C'est par une froide mâtiné hivernal qu'arrivait au port Naragasa le navire transportant le mastodonte qu'était le marchand de guerres. Guerrier du pays de la neige, ce dernier était désormais connu pour la solidité de ses créations et la qualité de son art qui grandissait après chaque voyage. Arpentant les méandres du Yuukan, toujours en train d'en apprendre plus sur les arts de l'acier, ce dernier nourrissait l'effort de guerre à chacune de ses transactions.
Descendant du navire, mettant le pied sur le quai, il avançait jusqu'à cette échoppe qui allait l'accueillir lors de son passage dans la cité de la brume. Trainant sa jambe artificielle, claquant cette dernière d'abord sur le bois des quais, puis sur la pierre du port, le marchand avançait en ligne droite sans jamais dévier de sa course, ne faisant pas fit des passants qui devait soient changer de chemin ou percuter une montagne. Ce n'était pas lui qui se retirait du chemin, mais les autres.
Inspirant un grand coup, se raclant la gorge, il expulsait un crachat blanchâtre au sol, juste devant les pieds d'un matelot qui s'arrêtait sec. En colère, ce dernier posait son regard sur les iris blanches et vide du marchand avant de laisser s'échapper un « Oh » et de passer son chemin.
Arrivant finalement au coeur du petit établissement qu'il utiliserait, le marchand sortit d'un sceau son inventaire qu'il étalait aux yeux de tous les curieux. Sa réputation n'était plus à faire, son nom se portait entre les différentes bouches de kirijines. Déposant à la vue de tous, mettant en évidence un katana de sa confection, le marchand exposait sa dernière création. Un sabre forgé à même la lave de Tsuchi, une lame aux propriétés rarissime.
Le marchand de guerres était arrivé.
Choses à savoir:
Le Marchand de Guerre est un PNJ ambulant qui change de lieu et de marchandises tous les deux mois (HRP) environ.
Vous pouvez interagir avec Le Marchand de Guerre si vous êtes dans la même zone que lui en répondant en RP à ce sujet.
Le Marchand de Guerre propose toujours et au moins 3 équipements ou armes, dont un rare que vous pourrez acheter comme si vous les achetiez auprès d'autres personnages.
Le Marchand de Guerre peut également être intéressé par l'achat (en ryôs) des équipements et armes que vous possédez...
Tout comme n'importe quel PNJ du forum, vous pouvez interagir de la manière que vous souhaitez avec Le Marchand de Guerre : vous pouvez tenter de le combattre, de le persuader, de le séduire, de marchander, de le voler etc.
Tout comme n'importe quel personnage, Le Marchand de Guerre entretient des liens avec les différentes factions du monde : il aura toujours tendance à aller vers ceux qu'il apprécie et n'ira jamais vers ceux qu'il déteste.
Calme et léger, Haise se promenait comme à son habitude au sein des différents quartiers. Non mandaté en cette journée des plus anodines, il ressemblait à une âme égarée qui demeurait attentive à son environnement.
En profitant ainsi pour parcourir les rues dorénavant plus calmes de Kiri, le Chunin observait, cherchant le moindre élément pouvant rompre le calme sur lequel Kiri pouvait temporairement se reposer. Il gardait toutefois une distance en cette froide matinée, distance qu’il semblait maintenir par son absence totale au cours des derniers temps.
Ayant été mis à l’écart pendant quelques instants, son absence avait été justifiée par le temps nécessaire visant à guérir ses blessures, mais surtout pour faire le vide et affronter sa voie familiale.
En profitant ainsi pour ouvrir ses sens à un tout nouvel art, l’art du sabre qui était pourtant réputé à Kiri était nouveau pour lui. Ainsi, il se contenta de s’entrainer tant en visualisation qu’en pratique, étendant ainsi sa maîtrise innée des armements à ce dont il s’était toujours refusé de manier.
Représentant pourtant la continuité naturelle de ses aptitudes aussi mystérieuses qu’explosives, le guerrier de lumière frôlait peu à peu son potentiel.
Naviguant ainsi avec une arme en bois qui siégeait dans un fourreau situé au niveau de sa taille, Haise s’habituait clairement à ce nouveau rythme de vie et ce qu’impliquait le port d’une arme.
Toutefois, celle-ci n’était pas encore la représentation même de son entéléchie divine. Au contraire, comme tout sabreur, il devait trouver une arme qui lui convenait. Toutefois, la voie des sabreurs n’était pas celle qu’il désirait entreprendre ni celle qui lui semblait destinée. Son entreprise se voyait beaucoup plus traditionnelle et s’étendait même au dehors des terres kirijines auprès des arts samourai sauf si la vie lui réservait une surprise…
Observateur, il arriva finalement devant un petit établissement devant lequel était posé un homme qu’il n’avait jamais vu. N’y portant pas attention au regard de la quantité impressionnante de gens venant marchandés, le Sergent fut cependant attiré par les trois armes qui étaient posées devant lui.
Sentant sa poitrine se serrer, il s’approcha calmement alors que ses iris brillaient d’un feu nouveau. Lui permettant ainsi d’avoir une vision infrarouge, il en examina calmement les lames, y voyant une empreinte thermique respective et stable. Signe de qualité dans la matière tant dans la densité que dans leur création, il n’affichait toutefois aucun signe de joie quelconque.
En effet, il lui avait toujours été indiqué qu’une lame choisissait son hôte et non l’inverse. Or, comment pouvait-il savoir si l’une de ses armes était faite pour lui ?
Observant la lance, celle-ci était drôlement intéressante. Entrant un peu plus dans la catégorie d’armes qu’il utilisait au quotidien, le maître des armes reporta toutefois son attention sur le katana. Beaucoup plus proche de l’expertise auquel il s’adonnait depuis peu, il décida finalement d’ouvrir un dialogue.
Or, avant toute chose, Haise balaya les alentours du regard, en quête de la moindre source de problématique ou gêne. Après tout, certains vols étaient répertoriés par moment. Il se devait ainsi de garder l’oeil ouvert, même en dehors de ses heures de services.
-Bonjour.
Quelque peu laconique, il pointa calmement le katana.
-Pourriez-vous m’indiquer le prix de ce katana? Cette lame a clairement été forgée avec soin et qualité, mais j’aimerais toutefois avoir des informations à son sujet.
Calme et direct, Haise conclut le tout.
-Il est dit qu’une arme choisit son maître et non l’inverse. Je cherche donc à savoir si cette lame me juge compatible à être son maître. Si tel est le cas, mon prix sera le vôtre.
Dévoilant une bourse contenant ce qui d’un simple coup d’oeil pouvait ressembler à 6 millions de ryos, Haise dévoilait là le fait qu’il ne parlait pas que pour parler. Son intérêt était réel à condition que cette lame soit faite pour lui. Or, son raisonnement était-il réellement bon? Un être de lumière comme lui ne restait-il pas dans l’ombre en laissant une arme choisir de son sort ?
-Pourrais-je la prendre dans ma main afin de l'examiner davantage?
Perplexe, il sortit aussi une arme de sa poche qu’il montra au marchand.
-J’aimerais aussi savoir si vous sauriez améliorer les lames de ce shuriken. Encore une fois, mon prix sera le vôtre.
D’un bleu vif, son shuriken de fuma demeurait de qualité relativement bonne. Toutefois, contrairement aux autres lames, il pouvait y voir une empreinte thermique beaucoup moins linéaire et donc de moindre qualité.
Se demandant comment allait réagir le grand gaillard, son attention se porta sur les alentours, se demandant si d’autres avaient eu l’oeil pour l’objet qui l’avait attiré à ce kiosque. La lame favoriserait-elle un autre intéressé?
Spoiler:
-Haise voit le marchand et observe son kiosque. Il utilise sa technique lui permettant de lire les empreintes thermiques afin de voir la linéarité thermique des armes pour en juger de leur qualité. -Haise demande des informations sur le katana. Il est prêt à offrir le prix demandé à condition que cette arme soit fait pour lui. Une bourse visible contenant approximativement 6 millions de Ryos est visiblement dans sa main comme gage qu'il est prêt et apte à payer le prix pour les deux services demandés. -Il demande ensuite au marchand s'il peut améliorer son shuriken de fuma préféré. Son prix sera le sien encore une fois.
Dernière édition par Sakkaku Haise le Mar 12 Juil 2022 - 4:40, édité 1 fois
Alors qu'elle faisait son entraînement matinal journalier, consistant notamment à courir autour du village et sur le port, la Sabreuse aux yeux argentés avait remarqué cet étrange marchand, nouveau venu parmi les exposants. Celui-ci n'était définitivement pas du coin, la Mawehara le savait. Et le sabre qu'il présentait devant lui était particulièrement impressionnant. Cependant, l'entraînement passait avant tout et elle devait le terminer avant de revenir pour éventuellement tenter de l'acheter.
Clôturant sa session après une demi-heure supplémentaire, la jeune femme rentra chez elle comme toujours pour être à nouveau présentable et retirer cette sueur qui pouvait rendre malade quiconque la sous-estimait par des temps aussi froids. Ce dernier pouvait se montrer particulièrement mordant pour qui n'y prêtait garde, et la dernière chose que Miyuki souhaitait, c'était de se retrouver clouer au lit, malade parce qu'elle avait été trop pressée d'aller découvrir une arme sur un stand. Qui plus est, une arme qui n'y était peut-être déjà plus.
Une fois prête, la jeune femme se redirigea jusqu'à l'étal qu'elle avait repéré. Et effectivement, l'arme intriguait. Elle reconnu notamment Haise qui était en train de discuter avec le marchand, et son regard semblait bien se porter sur la lame noire plutôt que sur le reste des armes présentées.
Attendant donc patiemment son tour et laissant son collègue terminer son échange, la Sabreuse salua le marchand quand enfin ce dernier eut du temps pour elle.
« Ohayo gozaimasu. Je souhaiterais vous demander si vous savez s'il existe des gants d'une suffisamment bonne qualité, alliant légèreté et solidité, pour les porter et pratiquer le taijutsu et ainsi bloquer des lames ou même des techniques de ninjutsu sans risquer de se faire découper les mains. Ou si même éventuellement vous sauriez en fabriquer. Je suis prête à mettre le prix qu'il faudra. »
Souriante, la jeune femme réfléchit encore un instant puis reprit le fil de ses pensées à voix haute.
« J'ai également vu que le katana que vous présentiez avait trouvé preneur... Mais je souhaiterai savoir si vous auriez entendu parler de lames plus extraordinaires encore, des lames similaires à la mienne, qui seraient dans la nature actuellement, ou au moins en dehors de Kiri. Je fais parti du clan des Sabreurs et nous tentons de mettre ces armes à l'abri. Il y a quelques mois de cela, nous avons découvert une lame suite à un massacre qu'elle a produit sur l'île d'Ue. Comme ces armes peuvent rendre fous ceux qui les tiennent sans entraînement particulier, j'aimerais éviter de revoir un champ de cadavres innocents et les mettre dans un lieu sécurisé où elles ne tueront personne. »
Alors qu'elle avait évoqué Senritsu, la blonde avait dégainé son arme d'un geste doux et dans une position qui montrait bien qu'elle n'attaquerait personne, main gauche sur le pommeau, ouverte vers l'extérieur de son corps, pour venir présenter sa propre lame au marchand d'armes si ce dernier souhaitait la voir pour se faire une idée de ce dont parlait la guerrière. Sa main droite était venu soutenir la lame froide de l'arme, la dévoilant ainsi à plat face à l'homme à la dégaine peu commune.
HRP:
Miyuki demande d'abord si le marchand d'arme peut lui fabriquer des gants pour faire du taijutsu et parer des armes et des techniques, puis elle lui demande s'il a entendu parler de lames type Sabreur qui seraient en dehors de Kiri et qui pourraient poser problème.
Namue effectuait l’une des rondes obligatoires qui venait avec ses nouvelles tâches au sein de la Kenpei lorsqu’elle vit qu’un nouveau marchand s’était installé au sein du village de la brume et, ayant passé de nombreuses années sur les routes de l’archipel, l’apprentie samouraï reconnu assez rapidement qu’il s’agissait de nul autre que du marchand de guerre, un maître artisan à la réputation inégalée.
Puis, alors qu’elle passait devant la devanture, son regard fut attiré vers une magnifique lame qu’elle se promit d’acheter, mais elle ne pouvait y aller maintenant puisqu’elle avait encore une ronde à terminer. Ainsi, elle repartit terminer sa besogne et quelques heures plus tard, la chûnin se retrouvait de nouveau devant la porte de l’échoppe dont elle poussa la porte avant de se rendre compte que l’objet de ses désirs avait déjà trouvé bonheur. Refoulant sa déception, la jeune femme s’avança vers l’homme à la réputation implacable avant de s’adressé à lui, prenant toutefois la précaution de mémorisé son chakra au préalable.
…
Bon matin maître artisan. La lame qui avait attirée mon attention initialement semble avoir trouvé preneur avant que je ne puisse revenir vous l’achetez… Votre réputation n’est plus à refaire, j’ai cette arme qui est très importante à mes yeux et dont la facture n’est pas des plus sobres, mais je crains qu’elle ne soit pas du niveau de vos œuvres…
La Kayuri détacha Yokan de sa ceinture avant de la déposer, toujours dans son fourreau, sur le comptoir devant le marchand de guerre.
…
J’aimerais savoir s’il serait possible pour vous d’en améliorer la facture pour en faire une arme digne de votre réputation. Bien entendu, je serais prête à payer le prix que vous jugerez nécessaire et, si les matériaux manquent, j’ai aussi cette lame qui pourrait servir.
Passant de la parole aux actes, la soldate de la Kenpei détacha son Kodachi de sa ceinture avant de la déposer aux côtés de Yokan, devant le forgeron.
…
Elle possède aussi une importance émotionnelle pour moi, mais je ne crois pas que cela me poserait un problème qu’elle serve à augmenter Yokan…
Concentrant ensuite son chakra au creux de sa main, la jeune femme y fit naître une petite boule de cristal rosâtre semi transparente qu’elle tendit ensuite à l’homme.
…
Je ne sais pas si cela peut avoir la moindre valeur pour vous, mais si jamais vous désirez quelques gemmes pouvant servir à garnir vos créations, je n’ais aucun problème à vous en fournir… Vous pouvez conserver celle-ci si vous le désirez…
Hors RPNamue, après avoir remarqué que la lame qui l’avait initialement attirée avait déjà été acheté, demande au marchand de guerre d’augmenter la facture de son sabre Yokan. Elle lui propose ensuite son Kodachi si jamais l’homme aurait besoin de matériaux supplémentaire. Finalement, Namue crée petite sphère crystalline rosâtre à l’aide de sa technique de cristallisation qu'elle lui tend ensuite avant de lui proposer de lui créer quelques gemmes pouvant potentiellement servir à garnir ses prochaines créations.
Dernière édition par Kayuri Namue le Lun 11 Juil 2022 - 17:09, édité 1 fois
Petite balade tranquillement, après avoir fini ses vacations au sein du Tengu-jii. Un bon moyen de souffler un peu, de libérer son esprit des responsabilités et du stress, elle avait besoin de voir aussi, si tout aller bien au sein de Kirigakure. La jeune femme était habillée dans une tenue de Miko, un kimono traditionnelle rouge et blanc avec des ornements afin de la démarquer des autres prêtresses. La Yasei pouvait discuter avec tout le monde, ça ne la dérangeait pas et parfois, elle affichait un sourire. Communiquer avec les autres, par le passé, n’était pas évident après la perte de sa mère. Yosuzume s’était, autrefois, refermer sur elle-même, mais depuis un moment déjà, elle s’était libérée. Son rôle au sein du temple et de Kiri l’ont beaucoup aidé à surmonter ses problèmes. D’ailleurs, la Yasei avait entendu parler d’un marchand itinérant qui s’est installé sur le Port Naragasa depuis quelques temps déjà. Un bon moyen pour aller revendre un certain vêtement assez spécial. Cela faisait quelques jours que la Kuro Washi cherchait quelqu’un pouvant le lui racheter à un bon prix. Or, personne ne semblait intéresser ni courageux de le lui reprendre à une certaine somme d’argent.
Au loin, elle observait l’homme entouré de curieux et d’acheteur potentiel. On l’appelle de Marchand de guerre et il dispose toujours d’équipement de combat très intéressant. Difficile de savoir, s’il voudra ce qu’elle souhaite revendre. Cela dit, la kunoichi ne doit pas craindre d’aller le lui demander afin de ne pas louper une occasion de revendre cela. L’équipement qu’il présente, n’intéresse pas la Yasei. La Souhei se bat avec le Taijutsu et ne pratique pas le Bukijutsu. Du coup, les armes exposaient à la vue de toutes et tous, ne l’intéresse pas réellement et elle ne lui achètera rien. Cela dit, au vu de sa réputation, des expertes en maniements des armes iront sans doute le voir pour le lui acheter ou demander de leur forger une bonne arme, qui sait. Assez proche, il y avait moins de monde et une place se libère pour la Sergente de la Kenpei. « Bien le bonjour à vous, Marchand de guerre. Je ne sais pas si vous allez accepter, mais j’avais envie de tenter ma chance, auprès de vous. Puis-je vous vendre cette écharpe ayant la capacité de faire fondre la glace ou autre dès qu’on la possède ? Je ne sais malheureusement pas à qui la revendre. Et que dites-vous aussi de ses rouleaux de bonnes qualités ? Je suppose que cela pourrait vous permettre de les revendre ici-même ou durant vos voyages. Si ça vous convient, je pourrais vous les vendre à 9 millions, écharpe comprise dedans. Si vous le souhaitez, je peux baisser légèrement le prix. » Dit-elle avec un léger sourire.
Résumé:
Ce que Yosuzume souhaite vendre pour 9M ou moins, selon le Marchand de guerre.
Le premier à pénétrer dans l'établissement, @Sakkaku Haise fut simplement accueilli par le regard froid du marchand de guerres. Un regard vitreux et vide de vie, mais Haise pouvait aisément se sentir observer malgré ça. Son bonjour fut simplement ignoré, un reniflement en réponse à cette pourtant si simple politesse.
― Trois millions et demi. Ryôs seulement. Répliquait-il simplement à la demande du prix de l'arme. Lame pas avoir d'âme. Arme n'être qu'outil de guerre. L'Arme choisit pas acheteur.
Inspirant profondément, il se levait de sa place avant de saisir le sabre fermement. Infusant du chakra dans ce dernier, une très minime quantité de lave coulait le long du sabre avant d'aller s'écraser au sol menaçant d'enflammer l'établissement. Se raclant la gorge, le marchand relâcha un violent crachat sur la petite quantité de lave, puis déposait de nouveau le katana sur son socle. Ta vision thermique t'indiquait qu'il ne faisait aucun doute que ce qui venait d'être produit par le chakra ne pouvait qu'être du magma en fusion.
― Touche avec les yeux. Est-ce que sabre t'appel ? Je peux faire démonstration plus tard. Sinon. 3 millions et demi.
Écoutant ensuite ta proposition pour l'amélioration du shuriken, le marchand se rassit.
― Pas assez d'argent dans ta bourse pour les deux. Je peux améliorer shuriken pour 3 millions et demi. Sept millions pour les deux.
L'attention du marchand se rivait ensuite sur @Mawehara Miyuki. Encore une fois, le regard vitreux de l'homme indiquait clairement qu'il était aveugle, mais il semblait tout de même porter une attention particulière sur ses clients, ne serait-ce que pas cette fâcheuse impression d'être observé qui envahissait ceux qui pénétrait l'établissement.
― Je ne vous conseille pas de bloquer ninjutsu avec bracelet ou gant. Évité à la place. Moins de chance de perdre main. Je peux créer gant solide. 3 millions. Ryôs seulement.
Déclarait-il avant de mettre la main sur le katana rare qui attirait définitivement l'attention de Kiri.
― Toi vouloir le katana ? Vendre à celui qui payera plus cher. Je peux faire démonstration plus tard. Pour lame qui rend fou. J'ai entendu parlé d'un Chasseur de Sabres à Asosan. Visite les arènes.
Posant par la suite son regard sur @Kayuri Namue, la main géante du guerrier de Yuki était toujours posée sur le katana convoité par Haise.
― Toi aussi vouloir le katana ? Vendre à celui qui payera plus cher. Trois millions et demi, mise de base. Je peux faire démonstration plus tard.
Définitivement, il n'y avait rien de mieux pour les affaires que de venir vendre un katana dans la cité de la brume. Il y avait là tant d'acheteurs. Tant de shinobis compétents et souhaitant faire la guerre avec les armes du marchand. Il ne pouvait qu'en être fier.
― Trois millions et demi pour améliorer katana. Ryôs seulement. Pas besoin de ton sabre pour améliorer, mais j'achète 500,000.
Il ne prenait même pas en compte l'importance émotionnelle que le Kodachi avait pour Namue, ça n'importait absolument pas au marchand. Cependant, il saisit le morceau de cristal créé par Namue et le déposait derrière le comptoir sans dire un seul mot de plus.
Finalement, @Yosuzume pénétrait dans son échoppe en compagnie d'articles qu'elle souhaitait vendre pour un bon montant. Deux rouleaux et une écharpe qui fit éclater de rire le marchand. Un rire gras, un rire moqueur. La simple idée de se présenter sur un champ de bataille, de faire la guerre avec une écharpe le faisait bien rire.
― Je n'achète pas les rouleaux. On ne fait pas la guerre avec écharpe. Je n'achète rien de ça. Je peux améliorer armes ou vendre vrai équipement.
Résumé:
― Comptes tenus de la situation avec le sabre Basalte, un enchère est proposée pour son achat. Celui qui proposera le plus repartira avec.
― @Sakkaku Haise : En plus de l'enchère, le marchand te propose d'améliorer ton shuriken pour 3,5M. Il te propose de te faire une démonstration du sabre plus tard.
― @Mawehara Miyuki : Le marchand essaie de t'enrôler dans l'enchère. Il te propose une démonstration du sabre plus tard. Il t'informe qu'il aurait entendu parler d'un Chasseur de Sabre dans les arènes d'Asosan. Il te propose de te forger des gants pour 3M.
― @Kayuri Namue : En plus de l'enchère, il te propose de te faire une démonstration du sabre plus tard. Le marchand te propose aussi d'améliorer ton arme pour 3.5M. Il refuse d'utiliser ton arme pour l'amélioration, il n'en a pas de besoin, mais te propose de l'acheter pour 500K. Il accepte ton cristal qui range derrière son comptoir.
― @Yosuzume : Le marchand de guerres n'achète rien de ce que tu lui vends et te propose à la place de te vendre de “vrai” équipements (en référence au fait qu'il juge qu'une écharpe n'est pas un équipement de guerre).
Choses à savoir:
Le Marchand de Guerres est un PNJ ambulant qui change de lieu et de marchandises tous les deux mois (HRP) environ.
Vous pouvez interagir avec Le Marchand de Guerre si vous êtes dans la même zone que lui en répondant en RP à ce sujet.
Le Marchand de Guerres propose toujours et au moins 3 équipements ou armes, dont un rare que vous pourrez acheter comme si vous les achetiez auprès d'autres personnages.
Le Marchand de Guerres peut également être intéressé par l'achat (en ryôs) des équipements et armes que vous possédez...
Tout comme n'importe quel PNJ du forum, vous pouvez interagir de la manière que vous souhaitez avec Le Marchand de Guerre : vous pouvez tenter de le combattre, de le persuader, de le séduire, de marchander, de le voler etc.
Tout comme n'importe quel personnage, Le Marchand de Guerres entretient des liens avec les différentes factions du monde : il aura toujours tendance à aller vers ceux qu'il apprécie et n'ira jamais vers ceux qu'il déteste.
Pénétrant dans la boutique dans son accoutrement habituel, à savoir torse nue avec seulement un petit pantalon moulant, ses cheveux venant dissimuler ses tétons, Eyana pouvait voir que le lieu était déjà fortement fréquenté. Elle adressait un petit clin d’œil à Namue qui était visiblement en pleine conversation pendant que l’Anaï commençait à parcourir les armes et leurs caractéristiques. Visiblement rien d’intéressant pour elle, dommage, elle aurait aimé mettre la main sur un bouclier ou peut être des gantelets.
Elle se souvenait d’Hidkeo et de ses gantelets de métal noirs qui lui permettait de bloquer des frappes trop puissantes ou des lames, bien que sa maîtrise du Fûton affinée avec Misaki dernièrement ne rendait pas cela indispensable, une arme bien solide avec des capacités unique était le genre d’investissement qu’Eyana souhaitait faire. Il n’y avait cependant pas le moindre gantelet de présenté, peut être que le célèbre Marchand de guerre ne réalisait pas ce genre d’œuvre ? Sa curiosité fut vite interrompue.
Miyuki, une Jônin Eisenin qu’elle avait déjà croisé à l’hôpital quelques mois auparavant avait formulé une demande presque similaire à celle que possédait la Céleste dans sa tête. Elle voulait visiblement être capable de se défendre à mains nues. Etrange pour une sabreuse, mais peut être avait-elle décidée de développer son combat sans arme également.
Intriguée, la Genin attendait son tour et quand le colosse venait lui donner son attention, elle fit bref et concis.
Eyana : « Bonjour, j’aimerais une paire de gantelet pouvant aller avec mon style de combat, j’utilise les Portes Célestes et je fais uniquement du Taijutsu. Si vous pouvez me forger un objet solide pouvant résister aux impacts des frappes sous ma capacité et avec une capacité pouvant optimiser leur potentiel, ou étant complémentaire, je suis preneuse. »
Elle venait marquer un instant de réflexion, avant d’ajouter une alternative, collant à ses désirs de rejoindre le Kyôi.
Eyana : « Ou une capacité de dissimulation, me permettant de m’infiltrer, je suis également intéressée. Cela ne me dérange pas d'attendre longtemps s'il le faut pour les obtenir, ce n'est pas pressé. »
Elle venait attendre sa réponse, n’accordant que très peu d’attention au reste de l’échoppe.
Résumé:
Eyana demande au Marchand de guerre s'il peut lui forger des bracelets de combat d'exception, ayant une capacité cumulative ou complémentaire avec ses Portes Célestes. Ou bien des capacités de dissimulation pouvant compenser sa faiblesse dans le domaine.
Elle ne sera pas intéressée par un objet "commun".
Observant le comportement de l’homme en question, Haise pouvait y remarquer une personne très peu bavarde et n’ayant pas du tout le sens de la séduction en commerce. Or, quelque chose de réconfortant se dégageait pourtant dans son assurance quasi innée voire surnaturelle.
Laissant ses iris briller de tous leurs éclats, son cœur émit soudainement un battement relativement atemporel par rapport aux autres. Clignant des yeux en voyant une quantité de lave en fusion couler le long de la lame, de violents frissons envahirent son derme alors que les dernières paroles du forgeron faisaient écho en lui : est-ce que sabre t’appel ?
Un nouveau bâtiment résonna soudainement tandis qu’il glissa soudainement la main vers sa bourse.
-Je paierais le prix cher demandé pour ce sabre. Ce sabre m’appelle.
Observant tout le monde du regard afin de leur envoyer un signal, Haise n’eut aucun problème à sortir une seconde bourse littéralement deux fois plus grande que la première.
Instinctif, son corps bougeait presque seul tandis qu’il complétait la bourse ayant déjà 6 millions de ryos de 1 million supplémentaire. Rangeant par le fait même la seconde bourse qui était beaucoup plus grande, à tout moment, il était prêt à la sortir, chose qu’il fit assez rapidement en voyant une femme de la Kenpei manquer de fond pour améliorer son arme.
Sortant ainsi 1 Million de Ryo pour complémenter le montant qu’elle avait, il rangea finalement la bourse là où elle se devait d’être après avoir confiée à son alliée du Kenpei de quoi compléter son budget pour l'achat demandé.
-Voici 7 millions pour la lame et l’amélioration de mon shuriken, tel que nécessaire. Advenant que quelqu’un mise et mettant aux yeux de tous le montant pour la lame, je m’assurais de renchérir au-dessus.
Brillant d’un regard nouveau, une flamme avait été allumée en ce jeune samouraï qui faisait ses premiers balbutiements dans un monde de requins. Pourtant, son aura semblait étrangement s’acclimater alors qu’une force tranquille accompagnait chacun de ses gestes.
Ayant une légère pensée pour le gladiateur de lumière de l’Arène d’Asosan, Haise prononça mentalement comme pour lui-même des paroles qu’il avait abandonné son titre de Héros
Haise après avoir affront Seisai a écrit:
Car le jour viendra où même dans les ténèbres, la lueur de Kiri brillera dans toute sa splendeur.
Seul à ce moment précis, je serais digne de porter le titre qui me précède. Pour le moment, appelez-moi simplement Sakkaku Haise et gardez le titre de Héros pour les gens dignes de ce titre….
En transe, le regard d’Haise était si perçant que les experts en sensorialité pourraient même en sentir l'œil omniprésent qui semblait sonder chacune des auras environnantes.
Spoiler:
Haise dévoile qu'il a largement plus d'Argent que 6M ... (possiblement plus que le double...voire triple). Haise offre donc les 7 Millions demandés au marchand pour la lame de lave & l'amélioration de son shuriken de fuma. Haise offre 1 Million à Kayuri Namue afin de compléter son achat en voyant qu'elle n'aurait pas assez pour le prix demandé. Haise se tient prêt à sur-enchérir à quiconque misera sur le sabre et démontrera l'argent derrière sa mise.
La jeune femme replaça son Kodachi à sa taille lorsque le marchand de guerre lui signifia qu’il n’en avait pas besoin pour l’amélioration de son arme. Puis, une fois cette étape effectuée, la jeune femme plongea la main dans l’une des poches de son Kimono avant d’en sortir une bourse contenant l’ensemble de ses économies qu’elle versa avec fraqua sur le comptoir de bois de l’échoppe avant de se mettre à en compter le contenu.
Déçu de ne pas avoir suffisamment d’argent pour l’amélioration de son arme, la chûnin se mit à fouiller ses poches à la recherche d’objet qu’elle pourrait utiliser afin de marchander avec l’homme bourru qui lui faisait face, mais avant qu’elle ne puisse sortir la moindre chose de ses poches, un homme s’approcha du comptoir avant d’y déposer la somme manquante.
Légèrement sous le choc de la surprise, la jeune femme prit un moment pour observer le bon samaritain, la bouche légèrement ouverte de surprise puis, comme sortant d’une trance, la Kayuri s’ébroua légèrement avant de finalement remercier ce dernier.
Oh… Merci !
Puis, une fois cela fait, Namue se retourna vers le marchand de guerre avant de pousser dans sa direction les 3.500.000 ryôs ainsi que sa lame immaculée. Elle avait bien hâte de voir ce que le marchand de guerre allait être en mesure de faire de cette arme qui était déjà de qualité supérieure.
Voilà la somme demandée.
Hors RPNamue accepte le don de Sakkaku Haise et refuse l'offre d'achat de son Nodachi par le marchand de guerre. Elle accepte toutefois l'offre d'augmentation de sa lame immaculée qu'elle lui tend avec le paiement demandé de 3.500.000 de Ryos composé de 2.500.000 de Ryos lui appartenant et du don de 1.000.000 de Ryo de la part de Sakkaku Haise. Rappel de l'arme à améliorer:
Le marchand semble rester complètement de marbre face à la démonstration que tu lui fais. Si l'argent est un de ses motivateurs, comme n'importe quel marchand, ce dernier estime que le prix qu'il ta demandé est représenté à sa juste valeur. Ça ne lui empêche cependant pas de te faire un petit commentaire.
― Peut-être seriez-vous intéressée par autre chose ? Une autre arme. Ce que votre coeur veut, je peux le forger. Tant que vous payez.
Il ne te fermait pas là boutique, loin de là, mais t'offrait la possibilité de passer une commande si tu le souhaites. À l'image d'Eyana ou de Miyuki, qui elles sont venues avec une demande spéciale, peut-être qu'une arme en particulier te serait utile ? À toi de voir.
Dans tous les cas, il valide la vente. Saisis ton Shuriken et sortent d'un sceau tous les articles dont il a besoin afin de réaliser cette fameuse amélioration. Un coin de la boutique avait d'ores et déjà préparé pour ça et tout ce qu'il sortait de son jutsu semblait apparaitre exactement là où il en avait besoin. Ce n'était pas son premier rodéo.
Ce n'est qu'au bout d'une trentaine de minutes de travail, une éternité pour lui qui juge qu'il peut encore améliorer son art, alors qu'il s'agit déjà d'une prouesse en soi, qu'il revint vers toi. Déposant ton shuriken sur la table, accompagné du sabre que tu avais acheté, il t'échangeait quelques mots.
― Alors ? Toi vouloir autre chose ?
Anaï Eyana
Écoutant tes demandes pourtant si spécifique, il profitait de ton monologue pour cracher de nouveau un grosse flaque de morve au sol. La forge encore chaude de l'amélioration du shuriken de Haise, le marchand portait une de ses mains sous son comptoir avant de déposer un morceau de cuir de qualité sur la table. Posant ton regard, tu n'y voyais là que l'élégance d'un morceau qui n'attendait que d'être manipulé et travaillé par un maître tel que le marchand de guerre.
― Cuir pas fait pour les portes. Discrétion par contre... C'est possible.
Il te pointait d'un coup de tête Miyuki un peu plus loin.
― Comme elle, mais plus cher. Plus spécifique. 3.5 millions. Ryos seulement.
Voilà sa proposition. De l'argent contre une paire de gants qui, sans savoir exactement ce qu'elle ferait, irait répondre à l'une de tes demandes. Est-ce que tu avais même ce qu'il fallait ?
Kayuri Namue
Ramassant finalement l'argent en partie financé par Haise, il saisit la lame que tu lui offrais sans vraiment y faire attention. Le marchand de guerres n'avait que faire de la politesse. Ramassant quelques articles, il les enfonçait dans la forge chaude. Tout comme précédemment, il lui fallut une bonne trentaine de minutes avant de revenir vers vous. Malgré son attention sur sa forge, il ne semblait tout de même pas être aveugle à la multitude de clients qu'il y a dans l'établissement. Jetant un coup d'oeil par-dessus son épaule de temps en temps, lorsque certains clients s'apprêtaient à toucher la marchandise.
D'ailleurs, un homme près de la Shôtoniste était sur le point de mettre la main un kunai qu'il souhaitait observer de plus près quand soudainement un marteau traversait la pièce jusqu'à connecter avec le corps de l'homme, l'envoyant au tapis.
― Touche avec les yeux.
Répliquait-il en en saisissant un nouveau et en poursuivant son oeuvre.
Revenant vers toi, il te remit ta nouvelle arme.
Spoiler:
@Sakkaku Haise : La transaction est confirmé. Tu devrais voir apparaitre dans ton inventaire les deux articles d'ici quelques jours. Il te propose aussi si tu souhaites qu'il te fabrique quelque chose, à l'image des demandes d'Eyana et de Miyuki. Après tout, l'argent semble te faire un trou dans les poches. (edit: transaction effectuée)
@Anaï Eyana : Le marchand te propose de te créer une paire de gant pour 3.5m. Des gants de cuir qui devrait répondre plus à ta dernière demande.
@Kayuri Namue : Comme Haise, la transaction est confirmé. Tu devrais voir apparaitre dans ton inventaire ta nouvelle arme d'ici quelques jours. (edit: transaction effectuée)
L'Anaï vient hocher la tête face aux déclarations de l'homme. A la fois satisfaite de ce qu'il lui propose et pas vraiment surprise qu'une simple création de forgeron ne sache résister ou amplifier les Portes Célestes. Mais cela valait la peine d’essayer.
Il avait pu accéder à sa seconde demande, bien plus professionnelle que personnelle. Les paroles du Mizukage continuait de résonner dans sa tête. Pour intégrer le Kyôi, il lui fallait capable d’être discrète. Elle savait se faufiler, comme tout Ninja, mais Saji avait parlé de techniques de Sensorialité. Celles capable de la dissimuler à la vue des autres, comme auprès des senseurs ou des traqueurs. Elle se targuait d’être une combattante rapide et meurtrière, mais il avait raison dans le sens où pour assassiner efficacement, cela pouvait être utile de faire preuve de discrétion. Autant pour l’élément de surprise que pour voir sans être vu.
La Céleste espérait simplement que l’objet serait à la hauteur de ses espérances. Elle comptait dessus pour ne pas avoir à passer les prochains mois à développer ses talents de Sensorialité.
En venant effleurer un sceau se trouvant sur sa peau nue dans son dos, l’Anaï venait faire apparaître une bourse en cuir remplie à ras bord qu’elle posait sur le comptoir.
Eyana : « C’est d’accord. Il doit y avoir le compte. »
Trois millions cinq cent milles Ryos, contrairement à Haise, cela représentait toutes ses économies de Ninjas depuis un bon moment.
Il ne restait plus qu’à voir le résultat.
Résumé des actions:
Eyana accepte la paire de gants sans négocier, elle lui donne 3.5M Ryos
À l'écoute de la réponse du marchand, la Mawehara commença par hocher la tête par réflexe avant de vocaliser sa réponse, se rendant compte que l'homme, s'il semblait capable de repérer les nouveaux clients, ne devait pas être capable de repérer ce genre de détails.
« Cela me convient, voilà vos ryos. Pour le katana, je le laisse à mon collègue, il en a plus besoin que moi. Et merci pour l'information ! »
Faisant un léger sourire en direction d'Haise avec un signe de tête à son égard, elle sortit les ryos nécessaires et les offrit directement au marchand. Celui-ci pourrait prendre son temps pour réaliser sa commande et cela permettrait à la combattante de parfaire son style à mains nues.
Mais alors qu'elle allait simplement se retirer pour laisser le vendeur s'occuper des autres clients puis créer les objets réclamés, elle entendit la proposition de la prêtresse Yosuzume ainsi que le refus qui lui fut adressé.
« Si tu l'acceptes, j'aimerais t'acheter les rouleaux. Je n'ai pas les moyens pour te prendre aussi l'écharpe par contre, même si elle m'aurait aussi intéressé. Si tu l'as toujours quand j'aurais assez de fonds, je pourrais t'en délester si tu souhaites toujours t'en débarasser. »
Laissant la place aux autres pour qu'ils terminent leurs affaires avec le marchand d'armes, la Sabreuse s'était tournée vers sa collègue kirijine qui avait essuyé un refus, espérant ainsi obtenir les rouleaux qui lui permettraient, elle l'espérait, d'avancer sur son apprentissage de l'iroujutsu ou de la maîtrise du raiton.
HRP:
Miyuki accepte la proposition du marchand d'armes, le paie et le remercie pour l'information puis va vers @Yosuzume pour lui proposer de lui racheter ses deux rouleaux pour 7M
Yosuzume s’était rendu au port Naragasa, après avoir entendu parlé de la présence du Marchand de Guerre. Intriguée et à la fois intéressée, la Prêtresse voulait s’y rendre afin de vendre des rouleaux et une drôle d’écharpe. La Yasei ne savait pas s’il reprenait le tout à un certain prix, or il fallait bien tenter sa chance. La kunoichi s’y était rendue assez rapidement et il y avait un peu de monde à cet endroit. Attendant son tour, elle parvient jusqu’à l’homme afin de lui faire une proposition sur ce qu’elle souhaite vendre. Après tout, si le contenu proposait par le marchand ne l’intéressait pas, peut-être que lui vendre des choses pourraient être bénéfique pour la brune. Cependant, le vieil homme refuse catégoriquement ses offres, car ce n’était pas dans son intention ni dans ses habitudes de prendre de tel objet. Il aurait fallu que ce soient des armes ou équipement digne de guerrier. Du coup, elle allait repartir avec ces rouleaux et l’écharpe. « Merci quand même et au revoir. » Dit-elle en s’éloignant de la zone. Or, Miyuki vient la rattraper un peu plus loin.
La blonde souhaitait racheter ses rouleaux pour la somme de sept millions de ryôs. Elle était vraiment généreuse comme femme et difficile de refuser. Après tout, elle ne savait pas qu'en faire de tout ceci. Or, elle ne pourra pas prendre l’écharpe, car elle n’aura pas assez pour l’obtenir et maintenant qu’elle y pense, la brune avait fait des dégâts au dojo des sabreurs. Un sourire s’affiche sur son visage. « Je ne dis pas non, je te les vends donc à 7 millions de Ryôs et je t’offre gratuitement cette écharpe chaleureuse afin que lorsque tu iras par exemple à Yuki no Kuni, tu ne puisses pas avoir froid. C’est mon cadeau et aussi, je n’ai jamais eu l’occasion de m’excuser des dégâts que j’ai causé au dojo malgré les réparations avec Misaki. Accepte-le, j’y tiens énormément, Miyuki-san. C’est aussi en guise de remerciement pour m’avoir soigné. » Dit-elle avec le sourire, en lui offrant ses rouleaux et son écharpe rare.
Objets vendus et donnés:
Yosuzume accepte l'offre de Miyuki de lui vendre ses rouleaux pour 7 millions de ryôs, et en plus de cela, Yosuzume lui donne gratuitement l'Echarpe Chaleureuse.
Observant le marchand, Haise se voyait soudainement hésitant alors qu’une nouvelle opportunité lui était offerte. Pouvant demander l’objet de ses désirs, l’homme devant lui ne semblait pas forcément avare de son argent, mais semblait vouloir l’aider. Beaucoup moins rude qu’au début et beaucoup plus ouvert, c’était pour Haise une opportunité en or…
Sortant ainsi de ses poches une bourse contenant la somme de 10.5 millions de ryos lui restant, il observa longuement le marchand avant de fermer les yeux. Les ouvrant à nouveau quelques secondes plus tard, il inspira lentement avant d’émettre un rare sourire.
Se souvenant approximativement du prix que lui avait couté chacun des objets à caractère spécial dont il avait dorénavant en sa possession, le reste à venir risquait d’être assez intéressant par rapport à son style de combat.
-Je m’en remets donc à vos aptitudes.
Courbant légèrement la tête, Haise entama sa commande :
-J’aimerais savoir si vous êtes en mesure d’effectuer une cape ou une tunique me permettant d’isoler complètement mon odeur de manière à ne plus être repérable.
Poursuivant, il ajouta :
-En second lieu, j’aimerais savoir si vous êtes en mesure d’effectuer des bottes permettant de marcher et de courir de manière silencieuse ou d'amortir de violentes chûte. À votre aise.
Attaquant chacun des sens avec ses demandes, il décida de conclure en partageant l’élément suivant.
-En dernier lieu, j’aimerais savoir si vous seriez en mesure d’effectuer un fourreau qui lorsque j’y dégainerais mon sabre, me permettrait de foudroyer quiconque entre en contact avec celui-ci grâce à l’importance vitesse et friction générée par la sortie du sabre.
S’arrêtant il ajouta :
-Compétent comme vous êtes, je vous laisse toutefois le loisir de modifier ou d’alterner la moindre de mes propositions à votre désir. En échange, ces 10.5 millions seront vôtres.
Lui tendant la bourse afin qu’il puisse vérifier la véracité du tout, Haise n’avait pas froid aux yeux, loin de là. Il était possiblement en train de s’équiper de manière à mettre de l’avant un style de combat unique et puissant : sa vision.
L’offre était donc à prendre ou à laisser tandis qu’il attendait patiemment de voir si le forgeron devant lui relèverait un tel défi. Après tout, son art se situait-il uniquement avec le métal ou se transférait-il aux textiles de tout genre? Captant toujours les variations de chaleur, le Sakkaku s'était à percevoir le moindre changement dans la température corporelle du marchand. Allait-il avoir chaud devant le défi?
Spoiler:
Sakkaku profite de cette occasion unique pour faire 3 commandes : 1) Une cape ou une tunique lui permettant de camouffler et d'isoler totalement son odeur. 2) Des bottes lui permettant de se déplacer sans faire de bruit ou d'amortir de violentes chûte sans blesser l'utilisateur. 3) Un fourreau lui permettant de profiter de la friction de celui-ci lors d'une sortie de lame pour foudroyer une personne et la paralyser au contact d'un sabre.
Il laisse toutefois le libre arbitre au marchand d'altérer certaines des fonctions.
Pour ce faire, il lui tend une bourse contenant un total de 10.5M de Ryos pour la commande.
Acceptant ta bourse Miyuki, le marchand ramasse quelques effets et retourne dans le coin de l’échoppe qui lui sert de station pour la confection de ses articles. Il vous est tous possible de le voir travailler, mais ce n’est là qu’un spectacle de vitesse et de maîtrise. Chaque mouvement est réfléchi et réalisé avec une précision telle qu’on en oublierait qu’il n’est qu’un homme aveugle.
Revenant finalement vers toi, il te remet ta nouvelle paire de gant et t'échange quelques mots à toi et à Yosuzume.
― Prochaine fois que vous vendrez dans ma boutique, vous être banni. Maintenant dégagez.
Le marchand est visiblement dérangé par le manque de respect dont vous venez de lui faire preuve en conduisant la vente d’article, même s’il n’en était pas intéressé, au coeur de sa boutique. Il est clair, cependant, qu’il vous met dehors et que vos transactions et discussions possibles avec lui sont terminées pour cette visite.
Anaï Eyana
Tout comme Miyuki, ce dernier ramassa l’argent que tu déposes devant lui, saisit le cuir qu’il t’avait présenté et fait demi-tour jusqu’à son coin aménagé pour la création d’articles de guerre. Saisissant les outils nécessaires au travail du cuivre, il s’atela à cette tâche qu’il ne semblait pas arrêter de faire depuis son arrivée au village. Kiri avait-il donc une aussi grosse demande pour ses armes et équipements ? Le village de la brume était-il vraiment si riche ?
Dans tous les cas, il revint rapidement vers toi et déposa des gants de cuir dont les doigts ont été coupés pour des raisons bien obscures.
― Tiens.
Déclarait-il simplement.
Sakkaku Haise
Écoutant tes quelques paroles, le visage meurtri et ridée de l’homme en face de toi accueillait quelques micros mouvements qu’il t’était amplement possible de percevoir comme de l’agacement.
― Hmmm...
S’exclamait-il en fouillant derrière son comptoir. Plusieurs articles s'entrechoquent, dont le cristal fourni par celle à qui tu avais prêté ton million.
― Demande possible, mais manque de matériel.
Déclarait-il pensif.
― Revient à mon prochain passage au village.
Spoiler:
@Sakkaku Haise : Malheureusement, il semblerait que le marchand ne dispose pas des articles nécessaires pour subvenir à tes demandes. Il te propose cependant de revenir le voir à son prochain passage. Est-ce que tout cet argent que tu as ramènerais le marchand plus rapidement au village ? Seul l’avenir vous le dira.
@Anaï Eyana : La transaction est confirmée. Tu devrais voir apparaître l’article dans ton inventaire d’ici quelques jours.
@Mawehara Miyuki : Comme Eyana, la transaction est confirmée. Tu devrais voir apparaître l’article dans ton inventaire d’ici quelques jours. Cependant, pour avoir conduit une autre vente qu’avec lui au coeur de son établissement, le marchand te précise que la prochaine fois, tu sera simplement banni de sa boutique. Pour l’heure, il te met dehors.
@Yosuzume : Pour avoir conduit une autre vente qu’avec lui au coeur de son établissement, le marchand te précise que la prochaine fois, tu sera simplement banni de sa boutique. Pour l’heure, il te met dehors.
L'homme avait été rapide pour la création des gants, plus que ce à quoi elle ne s'était attendu, ou alors il en avait d'autres en stocks ? Quoi qu'il en soit, il revenait vers elle, gants en main et les lui remit. Alors qu'elle allait parler pour le remercier, ce dernier se montra sec, sensiblement énervé. Si la Mawehara ne comprit pas sur l'instant, les mots qu'il prononçça l'éclairèrent rapidement.
« Merci pour les gants, et désolée, ça ne se reproduira plus. »
S'inclinant pour appuyer ses excuses face au marchand d'armes, la jeune femme attendit que ce dernier ne se retourne pour faire un léger signe de tête en direction de l'extérieur à sa collègue. Si elle trouvait l'homme particulièrement susceptible pour ainsi être gêné par un échange qu'il avait refusé quelques plus tôt au sein d'une boutique qu'il n'occupait que pour quelques jours en tant que marchand ambulant, elle n'avait pas envie de le brusquer ou de tenter de parlementer. Ce genre de personne pouvait apporter au village et il aurait été stupide de chercher à le provoquer. Autant juste partir.
Elle quitta la boutique quelques instants plus tard, rangeant les gants dans une sacoche pour les tester plus tard, et se tourna à nouveau vers Yosuzume une fois dans la rue.
« Merci à toi, et prends garde la prochaine fois que tu voudras t'entraîner au Dojo, le lieu est fragile face au ninjutsu. »
Un léger sourire sur le visage, la grande blonde ne lui en voulait pas réellement, même si, lorsqu'elle l'avait apprit, elle était quelque peu agacée. Elle avait pu contrôler les réparations et ces dernières avaient été faites convenablement, elle aurait donc eu du mal à lui en tenir plus rigueur que cela. La Sabreuse sortit alors une bourse bien pleine et la confia à sa camarade, pleine des ryos qu'elle lui avait demandé avec une petite allonge pour l'écharpe bien que le geste était surtout symbolique.
HRP:
Miyuki récupère les gants, s'excuse et quitte la boutique avec Yosuzume et finalise leur échange une fois dehors, lui donnant 7M5 ryos pour récupérer les deux parchemins et l'écharpe '^'
Deux index se faufilent le long des mitaines à l’apparence assez curieuse suite à une demande de gants de combats. Une unicité, l’expression d’une grâce féline et d’une féminité qui ne provoquait aucune résonnance dans la guerrière. Son cœur venait se lier à l’âme de l’objet, ressentir ses capacités. Il ne pouvait forcément y avoir que de la déception lorsque Eyana prenait conscience de l’escroquerie. L’homme n’avait pas l’apparence d’un fanfaron ou d’un gourgandin prêt à lui jouer une farce.
Si bien que les prunelles bleu glaces vinrent caresser de plus près le textile afin de l’examiner dans chaque recoin, être sûre que cette première impression se confirmait. Rien d’autres ne semblait émaner de l’objet à part de l’embarras face à la situation. Si la transaction ayant eu lieu dans la boutique était une preuve d’irrespect, la Genin ne marquait aucune réaction en raison du mélange de colère et de frustration qui bouillonnait en elle. Un regard en direction du légendaire Forgeron ne pouvait supposer qu’à un appel de curée sur le corps de l’artisan.
Eyana avait conscience qu’elle ne pouvait exploser comme cela, s’en prendre à lui ou même être irrespectueuse tant ses créations avaient de la popularité. Pas une seconde cependant, l’Anaï ne pouvait laisser ses songes vagabonder vers une issue où elle baissait la tête en sortant de la boutique, bredouille après avoir perdu des mois de salaire. La diplomatie se devait toujours d’être la première porte de sortie d’un conflit, même quand ce n’était un fort naturel.
Laissant pendre la paire de mitaines face à elle, sa main dépose l’objet sur le comptoir de l’Artisan. Une voix affirmée vint tout simplement se démarquer, le son émanant d’un visage neutre et inamovible.
Eyana : « Malheureusement, ce n’est pas ce que j’avais demandé. Cela ne me permet pas de me dissimuler. »
Si elle comprenait l’esprit derrière l’objet, sa résonnance et sa capacité, cela restait parfaitement en désaccord avec sa commande. Peut être avait-il tenté de faire preuve de subtilité, l’Anaï, elle, manifestait son désaccord.
Et cet échange allait également être l’opportunité de voir comment le marchand comptait gérer un client n’ayant pas eu satisfaction, ce qui aurait certainement écho dans les autres pays, afin de savoir s’il vise à ce que les clients aient ce qu’ils demandent ou bien ses commandes sont uniquement des jeux de hasards.
Résumé des actions:
Eyana prends assez mal la blague du Marchand de guerre sur son objet, elle prends cependant sur elle et lui dit que l'objet n'est pas conforme à sa demande. Ne manifestant pas d'autres exigences, attendant plutôt sa réaction
Se heurtant à un mur inattendu, Haise devait avoué ne pas être surpris. En effet, ses demandes étaient aussi riches que précises. Ainsi, les chances que le forgeron ait tout ce qu’il lui faut pour confectionner de tels éléments étaient minimes voire rares.
Se permettant toutefois d’y sécuriser possiblement un prochain rendez-vous, il se contenta de se courber respectueusement devant le colosse alors que celui-ci l’invitait à revenir une autre fois.
-Merci énormément pour votre travail. Je tâcherais d’y rendre honneur. Au plaisir de vous rencontrer une prochaine fois.
Observant les lieux une dernière fois en regardant à droite puis à gauche, Haise analysa l’endroit de manière à garantir que rien de dérangeant ne se produisait. Une fois sécurisée, il quitta finalement les lieux accompagné de sa nouvelle lame qui siégait dorénavant dans un fourreau.
Assez heureux de ses plus récentes acquisitions, il se devait dorénavant de canaliser l’objet de sa vision dans cette lame afin d’y manifester l’objet de sa vision et de ses visualisations. Loin d’être un parcours simple et facile, il allait pourtant devoir se mettre à la tâche au risque de prendre du retard par rapport à ses objectifs.
Après tout, quelques voyages semblaient s’annoncer pour l’enfant de lumière, lui qui désirait partir à la recherche de ses véritables racines. Or, pour ce faire, il devait être prêt, ce qui n’était malheureusement pas le cas dans le contexte actuel.
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