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Cérémonie du dernier repos [Metaru]

Narrateur
Narrateur

Cérémonie du dernier repos [Metaru] Empty
Dim 6 Fév 2022 - 15:57
- Vénérable conseillère, la cérémonie n’attend plus que vous. Dit-la jeune femme qui l’accompagnait, vêtue d’un kimono noir.

Aya Metaru posa son regard sur elle et sourit, de ce sourire plein de chaleur dont les personnes atteignant un certain âge avaient le secret. Pourtant, au fond, elle ressentait aussi une profonde tristesse.

- Oui, allons-y.

Dans son kimono noir, simple, malgré l’importance qu’elle revêtait pour le clan, Aya s’engagea dans le couloir qui menait jusqu’à la grande salle du clan Metaru. Richement ornée, ce couloir retraçait, à travers les statues et créations qui y étaient exposées, l’histoire centenaire du clan et avec sa puissance rayonnante, sur Kaminari, sur Shitaderu et aujourd’hui sur Kumo.

Les rides qui ornaient son visages étaient les preuves solennelles des années traversées, du temps passé à contempler ainsi la vie s’écouler et pourtant, jamais encore elle n’avait eût à enterrer un kage. Jamais encore elle n’avait ainsi eût à débuter la cérémonie du dernier Repos pour une figure du clan telle que Reiko, qui, tant par sa position, sa puissance que son caractère avait à jamais marqué le clan, le village voir même le Yuukan tout entier.

Nombreuses furent les voix, durant le vivant de feu Reiko, qui s’étaient élevés contre elle. Chef de clan, mais aussi du village et de fait, de toutes les forces shinobi du village, elle n’était pas la première Metaru à accéder à ce poste, car Metaru Shuuhei avait, avant elle, accéder à ce poste. Un homme qui, après avoir affronté la plus grande menace qui eût jamais pesé en ce monde, avait perdu ses pouvoirs, puis suite à la résonance avait été transformé en statut de métal, avant finalement de redevenir humain, de revenir à la vie.

Deux personnalités que tout opposaient, mais deux personnalités liées par le même sans, par la même famille.

Ainsi, malgré ces voix divergentes, Reiko devait être respectée pour ce qu’elle avait accomplie. Pour tous les sacrifices qu’elle avait faite pour le clan, pour le protéger, pour le faire rayonner et à travers lui, Kumo tout entier.


Quand elle arriva à la fin du couloir, elle s’arrêta quelques secondes et ferma les yeux, puis elle prit une profonde inspiration et se lança. Le rideau qui la séparait de la salle fut ouvert par deux servantes qui, avec tout le respect qu’elles lui devaient, s’inclinèrent au même moment.

Aya, d’un pas lent, mais assuré, entra. La salle, se composait de gradins disposés en demi-cercle faisant face à une estrade. Tous les Metaru – ou presque – s’y trouvaient, le regard triste. L’ambiance qui pesait était lourde. Pas un seul bruit, pas un murmure, comme si tous ensemble, les membres du clan portait ce deuil, souhaitait à cette âme qui avait rayonnée de son vivant le meilleur des voyages jusqu’à son prochain monde.

Ses chaussures en tissu sifflèrent légèrement sur le parquet de l’estrade, jusqu’à ce qu’elle arrive à un petit promontoire, devant lequel se trouvait un cercueil, fermé, car le clan ne saurait ainsi dévoiler le corps mutilé de Reiko aux yeux de tous, les souffrances qui avaient dû être les siennes, dans les derniers instants.

Là, elle monta sur une petite marche afin de leur faire face, à tous. Malgré sa petite taille, son charisme et sa prestance suffirent à attirer l’attention sur elle. Toujours sans prononcer un seul mot, elle balaya les gradins du regard, se posant sur leurs yeux à tous, un à un. Partageant, l’espace d’un instant, leur chagrin et leurs pensées. Puis à nouveau, elle prit une profonde inspiration.

- Mes enfants. Si nous sommes réunis en ce jour, c’est pour honorer la mémoire de Metaru Reiko, troisième Raikage et précédente chef du clan.

Jusqu’alors, aucune femme n’était jamais arrivée à la tête du clan, dans toute l’histoire Metaru, l’histoire d’un clan fort, bien souvent dominé par les hommes, bien que certaines femme, comme Reiko et comme elle aussi, Aya, étaient parvenus à se hisser au sommet, à gagner le respect de tous.

- Reiko est morte en défendant le clan, en défendant le village dans une guerre qui nous a tous profondément marqué. Elle a donné sa vie pour nous, pour les autres, pour tous.

De son âge avancé, Aya ne ressentait ni colère, ni rancune envers ces ennemis, le Teikoku, ou quels qu’ils soient, car la sagesse qui étaient sienne, acquise au fil de nombreuses années, lui permettaient de comprendre, de relativiser, de trouver la paix.

- Elle est la preuve que nous tous, en tant que clan, nous devrons œuvrer pour la paix. Pour que nos fils et nos filles ne subissent pas le même sort, que nous célébrions les morts, non pas parce qu’ils sont tombés sur le champ de bataille, mais parce que le fil de leur vie est arrivée à leur terme.

Surtout, en sa matière de chef de clan, elle se devait d’essayer d’apporter un message de paix, de réconciliation, face à cette menace qui planait sur le Yuukan tout entier.

- Elle est la preuve que nous, Metaru, pouvons faire de grande chose. Que nous sommes liés à jamais à ce pays, à ce village. Que nous les défendrons de toutes nos forces, qu’ensemble, nous pouvons arriver à faire de grandes choses.


Sur ces mots, Aya descendit de son estrade et vint se positionner sur le côté du cercueil, face aux gradins. De son kimono elle extirpa une épée, d’une beauté incomparables, fruits de toute l’expérience, de tout le talent dont était capable Aya. Délicatement, elle vint la poser à côté, sur un tapis prévu à cet effet, au centre, inaugurant ainsi cette cérémonie du dernier repos.

- Puisse tu trouver le repos éternelle, Reiko. Lui souhaita-t-elle, le cœur lourd.

Puis elle alla s’installer dans les gradins, aux côtés de tous, au premier rang, dans une place laissée vide prévue à cet effet. A côté d’elle se retrouvait une autre place, elle aussi laissée vide et qui le serait, à jamais.
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Metaru Akagi
Metaru Akagi

Cérémonie du dernier repos [Metaru] Empty
Dim 20 Fév 2022 - 13:20
Les portes lourdes de la salle de l’assemblée Metaru s’ouvrirent dans un grincement caractéristique brisant le silence qui régnait. Aya Metaru entra. L’assemblée prostrée ne pipa mots alors que la femme montait les marches menant à l’autel sur lequel se trouvait un cercueil. Une démarche lourde et pesante, comme si la conseillère n’appréciait le moment à venir. Depuis sa place en hauteur sur l’estrade Akagi retenait ses sanglots. Sa femme et son fils à ses côtés. Le grand Metaru souffrait. Il souffrait de nombreux maux. Le genin n’arrivait à garder sa prestance coutumière. La prise de son village. La mort de leur raïkage, de leur chef de clan lumière dirigeante montrant la voie et faisant résonner le nom de leur clan à travers le Yuukan, la mort de ses parents eux aussi lâchement assassiné par la fourberie du Teikoku. Ses lâches, cette bande de brute inféodées. Akagi les haïssait du plus profond de son être.

Assis sur le marbre froid des gradins de l’assemblée Metaru, il n’arrivait à trouver la paix. Son cœur déchiré par la rage, la haine, la honte et la tristesse. Ses proches ne savaient comment apaiser ses maux. Sa femme et son fils portant le kimono noir en signe de deuil à l’instar de l’ensemble des Metarus depuis le début de cette semaine de repentir. Chaque enfant, femme, homme, ancien, jeune, combattant, commerçant tous se joignirent à cette semaine funèbres où seuls les souvenirs des temps meilleurs apportaient un baume aux esprits accablés des fiers défenseurs de la cité des nuages.

La cérémonie du dernier repos avait pris ses droits. Elle portait sur ses épaules bien plus que l’hommage à Reiko, décapitée lors de la prise de leur merveilleuse cité. Elle portait l’hommage à tous les Metarus mort durant le siège. Elle portait l’espoir de retrouver la paix intérieure. Elle apportait le linceul voilant la mort, cachant les meurtrissures du passé pour apercevoir un horizon nouveau. Cette semaine où tous arrêtèrent leurs activités pour se consacrer à forger le souvenir, le souvenir à travers le métal. Le quartier Metaru résonna des éclats du sanglots, on aurait dit quand se baladant dans les rues du quartier Metaru que le métal lui-même se languissait de la mort de sa plus fière représentante et des braves ayant défendu la cité. Des notes aigües et stridentes rappelant les cris de désespoir des hommes et des femmes qui sous leurs yeux désespérés avaient perdues leurs proches.

Akagi n’avait d’abord pas trouvé la force de s’atteler à la tâche. Trop de souvenirs, trop de sentiments émanaient de ce lieu où il avait grandi sous l’apprentissage rigoureux mais juste de son paternel. Il n’arriva les premiers jours qu’au seuil de cette forge avant de s’en retourner les yeux humides et le cœur lourd. Le teikoku lui avait tout pris. Ses parents, son chef de clan, sa patrie. Restait une coquille vidée à qui la honte ne laissait aucun répit. Le Metaru passait son temps assis dans l’arrière court à regarder le ciel, retraçant cette journée fatidique où le soleil rouge appelait le sang. Cherchant à réparer sa faute dans son esprit affligé. Il ne trouvait cependant aucun échappatoire, aucune sortie de secours, aucun chemin de traverse pour sauver ses proches. Qu’importe le nombre de fois qu’il rejouait cette scène, il revoyait en boucle les lames assassines traverser les chairs de sa mère et de son père devant le monument de son impuissance.

Au troisième jour de cette semaine du dernier repos, il trouva la force d’entrer dans cette pièce mélancolique. Il forgea. En oubliant les heures, et la logique, oubliant ses proches et ses besoins. Il resta jour et nuit dans cette forge. Akagi pleurait à chaudes larmes alors qu’il frappait le métal, alors qu’il créait ses plus belles réalisations, il évacuait son mal-être. Son bras le faisait souffrir à force de frapper l’enclume de toute sa rage, il accueillit cette souffrance comme une délivrance. Délivrance brouillant son esprit, troublant le souvenir des visages sans vies de ses parents. Il passa les trois derniers jours du dernier repos dans sa forge sans jamais en sortir. Jusqu’à aujourd’hui. Cette semaine où aucun n’avait osé élever la voix, chacun portant le fardeau de l’échec. Echec à défendre sa patrie et son raïkage. Cette semaine touchait à son terme en ce jour. Dans cette salle de cérémonie empli de fragilité et de honte.

Les Metarus fiers et puissants, le clan qui faisait la renomée de Kumo ressemblait à l’ombre de lui-même. Aya prit la parole. Rappelant avec justesse les raisons de la mort de Reiko. Utilisant en quelques sortes celle-ci pour raviver la flamme et l’honneur de son clan bien aimé. Akagi l’écouta son discours le toucha profondément. Marquant au fer rouge dans son esprit ses mots qui le définirait pour le reste de son existence. Elle déposa une magnifique épée au côté du cercueil fermé ouvrant le bal à la procession des offrandes. Les frères et soeurs du clan descendirent, un à un, des gradins pour apporter leurs ouvrages à la mémoire du raïkage. Tous avaient travaillés des heures durant afin de rendre hommage à Reiko. Quant ce fut le tour d’Akagi, celui-ci se leva et descendit le visage interdit. D’un pas lourd et lent, il se dirigea vers Aya et le linceul où une multitude d’ouvrages se superposaient. Le fils du fer portait dans ses mains le fruit de son labeur. Un masque d’argent au contour finement ciselé reprenant les traits de Reiko. Akagi avait passé l’ensemble de son temps sans dormir à tenter de recréer la prestance que portait leur raïkage comme une seconde peau. Il en avait fait de même pour son père et sa mère.

Akagi regarda Aya un fugace instant n’ayant pas la force de prononcer le moindre mot. Il déposa le masque sur le cercueil directement, là où tous auraient dû voir le visage de Reiko mais dont les meurtrissures ne pouvaient être montrées. Il voulait que tous se rappelèrent de ce visage fier et indomptable. Il voulait que ses frères et sœurs se rappelèrent comme l’avaient si justement déclamé Aya, que les Metarus défendraient toujours ce pays, ce village et que la saison de la paix reviendrait. Il prononça alors un serment regardant le visage d’argent sur le cercueil de la raïkage :

« Jamais plus les Metarus ne tomberont. Jamais plus… »

Sa voix se brisait il s’arrêta détournant le visage, prostré.
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Metaru Mairu
Metaru Mairu

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Mar 15 Mar 2022 - 2:23
Assise parmi ceux des premiers rangs, comme nombreux des Metaru présents, Mairu retenait ses larmes. Mais, nombreux ceux qui ne parvenaient pas à étouffer leurs sentiments et tentaient de sangloter discrètement. Seulement, lorsque la Doyenne du clan termina son discours, des pleurs finirent par éclater vers la gauche de la jeune femme aux yeux ambrés puis d’autres s’ensuivirent. Bientôt, la salle fut noyée dans des lamentations qui exprimaient l’importance de l’être à qui était consacrée la cérémonie d’aujourd’hui : Metaru Reiko.

Reiko n’avait pas été seulement un membre du clan Metaru. Elle avait été sa matriarche et la guide du Village Caché des Nuages. Une élite parmi les élites. Ce qui donnait à sa mort un sens bien profond. Elle symbolisait la défaite écrasante de Kumo face au Teikoku. Et pourtant, le caractère insoumis des Metaru ne voyait pas là une fin mais plutôt une continuité. Pour l’honneur, la fierté et le bien de leur Village, les Metaru continueront d’avancer la tête haute. D’ailleurs, après avoir déposé son offrande, un Metaru du nom d’Akagi exprima à vive voix cette résolution du clan à aller de l’avant. La voix bien que cassée de l’homme avait réussi à atteindre quelques cœurs qui cessèrent alors de se lamenter. Par ses quelques mots, Akagi avaient réussis à donner de l’assurance à certains.

Mairu se leva à son tour pour prendre place dans la procession vers le cercueil du feu Raïkage.

Quand vint son tour, la jeune femme aux cheveux violacés se baissa pour poser avec les autres offrandes une statuette d'environ vingt centimètres représentant fidèlement Reiko dans son armure qu’elle aimait arborer avec fierté. Après s’être redressée, la jeune Metaru resta immobile un instant. Serrant le poing droit jusqu’à se faire mal, elle ne put retenir ses larmes alors que la tristesse mêlée à une colère incontrôlable avait fini par la submergée entièrement. Bien que Mairu était d’accord pour emprunter la voie pacifique qu’avait exprimé Aya, la Metaru ne pouvait s’empêcher de ressentir une haine viscérale envers Yamanaka Rei. Cet homme ne s’était pas contenté de décapiter Reiko mais avait osé piétiner, humilier les Metaru et les kumojin en exhibant publiquement la tête de leur Kage telle un trophée de guerre qu’il avait ensuite gardé. Aya avait fini par récupérer la tête de leur matriarche auprès de la Régente mais jamais Mairu n’oublierait l’avanie infligée par Rei. L’affront ne sera pardonné que par la mort du responsable.

“ - Puisses-tu reposer en paix, ma très chère cousine.

Au prix d’un grand effort, Mairu avait réussi à s’exprimer sans trembler avant de céder sa place à un autre.

Bien que Reiko n’avait pas été très tendre avec elle, elles étaient cousines germaines et avaient passé leur enfance ensemble. Mairu ne lui avait jamais dit mais elle avait aimé sa cousine. La jeune femme regrettait aujourd’hui de ne lui pas avoir démontré de son vivant car elle savait que derrière son impitoyabilité qui avait forgé sa réputation, Reiko cachait un cœur capable d’aimer sincèrement ...
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