eu un faible pour la nourriture gratuite. Une relique de son passé, qu’il avait passablement abusé à chaque opportunité. Ken partageait son opinion sur l’interprétation de la signification du chant et Taishi hocha de la tête avec sincérité, même si le fond de la question le dépassait un peu. Au final, chanter était surtout embarrassante pour lui et très rares étaient les gens en ce monde qui l’avait entendu.

« C’est une manière de pensée qui m’intrigue. Je suis habitué à jouer seul, ou avec Glouba en accompagnement, alors je ne saurais imaginer un groupe où les rôles sont égaux de cette façon je suppose. Dans la rue, le public apprécie foncièrement le talent individuel de mon expérience. Pour peu que le musicien soit habile, il peut récolter autant qu’un duo par exemple. Mais je sais qu’il y a plus qu’une dimension commerciale à la chose. »

Taishi ne se voyait pas comme un artiste. Pour lui, un artiste, c’était quelqu’un de moins ancré dans la réalité, ce qu’il était éperduement, toujours un œil sur l’état sans cesse empiré du continent.

Ken lui demanda son style et Taishi haussa des épaules.

« Je joue, c’est tout. Je n’essaie pas d’offrir un spectacle ou une sorte d’expérience. Je trouve que souvent les gens ordinaires apprécient davantage la simplicité. Je n’ai pas vraiment eu la chance de jouer devant des clientèles raffinées, ou qui voudrait peut-être un message derrière les notes. Je pense que souvent, la musique parle pour elle-même, et nous y trouvons tous notre propre signification. »

Suivant de cela, le Daishi faisait une exemple vocal et Taishi sourcillait devant la puissance des tons employés. Ce n’était manifestement pas un simple déploiement de gorge, mais bien un mélange de chakra et de son.

« … Vous manipulez le son avec votre chakra. Impressionnant. Quelle étrange capacité. Cela doit avoir plus d’un usage, non ? »

Minako se minimisait et Taishi secoua de la tête.

« Il n’y a pas de rang pour faire une différence, surtout en ce moment. Nous avons tous un rôle à jouer. Le mien n’est simplement pas de cimenter la diplomatie entre nos pays respectifs. Je maintiens la paix, et Aimi l’encourage. C’est ainsi. »

Et pour le bien de tous, il s’en tenait à cela, là où dans le passé il avait été un agent de chaos. Les yeux verts et fatigués de Taishi parcourèrent le paysage, se remémorant des ruines dévastées qu’il avait été autrefois, lors de sa conquête par le Teikoku. Où était la paix, ce jour-là ?

Le chant de Minako, qui ressemblait à une prière peut-être, était bien différent de la prestation de Ken, mais tout aussi unique sans aucun doute. Le duo avait vraiment une relation particulière avec la musique, dont l’Hayai partageait la passion mais peut-être pas le message de fond. Et c’était parfait ainsi, d’une manière sincère.

Elle mentionna Glouba et l’Hayai s’esclaffa légèrement, tapotant le sac de voyage qui devenait rapidement trop petit pour la bête qui ne cessait d’enfler en taille depuis le Sommet. La tête casquée du dindon dépassait sur le côté, la visière rendant bien difficile de savoir s’il dormait ou bien les regardait.

« Eh bien… L’État de Glouba est complexe. Il guérit de ses blessures, mais il est actuellement impossible de le désinvoquer. En plus de l’épuisement causé par sa guérison, il grandit à une vitesse folle pour des raisons qui m’échappent pour le moment. Je suis certain qu’il apprécierait votre offre, mais je doute qu’il soit en état de – »

« Quelqu’un parle de bouffe !? »

Taishi soupira. Le casque s’agitait depuis le sac.

« T’allais tout garder pour toi Taishi, c’est ça ? Enfoiré ! »

L’Éclair Vert se cueillit le visage dans sa paume. Le dindon s’agitait pour se sortir le cou un peu plus du sac, notant la présence des deux kumojins.

« C’qui elle déjà ?... Barbiko ? Et lui c’est Ken ? Barbi` et Ken ? »

Sans comprendre la référence, l’Hayai secouait la tête, amusé et en malaise à la fois.

« Minako et Ken. Un peu de respect, abruti. »

« Si mon aile était pas en trois morceaux, je t’exploserais. »


L’Hayai désigna le dindon.

« Mesdames et messieurs, Glouba Fett, héritier de l’Empire des Dindons. »

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Daishi Ken
Daishi Ken

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Dim 2 Oct 2022 - 11:03
Ken était toujours surpris de constater à quel point Minako et lui étaient en diapason, toujours sur la même longueur d’onde, Ken apprécia également le nouveau compagnon, la musique était fort agréable, il était doué à n’en pas douter. Taishi lui mettait un peu de baume au cœur, il était toujours ravi d’entendre un musicien doué échanger quelques notes. Cela n’arrivait que très rarement en dehors de Minako, Ryuku ou Koyama, les membres du groupe.
Ken tenta tant bien que mal de rendre la pareille à ce nouveau compagnon qui lui offrait tellement. Il était si intéressé par la musique qu’il n’avait nullement fait attention à l'animal qui suivait l’étranger ! Minako lui rappela à l’ordre sans s’en rendre compte.
Il vit pour la première fois le volatile délaissant un peu le musicien. Il fut surpris que Minako semblait connaître. Il détourna son attention quelques instants pour revenir vers l’homme qui disait se nommer Taishi. Ken ne savait pas quoi penser de l’étranger. Il semblait froid à répondre au compte goutte comme ça. L’étranger pensait-il Minako, libre? Pensait-il qu’elle allait devenir madame Taishi? Peut-être qu’il se faisait des films? Il valait mieux le garder à l’ œil, et pour avoir un homme à l’ œil, il valait mieux se montrer amical, du moins, selon Yuan, son oncle.

Ken peut surpris, vit le visage de Taishi se détendre, qui plus est, il fit des compliments sur les viennoiseries. Le ninja répondit alors par un petit rire géné en se grattant la tête. En réalité, il s’en voulait un peu d’avoir crus qu’il en voulait au cul de Minako. Selon lui, elle avait bien trop de prétendant, au point qu’il valait bien mieux pour Kumo qu’il ne soit pas un utilisateur du Katon, il aurait immolé bien des mâles en chaleur, se contentant de les pousser via une bourrasque ou de leurs faire un croche-pied, jusqu’a maintenant, toujours discret, il n’avait jamais droit a des représailles musclés.

L’Hayai, prenant la pâtisserie avec bon cœur, le décevait légèrement. Il semblait l’avoir englouti d’une traite, et aucune remarque constructive sur cette fierté Kumojin. Ken lui aurait proposé un cassoulet façon Kumojin, la réaction aurait été limite la même. Celz dit Ken ne lui en tenait aucunement rigueur, après tout, le sujet était la musique. La patisserie eu au moins l’effet escompter, lui délier la langue.

Ken fronça les sourcils en entendant que Taishi faisait un duo de musicien avec un volatille. Ken n’avait jamais songé à faire une musique avec un animal…. Le dénommé Glouba était-il si intelligent que ca? C'était plus de l’ordre de la bouffonnerie que autre chose ? Il écarquilla des yeux en regardant au dessus de son épaule. Etait-ce cela qu’on appelait un Kuchyose? Ken en avait entendu parler dans les livres, par des amis, ou au hasard d’une rue. Il voyait le volatile ne payer pas de mine. L’air idiot, gras, bouffie, au bajoue flottante, bien rouge, des yeux fuyant… bref ce qu’on attend d’un tel oiseau, de la grace dans la disgrace. Taishi pourrait tout aussi bien avoir des talents de ventriloquie. Ken en avait entendu parlé, et lui même, avait voulu s’y essayer. L’art de faire parler tout et n’importe qui. Qu’il aurait aimer par parler Aizen pour qu’il dis “face de cul de tétine” a Raizen le raikage. En plus de perdre son honneur, son ennemi juré ne se serait plus jamais pris pour le héros de Kumo. Hélas, trois fois hélas…. sa meilleur tentative etait de faire parler des pommes de terre frit dans la graisse avec une voix de dromadaire qui agonise.
Ken eu du mal a ne pas y voir une pique lorsque Taishi lui disait ne pas offrir de spéctacle ou une sorte d’experience, jouer juste en simplicité, n’ayant jamais jouer devant une clientele raffunées, ou avec un message dérrière les notes. La seule fois ou Ken n’etait encore moins d’acccord avec lui, c’est quand il disait que parfois la musique suffisait seule pour faire passer un message.

“C’est vrai pour les mélomanes. ses “clients” comme tu les appelles… pour ma part, je n’ai jamais eu de “client” sauf dans le bar où je me suis produit… au coco bingo club. Crois- moi, les gens sont tout sauf raffinés là-bas. Les mélomanes n’ont pas besoin de message autre que le son pour ressentir une émotion et parler à leurs cœurs. Les simples d’esprit, eux, doivent être guidé vers les délices musicales et ont besoin d’un texte. La voix d’ailleurs est un instrument que je chante”

“ adipop chibidouuuuu ! bibubibu bawaaaaaaaaaaaaaa”

“Ou un texte particulier, chaques mots est une note modulé, modulable. Additionné à la mélodie, le mélomane alors sera en ton pouvoir sans même faire le moindre genjutsu ! La simplicité est une bonne chose, mais très vite, elle se limite par sa propre simplicité, alors, tôt ou tard, tu devras chanter. D’ailleurs, le chant, il n’y a pas plus simple, pas besoin d’instrument. Tu peu siffler, crier, comme moi faire de la diphonie… donc voila, tout depend pour qui tu souhaites chanter en effet.”
Lorsque Ken fit une démonstration, il savait qu’il avait merdé. Il etait à deux doigts de révélé à un étranger l’un des secrets de l’Onkyoton, à une personne qui ne fait même pas partie de la caste, et un étranger à son propre village de surcroit. Il tenta alors de minimiser les effets possibles de l’art musical lorsque son interlocuteur lui demanda l’usage possible de la diphonie. Si jamais il devenait un ennemi, il valait mieux que Taishi en sache le minimum.

“C’est très limité, ça sert plus à distraire qu’autre chose. Bien modulé, je pourrais avec de l’entrainement, copier la voix d’une personne par exemple.”

Tiashi répondit à Minako en citant un nom qui lui etait inconnu, Aimi, qu’elle étrange prénom, il émit alors une question.

“Aimi…. qu’elle étrange prénom, c’est qui au juste? une personne haut placé si elle se déplace pour une raison diplomatique pour tout un pays… c’est ton Taisho? Du Kubyuu un truc dans se gôut là?”

N’ayant que peu voir jamais l’occasion de sortir de son village, le Raikage laissait les gennins, plutot dans l’ignorence du monde exterieur. Une des raisons pourquoi Ken haissait Kumo. Tout ce qu’il savait du monde exterieur, il ne le devait qu’a de rare missions, ou, de livre souvent en retard sur la géopolitique actuel. Il avait abandonné l’idée de se tenir informé du monde à travers les livres. Préférant éspionner quand il le pouvait. Attrapper un fragment, parci, parla. Si il voulait devenir l’un sinon le plus grand Onkyotonka et faire renaitre le clan Onkyoton, il devait en apprendre plus sur le monde où il vie. Devait-il établir le clan à Kumo? ailleurs? mais, où? Il fixait Taishi avec un grand intêret consernant se personnage, Aimi.

Ken, garda le silence, le temps que Taishi lui en dise plus sur elle, tout en écoutant par la suite, Minako chanter. Pour tout dire, elle etait comme un prêtre et lui sa brebis, il l’écouta religieusement.

A peine avait-elle fini qu’elle mentionna le nom d’une personne inconnu, Glouba, Tashi frappa son sac supposant que c’etait le nom du dindon. Apparement il était blessé, soudain, le dindon parla d’une voix crétine. Une voix glougloutante. Etait ce son esprit qui lui jouait des tours? Il recula du banc en oubliant qu’il se trouvait deja au bord du banc et se cassa presque la gueulle par terre. Il se redressa aussitôt en rigolant géné. Il repensait rapidement à son passé. En premier, le Pitohui de la dame qui disait être sa mère… puis Chufuo, le Kuchi de Minako. Cet animal serait-il aussi un kuchi? Quelle étrange animal… Il avait une idée bien faite des Kuchis. Animaux dangereux et majestueux. Celui là ne payait pas de mine avec son air idiot, surtout enfouis dans le sac… et cette voix qui faisait perdre en crédibilité !!!! K’en n’en pouvait plus et se reteint de rire de cet air abruti sorti du sac.

“heuuuuuuuuuuuuuu Minako, et moi c’est Ken, et toi tu es Glouglou c’est ça? t’es un Kuchi?” Ken eu du mal a lui demander cela, c’etait comme s’arracher une dent lui même.

Il etait géné, le piaf lui même se faisait insulté d’abruti par Taishi. Etait-il reelement un Kuchi?

Ken eu soudain une idée, peut-être idiote, mais il tenta sa chance, il compris que dans le monde des Kuchi, Glouba devait être un prénom commun. Il comprenait enfin Gipsi Kin qui chantait Gloubi, Glouba. Il se mit alors à chanter tout en frappant dans ses mains, un air enrainant..



“Ay nina
Yo te encuentro
Solita por la caille
Yo me sientoenamorado
Yo me siento, ay, triste y solo
Gloubi Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Que no me importa
Que la distancia hoy
Ya no nos separe
Yo voy acordándome de ti
Que no me diga, ay Paraguay, ay ay ay
Gloubi Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más²
Gloubi Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más
Gloubi Gloubi, Glouba Glouba
Cada día yo te quiero más”


“J’appelle ce style musical, le Flamenkumo car c’est la flamme de Kumo ! Flamme de Kumo…. Flamenkumo, Flamme en Kumo… vous saisissez? Quant à cette langue? Je sais même pas ce que ça veux dire, je l’ai réinventé sur le moment hahahaha Un jour, j’ai entendu un mec crier ça dans la rue, j’ai été surpris de la sonorité de ce qu’il baragouinait, surement un kumojin en état d’ivresse. Il disait s'appeler Gipsi Kin, un ami à toi Glouba?”.


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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Lun 10 Oct 2022 - 11:08
Habitué à jouer seul, et de ne pas offrir à quiconque de ne spectacle. Fait-il de la musique pour se détendre soi-même alors ?

Un sourire en coin pouvait se voir sur le visage de Minako quand son chéri parlait. Si seulement Ken savait qu'elle-même pouvait prendre la voix de n'importe qui qu'elle a entendu pendant suffisamment de temps pour duper n'importe qui… peut-être lui fera-t-elle écouter, en lui faisant une blague, en caricaturant une personne de son choix, ou en faisant chanter une personne dont elle apprécie la voix en temps normal.

Elle est intriguée par l'état de Glouba. Du moins ce que dit Taishi. Elle ne connaissait que peu les kuchiyose, à part son ami, une harpie féroce de presque dix mètres, Chufuo. De par son mutisme sélectif, il n'a jamais montré sa voix à quiconque à part à la demoiselle, et à son chéri. Ça serait inutile de tenter une communication avec lui dans l'immédiat pour essayer de comprendre le phénomène.

« Il y a des raisons sur le fait de ne pas pouvoir le renvoyer dans son pays et sur le fait qu'il grandisse si… Vite ? »

Minako semblait amusée par le tact de Glouba, bien qu'elle ait été perturbée par ses paroles l'ayant coupée dans son questionnement. S'il avait faim, c'est qu'il est sur la voie de la guérison. Elle ne comprenait pas bien la blague ni la référence de celle-ci mais elle s'en fichait.

« Euh… qu'es-tu capable de manger sans te rendre malade, Glouba ? »

Elle écoutait ensuite le chant de Ken, toujours aussi satisfaite de le savoir motivé et imaginatif à s'offrir en spectacle. Son flamenkumo, il l'avait découvert et amélioré de son côté alors que Minako s'affairait habituellement à son travail au Kyuubu. Elle était toujours ravie de l'écouter et il devait clairement le savoir.
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Hayai C. Taishi
Hayai C. Taishi

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Mer 9 Nov 2022 - 19:59
Ken était une littérale tornade verbale et l’Hayai hochait légèrement la tête à chaque phrase, mais honnêtement avait un peu de mal à suivre tout ce qui se disait. C’était probablement la fatigue accumulée depuis le temps. Ce qu’il pouvait comprendre cependant, c’était l’expertise de son interlocuteur dans le domaine du son. À la base, Taishi n’était qu’un troubadour et ainsi n’explorait pas ce genre de questions avec une telle profondeur en général. Ça restait intrigant mais ça le dépassait un peu.

« Je… Je ne sais pas. J’avoue ne pas penser aussi loin que vous, Ken. Je fais juste jouer. Ce n’est pas ce qui importe au final ? »

Que ce soit avec deux bouts de bois ou bien une harpe des plus raffinées, l’important c’était de faire de la musique, non ?

« Je pense que ma guitare chante pour moi, souvent. Il y a plus d’une voix en ce monde, vous ne pensez pas ? »


Il donna quelques détails sur l’usage de l’Onkyoton et l’Hayai le considéra. Ça semblait une habilité subtile et indirecte, un peu comme l’hikariton qu’il maitrisait. Mais l’idée de pouvoir imiter une voix, c’est très intéressant. Un redoutable outil pour espionner par exemple. L’interrogation sur Aimi le fit rire doucement.

« Étrange que vous n’ayez pas entendu parler d’elle auparavant, vu sa notoriété. Mais oui, elle est en charge de l’unité de diplomatie dont je fais partie. »

Bien qu’il n’ait plus vraiment l’attitude d’un diplomate désormais. Taishi avait trop vu, trop entendu désormais. Ken s’adressait ensuite à Glouba, enfoui dans le sac mais la tête casquée sorti.

« Je suis ton pire cauchemar si tu m’appelles encore une fois Glouglou. Mon nom est Glouba Fett, chasseur de primes ! »

Taishi se tournait vers Minako.

« Les blessures qu’il a subies viennent de son père, le roi des dindons. Retourner là-bas actuellement serait une condamnation à mort. »

« Que j’accueillerais volontiers ! »


Taishi soupira. Quant à savoir pourquoi il enflait si vite, l’Hayai n’avait pas de réponses à offrir puisqu’il l’ignorait aussi. Il soupçonnait Glouba de savoir mais d’être peu disposé à partager des détails. Il allait avoir besoin d’une longue conversation avec l’oiseau obèse, ce qui ne l’enthousiasmait guère. Au meilleur des temps, Glouba était tout simplement désagréable en permanence.

« Il serait plus simple de demander ce qu’il ne peut manger… »

« Je vais bouffer ta langue si tu continues ! »


Voilà Ken qui chantait maintenant un air entraînant et l’Hayai souria en appréciant l’interlude, l’accompagnant en frappant des mains après avoir observé le rythme quelques instants.

Le Flamenkumo… Et quelle langue parlait-il ?

« Quelle étrange musique. Mais ce n’est pas désagréable. Venez un jour à Iwa partager vos mélodies, Ken. Et toi aussi, Minako. Je m’assurerai de vous faire visiter la ville moi-même. »

L’Hayai se releva.

« Toute ces paroles sur la nourriture m’ont donné faim. Puis-je vous inviter tous les deux à partager un repas ? Même si je ne saurais où aller pour le faire. »


Dernière édition par Hayai C. Taishi le Dim 20 Nov 2022 - 0:18, édité 1 fois
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Daishi Ken
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Dim 20 Nov 2022 - 0:17
Minako étrangement, semblait ne pas s'intéresser à la musique du troubadour, ni à la philosophie qui en découle, était-elle d’accord? Au lieu de cela, elle s'intéressait à cet être étrange, Glouba. Elle avait raison, il était bien étrange se Glouba. Grotesque et intelligent à la fois. Ridicule et noble. Ken s’ arconardit en voyant les deux discuter. Il se crut entre un de rêver. Minako discutait tranquillement avec un animal, à voix presque humaine, lui, dans un sac. Ken en était choqué. Pourtant, il avait déjà vu Hideko et son Bakaneko. Comme il aimait l'appeler. Jamais le Bakaneko s'était exprimé, il était simplement un chat géant. Plus proche de la bête que de la civilité.

Ken soudain, eu une pensé, une horrible vérité qui le meurtrissait, il avait honte de lui. Lui pourtant, en partie animal aurait dû mieux comprendre la situation de Glouba que ça. En effet, l’espace d’un instant, il trouvait ça merveilleux que Glouba soit coincé chez les humains et qu’il grandissait. Passé le mètre, il suffirait de le décapiter pour le dévorer, ou alors, l’endormir pour le vendre, ou alors, l'emmener chez un boucher pour en tirer un bon prix ! C'était qu’un dindon, on a jamais vue un dindon faire du mal a autre chose qu’un ver de terre.

Il ne put s'empêcher de se retourner et de se mordre les lèvres comme punition. Il avait si honte, le pire, c’est que si lui en avait l’idée alors d’autres auront l’idée aussi. Il fallait venir en aide au volatile. A TOUT PRIX ! Il fallait dans un premier temps, gagner sa, non, leurs confiances ! C'était la meilleur chose à faire ! Au fond de lui, une chaleur agréable se dégageait de son estomac. Kiwe’an approuva cette idée. C'est décidé, il sera à nouveau, le défenseur de la cause Kushi !
Ken ne connaissant rien à l’animal, laissa parler, Ken etait fier de la perspicacité de sa femme, encore une fois, elle avait mit dans le mille, parler à l’estomac d’un homme etait le meilleur moyen d’en faire un ami. Possible que pour les Kuchi aussi? Ken s'intéressa enfin et se permit d'interrompre la conversation pour questionner a son tour le gallinacé.

— Je suis chef de passion…. J’ai appris de mon oncle. Je sais cuisiner des tas de choses ! Je serais surement capable de fournir à manger a un Kuchi et son…. serviteur? ami? qu’elle relation avez-vous? Je suis navré que ton père… roi…deeeees…. des dindons, t’ai fait autant souffrir. Sache que tu es entre amis ici ! Enfin, des amis en devenir !

Ken savait bien que Glouba refuserait d'être l’esclave d’un humain, ça ne semblait pas être son tempérament, mais celui de Taishi, peut-être. Il ria quand Glouba menaça de manger la langue de Taishi. Était-ce possible? un volatile carnivore? Il réfléchit et se senti bête. Les faucons, les hiboux… n'était-il pas carnivore? mais là il était question d’un dindon. Est-ce que sa nature de Kuchi lui donnait juste l’air d’un dindon?

— Comment vous, vous êtes rencontrés? La nature du pacte...? Dites-moi tout, je ne sais pas pourquoi, je me sens inspiré par l’envie de chanter un chant sur les Kuchioses.

A la fin de son chant et des explications, Ken fut surpris de la réaction de l’homme qui se dit troubadour… L’homme jouait t’il que pour lui au final? n’avait il pas dit être troubadour donc au service du peuple? Un homme à l’âme noble: chanteur, conteur , interprète, mais aussi et surtout poète. Menestrel, Ken aurait pu comprendre, ils ne font que de jouer, mais un troubadour qui n’a pas conscience du sens lyrique, un poète ne faisant que de jouer sans faire attention à ses textes? Il etait comme un samouraï avec des katanas de bois, “Je ne fais juste que frapper. Ce n’est pas ce qui importe au final?”. Un samouraï qui ne fait que frapper est ce un samouraï? Non, un troubadour qui ne fait que de jouer n’est pas un troubadour mais un ménestrel !

— Pour ma part, je te pense complètement dans l’erreur, l’important est de plaire à son public avant de se plaire à soi ! Toi qui te dis troubadour, tu devrais comprendre l’importance que l’art c’est bien plus profond que “juste jouer”. Un ninja ne fait-il que juste lancer des jutsu? Glouba ne fait-il juste que de glousser?

Ken se mord les lèvres, esperons qu’il n’ai pas aller trop loin.

— Tu es un grand joueur, c'est vrai, je ne le nie pas, mais je pense que si ton but n’est que de jouer, alors, change de voie et devient ménestrel. qu’est ce qu’un musicien de rue sans public? Si tu veux continuer a te faire appeler troubadour, alors, chante, compose, crée de la poésie, met les en musique. Des paroles qui touchent !
L’homme continua dans son idée selon Ken en parlant de sa guitare, qui chante pour lui, qu’il y a plus d’une voix dans ce monde.

— HAAAA là, tu soulèves un point important. Plus d’une voix dans le monde, je ne peu le nier. mais que veux dire ceci ? Ken claque de façon sacadé dans les mains usant de Dengon Angoula que seule Minako pouvait comprendre. Il lui disait je t’aime.

— Absolument rien… n’est ce pas? simple musique… et pourtant dans un langage de mon invention je viens de parler à Minako. Tu es comme ton public, certes tu as entendu la voix de mes mains mais l’as tu compris? que t’on t’elle dit?

Ken laissa du temps pour répondre a Minako ou Taishi.

— J’ai dit, punaise ce que j’ai envie d’un bon saké? l’impacte est t’il aussi fort que si j’ai dis a ma déesse, combien je l’aime? Qu’elle est la meilleure interprétation? Pourtant, je n’ai fais que de frapper mes mains pour les faire parler.

Ken laissa à nouveau du temps.

— Gratter les cordes d’une guitare peut émouvoir mais, mal interprété, les cordes de guitare peuvent faire l’effet d’une corde de chanvre à son cou ! Un message bien clair permet de supprimer les mauvaises interprétations. Le devoir d’un artiste de rue est de plaire à un public, pas de se plaire à lui-même ! A dire vrai, les vrai artistes sont les derniers à apprécier ce qu’ils font, sinon il n’y a plus de marge de progression et alors, l’artiste n’est plus un artiste mais un commerçant…
Ken fit la moue quand ils changèrent de sujet. L’homme lui reprochait presque de ne pas avoir entendu parlé de Aimi. Il n’en à pas entendu parlé pour deux raison, de un, il etait cloitré a Kumo depuis son arivé, sauf dans de rares missions. De deux, contrairement à Reikhan qui a réussi, elle au moins, à marqué l’histoire pour arrivé jusqu’a la bibliothèque de Kumo. La notoriété de cette Aimi ne devait pas être aussi forte. En même temps, ils sont tout deux du même clan, normal donc que Taishi surestime la réputation de sa Jonnin.

L’onkyotonka serait-il capable d’en faire autant pour son Jonnin à lui? Aizen? rien est moins sûr, il sait qu’une chose, il tentera une nouvelle approche arrêtant de lui casser du sucre sur le dos. Le temps de la haine était fini, du moins, pour le moment. En plus l’homme avoua faire partie de son unité, normal alors qu’il la surestime davantage…? Astuce de manipulation de base mais efficace. Ken, dans le doute, préfèra opter lui-même pour la diplomatie.


— Nous autres, Genin, ne sortons pratiquement jamais du village. De plus, seul les informations que nous avons besoin de savoir nous est transmit, cela évite que l’on trahis notre patrie en cas de torture… Moins nous en savons, plus nous sommes en sécurité… Il ne savait pas d’où il sortait ce mensonge, il se terrifia lui-même. La vérité est qu'à part l’Onkyoton, sa famille, et son nombril, peu de chose n’avait d'intérêt pour lui. Astuce que lui avait apprit le quatuor Jashin.


Glouba etait décidement un être intriguant. Etait-il sérieux? ou plaisantait-il quand il dit qu’il serait son pire cauchemard si Ken l’appellait encore Glouglou? Cela-dit , Ken préféra s’en amuser avec une pointe de sincérité.

— Mille pardon chasseur Fett, je tacherais de ne plus faire cette erreur à l’avenir. Ken fixa Glouba dans les yeux afin de savoir s' il était sérieux ou si sa menace n'était que pure jeu.

Ken fit un grand sourire quand Taishi lui demanda la langue d’où provenait le flamenkumo.

— De sakéko. Dit-il en explosant de rire juste après, ayant parlé d'un bouge fictif

— C’est précisément ce dont je te parlais à propos des voix musicales. Cette langue est inventée, j’ai juste entendu des clochards boisson en main crier ça, je me suis amusé à le mettre en chanson…. c’est ce que j’ai compris de leurs baragouinage… J’ai réfléchis a ce que tu me disais, et c’est vrai que la jeunesse ne s'intéresse de moins en moins aux textes s'intéressant surtout à la rythmique. C’est dommage, mais je continue a persister sur ce que je te disais, sans compréhension, la langue peut-être une arme mortel alors qu’elle ne voulait que la paix. Si ça se trouve, sans le vouloir, je t’ai insulté, nous ne le saurons jamais. L’important d’un coté c’est que ca t’ai plus…. mais si il y avait eu un message fort qui t’ai marqué ca aurait été encore mieux n’est ce pas?

Ken se tourna vers son amour.

— Mina qu’en penses-tu ? Ne penses tu pas que sans compréhension, l’art à moins de valeur? ou se suffit-elle à elle-même ?
Il faisait confiance a Minako pour qu’elle réponde avec son coeur, ainsi, il ne chercha pas à l'influencer, a quoi bon donc l’influencer? Ils avaient déjà eu cette conversation. Il voulait juste qu’elle lui répète ce qu’elle lui a dit. C’etait si pertinent, si vrai, il l’avait trouvée si grandiose, il aimerait qu’a son tour Taishi profite de la vivacité de sa femme. Ken se rappelle en avoir été bouleversé.

— Tu sais, j’ai toujours voulu aller voir Mizu, pour… enfin… rougit-il en fixant Minako.

— Mais on pourrait aller à Iwa oui pourquoi pas ! En tant qu’Onkyotonka et en tant que membre d’Higure, notre groupe, j’aimerais que l’on y fasse un saut et toi mon coeur? Il est vrai qu’ils avaient parler de Mizu, de Teikoku mais jamais d’Iwa, qu’en pensait-elle? En plus ils auraient un guide rien qu’a eux, c’etait une grande chance.

Ken apprécia de plus en plus l’homme au volatile étrange. Il avait une vision limitée de l’art de rue mais elle était pourtant très affutée et juste. Encore une fois, une dualité qui étonna Ken. L’homme avait raison, et tord à la fois. Tout ne semblait que dualité chez lui.

L’homme se releva sans crier gare surprenant Ken. Ken pris au dépourvu tomba vers le sol, jambe la première et réussi a se redresser in extremis en feintant de donné des coups de pieds dans le vent. En guise de cache-misère, il changea de jambe et donna quelques coups de pieds dans le vent.

"Pour une fois, j'aurais pas l'air ridicule !" Pensa t'il avec un sourire éclatant, pouce en l'air, fier de lui.

— FIOUUU je crève de froid, ta raison, allons ailleurs ! Minako tu as une idée? Ken n’avait pas faim plus que ça mais l’idée de poursuivre la discussion un peu plus au chaud lui fit l’effet d’une bombe. Il imagina un endroit où, pourquoi pas, ils pourraient jouer à trois, ou un endroit causie, cocooning, pour continuer de parler, de faire connaissance. Glouba semblait faible, Ken ne le connaissait pas, il ne pouvait donc pas juger clairement. Il préféra donc laisser à Minako le soin de les guider.
Sans crier gare une femme arriva a leurs hauteurs, éssoufflées.

— Excusez moi, je… oufff…. Ninja… pouvez…. vous…. m’aider….? Alleta la pauvre dame. Dit-elle en fixant les bandeaux de Minako et Ken, elle fit un pas en arrière en voyant celui de Taishi, un air indescriptible. Ennemi? ami? etaient-ils en mission? vraisemblablement, elle avait peur de déranger mais son état semblait demander une aide urgente.
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Zaiki Minako
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Sam 26 Nov 2022 - 13:09
La seule raison pour laquelle Minako ne disait rien au sujet de la musique est que Ken a tout dit , et qu'elle n'avait rien à ajouter. D'autant plus que Ken avait encore plein de questions à lui poser, en avait gros sur le cœur de part sa passion de la musique et était carré dans le vocabulaire. C'est vrai qu'il y a un certain monde entre le ménestrel et le troubadour et Minako était d'accord avec Ken. Elle rougit quand il tape dans ses mains en disant à sa chérie qu'il l'aime. Peut-être qu'en effet Taishi ne pouvait pas le comprendre mais ce code morse était si important pour ce couple.

“À l'académie, nous trichions sans que l'on ne s'en rende compte, et nous bavardions sans que l'on nous dispute, uniquement grâce aux coups de crayons que nous donnions sur nos copies ou sur la table. Nous l'avions créé ensemble cette technique, dans l'ombre. Notamment pour éviter que le quatuor de harceleuses que je traquais sans répit ne puisse comprendre que je met en garde mon petit protégé.”

À la question de savoir si l'art se suffit-il à lui-même sans compréhension du message derrière l'œuvre, Minako se demandait quoi répondre.

« Oui et non. On peut écouter une musique en arrière plan lorsqu'un groupe joue dans un bar et que nous profitions juste de l'instant pour boire et s'amuser, sans forcément prendre en compte le message derrière les mélodies, là où lors de musiques jouées lors d'événements plus importants ont le mérite d'attirer la curiosité des personnes qui ont envie de profiter à fond de la magie derrière les sons produits. »

C'est vrai que le couple a prévu de voir Mizu s'ils font leur lune de miel après un doux mariage et une nuit de noces. Pourquoi pas voyager aussi à Iwa , et Teikoku, pour rendre visite à la coalition, renforcer les liens au travers de Higure Onkyou ?

« Hé bien, si nous arrivons à mieux faire connaître notre groupe de musiciens au sein de Kaminari, on pourrait faire une tournée dans tout le yuukan dont un petit détour à Tsuchi oui ! Comme dit si ça peut renforcer les liens au sein de la coalition on est chaud ! »

La banshee se sentait davantage chanteuse que ninja et affectionnait ce projet auprès de Ken, son meilleur partenaire. Minako n'eut pas à réfléchir trop longtemps pour avoir l'idée du bistrot en question car c'est là où Higure a l'habitude de jouer. Alors qu'elle voulait emmener le jonin de Iwa au Nomiya no Raiun, une femme d'âge mûr vient à eux essoufflée pour raison encore inconnue. Il était instinctif pour Minako de prendre en charge la requête de cette femme, et attendit qu'elle se remette de ses efforts physiques pour l'écouter. Minako comprit alors pourquoi cette personne semblait effrayée, parce qu'une rixe au bistrot en question a lieu, car deux jeunes hommes bien bâti élèvent leur voix contre un homme un peu plus âgé. Ils semblaient se connaître et voulaient rendre des comptes sur un lieu public. Il fallait au moins un membre des forces de l'ordre pour régler la situation.

La demoiselle posa une main sur l'épaule de cette dame inquiète, pour la rassurer en lui disant qu'elle se chargerait de calmer la situation. Elle prit donc de l'avance pour arriver sur les lieux du rixe et toisa du regard les deux brutes.

« Takeba Ryuku et Koyama. On ne bouge plus ! »

Puis, son regard se porte sur la victime de leur brutalité, et souffle. C'était le propriétaire du boui-boui de sa défunte mère qui avait viré la chanteuse au physique un peu plus fort et hideux depuis ses brûlures sur le visage, depuis qu'elle est devenue ninja.

« Je vous prie d'excuser leur comportement, monsieur Sato. Je peux prendre votre plainte afin de châtier ces deux impertinents, si vous voulez. »

Le petit homme n'avait pas l'air satisfait et se leva de sa chaise pour s'exclamer.

« Qu'on leur coupe la tête ! »

Les deux autres hommes avaient l'air dépité. Les deux cousins Ryuku et Koyama voulaient simplement venger leur amie de cette injustice, du fait que ce vieil homme fasse dégager leur chanteuse simplement pour des déformations corporelles. Ce qui était idiot selon Minako parce qu'ils sont avant tout artistes de rue et qu'ils peuvent aisément trouver une place dans d'autres bistrots, dont celui-ci.
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