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Faisons chanter l'oisillon [Ft Ken]

Kentoku Akio
Kentoku Akio

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Jeu 12 Aoû 2021 - 0:08

Voici que deux jours étaient passés. Bientôt dix heures. Une épaisse brume endormait encore le village de Kumo. Au milieu d'une bruine légère, Akio avançait. Quelques personnes qu'il ne connaissait pas le saluaient, lui. Encore inconnu pour beaucoup il y avait de ça quelques jours, l'examen, le tournoi et les résultats avaient fait leurs œuvres et chacun savait désormais à quoi ressemblait ce personnage atypique et explosif à l'art du corps à corps si distinctif. Sauf qu'aujourd'hui, pas de temps pour rencontrer ces personnes, aussi bien intentionnées soient-elles, ni de renseigner des curieux ne sachant pas de quel pouvoir il pouvait jouir. Il avait un rendez-vous qui lui tenait à cœur.

Les cheveux ruisselants, les vêtements déjà quelque peu mouillés par ce temps automnal, il parvint aux heures fixées entre les deux shinobis au terrain d'entrainement numéro un. Le temps n'était pas propice aux spectateurs et le combat se ferait donc dans l'intimité du duo. Un mal pour un bien, ainsi peut-être que le fameux musicien serait plus à même d'être efficace, voire même efficient, puis un peu plus bavard, sans le poids du regard des autres au dessus de ses épaules.

Akio alla déposer ses quelques affaires sous la protection d'un des arbres bordant le terrain de combat, l'un des seuls endroits encore secs dans le village. Il revint sur le terrain, sous la pluie fine qui paraissait tout de même s'arrêter doucement. Quelques rayons de soleil perçaient ci et là un ciel encore grisâtre. Que de bons signes pour la suite. Rapidement le Céleste se mit à exécuter un échauffement standard, coutumier du fait. Il se questionnait aussi sur comment il allait aborder le combat.

Se donner à cent pourcent ? Cela voulait dire sortir de sa poche les derniers jutsu mis au point, atteindre peut-être le niveau montré face à Akagi. Mais Akio n'avait aucune réelle certitude sur le niveau de son homologue. D'ailleurs pour son moral et son mental, ne valait-il pas mieux pour tous les deux un combat plus équitable ou le Kentoku saurait mesurer le déferlement de puissance ?

Son regard balayait les zones alentours, alors que le brouillard se dissipait, cherchant la silhouette de Ken. Au loin, sur le chemin, une masse encore indescriptible se pressait vers le terrain, clairement l'ex patient qui se dépêchait de rejoindre le néo-chûnin pour enfin laisser exploser tous ses sentiments.
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Daishi Ken
Daishi Ken

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Jeu 12 Aoû 2021 - 20:43
Les jours sont passé à une vitesse ahurissante, Ken profita de ses deux jours pour absolument ne rien faire, ne rien faire à pars préparé du thé pour au moins six tasses. Un succulent thé noir comme Minako adorait tant, à la lavande, agrumes. Une sorte de gage d’amitié. Ken ne se faisait pas d’illusion, Akio allait forcement lui en mettre plein la tronche. L’homme, n’ayant jamais confiance en lui, a déjà prédis sa défaite. Grand bien lui fasse. Comme dit Akio c’est des échanges de coups amicaux. Aucune crainte à avoir de retourner à l’hopital ? Ken à toujours cette crainte.

Une épaisse brume accompagna les amoureux qui se mirent en route vers l’académie, après avoir longuement câliner son fennec Maorou Chunjuan. Il serra d’une main, Minako, de l’autre, son dizzi de métal. Que dirait Hideko si elle ressentait Ken avoir si peur de prendre des coups ? Ken à eu du mal a se remettre de sa défaite contre son amie Metaru, mais si il voulait devenir membre du Kubyuu, il devait aller par delà sa peur. Minako la sans doute ressent. Quand ils échangent des coups entre eux. Ken se sentait aussi désavantagé vue qu’il a été à l’hôpital sans avoir pu voir Akio en action. Même en l’ayant vue, aurait t’il eu une chance contre un chunnin ? Lui que tout le monde considère comme un enfant, un psychopathe, un imbécile….

Le temps gris se mit à craquer, une très fine pluie était présente. Ken regretta un peu la présence de Minako, il espérait qu’elle n’aurait pas froid, combien de temps resterait t’elle a le regarder ? Il était aussi heureux qu’elle l’accompagne. Qu’elle s’intéresse à lui, prête à braver la pluie, le froid, pour lui. Pour eux. Ayant que sa femme comme spectateur, cela lui donnera du courage, ne pas lui faire honte. Arriver quasiment sur le terrain, il vol un baiser furtif à Minako, lui caresse les yeux ruisselant d’une fine pélicule de pluie, lui confia la sacoche à thé, ainsi que son sac contenant des affaires sec. De plus, il lui mit sur les épaules, son blouson, afin qu’elle, elle ait le plus chaud possible.

Fixant le terrain, il se demanda, depuis combien de temps Akio attendait. Ken ne savait pas comment s’y prendre, il connaissait tout de Hideko, là c’était un entraînement taijutsu si il a bien compris. Aurait t’il droit a son Genjutsu ? Si il a le temps bien entendu… Il paraît que son truc etait la vitesse, peut etre que Ken pourrait apprendre deux trois bottes.

Ken, un peu excité par la rencontre, accéléra le pas. Cachant en lui sa peur, il tenta de vider son esprit, un œil lancé sur Minako afin de se donner du courage. Il espérait qu’une chose, ne pas lui donner trop honte. Il se dit que pour briser la glace, rien de tel qu’une blague. Il court vers Akio comme si il allait lui en coller une mais s’arrête in extremis. Un sourire aux lèvres.

— Salut Akio, ça va ? Dit t’il en ne sachant pas si il devait saluer, lui serrer la main, présenter ses respects.

Il y avait trop de ninja promus à son goût il en etait perdu, sans doute etait t’il le seul à n’avoir eu ni promotion ni lettre. Grand bien lui en fasse, il se donnera cent pour cent. Le dos de Ken collait, un mélange de sueur et de fine Bruine.

— Tu me permets avant que l’on commence ?

Ken fit deux tours de terrain a diverse vitesse, en pas chassés, quelques burpees, se jetant à terre pour faire une vingtaine de pompes. Il bougonna à cause d’un papier sur le terrain. Déja qu’on disait de lui qu’il avait peu de respect, mais avec la nouvelle génération, le respect était mort. Il rejoins Akio
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Ven 13 Aoû 2021 - 11:21



Habillée d'un pantalon ample blanc ainsi qu'un t-shirt aux motifs de bandages, la belle Minako fait bien masculine. Son style vestimentaire marque sa tendance à se fier à un culte en particulier, bien ancré en Kumo et dans son cœur. Lorsque Ken lui a parlé de la lettre envoyée à Akio, il y a de ça deux jours, celle-ci lui dit "imbécile" avant de l'embrasser, lui disant par la suite qu'elle ne peut pas le quitter car il est sa lumière, son "Kougen".

Elle ne voulait pas rester seule à ne rien faire à la maison. Encore en convalescence, Minako ne peut pas effectuer de mission et elle est dispensée d'entraînements. C'est avec plaisir qu'elle est aujourd'hui avec Ken en route pour rencontrer Akio. Dans ce brouillard, le nez et les joues rosées par le frais, Minako a l'impression de retomber en enfance, imaginant être dans un autre monde.

« Hey, t'imagine une illusion dans laquelle tu es dans un brouillard et que des esprits malveillants viennent te hanter ? Un peu comme les lutins farceurs ? Ça ferait une merveilleuse histoire à raconter pour déstabiliser l'ennemi. Ha ha. » lui suggère-t-elle en riant un peu. Bien qu'elle ne se spécialise pas dans ce domaine, la jeune musicienne a de l'imagination pour des scénarios aussi loufoques que effrayants.

Minako tente de regarder les barrières de l'académie, sachant ô combien de petits animaux furent retrouvés empalés dessus avant sa toute première mission de ninja. Elle déglutit, se demandant si ces atrocités s'étaient arrêtés, et surtout, elle se souvient de la voix de la petite fille lui avouant, dans le dos du Metaru, de manière aussi puérile que effrayante ses aveux, admettant même sa joie d'écouter la souffrance d'autrui. Minako a presque envie de faire demi-tour quand elle se souvient qu'un autre jour, lorsqu'elle a rencontré de nouveau l'enfant, cette dernière lui avoua sacrifier des animaux pour Jashin. Un frisson parcour l'échine de la jeune femme, et se secoue la tête, se disant d'arrêter d'être parano.

Au loin, elle voit une silhouette, bien heureusement, bien trop grande et masculine pour que ce soit la vilaine Kikuri. Elle se rassure en se disant qu'il s'agit certainement de Akio, fraîchement promu chuunin. C'est à ce moment là qu'une fine pluie commence à tomber et que Ken la couvre du blouson noir brodé de l'école du paon, le dojo de feu Yoko, bien trop ample pour le corps svelte de la jeune femme. Elle garde avec elle la gourde de thé ainsi que des affaires de rechanges de son bien-aimé. Elle le voit prendre les devants et courir en direction de l'homme aux cheveux d'argent et le saluer d'une étrange manière, lui rappelant sans aucun doute les brutes épaisses que sont Koyama et Ryuku. Minako avance rapidement pour les rejoindre, les joues rougies avec le frais et la vision de Ken qui s'échauffe, elle salue Akio de manière enjouée, elle paraît nettement moins inexpressive lors de cette rencontre. Malgré qu'elle nage dans le blouson noir, elle paraît bien plus confiante et moins effrayée par tout et n'importe quoi.

« Bonjour Akio-san. Vous allez bien ? Hé hé… je suis là en observatrice, je m'ennuie un peu à cause de ma convalescence alors je vais vous regarder vous entraîner, je pourrai peut-être en tirer un quelconque enseignement. Les paroles c'est bien beau mais voir les actions il n'y a que ça de vrai. »

Spoiler:
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Kentoku Akio
Kentoku Akio

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Sam 14 Aoû 2021 - 17:38
C'était bien les deux genins qui venaient de se présenter à Akio sur le terrain d'entrainement. Ken d'une façon fidèle à lui-même, qui devança un échauffement très énergique. Durant ce temps, c'est Minako, encore convalescente, qui salua le Chûnin. Ce dernier, passant la main de l'avant à l'arrière de sa chevelure pour évacuer l'eau qui s'y était accumulée, répondit aux deux jeunes gens avant de se concentrer sur la suite de la rencontre.

« Salut vous deux, ravi de vous revoir ! » Il se focalisa un peu plus sur Minako, alors que le musicien s'attelait à se préparer convenablement. « Ne me vouvoie pas je t'en prie ! On est de la même génération ! Et c'est une bonne idée de venir en observation, du moment que tu n'attrapes pas froid. »

Ken en avait semble-t-il fini de s'échauffer, et après avoir râlé après un papier trainant au sol, il se rapprocha des deux autres protagonistes placés à l'entrée du terrain. Akio allait enfin pouvoir fixer les règles, ou plutôt leur absence... Se raclant la voix en mettant sa main devant pour cacher ce geste disgracieux, son regard attrapa celui du Daishi.

« Bien. Alors pour les règles, tous les arts ninja sont autorisés, sans exception. Concernant la puissance des coups, ne nous retenons pas. Sauf si l'un d'entre nous signale d'une façon ou d'une autre qu'il a besoin de reprendre son souffle, auquel cas nous suspendrons l'échange pour reprendre des positions plus stables. »

Cette dernière condition pouvait paraitre étrange, mais le Céleste se savait bien plus dangereux que son adversaire du jour, et surtout bien plus en forme, que ce soit physique ou psychologique. Ils ne s'étaient pas retrouvés sur le terrain pour finir ensemble à l'hôpital, d'une façon ou d'une autre.

Le garçon aux cheveux blanchâtres, qui d'ailleurs une fois mouillés dévoilaient des reflets presque rosés s'éloigna d'une bonne dizaine de mètres, comme pour lui signifier que tout allait commencer d'ici peu. Il lui laisserait l'initiative du combat, après avoir cependant débloquer l'un de ses verrous fétiches. Une petite onde, et ses cheveux se soulevant légèrement avant de retomber pouvaient être autant de petits signes que les choses allaient devenir sérieuses. S'adressant à Ken, et dans le même temps à Minako, Akio laissa tomber sa veste pour venir ancrer ses pieds au sol.

« Bien, Ken, c'est quand tu le souhaites. En espérant que tout ce qui va se dérouler ici sera instructif ! Nous parlerons ensuite de toutes vos questions. »

La pluie, comme consciente de la tension montante, se mit à gagner en vigueur. Bientôt, si on était assez attentif, on pouvait observer les gouttes éclater au contact des épaules et de la tête du Taijutsuka. La poussière au sol vint s'alourdir, rendant l'adhérence précaire. Les appuis allaient être complexes, et tout cela jouait en faveur de l'artiste face à lui. Il se souvenait qu'au tournoi, il s'était dit qu'il se voyait comme un shinobi de soutien, il allait falloir passer à la vitesse supérieure.

Réumé:
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Daishi Ken
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Mar 17 Aoû 2021 - 20:40
Le gennin sautille sur place, il a chaud, il est chaud. Prés a en découdre, du moins en apparence, en vérité il sait qu’il perdra. Akio était lui aussi un « recommandé » comme Minako. Que peut t’il bien faire face a ses gens là qu’on a estimé très tôt comme fort potentiel. Lui, désigné du doigt non pas pour ses talents, mais pour ses bouffonneries. Il va avoir du pain sur la planche pour se faire une réputation ! Quand il rejoins Akio, il eu l’impression d’être accueilli par un sourire narquois. N’ayant aucune preuve, il se contente d’arrêter de sautiller pour reprendre un peu de cardio.
Ken surprit, laisse Akio dicter les règles. Il avait eu lui aussi des idées comme « on arrête au premier sang ». Akio le prit de vitesse déclarant que tout les arts sont autorisés, qu’un temps de repos serait accordé si l’un d’entre eux, donc lui… Le demande. Ken ne se faisait de moins en moins d’illusion, il sait que si il demande le temps de repos, il a perdu. Il aura totalement perdu. Le combat, mais en plus, son honneur de shinobi. Devant l’homme au chapeau y aurait t’il une pause ? Aucunement. Face a un ennemi abattant sa lame de gladiateur dans son visage, pourrait t’il crier « POUCE ! » pour que le bourreau arrête ? Non. Est ce qu’un navire pirate accorderait une pause à un assailli dont il à le dessus ? Aucunement. Cette règle etait idiote.

 "Il fait ça pour mesurer qui je suis…. Si je demande la moindre pause, j’ai perdu. Le combat est perdu de toute façon alors a quoi bon ? Autant y aller a fond et adieu Berthe !  C’est pas un combat équitable ! C’est clairement un test, c’est un combat d’honneur. Minako me regarde je n’ai encore moins le droit de ployer le genoux» Ken regarde sa femme, avec un sourire crispé. Il avait horreur de souffrir et encore plus de faire souffrir. Il devait être fort, pour elle. Sa motivation."

Soudain , pris au dépourvus, Akio recule de dix mètres. Ken a un léger sourire, il lui faisait une fleur, mais etait ce encore parce qu’il est un gros nul qu’on lui fait une fleur en plus ? Soit. C’est a Akio de voir. Soudain, l’air autour d’Akio se chargea d’un phénomène étrange que Ken ne comprend pas. Etait ce là une technique de célèste ? Elle lui est purement inconnu vue qu’il n’a pas assisté au match d’Akio, ayant été a l’hôpital. Il espera juste que Minako ne le laissera pas tomber si il va trop loin. Ken se découvre une nouvelle identité mais il en ignore les limites. Il espère que son honneur ne le tuera pas, qu’elle saura lui venir en aide, sinon, dura lex sed lex.

Akio lui dit qu’il était prêt, Ken pouvait intervenir quand bon lui semble. Il espera également que leurs combats sera instructif. Cela renforce la croyance de Ken, si il abandonne, il ne mérite plus son bandeau de gennin. Car il sera considéré comme mort. L’homme ne cessera plus jamais d’être un garçon. Elever par Minako. Ken ne pu reprimé cette pensé qui le répugna au plus haut point !

La pluie redoubla d’épaisseur camouflant en partie les adversaires mais par chance, Akio était toujours parfaitement visible, avantage a Akio puisque la pluie le camoufflait en petite partie, l’efficacité de ses genjutsus en serait sûrement affecté, il devra redoublé d’attention. Ken ne pouvait pas gagner se combat, le mieux qu’il puisse faire, était de le prendre par surprise.

J'ARRIVE !

Ken se contente alors de d’éclater un fumigène au sol pour caché à Akio son jutsu. Il créer deux clones. Tandis que l’un des deux sort et accroupis se faisant passer pour Ken qui prépare un Genjutsu, il réitère son Jutsu. Le faux Ken alors se met a chanter, feintant un Genjutsu quelconque.

résumons nous:


Dernière édition par Daishi Ken le Sam 21 Aoû 2021 - 16:53, édité 1 fois
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Jeu 19 Aoû 2021 - 11:41
L'action se mettait en place. Enfin le musicien se mettait à bouger. Pour lui il allait devoir faire preuve d'ingéniosité pour prendre à défaut Akio. En vitesse pure, le Céleste se pensait au dessus, ce qui lui autorisait une réelle prise de risque, marge que n'avait pas son adversaire. Mais il avait d'autres cordes à son instrument. Le Chûnin ne bougeait pas, se contentant d'observer les possibles mouvements de son camarade. Alors que la pluie semblait gagner toujours plus en intensité, et que quelques gouttes ruisselaient vers ses yeux, il fut agréablement surpris de l'utilisation d'une fumigène. Mais sur la position de Ken.

Selon son expérience, la fumigène était utile mais pouvait s'avérer piégeuse pour son utilisateur car cela lui coupait toute possibilité de garder le contact visuel. Pourtant quelque chose s'agita à l'intérieur, faisait se mouvoir la purée de pois, avant que Ken ne ressorte dans une position peu académique et se lance dans des mudras et l'expulsion d'un chant qui devait surement être vecteur d'une technique onkyoton quelconque ou bien d'un genjutsu.

Savait-il que la douleur lancinante provoquée par l'utilisation des portes célestes le couvrait des effets des illusions ? Akio se mit alors en mouvement, venant couvrir une petite distance à l'opposé de Ken si le nuage était le point de référence. Dans sa course, accélérée par l'ouverture de sa porte céleste, il effectua des mudras avant, dans une glissade contrôlée, de se mettre genoux à terre, paumes contre le sol. Le Daishi était désormais sorti du champ de vision, face à lui la fumigène. Tout à coup, et très rapidement, deux murs de doton acérés, hauts de plusieurs mètres, se déployèrent en englobant la fumée, en poursuivant encore sa route avant de se rejoindre et que les parois ne se fixent l'une à l'autre. Un couloir s'était formé, et désormais le musicien ne pourrait plus fuir.

« La fuite n'est plus une option, j'en ai bien peur. »

Il se redressa lentement en effectuant de nouveaux mudras, puis quatre pieux de doton furent propulsés face à lui, direction la fumigène qui allait bientôt commencer à se dissiper.

Les projectiles avaient été lancés avec un espacement suffisant pour couvrir la largeur du couloir, à environ un mètre de haut. La fumigène allait donc lui servir également pour couvrir son attaque. Au fond il espérait que Ken saurait esquiver cette première offensive finalement assez légère mais très complexe à esquiver.

Quant à ses capacités liées aux portes célestes, il ne les fit pas progresser. Il restait au stade de la deuxième porte ouverte. Et il n'avait pas envie de lancer tout de suite sa nouvelle offensive de grande ampleur. L'objectif n'était vraiment pas d'intenter à l'intégrité de son homologue. Il n'était pas une certaine Métaru...

Résumé:
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Dim 22 Aoû 2021 - 22:41
Ken, sans originalité, ouvrait la partie de Shogi géante de la même façon, il se sentait un peu plus en sécurité entouré de clones, même si il le savait, ses clones ne tiendrait pas la longueur. Ce n’était pas son but d’ailleurs, ils devaient juste retenir Akio assez longtemps pour lui permettre l’effet de surprise. Sans aller au corps à corps. Si jamais Akio le prenait au corps à corps, il était fichue. Toujours garder de la distance. Il devait trouver le moyen de l’immobiliser assez longtemps pour placer un Genjutsu.
Avec horreur, Ken vois de la roche sortir du sol, voila une information utile. Son ennemi était donc d’affinité Doton. Bien que il le savait, Ken essaya tant bien que mal de faire comme si il était en situation réel. Ken alors entend une voix, celle de Akio, il se ventait de l’avoir enfermé. Le forçant à combattre au corps à corps. Ken souffla.

 La ventardise…. Hummmm tel maitre, tel élève… je suppose, Aizen chunnin de basse cours, c’est ça que tu enseignes ? Le méprit de l’adversaire ? . Prouvons lui qu’il a tord ! J’ai une idée !

Ken attendit trop longtemps, Akio lance 4 salves de terre sur un même clone, tout les Ken à coté de lui ne purent s’empêcher de crier de douleur pour faire comme si Akio avait réussi son coup. In extremis, il ordonna à se clones de le laisser périr. Ken clone, lance pour distraire Akio des Senbons avant que le fumigène sois totalement dissipé. tendit qu’un clone cours sur Akio pour se sacrifier. Il espéra juste que Akio aura envie de le frapper, le souffle du clone devrait ainsi gêner le céleste dans sa course. Le but est juste de le distraire au mieux le ralentir. . Le dernier clone comprenant le plan de Ken, se prépara à la suite des festivités.

Ken en voyant le mur, se remémora son combat face à Keisuke. Il avait été dans une situation similaire à la différence prêt que Keisuke, un céleste en plus, n’avait pas fait un mur de doton coupant, mais un sol de flamme incandescent. Il se souviens de sa pitrerie, la tactique de l’homme canon ! Il avait néanmoins réussi à sauter sur le ventre de Bakeneko à cinq mètre du sol. Deux mètres de moins, c’était jouable !

 Remettons ça mon Kenny !!! espérons que le nuage du fumigène m’aura masqué suffisamment longtemps pour qu’il me croit encore en cage... 

Ken alors cours vers son clone en face de lui, arrivé à sa hauteur, il lui met une claque dans le dos pour lui signaler qu’il était prêt mais aussi, pour lui poser un sceau explosif sur l’épaule. Posant son pied dans ses mains. Le clone jette Ken en l’air. Malheureusement, Ken ayant prit le risque de ne choisir qu’un clone pour sa prouesse, ni de le faire exploser pour gagner en puissance de saut par la pousser d’air du clone. Il retombe pied les premiers vers le mur. Il lance alors un coussin d’air, il pu ainsi marcher en frôlant le mur et passé de l’autre coté. Il donne ainsi l’illusion de courir sur l’air.

La manœuvre risqué le mit à mal plus que prévu, il sentait mal l’atterrissage et préféra assurer avec un autre coussin, plutot que de perdre une cheville afin d’ atterrir de l’autre coté sans encombre. Une fois atérit, il refit deux clones et se jura d’arrêter sa réserve risquait de fondre comme neige au soleil.

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Lun 23 Aoû 2021 - 0:30
Était-il enfermé ? Le Chûnin avait-il touché le jeune trublion ? Une attaque de si faible envergure, peu probable qu'il soit touché, ou du moins mis à terre. Fixant le nuage, il entendit des cris multiples se dégager de la purée de pois. Il avait donc usé de clone ? De suite Akio se dit qu'il avait bien fait de ne pas foncer tête baissée sans visibilité. Soudain quelque chose s'agite dans la fumée de plus en plus claire. Des projectiles fins fusent vers le garçon aux cheveux rosés. Des senbons. Surpris le Céleste plaça son avant-bras face à lui, encaissant les outils ninja dans une douleur réelle mais risible par rapport à ce que lui causait les portes célestes.

Un Ken se précipita alors sur lui. Baissant doucement le bras, Akio plissa les yeux. Alors que le nuage touchait à la fin de son existence, il perçut tant bien que mal un mouvement confus. Alors que l'assaillant était à sa portée, le Céleste pivota pour esquiver la "charge", avant de balayer légèrement le genin, qui disparut dans un souffle Futon qui failli faire tomber à la renverse le taijutsuka.

« Ainsi donc c'est comme ça que tu souhaites devenir quelqu'un... des tours de passe-passe sans ambition... Je croyais que tu souhaitais m'affronter pour t'endurcir et relâcher ton amertume... »

L'énervement commençait à assiéger le mental d'Akio et il venait de lâcher cette phrase, discrètement, presque pour lui uniquement. Il n'avait pas envie de jouer à un jeu puéril lors de son entrainement. Son regard chercha à accrocher un détail, et il fut gâté lorsque la fumée laissa sa place à un nouveau musicien, face à la paroi Doton... Que devait-il faire ? Il effectua quelques mudras pour se créer une ouverture dans sa propre technique doton, avant de lancer un dernier regard à son homologue. Si c'était un clone, il gagnait du temps, si c'était le vrai, alors il resterait coincé.

Mais comme les mouvements entraperçus plus tôt paraissait venir de cet habitant clandestin de l'enclos doton, Akio se doutait d'une nouvelle supercherie. Et lorsqu'il sortit de son arène, il ne fut absolument pas surpris de retrouver sur sa gauche de nouveaux Daishi. Il soupira longuement, en baissant la tête, la secouant légèrement de gauche à droite. Le sang coulant des quelques senbons attaquait le sol, en alternance avec les gouttes de pluies, toujours présente. Ses yeux cherchèrent alors Minako. Accepterait-elle que lui, chûnin, passe à la vitesse supérieure contre son très cher ami ? Impensable. Il révisa son jugement et accepta intérieurement le style atypique de son adversaire.

Faisant face à ce dernier, en extirpant de son bras les projectiles, un à un, sans sourciller, sa façon de se tenir semblait vouloir amorcer un changement de philosophie. Il commença à marcher doucement vers sa cible, sans esquisser le moindre geste superflu. Mécaniquement il exécuta de nouveaux mudras et projeta au sol, aux pieds des différents Ken, une belle flaque de boue englobant les mollets, empêchant de se mouvoir avec efficacité. Il enchaina de suite, toujours en avançant, avec sa technique des pieux, qui furent propulsés dans la même direction. Sa marche lui avait permis de gagner quelques mètres. Désormais, il était plus ou moins capable de fondre sur son adversaire, et pourtant il s'arrêta là.

« Les choses sérieuses vont commencer. »

Une vague d'énergie se dégagea du chûnin et sa peau changea de couleur. Le sol fut balayé d'une onde de choc. Il venait d'ouvrir la quatrième porte et si son camarade ne durcissait pas sa façon de combattre, le prochain assaut serait plus que dangereux.

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Daishi Ken
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Sam 28 Aoû 2021 - 16:04
Le sacrifice du Clone n’était pas en vain, relier par l’esprit. Ken comprit, selon lui, que Akio était du genre à foncer dans le tas. De plus, cela lui permit de sortir de la cage. Un genou à terre, il souffla comme un bœuf pour reprendre son air. Il avait tellement puisé dans le chakra mais dans qu’elle but ? Celui de paraître faible, lâche, fuyant le combat. C’était son style de ninja. Paraître faible pour surprendre l’adversaire au moment le plus opportun ! Akio ne dérogerait pas à la règle. Premier point. Second point, jusqu’à maintenant Ken subissait l’ascendant sur Akio. Se dernier reflétait la vantardise de son senseï, Aizen.

Son piège, peu à peu, prend forme lorsque Akio, perdant l’avantage, j’avais que les mots pour se défendre. Ken avait déjà repéré se trait de caractère à l’hôpital. Cet impulsivité, cette colère caché dans un air faussement décontracté. Peut être l’avait t’il mal jugé ? Se combat lui donnera sûrement la réponse. Le clone allait courir vers Akio lorsque mentalement Ken l’en dissuada. Si il pensait qu’il était le vrai, Akio lui aurait couru dessus. Il devait se douter que c’était donc une copie. Ken frappa du poing sur le sol.

— Bon sang, bien joué ! Dit un Ken haletant.

Le shinobi reprit un peu de constance. Son corps cetait apparemment remis du saut, gardant un leger vertige du a la dépense excessive de chakra mais rien de méchant. Le clone etant démasqué, inutile de le perdre bêtement. Il devait voir se combat comme une partie d’échec. A quoi bon chercher a créer autant de clones, si c’est pour les supprimer un à un ? Ça n’avait aucun sens. Valait mieux le garder pour plus tard. De plus, Akio se désintéressant de lui, mudra pour ouvrir sa propre technique ne prenant pas soin de la fermer par la suite. Il lança un coup d’œil au clone, encore un air arrogant ?

Le gennin, pour la première fois commis peut être une erreur. Il avait eu largement le temps d’attaquer pendant que Akio retire ses senbons, il préféra passer son temps à analyser la situation. Il fut intrigué par le nombre astronomique d’erreurs de son adversaire. Ken se secoue la tête pour arrêter de penser ainsi. Peut être est ce lui qui agis par pur arrogance ? Il avait clairement l’avantage, une technique et Akio aurait été mal. Non… C’était plus dans une sorte de code d’honneur. Akio à préféré faire preuve de gentillesse, Ken lui rendait juste coup pour coup. Un combat entre gentleman. Peu orthodoxe, certes.

Ken lui trouva cependant un air changé. Toujours l’arrogance dans sa voix, mais, une démarche mechanique un peu comme un tueur. Ken tenta de mettre de la distance entre eux en effectuant quelques saut en arrière. Les clones commença à effectuer des Mudras. Akio, plus rapide leurs vomit a tout les trois de la boue jusqu’au mollet faisant perdre le fil au clone. Ken original fut quelques instant déstabilisé.

Avec son ton arrogant habituel, pour Ken, il lui annonca que les choses allait maintenant devenir serieuse en leurs envoyant des piques. Un clone meurt, tandit que le second eu l’intelligence de plonger la figure dans la boue. Ken original, lui, pris un pieu dans l’épaule gauche.

Ken clone, entendant un bruit étrange, et l’arène vibrer comme pris dans une grosse bourrasque, il accouru le plus vite possible. Il aperçut Akio, soudain, se mit a grimacer, comme prit d’une douleur, la peau se mit a rougir de plus en plus, un souffle énorme avait balayer le dernier clone. Sans l’arène pour bloquer le souffle, il aurait été lui aussi soufflé. Pendant se temps, l’original sortie de la boue en utilisant le Fujo. Poussant sur ses pieds pour créer une surface dur, sortir de la boue ne revenait qu’a monter un escalier. Il aurait aimé utilisé la boue a son avantage, mais ayant été soufflé, la boue est hors de portée. Le pieu, par le souffle fut éjecté.

Ne laissant pas le temps à Akio de se remettre de sa technique, le clone, se positionnant de façon stratégique à pouvoir utilisé l’arene comme bouclier. Il lui lança Kuukiju Chushabari en visant les jambes pour l’empêcher d’aller au corps à corps. L’original lui, effectua un genjutsu de son invention. Profitant de la pluie pour parfaire son attaque. Il lança sur Akio le Daaku Shuua, l’ivresse intestine. Ken le savait, c’était une de ses dernières cartes. Jamais personne n’a eu à subir ça. Comment Akio allait t’il s’en sortir ? Il n’avait qu’à tenir, il n’avait pas le choix, si il abandonnait, il avait perdu. Ses resserves étant bien entamé, combien de temps tiendrait t’il son jutsu ?





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Kentoku Akio
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Lun 30 Aoû 2021 - 23:11
Finir le combat. Akio trouvait que ce dernier n'avait que trop duré. Il paraissait glisser lentement vers la plaisanterie de mauvais goût. Et un entrainement, on ne rigolait pas avec ça. Le Chûnin fixait son camarade face à lui, gardant également un oeil avisé sur le clone encore en état. Seul de son côté, il n'avait aucun moyen de sortir du couloir de Doton. Excepté par l'ouverture laissée par Akio. Se sachant plus rapide, il pu observer tranquillement l'usage cohérent d'une technique afin de se sortir du piège de la boue. Enfin une action logique et avec une consommation d'énergie faible. Le travail portait ses fruits, et ce détail arracha un sourire de coin satisfait au gradé.

Le Ken laissé de côté apparut enfin dans l'embouchure du mur. Le Céleste tourna lentement la tête, lui permettant ainsi de se rendre compte des nombreux mudras qu'effectuait le clone du genin. Dans le même temps, Akio anticipa une possible offensive en en faisant autant. Il frappa alors le sol de son pied pour faire surgir un mur qui vint alors bloquer l'angle de tir. Et ce fut une bonne décision quand il s'aperçut des projectiles qui se plantèrent dans la roche. Habile. La concentration fut alors entièrement mise vers l'avant où l'original effectua lui aussi de nouveaux gestes.

Bientôt une vibration très basse toucha le corps de l'homme aux cheveux rosés. Intérieurement, il ressentait une vibration, gênante tout du moins. Pourtant rien d'autre de bien marquant. C'est là qu'il comprit qu'un Genjutsu avait été lancé à son encontre. Sauf que les douleurs continues que lui infligeaient les Portes Célestes ne cessaient pas, et brisaient avant même l'impact toute possibilité d'illusion. Alors il leva sa main droite, comme pour marquer un temps de pause. Il ferma également les yeux, en baissant légèrement la tête.

- Dommage Ken... Tu uses du genjutsu sur un homme insensible...

Lorsqu'il ouvrit les yeux, la lueur dans ces derniers avaient changé. Ce n'était vraiment pas de chance pour le jeune artiste mais il ne pouvait pas savoir une donnée que peu de personne connaissait. Akio renforça ses appuis en balayant sous ses pieds avant de se projeter d'un seul coup vers le mur sur sa gauche. En effet la mare de boue projetée auparavant allait le gêner. Sa charge multiple, la même que lors de l'examen chûnin contre le Suzuri, il l'utilisa d'abord pour toucher le mur, avant de sauter directement sur son adversaire.

Sa vitesse était époustouflante. Tout allait plus vite, tout était plus violent. Poing en avant, il avala la distance séparant les deux kumojin en quelques instants. Maintenant à portée, il arma un coup dévastateur, encore plus sous son état actuel. Et pourtant. Quel intérêt de l'abattre ? Il n'était pas dans cette pédagogie. Alors il arma sa jambe, et frappa d'un coup de pied circulaire. Sauf que ce coup, il l'arrêta net, à une distance infime de son adversaire. Le mouvement ainsi stoppé déversa une onde de choc indolore mais annonciatrice de ce qui aurait pu se passer si il avait réellement frappé. De sa sacoche, le Chûnin sortit alors de sa sacoche un Kunai qu'il prit en main, pour signifier qu'il se tenait encore prêt à une riposte.

- Bien Ken, Très bien. Tu en demandes encore ? Ou bien on s'arrête ici ?

Sa voix se voulait calme. Et il n'y avait aucune supériorité apparente non. Au contraire, comparé au départ, l'affrontement avait établi un respect entre le Céleste et son subalterne. Son attitude était droite et honorable. La pluie balayait encore la zone et pouvait bien calmer les ardeurs guerrières du Genin, alors qu'il paraissait en tout point vaincu. Sa grossière erreur ? Akio l'aborderait après, mais elle était principalement axée sur sa surconsommation de chakra pour compenser sa faiblesse défensive. Rien de rédhibitoire cependant, des largesses facilement corrigeables par le travail.

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Lun 6 Sep 2021 - 22:50
Ken fit une introspection de courte durée, le temps de comprendre ce qu’il s’était passé. D’une part, un mur de boue pour bloquer la vue du clone et ainsi mettre fin au ciblage des aiguilles qui se sont juste planté dans le mur in extremis. Il commit cependant une faute, le mur, il aurait du s’en servir pour combler la brèche de son arène, permettant à Ken de pouvoir encore user de son clone comme il le souhaite.

Enfin, le genjutsu qui semblait donner au mieux de l’urticaire sans plus. Que l’illusion ne marche pas pourquoi pas, il l’avait suggéré, mais que les vibrations physique sur ses intestins ne donne rien, il était largué. Quand une personne pouvait t’il encaisser qu’on lui remue les tripes sans broncher ? Il cessa alors le genjutsu, se préparant à une riposte.

Ne se décontenancent pas, Ken envoya son clone sur Akio mais se dernier plus rapide se mit à courir sur le mur luttant contre la gravité avec une étonnante facilité, utilisant la vitesse à cet avantage. Ken, sceptique, se demandant comment il avait pu faire ça, les célestes le surprenait décidément. Si il n’avait jamais vue Keisuke faire, il ne l’aurait pas crus. Il se sentait presque comme étant pris dans un genjutsu son ennemi venant à sa portée, pire, lui mettre un coup qui aurait pu mettre fin au combat presque instantanément. Il vit Akio se saisir d’un kunai. Il se tenait sur un pied, toujours avec son air de crâneur prétentieux agaçant qu’il a du hérité de son ancien senseï .

Lui demandant si il en voulait encore ou faire une pause, Ken fut surpris par le calme, pour la première fois, il ne ressentait aucune vantardise. Il en était en partie surpris. Agréablement surpris. Akio commençait t’il à changer d’avis à son sujet ? Ken, pareil, pour la première fois il laissa tomber son air renfrogné. Ken, pour Minako, n’avait pas le droit de renoncer, sans un souvenir de sa defaite. Une épaule enkyloser, une joue douloureuse… Son beau père le traiterait de lâche si il reviens du combat sans avoir tout donné. Ses pensées vont clairement à Minako, elle le regarde. Que dirait t’elle si son lâche de petit ami demande que le combat s’arrête. Qu’elle image lui enverrait t’il ? Il n’avait pas le droit d’abandonner, sa défaite était évidente.

Cependant, malgré sa défaite, Ken voulu essayer une dernière chose. Pour la première fois, le genin sourit.

— Merci Akio san, je me suis trompé sur ton compte. J’aimerai te montrer une dernière chose. Je...

Ken laisse exprès sa phrase en suspens, il passe sous la jambe d’Akio, lui saisit le poignet armée du kunai. Utilisant son futon, il donne un coup de hanche projetant Akio dans la boue. Pendant se temps, le clone lui augmente sa dangerosité en recouvrant son corps de futon coupant. Il saute dans la boue et juste avant de toucher, il rebondit sur un coussin d’air. Ken tente de retenir Akio un peu plus longtemps dans la boue, et fera un saut pour esquivé la dernière attaque du clone.

Main en avant, il essaye de toucher Akio, même une de ses chaussures, il fallait qu’il le touche. Qu’il touche Akio ou non, le clone se fera ensuite exploser libérant le futon de sa technique, son propre futon mais également le sceau explosif. La détonation, il l’espère, fera souffrir Akio. Après tout, le souffle du futon porte le son si il y ajoute une technique futon par dessus, la détonation devrait être encore plus violente non ? Ken misait tout sur cette dernière attaque. Il n’a juste assez de chakra que pour une faible technique. Si Akio n’a pas perdu, c’est lui qui perdrait, automatiquement.

résumons nous:
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Kentoku Akio
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Mar 7 Sep 2021 - 16:55
Le temps sembla comme figé. Akio se sentit analysé par son homologue. Celui-ci avait clairement compris que si le mouvement n'avait pas été stoppé, de fin heureuse il n'y aurait pas eu. Pourtant dans son attitude, on ne lisait pas un potentiel perdant. Et si son regard sur le Chûnin paraissait avoir évolué en bon, le ton dans sa voix, et sa phrase n'ayant même pas de fin, indiquaient clairement qu'une nouvelle étape allait être franchie. Le Céleste se demanda rapidement : devait-il calmer les ardeurs guerrières du musicien de façon dure, ou bien le laisser montrer son potentiel, et en tirer une certaine fierté ? Alors il se laissa faire tandis que Ken le saisissait à la manière d'un judoka avant de l'envoyer valser par dessus son corps, directement vers la boue encore présente.

Encore une fois, une telle humiliation n'avait pas lieu d'être, et le gradé envoya rapidement du chakra dans ses pieds pour atterrir sans se salir sur la zone handicapante. De suite il observa aux alentours en se redressant et en rigolant doucement. Plein de ressources, il n'avait pas peur, même face à un adversaire capable de terminer un affrontement en un seul coup de poing.

Sur son côté, un souffle rapide, une silhouette qu'il pensait avoir isolé se rapprochant dangereusement de lui. Le Futon de Ken lui permettait de gagner en agilité durant un combat, réduisant drastiquement le concept même de distance. Ce clone était dangereux, comme l'indiquaient les perturbations autour de son corps. Alors le Taijutsuka attendit légèrement puis fit un bond très rapide, pour esquiver, en direction du Ken original.

Ce mouvement, boosté par ses portes célestes, lui avait permis d'esquiver l'offensive, n'encaissant qu'une bourrasque de vent. Les pieds infusés de chakra, ancrés dans le sol, il n'esquissa pas le moindre mouvement. Seuls ses cheveux accompagnèrent le souffle de la déflagration. Il était proche du Genin, désormais sans défense. Un coup. Une frappe, peu importe laquelle, et c'était terminé.

Curieusement, il n'en avait pas envie. Akio chercha du regard Minako, posté un peu plus loin, alors que la pluie avait cessée depuis quelques instants. Alors il arma son poing et le précipita face à lui, sur le pauvre artiste démuni. La vitesse déployée était très importante à cause du flux de chakra des portes, la violence du coup en serait également démultiplié. Impossible de parer une telle frappe.

- Bien.

Au moment de l'impact, Akio referma la quatrième porte, le coup donné ne fut que d'une puissance moindre, histoire de clore le débat musclé avec une action réellement offensive. Il s'arrêta alors, salua Ken comme un combattant honorable pouvait le faire après un échange de coups et commença à s'approcher de la spectatrice.

Il attrapa une serviette pour se sécher quelque peu, tout en débutant un léger débriefing, d'une voix assez forte et audible pour que les deux aspirants ninja puissent l'entendre.

- Pas mal cet enchainement. Je reviens quelques instants sur le genjutsu. Les Portes Célestes nous blessent en continu, la douleur nous empêche de tomber dans les illusions. Vous ne pouviez pas le savoir avant, maintenant vous êtes prévenus.

Il marqua une pause, avant de porter plus sérieusement son attention sur l'homme qui arrivait à ses côtés.

- Ta consommation de chakra. Fait attention, ne monopolise que ce qui est nécessaire, surtout face à un shinobi ayant de meilleures capacités que toi. L'idée des clones est bonne, mais très couteuse, de la même manière que fuir de mon enclos a dû te coûter cher.

Désormais tout ébouriffé, il attrapa une bouteille d'eau, et en tira quelques gorgées bienvenues. Les douleurs, il ne le montrait pas, mais il en était perclus. Même si désormais la quatrième porte ne le laissait plus agonisant au sol. Il vint s'asseoir sur les emplacements mouillés des tribunes pour aborder la deuxième étape de cette rencontre.

- Alors dites-moi, d'abord si vous avez des questions sur l'affrontement, ensuite vos questions externes, vis à vis du reste, et je me doute qu'elles seront nombreuses, aussi j'essayerais d'y répondre au mieux.

Il déposa sa serviette sur ses genoux, s'adossant à la rangée supérieure en posant les mains sur son torse. Son corps démontrait par endroit quelques ecchymoses, notamment sur les articulations, mises à profit lors de l'usage des Portes Célestes.

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Dim 12 Sep 2021 - 16:10
Le musicien souffla fort, un son animal sortie de sa bouche, crachant ses poumons suite a l’enchaînement qu’il venait de faire. Il était ravis, Akio s’y ai laissé avoir du moins un court instant. L’avait t’il fait exprés ? Il y a de forte chance que se soit le cas. Qu’importe, par ce geste, Ken lui démontra une chose, si il était en mission, il se donnerait à fond et irait au-delà de ses capacités. Ken espérait que Akio l’avait compris, il n’en douta pas un seul instant. Il était intéressant de savoir de quel façon Akio s’en sortirait. Qu’importe de quel manière il perdrait ou gagnerait, Ken devait juste apprendre. Quel plaisir de voir son supérieur se dépêtrer de son attaque. L’homme enregistra toutes les données. Pour la première fois, il s’avoua avoir commit une erreur. Il n’aurait pas du se reculer, Akio à pu en profiter pour esquiver en partie l’attaque du clone, qui se devait, être l’apothéose. Une hésitation, une toute petite faiblesse et il avait échoué sa dernière attaque.

Ken ne broncha pas quand le poing du celeste lui frôle le nez, après tout, il l’avait cherché c’était malheureusement, de plus, Akio lui avait épargné un coup de pied dévastateur, pourquoi lui aurait t’il mit un poing ? Ken sourit, il eu pour la première fois, la joie d’avoir échoué car il se sentait plus fort qu’avant. Il se sentait quelqu’un d’autre. L’’apprenti Taijutsuka lui rendait son regard, tout deux se jaugeait à présent. Le jeune homme cessa toute tentative de combat, il avait perdu, il devait l’accepté. Il fit un pas en arrière. Présenta son dizi de sa main gauche qu’il frappa dans sa main droite, tendit les mains en avant ployant l’échine devant Akio.

— Merci pour cet entraînement Akio-san. Te combattre à été un honneur. Dit Ken avec humilité

Ken rangea son dizi, Akio lui répondit juste un bien, de façon sec. Il accompagne Akio et rejoignit Minako, d’un grand sourire pour elle, il la dévora des yeux. Elle a été sa force durant se combat, sans elle, il aurait abandonné. Ouvrant son sac, il prit la thermos de thé noir qu’il voulait tendre à Akio mais se dernier prit de son eau. Se saisissant de sa serviette, il s’éssuie le visage.

— Alors Lycoris… , as tu appréciée ? Merci de ton soutien, sans toi je ne me serais pas donné à fond… Tu es ma force, je t’aime mon coeur. Susura Ken pour que seule Minako l’entend.

Akio alors parla fortement pour que les deux gennin l’entend. Ken à comme un transat accroché aux oreilles tellement son sourire etait grand, il n’espera pas de compliment de la part de son ainé. Par le prix d’un gros effort, il s’arracha aux yeux de Minako pour regarder Akio. Se dernier leurs apprient que le genjutsu n’a aucune emprise sur les porte celeste à cause des douleurs en continue. Ken trouva ça étrange car quand il a mal a son coeur, happé par la déprime et qu’il se prend un coup de marteau, son mal de coeur est toujours présent. Il devrait sûrement étudier se détail.

Afin de remercier Akio, Ken fouilla son sac pour y trouver une des pâtisseries. Il va vert Akio pour le lui remettre. Se dernier en profita pour le mettre en garde sur sa consommation de chakra, il est vrai qu’il n’avait pas regardé à la dépense, il se rendit compte qu’il avait de loin, préféré impressionné Akio, plutôt que de bien faire. Cela dit son taijutsu est si médiocre qu’il n’a quasiment, voir pas d’autre choix. Il n’a réfléchi qu’en terme de musicien, mettant de coté les art martiaux, se qui l’handicapait fortement.

— Je comprend merci pour cette leçon. Je me suis trop focalisé sur mon genjutsu et ninjutsu, j’ai une carence en taijutsu. Ken eu un effet étrange en lui en disant ses mots.

Un léger tremblement se fit le long de sa colonne vertebrale. Il a pour horreur le taijutsu, dire que maintenant, il devrait embrasser cet art. Un air de dégout s’afficha alors sur son visage avant de disparaître. Il tend a Akio une pâtisserie.

— C’est moi qui l’ai fait ! Une spécialité de mon oncle, Yuan. Tu sais le meilleur boulanger patissier de Kumo ! Il appel ça des Inazuma no Kumo. Une pate a choux avec un flan patissier, ganache citron meringué. Je ne les réussi pas aussi bien que lui mais bon… Je te vois désormais comme un ami, et je serais fier un jour de pouvoir partir en mission. Se serait trop bien je trouve ! Franchement se serait tellement fou ! Je sens que tu as beaucoup à m’apprendre ca me plairait tellement !!!! Ken enjoué fit signe a Minako de venir

— Mina, Viens ! Se sera plus sympas, pourquoi vous restez aussi loin des autres, nous sommes Kumojin allons, franchement, alleeeez !!! Ken etait si ravis, sa femme et son nouvel ami, quoi de mieux pour le jeune homme ?

— Je bois à Kumo !!!! Ken bu une grande gorgée de thé noir qu’il tend a Minako.

Les yeux de Ken changea de tout au tout, son air sérieux disparu subitement, tout son attitude a totalement pris les traits du jeune homme un peu naif que tout Kumo connaissait maintenant, son air sérieux et guerrière à totalement disparu. Il rigolait a gorge déployé, fermant les yeux, humant l’air à plein poumon, fixant la pluie qui lui tape les globes oculaires. Un massage cranien. Ken frissonna mais n’osa pas le dire a Minako, car si elle lui rendait son blouson, c’est elle, qui risquait d’avoir froid. Il préféra souffrir plutôt que sa femme souffre d’un manque de confort, plaçant bien au dessus de lui le confort de Minako. Il grelotta un peu.

Quand Akio lui demanda, si ils avaient des question sur l’affrontement, Ken prit la parole.

— Pourrait tu m’apprendre à frapper ? Je suis extrêmement mauvais en Taijutsu, je pourrais te dire pourquoi mais je ne sais pas si mon histoire t’intéresse hahaha. Quoi qu’il en soit, j’en ai horreur du taijutsu, je n’aime pas me battre.. Mais je me rend compte que si Minako est en danger, je ne répond plus de rien et je pourrais aller… jusqu’a…. enfin voila….

« Tuer…. Je l’ai déjà fait pour toi Minako, je tuerais pour toi à nouveau, je tuerais quiconque te regarde de travers ou te veux du mal. Nous, nous appartenons, nous le daisho Minaken. moi vivant, plus jamais tu n’auras à souffrir. Je tuerais temps que c’est necessaire. »

— Je voudrais devenir plus fort, pour elle… pour Kumo. Pourrais tu m’aider ?
Ken garde le silence quelque instants.

— Je ne sais pas pourquoi mais depuis l’hopital, j’ai le sentiment que tu aurais des informations me concernant, tu sais là, mes bruits sois disant animal comme dit Minako. Tu confirmes chérie ? Sinon concernant ses oiseaux qui me tourne autour parfois… Pourquoi moi ? Pourquoi je les attires ? En temps que scientifique tu n’as pas des pistes a se sujet ?
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Mar 14 Sep 2021 - 13:07
“ Oh, son pouvoir me fait penser à quelque chose. ” Minako comprend assez vite que Ken ruse avec ses clones et son fumigène, et, fort heureusement, la demoiselle est assez loin pour ne pas respirer cela et risquer d'allonger de nouveau la convalescence de la chanteuse. Déjà que ça fait un long moment qu'elle est en arrêt, elle ne veut pas risquer de perdre définitivement son travail. Plus tard, lorsqu'une aura rouge enveloppe Akio, elle comprend. “ Oh, le pouvoir de Keisuke-sama, je vois. ”. Elle se dit que cette capacité est le fruit d'une dure labeur physique et leur ami doit consacrer un temps énorme pour cela. Peut-être qu'il est aussi fort que son supérieur ?

Quoi qu'il en soit, Minako voit Ken continuer le combat, il n'a pas l'air de vouloir abandonner. Elle le trouve si beau lorsqu'il réfléchit et qu'il est déterminé. Lorsqu'il joue une partition qu'elle n'a jamais entendu, la jeune chanteuse se demande quel effet a l'illusion. Et surtout, ça a l'air de ne faire aucun effet à Akio. “ Mmmh. Le point fort de Ken devient son propre point faible et je ne sais pas pourquoi. Il devrait améliorer sa maîtrise élémentaire du vent et de son taijutsu. Je suis sûre qu'il serait magnifique en utilisant la finesse d'un style de combat martial et du futon, et… La finesse de son corps, sa beauté serait sublimée par son art martial… et ce regard… ” Minako s'est laissé distraire par son amour pour Ken mais elle se reprend en main. L'utilisation du doton de Akio lui fait penser que Keisuke AUSSI possède cette affinité car elle l'a vu créer un mur lors de son combat en équipe contre lui durant l'examen.

Le taijutsu du céleste est impressionnant, et cette fin du duel… Par ailleurs, elle comprend que l'ouverture des portes célestes doit faire souffrir leur utilisateur mais qu'en échange, ils se retrouvent immunisés contre les illusions. Le cœur de Minako se serre un peu, mais, elle n'ose pas extérioriser quoi que ce soit. Elle est faible. Elle a besoin de puissance, de davantage de force, mais elle ne sait pas comment faire. Comment prier cette Mère qui a guidé son propre grand-père sur son Art aussi fascinant que destructeur ? Par quels moyens ? Elle se sent faible, vraiment. Elle ne peut pas… Elle ne peut plus rester les bras croisés, elle ne veut plus rester au repos, elle a besoin de se performer encore et encore pour Ken, par amour pour lui. Elle se refuse d'être une princesse à protéger. Elle en a marre d'être vue comme une jeune femme fragile, elle ne le veut plus. Elle ne veut pas que Ken souffre par sa faute, à cause de sa propre impuissance.

Le regard de Ken envers elle la touche, ainsi que son air enjoué. Elle est restée silencieuse un bon moment mais il est temps qu'elle s'approche d'eux et qu'elle aie un semblant de joie. « Tu seras bien meilleur que ce soit en combat comme en cuisine, j'en suis certaine. » lui dit Minako pour lui montrer qu'elle l'encourage. Lorsque Ken parle du taijutsu, qu'il est minable et qu'il veut être fort pour protéger sa dulcinée, Minako ne dit rien. En vérité, aucun mot ne voulu sortir de sa bouche. Encore une fois, elle a l'impression qu'il se renforce sans elle, qu'il veut faire en sorte que la chanteuse soit encore et toujours la demoiselle à protéger. Minako ne veut pas qu'il soit seul à se battre pour eux deux. Elle aussi veut réussir à se défendre, à défendre son bien-aimé, et éviter qu'ils se mettent en danger de manière inutile. Son regard ne peut tromper sur sa tristesse.

Elle s'en souvient très bien. L'homme… l'agresseur de Minako qui a posé son regard libidineux sur elle, qui l'avait prise contre lui et l'a invité à travailler pour eux, d'un coup, qui se tortillait dans tous les sens alors que les chanteuses masquées sur scène hurlaient un chant étrange de plus en plus fort. Non, ce n'est pas Ken qui a tué son ravisseur, elle en était certaine. Mais, Minako ne veut pas revivre ça. Elle veut réussir à se protéger toute seule, comme une véritable membre du Kyuubu à présent. Le changement de sujet de Ken semble l'apaiser un peu au vu du regard qui a l'air davantage intéressé que triste.

« Au fait, je me souviens de quelque chose. Mon grand-père me racontait souvent des histoires venant de divers peuples du désert, et je crois… enfin, j'affirme qu'il me parlait d'un peuple capable de se transformer en un animal, et il m'expliquait comment était devenu l'un de ses amis d'enfance avant de maîtriser son pouvoir bestial. Ça ressemble un peu à ce que tu vis en ce moment, mais… Je crois que ce peuple n'habite plus à Kaze. »
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Kentoku Akio
Kentoku Akio

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Mer 15 Sep 2021 - 23:57
Il fixa avec intérêt son homologue, écoutant tranquillement ses paroles qui, pour une fois, le touchèrent un peu. Il avait enfin démontré sa valeur et Ken semblait lui faire confiance. Pourtant peu friand de pâtisseries, il prit celle tendue par le Genin d'un geste sincère et animé par une belle volonté. Il en croqua un morceau et fut assez surprit des goûts équilibrés, remerciant principalement le citron pour son existence pleine de contraste. Avant même de répondre à toutes les questions, il termina le débriefing du combat, tandis que Minako rejoignait le duo.

- Heureusement que nous avons tous des carences, Ken. D'ailleurs deux écoles s'opposent alors : ceux qui assument et travaillent leurs points forts seulement, et ceux qui se focalisent sur l'absence de faiblesse, et qui ne se démarque jamais par un talent exceptionnel. Par exemple j'ai une faiblesse rédhibitoire.

Il s'arrêta quelques secondes, buvant une petite gorgée en se redressant quelque peu. Il allait finir son explication avant d'en venir au centre des intérêts de ses camarades.

- Mon endurance... Mes capacités me détruisent, littéralement. Si un combat dure trop longtemps, je suis fini. Mais pour en revenir à toi, effectivement je peux t'apprendre à frapper, mais aussi à aller plus vite, à encaisser, à esquiver. C'est au choix l'ami.

Il projeta sa serviette directement sur son sac d'affaire, buvant le fond de sa gourde avant que cette dernière ne suive le même chemin. Il était temps de passer aux informations qu'avait le Céleste au sujet des discussions entamées durant leur séjour à l'hôpital. Et elles étaient nombreuses. Alors ses pupilles se figèrent dans celles du jeune homme face à lui, puis il évoqua ce qu'il savait de son cas particulier.

- Tout porte à croire que tu as des ascendances Yasei. C'est effectivement un clan de métamorphes très impressionnants. Et effectivement Minako, dans les écrits que nous possédons, il est indiqué Kaze comme lieu d'origine. Mais le clan s'est divisé. Il semble désormais un peu plus développé du côté de Mizu no Kuni.

Il marqua un temps de pause, afin de laisser chacun s'imprégner des diverses petites informations fournies. La moiteur du climat rendait les corps poisseux et l'atmosphère pesante. La discussion n'était pas agréable, aussi Akio se leva et invita ses deux camarades à le suivre jusqu'à son établissement préféré où ils pourraient obtenir un lieu sec, convivial et des mets agréables.

Malgré la marche, il continua de s'exprimer, notamment sur les oiseaux qui, selon Ken, le suivaient d'un peu trop près.

- Tes amis oiseaux. Parle leur. Si ils te suivent c'est qu'il y a une raison. Et si j'en crois les bruits qui émanaient de toi à l'hôpital, tout coïncidait avec des bruits d'oiseau. Il y a un lien, c'est obligatoire.

Indications:

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Daishi Ken
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Dim 28 Nov 2021 - 15:21
L’œil courroucé laisse place peut à peut à une quiétude mêlé à une mansuétude pour les personnes l’accompagnant. Ses yeux se portaient naturellement sur sa reine, sur sa déesse. La beauté de Minako ainsi que le timbre de sa voix le faisait fortement frissonner, un frisson de joie, de bonheur, sa raison de vivre le regardait. Son coeur sorti de sa poitrine a tel point qu’il tituba subtilement. Il se sentait redevenir jouvenceau lorsqu’elle est proche de lui à moins que se sois la pluie qui tambourinais sur son corps bouillant de sueur par l’exercice martial. Les dagues d’argent le transpercait à présent les épaules, le dos, le ventre. Qu’en avait t’il à faire, Minako ne devait pas avoir froid, qu’importe si il s’enrhume. Le jeune homme tremble de froid mais garda sa faiblesse pour lui même. Hors de question que Minako lui rend son blouson, elle ne devait pas avoir froid, il ne le supporterait pas, qu’importe qu’il en crève, seul Minako comptait.

Ses dents jouaient une partition bien étrange, elles jouaient des castagnettes. Quand il s’en rendit compte, il serra les dents si fortement qu’il prenait un air colérique ou en pleine constipation. Sa grand-mère lui avait dit combien de fois que pour aider Minako, il ne devait pas mourir, il devait être fort, il devait surtout penser à lui. C’est qu’au top de sa force qu’il pourrait être au mieux pour soutenir sa femme. Cela dit il était hors de question qu’il lui réclame son blouson, il n’avait jamais trouvé se blouson aussi beau que sur les bras d’apparence frèle de sa moitié. Il imagina en plus, quand elle le lui rendra que se tissus serait imprégné de son odeur, de sa chaleur. Soudainement, il ressenti comme une gène a l’entre jambe, c’etait une sensation étrange dont il n’avait pas l’habitude. Une sensation que seule Minako, pourtant une femme, arrivait à produire sur lui sans même le vouloir. Imaginer Minako frigorifiée etait au-delà de ses moyen, en plus, il etait déjà mouillé donc bon, un peu plus de pluie allait rien changer.

Sa mansuétude allait pour Akio, vue comme un petit con de la première averse, jeune morveux ayant hérité des tares de son senseï, Aizen, en d’autre mot, un jeune péteux et prétentieux de première catégorie. Premier sur la récompense et Dernier pour affronter le danger. Depuis, Ken revit son jugement sur Akio. Cette petite merde est devenu le temps d’un échange de coup, un frère d’arme respectable là ou son senseï est resté le même abruti. Akio, en se jour, lui avait permit de progresser énormément. Ken n’avais jamais songé que la douleur pouvait rompre un genjutsu, information qu’il gardera précieusement en mémoire pour ses combats à venir. Si une personne etait prise dans un genjutsu est ce qu’un coup de Kunai dans la cuisse la reveillerait ? Toute la question est là…. Peut être un moyen moins destructeur ? Akio lui avait offert un champs de réflexion au qu’elle il n’avait pas réfléchi. Il appellerait sûrement cette technique, le brise rêve. L’idée etait plaisante vue que lui même cherche à se servir du genjutsu non pas pour détruire mais pour en faire un moyen thérapeutique afin de soigner les gens. Constipation ? Genjutsu ! Déprimé ? Genjutsu ! Envie coquine ? Genjutsu ! Le genjutsu l’art de transformer les sots en héros et les princes en bouseux. L’art des plaisirs coupable sans être pris la main dans le sac. Il y avait tellement de formes variés de Genjutsu. D’ailleurs Ken devait bien admettre que l’oncle Yuan adorerait probablement cette dernière forme de jutsu. Peut être pourrait t’il l’appeler « Les travers de monsieur porc » ?

Ken se remémore rapidement sa vie et constate combien tout le monde avait raison. Se focalisant uniquement sur son Genjutsu, il a été une cible si facile pour Akio. Si minable. Il n’avait jamais songé à une personne rivalisant sans effort de surcroît avec son genjutsu. La simplicité avec la quel son genjutsu s’est révélé inutile. La seul fois où il a eu des résultats est lorsqu’il s’est servit du taïfu. De ses clones, de ses outils ninja. Sa principale force à tout simplement été inutile. Il rageait tout en s’essuyant les larmes méllé à la pluie, en situation réel, Minako aurait été morte avec lui. Il aurait été inutile. Il avait eu l’avantage uniquement parce que Akio à stopper son mouvement. C’était décidé.

L’enfant devenant adulte compris subitement que si il détestait la vue que le monde à de lui, il n’avait qu’a leurs crever les yeux, ou alors, à faire des efforts pour leurs montrer qui il est. Les conseils du politicien Raizen lui revient en mémoire. « Pour protégé Minako tu te dois de devenir fort, un soutien qui ne peu pas se défendre seul, deviens alors un boulet ». Phrase au combien cruel qui se révélait en réalité totalement vrai. Ken le bon a rien devait mourir, une tâche qui devait accomplir seul. Peut être que faire la rencontre d’une personne qui lui envois sa propre image entre un de s’assassiner l’aiderait t’il ? Non…. Il devait faire ça avec ses propres ressources. Fixant Minako d’un air soudainement plus sombre, l’espace d’un instant il vit en elle, un adversaire. Sa force est parfois sa faiblesse. Minako est sa raison de vivre. Il se focalise tellement sur la survie de sa femme qu’il s’oublie et en s’oubliant il oublie sa femme. C’est un paradoxe sans queue ni tête. Obnubilé par sa crainte qu’elle ai froid par exemple, il refuse de lui réclamer son blouson, en refusant le blouson il s’enrhume. En s’enrhumant, il ne peu pas veiller sur Minako. En d’autre terme, pour réussir à sauver Minako, il devrait réussir a être prêt de la perdre tout en oeuvrant pour que jamais cela se produise. Comment faire une tel chose ? Comment réussir à faire en sorte d’être inquiet pour Minako tout en ne l’étant pas ? Une chose est clair, Minako est sa puissance, sa raison de continuer. Il devait à tout prix qu’elle ai conscience qu’elle peu se reposer totalement sur lui. Pour en arrivé là. Il lui faudra alors commencer une nouvelle ascension, celle du Taïfu.

Pensée disloquée, retour à la liberté d’agir. D’un battement de cil, regardant de nouveau Minako, quelque chose à changé comme brisé. Le regard de Minako semble plus sombre esquissant un sourire un peu maussade l’encourageant pour le combat, selon elle, il deviendra aussi talentueux dans les deux domaines. Pourquoi cette tête alors ? Le déchirement de Ken est palpable, il lui rend un sourire un peu plus forcé, tenant le regard de sa douce l’interrogeant en silence. Il voudrait qu’elle lui ouvre son coeur mais pourquoi se tait t’elle ? Coeur meurtrie, les dagues d’argent lui lacerant la peau semblait maintenant toucher son coeur. Est ce à cause de Akio ? Ils devraient avoir une discussion sérieuse à se sujet. Peut être leurs première dispute ? Ken eu peur qu’elle lui cache un amant, serais ce Joben ou Aizen ? Elle etait quand même étrangement proche de ses deux lourdauds.

Ken se secoua alors le visage, il etait hors de question d’imaginer un seul instant Minako dans les bras d’un autre que lui. Son poing se serra, c’était comme si sur le moment, ses doigts fusionnaient en trois énormes doigts. Il se secoue la main, plus rien, tout était redevenu comme avant. Depuis l’hôpital, il se sentait étrange, les nerfs à fleur de peau, explosant pour, parfois de petit détails, des rections étrange face à la colère. Chose qu’il ne faisait pas avant. Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant ? Au moins, Minako restait en dehors de cet étrange phénomène, mais pour combien de temps pourras t’il le lui caché. Non, il ne devait rien lui caché, absolument rien ne devait être secret entre eux, c’était la promesse qu’il lui avait faite. Ils auront donc une discussion sérieuse mais pas pour le moment.

Enfin la délivrance. Ken observant Minako depuis un bon moment en oublie presque la presence d’ Akio, se silence et se visage atristé le rendait lui même comme subjugué d’éffroi. Et si il l’étouffait trop ? Quoi qu’il en soit, Minako leurs parlèrent d’un peuple capable de devenir un animal, un peuple hors de kaze. Elle lui dit que c’est ce qu’il vivait en se moment. A ses mots, un rictus amusé s’afficha sur son visage.

« Tu sais mon coeur, c’est pas parce que je respire fortement « comme un buffle » que j’en deviens un… tu sais que certaine personnes sont myopes comme des taupes et pourtant elles ne creusent pas des terriers et non pas de griffes aux mains.  Je sais que tout le monde pensent que j’ai comme des transformations mais entre nous, je n’ai jamais rien vue de tel. Si je devenais un animal, je serais au courant… ? Enfin… »

Ken avait un doute, en effet, il ne s’est jamais vue avec des cornes, ni avec une queue, aucune ailles lui a poussé dans le dos. Juste une fois a l’hôpital il respirait fortement, il s’était entendu respiré bruyamment et ne s’est pas reconnus. Plusieurs personne dont Akio lui disait se métamorphosé probablement, mais jamais il n’avait assisté à l’une de ses métamorphoses avec que c’etait son propre corps. Avait t’il décidé de rejeter cette part bestiale en lui ? Il vit que sa réponse ne plaisait ni à l’un ni à l’autre. Même lui il n’était pas totalement convaincu. Il devait admettre qu’il se passait quelque chose. Ses rêves d’herbes fraîches. Son ronflement devenu par moment fort, très fort. Le fait que tout le monde lui rabâche qu’il est entre un de muter. C’est quoi ses conneries ? Et si ils avaient raison ? Minako ne le prendrait jamais pour un con ! Si elle lui dit c’est que c’est vrai ! A t’elle une nuit participé a une de ses mutations ?

Akio voyant sûrement un silence gênant s’installer en profita pour débriefer de l’entraînement. Le rassurant que tout le monde a des carences, qu’il y a deux écoles, ceux qui acceptent leurs points faible et les péteux qui se focalisent sur leurs points fort pour prétendre n’avoir aucune faiblesse. Ils ne se démarquent donc jamais. Il lui avoua lui même avoir une faiblesse évidente. Ken voulu en savoir plus mais ne demandait rien pour une raison évidente. Apprendre à analysé son adversaire etait un coup à prendre, Ken devait apprendre l’analyse sur terrain. Si il devait faire un pronostique il dirait, les blessures. Akio aurait gagné facilement le combat si ils n’etaient pas en entrainement, mais, au vue des cicatrices qui guérissaient mal. Sa plus grande force est sa plus grande faiblesse. Ken se mit à sourire, c’était exactement ce que lui avait sorti Tanako senseï. Un jour, ayant marre d’entendre Ken hurler que le Taijutsu c’est uniquement de la danse pour fille, lui avait fait le même constats.

Vous me manquez Tanako senseï, peut etre pourrions nous venir vous voir samedi prochain…

Ken fit une moue un peu mossade quand Akio lui révéla de lui même sa faille. Voilà un exercice qui lui passera sous le nez, cela dit il se congratula intérieurement, il n’était pas loin du vrai. C’est alors que Akio lui proposa un gain de vitesse. Une tel vélocité n’était donc pas exclusif aux Célestes ?

— Je t’avoue que ce qui m’a le plus surpris est clairement ta vitesse ! J’aimerais tellement pouvoir tout comme toi aller rapidement, donner l’impression de fournir huit coups là où seulement trois…..

Ken soudain se fige devant cette idée. Il devait communiqué cette idée a Minako. Si elle pouvait faire sonner son katana comme un accordeur de musique… serait t’elle capable de frappe fantome ? De créer de faux coup de sabre illusoire en plus de vrais coups ? Frapper en estoc, en haut, en bas, de droite a gauche alors que son vrai coup va en diagonale ? Pouvait t’il lui même utiliser se coup ? Émettre une feinte sonore d’un coup partant a gauche alors qu’il frappe à droite ?

- Oui…. Oui écoute, j’accepte ton offre, notre combat démontre une lacune évidente en force et en vitesse…. Si je pouvais augmenter ma vitesse elle aurait un impact certain sur toutes mes techniques autant esquive que Genjutsu non ?

Ken imita Akio et souffle de joie, la pluie avait décidé de stopper ses méfaits, il avait le sentiment d’avoir de l’Oedeme sur tout le corps. Son vetement pesait une tonne, par chance, il avait tout prévus et se changea devant sa femme, s’éssuyant pour retirer l’eau au maximum et mettre un vêtement de ville.

— Tu n’as pas froid mon coeur ? Ca va ?

Il lui fit un clin d’oeil un peu provocateur, lui disant d’un seul regard, j’ai envie de calins, de tes lèvres. Par pudeur, il n’en fit rien. Il devait se conduire comme un ninja, l’entraînement est une mission de rang E en quelque sorte. Il se figea soudainement. Akio lui aussi revenait avec cette affaire de Yassei.

— Bon… si vous le dites… dit Ken avec dépit.

— D’accord je suis un animal… savez vous lequel ? Je t’avoue que j’ai du mal avec cette histoire, j’entend les gens parler a mon sujet, ainsi que vous deux, je vous crois, c’est juste que j’aimerais beaucoup également voir ce que vous avez vue…. Nous savons pour le moment que je ronffle fort est ce que ca fait de moi un animal ? Cela dit, je suis intrigué par ses écrits… Crois tu que tu pourrais me trouver ses écrits ? Ou m’indiquer où les trouver ?

Ken fini par se calmer, il n’avait aucune raison d’explosé. Il souffla fortement pour évacué une explosion d’hormone traduit par une rage inexpliqué. Le combat n’avait finalement pas réussi à le calmer, bien au contraire. Instinctivement, il chercha le regard de Minako, comme un camé cherche sa dope. Une vague d’amour alors le saisis au plus profond de ses entrailles. Automatiquement, il s’appasait légèrement. Il ne voulait pas que Minako le voit ainsi. Il se jura alors que dés se soir, il commencerait des séances de méditation pour canalisé cette étrange vague de colère qui le submerge.

Que faire cependant avec cette douleur ? Cette flamme qui ne veux pas s’éteindre, se surplus d’énergie. C’est comme avoir une seconde adolescence mais plus puissante encore. Un feu de brousse qui brûlait parfois tout en lui jusqu’au bronchioles. Il avait comme du mal à respirer, par moment il se réveilla en sursaut, réveillé par son propre souffle. Un souffle chaud au plus profond de ses entrailles. La pluie glaciale lui avait fait plus de mal que de bien. Il sentait ses poumons grossir et brûler, ce qui n’arrangeait pas son humeur courroucé. Sans Minako, pour se contenir, il aurait sûrement demander à Akio de lui en coller une ou deux histoire de prolonger l’entraînement.

Ce dernier avait décidé que l’exercice était fini. De plus, il se mit en route pour casser la croûte. Ken, un peu en retrait, tenta de cacher son état à sa femme, marchant à coté avec un sourire un peu crispé. Il espéra que le repas soulagera sa souffrance. Il se voyait déjà prendre une salade composé avec de délicieux pissenlit, de l’eau fraîche, ho oui, et si il est chanceux, il y aurait un peu de pollen… Ken se secoua la tête ahurri par cette pensée étrange, non, il commanderait des brochettes, de délicieuses brochettes de porc cuit dans sa graisse. La perspective d’un bon repas le dérida un peu. Ou est ce le fait que Minako marche à sa hauteur ? Ce qu’elle était belle. Il avait hâte de se retrouver ensemble. Rattraper un peu de se temps que le Kubyuu leurs volaient jour après jour. Se serait bien meilleur quand il en fera partie lui aussi, dans les unités d’assauts ! Il envisagea de plus en plus souvent de fournir une demande. Peut être alors ils pourraient passé plus de temps ensemble, non pas en temps que couple bien sur, mais en temps que collègue, se serait toujours ça en moins de temps volé par le Kubyuu.

Akio le faisait passé de dédales en dédales esquivant le marchand de bande dessinée. Ken avec nostalgie ralentissait le pas. C’est là qu’il achetait chaque mois le prochain tome des aventures de Raizen. Raizen au Goulag, Raizen contre Raizenia. Raizen contre les putois d’argent, Raizen et les pirates, Raizen au moulin rouge. Son préféré etait de loin Raizen contre les vampires. Nous découvrions dans se tome la vie sexuelle secrête et interdite entre Raizen et Angel Cullen. C’etait biensur encore de la fiction pulp mais c’était l’un des rares a ne pas avoir été écrit par Stefen Kang. L’histoire avait été mise de coté pour mettre l’accent sur l’humanité de Raizen ! Pour une fois, il ne détruit pas tout un écho systeme pour la gloire de Kumo mais au contraire, il fait preuve d’une extrême douceur au moment d’enfoncer son pieu en Angel, Le coté tragique et merveilleuse de la scène avait marqué fortement Ken. Il se souviens que l’un de ses rares amis lui avait collé les pages avec sois disant du blanc d’œuf après avoir lu l’histoire.

Ils passèrent à coté de l’école, où des bruits d’enfants hystérique avaient de nouveau mis Ken dans un état furieux. Il serra la main de Minako un peu plus fort mais relacha très rapidement la pression en s’éxcusant. Bien vite, midi sonnait et comme pour accompagné le temps, les parfums gastronomique commençait à l’enivrer. Des crêpines au thon, des endives braisées, du pigeonneau sauce citronnelle et ses petite pomme de terre grenailles. Ken salivait, il etait de nouveau paisible comme a son accoutumé, sa crise semblait avoir disparus. Il tenait la main de Minako avec une tel douceur, presque comme si il allait lui briser la main si il serra à peine plus fort. Finalement, poussant une deventure, Ken arrive sur un lieu enchanteur, typiquement Kumojin. Il se revoit presque chez son oncle Yuan. La devanture blanche et jaune au couleur de Kumo, les sièges, et bar en pin. Ce qui l’enchantait le plus, cela dit, c’etait les clients qui dégustaient justement des brochettes de porc sur un lit de salade verte. Il était dans un tel appétit qu’il faillit attraper la brochette du client pour la lui dévorer.

Akio semblait bien s’entendre avec la patronne du bouge. Ken ne voulant pas lui faire honte se tenait doucement sur le coté attendant son tour pour s’assoir. Invitant sa femme à s’assoie avant lui afin qu’elle choisisse entre la fenêtre ou l’intérieur. Ken avait une préférence pour l’intérieur mais il s’en fichait. Comme toujours, il privilégia le choix de sa femme. Il n’allait jamais mangé içi, principalement à cause de Yuan. Son oncle verrait sûrement d’un mauvais œil que son neveux ailles ailleurs que dans sa famille. C’est aussi pour ça qu’il préféra se mettre en général hors des fenêtre au cas où son oncle viendrait comme par hasard à passé au moment où Ken commet son sacrilège.

Lorsque la serveuse passa les voir, surprenamment, avec rapidité. Ken faillit coupé la parole a Akio commandant enfin le plat tant désiré. Brochette de porc laqué à la citronnelle accompagné de riz et une salade Kumo qui se compose de roquette, d’aubergine, d’oeuf, de poivron sur un lit de vinaigre de xérès. A peine à t’il commencé son plat, que Akio lui dit une chose qui le surpris si fortement qu’il en failli s’étouffer.

— Quoi ??? KOF KOF KOF !!!! T’ES SERIEUX ??? Kof kof kof !!!


Ken boit un peu d’eau et reprend avec le visage tout rouge.

— Je me suis fait passé pour un taré quand à l’hopital j’ai parlé d’oiseaux parlant, on ma drogué, on ma fait faire des seance de psychologie pour me convaincre que j’inventais et maintenant tu me dis que je dois leurs parler ?

Ken parlait si fort qu’un homme derrière lui, d’un air sévère et dangeureux leurs ordonnaient de se taire, mais lui même semblait ailleurs en voyant Minako.

— Dit donc ! Vous l’avez commandez où votre jouet ? J’en veux une pareil… toi au cheveux gris là c’est ta femme ? Tu me la prête un quart d’heure ?
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Zaiki Minako
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Sam 4 Déc 2021 - 22:30
Laissant Ken et Akio parler de conseils et autres, Minako reste d’abord discrète, mais répond à Ken pour dire qu’elle n’a pas froid, bien que ses joues et son nez rosé trahissent le souffle froid du vent sur son visage. Lorsque l’élu de son cœur demande quel animal il serait, elle réfléchit quelques instants, avant d’annoncer sa théorie : « Hé bien en fait, j’ai remarqué que lorsque tu es en mode boudin, tu produis des bruits de bouche similaire à ce que font les mammifères à sabot, un peu comme les chevaux ou les bœufs en gros. En aucun cas ça ne ressemble à des sons d’oiseau pas contents ! »

La douce Minako sourit et lorsque leur regard se croise, elle eut seulement envie de le prendre par le bras afin de le suivre, telle la fillette qu’elle était se tenant à son père lorsque celui-ci la promenait à Shidateru. En marchant, elle décide de se confesser aux deux garçons.

« De mon côté, ma faiblesse est le combat à distance, donc, je fais en sorte de palier à ce handicap en essayant de créer des sons, mais jusqu’ici rien de bien concluant… » En effet, la demoiselle, aussi bourrine soit-elle, ne sait pas cibler une seule personne en criant. Lorsqu’elle crie, tout le monde prend, même ses alliés, les animaux et le matériel. « Enfin, je veux dire, je ne sais pas cibler une seule personne quand je crie, tout le monde prend pour une seule personne, je ne sais pas trop comment je vais réussir à canaliser cette fougue. »

La demoiselle reconnait cette violence en elle, qu’elle ne peut, ou ne veut inconsciemment, pas canaliser. Seul Ken lui apaise son cœur meurtri par cette sensation d’être inférieure aux autres ninjas, d’être comme un animal en cage seulement condamné à rester sage. Elle est tentée de sortir son briquet mais elle se ravise, sachant pertinemment que Ken serait inquiet de la voir ainsi. De plus, en pensant à vouloir sortir une cigarette, la main de Ken serre celui de Minako, comme si celui-ci est stressé par les rires d’enfants. La douce lui sourit. « Je suis là pour te protéger. Maintenant, je sais que je peux le faire, je peux tout donner pour toi. Tout. »

Le trio se pose dans l’un des lieux favoris du jeune chuunin, ce qui n’est pas pour déplaire à la kunoichi. S’installant près de la fenêtre, sachant que son bien-aimé n’apprécie guère ce genre d’emplacement, la douce pose le manteau de son chéri sur le dossier de la chaise. Minako commande de la nourriture pour se remplir la panse elle aussi. Plus précisément, des makis et des sushis, de quoi lui faire du bien pour se détendre quelque peu. Cela lui rappelle les repas qu’elle a pu partager avec son père lorsqu’ils pouvaient manger ensemble, et en résumé, que de bons souvenirs. Même si ses entrainements avec son père lui causaient au minimum des côtes fêlées.

Veillant à ce que son chéri ne s’étouffe pas, elle se dit que c’est une excellente idée si ce dernier va à la rencontre des oiseaux. Peut-être que ça donne quelque chose, peut-être rien. Dans tous les cas, il faut tout essayer pour comprendre qui l’on est au plus profond de soi. Minako est extirpée de ses pensées par une voix masculine parlant à Akio d’une drôle de façon. « Un… Jouet ? » se dit Minako puis soupire. « Fais chier. Ce cher Nara m’a définitivement marqué de brûlures et on trouve le moyen de me vouloir au goûter. Bref, d’après Oto-san, je dois seulement ignorer ce genre d’approche. »

La demoiselle reste impassible face à cette situation ô combien gênante pour elle. Il ne lui sert à rien de répondre à la provocation telle une enfant à qui on aurait dit « caca boudin ». Si en temps normal, elle lui aurait collé une rouste, aujourd’hui, la banshee veut seulement du calme.
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Lun 27 Déc 2021 - 15:48
Chacun avait trouvé sa place dans ce trio au moment de s'installer à une table. Des comportements étranges qui firent se hausser les sourcils du Chûnin. Pourquoi éviter ainsi les regards des passants à l'extérieur ? Le jeune garçon se ravisa de poser des questions, estimant à juste titre ne pas être à une bizarrerie près. Il laissa le couple face à lui choisir ce qui leur faisait plaisir avant de commander également. Des denrées assez classique, l'appétit n'étant pas vraiment au rendez-vous : une bière typique, du riz et quelques yakitori.

Pourtant après ses premières paroles à l'encontre de Ken, il ne pu réprimer un rire franc et communicatif. L'espace de quelques instants il perdit son flegme qui incombait à un gradé en public. Alors Akio avala une petite gorgée de sa boisson avant d'aborder à nouveau le sujet.

- En fait Ken, le fait de te droguer n'était pas forcément lié aux...

Un autre homme, attablé, lui coupa la parole dans un ton et des mots qui n'avaient absolument pas leur place, et dans l'établissement, et dans la direction des trois shinobi de Kumo. Persuadé que ses deux comparses aux langues bien pendues allaient répondre, il ne dit rien sur l'instant. Mais entre Ken qui paraissait quelque peu interloqué par cette intervention, et une Minako qui paraissait vouloir jouer la sourde, aucun n'éleva la voix pour remettre cet imbécile en place. D'autant qu'il avait apostrophé le Céleste en pensant qu'il était le compagnon de la Zaiki. Le Chûnin se leva alors, frappant sa bière sur la table, ce qui la fit allègrement déborder. Puis il se retourna pour faire face au petit rigolo. Son visage à lui ne plaisantait absolument pas, et le balourd ne s'y trompa pas en se levant également, laissant deux têtes d'écart à son avantage entre le shinobi et lui.

- C'est donc comme cela que l'on s'exprime, à Kumo ? Ville de savoir ? Consomme ce que tu as payé et tire-toi... sinon je t'offre un quart d'heure en tête à tête avec moi.

Le sourire allié au regard lancé par Akio dans sa direction avait été glacial, les mots savamment distillés dans un calme absolu, à très petit volume. Un mort ne pouvait pas transmettre moins de chaleur. Le garçon aux cheveux si particuliers revint s'asseoir comme si de rien n'était tandis que le second, visage blême lorsqu'il avait aperçut le bracelet au signe kumojin, s'était éloigné de deux tables.

- Je déteste qu'on me coupe la parole. Bien où j'en étais... Ah oui. Ken, l'hôpital t'avait mis sous calmants car tu étais trop excité, tout le temps. J'ai lu le rapport. Il faut apprendre à te tempérer, et ce dans toutes les situations. Parfois il vaut mieux être froid et distant, aller à l'essentiel, savoir te calmer seul.

Plus qu'un conseil, c'était une leçon de vie. Si il s'était bêtement rendu à l'hôpital en expliquant son problème, on l'aurait placé en observation et on aurait étudié son problème, au lieu de ça son extravagance l'avait rangé dans la case des personnes atteintes de troubles. Akio dirigea alors son attention sur la jeune femme assise dans sa diagonale.

- Le combat à distance une faiblesse ? À toi de faire en sorte que cette distance ne puisse pas exister : augmenter ta vitesse, réduire la distance, piéger les mouvements de ton adversaire. Je n'ai presque aucune attaque à distance, excepté lorsque j'utilise les Portes Célestes à un stade plus avancé, qui me permet de frapper avec mes poings à distance justement. Il marqua une petite pause, nettoyant avec un chiffon le liquide alcoolisé qui s'était déversé sur la table. Mais concernant ton Onkyoton, il ne faut pas le voir comme un cri, mais comme une vague suiton, ou un souffle futon. Deux éléments semblables au son dans son déversement, et pourtant avec ces éléments, on arrive à cibler précisément quelque chose. Tu devrais travailler avec Ken sur ce point.

Akio, récupérant son souffle, attrapa une brochette et l'ingurgita aussi sec. Devant son manque de manière, il observa ses deux camarades avec des yeux tout rond avant de mettre en serviette devant sa bouche, en en essuyant délicatement les angles. Ce genre de manière trahissait clairement un niveau de vie originel plus huppé que la norme.

- L'onkyoton, c'est aussi l'arme de prédilection du directeur de l'Institut. Et c'est une arme incroyable.

Il toisa ensuite Ken, pour revenir au sujet de son hérédité.

- Attend de pouvoir sortir du village, Ken, et alors tu pourras partir en pelerinage à la recherche de ton passé, de ton héritage. Si il le faut, alors je t'accompagnerais, j'ai aussi pour ambition d'apprendre toujours plus.
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Daishi Ken
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Lun 10 Jan 2022 - 21:45
Les paroles d’Akio coulaient dans les oreilles de Ken. Les ondes vibraient avec un réel plaisir. Panoplie du parfait connard au placard. L’emprise d’ Aizen sur son élève fut bien moins de ravageuse que prévu. Ken prenait du plaisir dans se début d’amitié, il se félicita d’avoir offert a Akio, une chance de prouver qu’il était un type bien. L’homme rêvassait laissant l’homme reprendre sa place. Sans doute déçus que personne s’intéressent à lui. Sans doute voulait t’il faire le malin.

Au dehors, la pluie reprenait sa musique. Déversant les larmes d’Isonade sur tout Kumo.

«  Pourquoi faisait t’elle encore la chialeuse celle là…» se dit t’il. 

Son regard croisa celui de sa femme, qu’il était surpris comme à chaque fois. Elle semblait pouvoir traverser son âme. Le sonder. Il se rappela de se moment ou bras dessus, bras dessous. Le couple marchait à coté d’Akio afin de parler jutsu. Celle-ci avait prit la parole, apprenant à Akio que sa faiblesse etait la distance. De plus, ses attaques Onkyoton ciblait un maximum de personne, alors que Ken lui, au contraire, etait incapable de générer un genjutsu de zone. Supposé être impossible jusqu’au jour ou l’homme au chapeau réussi l’exploit de faire un genjutsu mondiale.

« Si le mec veux arrêter le chakra, s’il a réussi le genjutsu mondiale, pourquoi il ne coupe pas les vannes à distances ? » Ken se demandait ça depuis qu’il avait reçus l’appel

C’est ce moment précis que Ken avait dit qu’il souhaitait tout faire pour que le genjutsu qu’il mettrait en place dans le futur pourrait cibler plusieurs personnes. Un pari fou inspiré par un homme fou mais ayant réussi l’impossible. Peut-être qu’il pourrait tenter un pareil jutsu avec des clones ? L’idée était séduisante.

L’homme crus apercevoir un mal être rapide venant de sa femme, il lui serra la main pour lui signaler qu’il etait là, qu’elle avait son soutien total.

«  Je ferais tout pour être celui que tu mérites, le plus puissant possible. Je n’aurais de cesse de rechercher l’excellence, et de faire ton bonheur à chaque instant. » Ken lui rendit son sourire sans pouvoir s’empêcher de lui embrasser la main.


Un éclair, tonnerre, terre tremblante. L’homme brisa ses songes pour revenir à la réalité. Akio le fixa. Non se n’etait pas lui. En même temps il aurait été étrange qu’il lui propose un quart d’heure en tête à tête. Sourrire chaleureux mélé a de l’amusement. Ken se demandait comment l’adversaire s’en tirerait façe a un Akio saoulé. Ni une, ni deux, l’homme reprit sa place non sans un rire bien gras de son ami. La conversation pouvait reprendre.

Rhooo ta gueulle….

Bouffon ta été mouché hahaha…

Tu fais chier… viens on se casse…

Tu métonnes…


Finalement Akio reprit sa place en façe d’eux et reprit la conversation. Ken en tomba des nues quand il apprit que les drogues, ou médicaments, c’etait juste car il etait trop excité. Ken fit la moue. Calmant car c’etait un bon vivant ? Étrange.

— Un calmant car je suis de nature expansive ? C’est dur de se tempérer surtout quand tu es un bon vivant. Bien plus difficile depuis… que… que… ma bête s’éveille…

« C’est quand même étrange, pourquoi ne pas m’avoir proposer d’entretiens avec un Yamanaka au lieu de me gaver de cachet ? » Ken froncait les sourcils cherchant à comprendre.

Il se doutait que le corps médical ne lui voulait aucun mal, mais n’etait ce pas un peu extrema ? Il ne prit absolument pas mal la remarque cependant. Sa femme dans le coma, de plus, comment aurait t’il pu être relax comme ça ?

L’heure du repas. De délicieux sushis et makis arrivaient sur la table. L’apéro n’avait pourtant pas été fini. Qu’importe. Ken prit un maki de sur l’assiette de l’entrée et le posa sur l’assiette de Minako. Akio en effet a eu la brillante idée de la rassurer sur ses lacunes. Il l’aurait bien fait, mais chez eux, par un combat shinobi au dojo. Un combat en amoureux. Avec à la clé, pourquoi pas, une « punition » pour le perdant. Il devrait lui soumettre l’idée…

— Oui tout à fait ! Quand je fais mon genjutsu, j’imagine toujours un fil mental qui me relis a ma cible… Je n’ai pas encore trouvé le moyen d’élargir se fil mais au moins, ça fonctionne… On y travaillera également, si ça t’intéresse…. Tiens, tu veux des sushis avec tes makis ?

Sans attendre de réponse, Ken engloutit l’un des siens. La manne divine lui réchauffait le corps. Tandit que Akio lui s’engloutti une des brochettes qu’il s’etait commandé. Ken explosa de rire quand ce dernier s’éssuya les commissures des lèvres comme un gros péteux. Il n’imaginait pas que Akio était de se genre. Il voulu lui faire une remarque amusante, mais Akio le devança.

— Le directeur de l’institut utilise l’Onkyoton…. ? Intéréssant… Penses tu qu’il voudrait bien en parler avec nous? Je suis certain que se serait instructif autant pour moi que pour Minako. Pour ce qui est de sortir du village, le problème est que je ne pense pas avoir le temps… Je peu contenir la bête mais elle est de plus en plus forte… Je ne sais pas si j’arriverais à la contenir longtemps…

Bon sang ! J’aurais pu tuer quelqu’un se jour là…. Ken serra les dents.

— J’aimerais bien que tu nous accompagnent en effet, mais j’ignore combien de temps il me reste… Je me sens toujours furieux, et souvent pour des choses idiotes… Notre Fennec par exemple, il a osé nous ramener un cadavre dans la maison, d’ordinaire je le laisse faire, c’est une offrande qu’il nous fait… mais se jour là… Seule Minako arrive a calmé la bête…

«  mais jusqu’a quand ? Et si un jour la bête lève la main sur elle…. »


Voilà, le sujet etait lancé. Ken parru un peu mossade. Il aimerait avoir le temps, mais la bête s’éveille, à chaque crise elle semble bien plus puissante.

— J’adorerais qu’on aille à trois arpenter le monde vers cette mission.

Ken chassa son amertume en faisant claquer son godet contre celui de Minako, puis de Akio.

— A l’amour, a l’amitié, et à Kumo ! Ken, fier de son inspiration, vida en partie son verre.
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Zaiki Minako
Zaiki Minako

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Mer 12 Jan 2022 - 16:48
« Mais. Sur scène, lorsque l’on chante, c’est pour que tout le monde entende. Pourquoi pas avec l’onkyoton… » se dit-elle avant de se souvenir qu’au combat, ses alliés ne pourront pas forcément s’en défendre. Imaginer du futon ciblant un point en criant. L’idée lui semble alléchante. De plus, si le directeur du complexe utilise lui aussi l’onkyoton, il pourrait donner un coup de pouce sur cette banshee, ce monstre à qui elle n’en a parlé qu’à Raizen.

« OK, alors quand tu te seras bien reposé après ton utilisation des portes célestes aujourd’hui, je te défie, un ptit duel, un contre un. J’aimerai bien voir ton analyse sur mon style de combat. Aussi vil soit-il…, tes portes résisteront-elles à mon onkyoton pur ? »

Minako parait réellement sûre d’elle, le sourire mesquin, le regard vil, l’œil gauche toujours aussi sombre. Elle aime jouer avec le feu et ne manquera pas un duel sous aucun prétexte. L’idée d’un voyage à trois, pour aider Ken à découvrir son histoire, ses racines, attire énormément Minako. Peut-être apprendra-t-elle des chants locaux, qui sait. Appréciant beaucoup cela, elle ne peut qu’approuver. « Avec un chuunin comme toi notre périple ne pourra être qu’intéressant, ouais. » fit-elle remarquer. Sincère, la demoiselle pense que le sérieux du céleste aux cheveux argentés mérite son grade autant que l’affiliation à l’institut au vu du sérieux et du comportement détendu de ce dernier. Un juste milieu adéquat. En espérant que cela continue ainsi, pour tout le monde.

Les crises yasei de Ken se faisant de plus en plus récurrentes, Minako ne sait pas si elle va pouvoir encore le calmer par la force des mots et des caresses sur les cheveux de son bien-aimé. L’une des solutions serait d’envoyer une lettre à l’institut pour donner l’alerte à son sujet, mais peut-elle leur faire confiance ? L’autre solution, en parler directement à une personne compréhensive. C’est d’ailleurs ce qu’a fait Ken en commençant à s’ouvrir à lui. Elle n’en dit pas plus, car c’est à lui de chercher l’aide s’il veut s’en sortir.

Buvant son Yellow Tiger après avoir fait tinter son godet à ceux de ses comparses, pour suivre le mouvement de Ken, elle réfléchit à ce qu’elle va bien pouvoir dire, a-t-elle une chose pertinente à raconter ? Elle n’en sait trop rien, jusqu’à ce que…

« On pourrait commencer par étudier quelques ouvrages à la bibliothèque, ça pourra servir ? Tu ne dois pas être le seul yasei à qui la transfo en bestiau se déclare tardivement. »

Parce que c’est vrai, pour elle il doit forcément y avoir des cas comme lui, peut-être pas nécessairement à Kaminari, mais peut-être que ça a été recensé à l’écrit ? Maintenant à voir si sa théorie se valide ou non.
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Kentoku Akio
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Sam 15 Jan 2022 - 22:11
Il arrêta de manger, quelques instants, infimes, alors que la nourriture touchait ses dents, fixant celle qui venait de lui lancer un défi des plus alléchants. Le regard qu'elle lui envoyait aiguisait son envie d'en découdre. Il se figea, en esquissant un sourire tout en fermant les yeux. Attachant dès lors à nouveau son attention sur Ken. Il écouta les paroles de chacun, en n'intervenant pas de suite. Ca ne servait à rien de saccader la discussion, et ce temps d'écoute lui permettait de se nourrir, ce qu'il termina rapidement, la faim attisée par l'usage énergivore de ses portes célestes. Une petite rasade de bière artisanale pour ne pas laisser se dessécher la gorge et le Chûnin reprenait la parole.

- Très bien Minako, faisons un combat. Quand tu veux où tu veux. J'attendrais tranquillement ton invitation. Concernant les discussions avec le directeur de l'Institut, il est très occupé, tout le temps. Attachez de l'importance aux missions de l'Institut, vous pourriez le côtoyer à cette occasion.

Il n'était pas question de les décevoir mais il était vrai que ça ne ressemblait pas au pilier des sciences d'avoir du temps libre. Il était par ailleurs très intéressé et ouvert lorsqu'il travaillait sur des projets intellectuels. Il observa de long en large Ken, comme si Akio voulait le sonder, au plus profond de son âme, de sa motivation. Pouvait-il réellement être un Yasei caché ? Cette fameuse bête, était-elle si dangereuse ? Beaucoup de détails manquaient, et le Kentoku ne partageait pas assez de temps avec son homologue pour en savoir plus. La plus grande source d'information sur le Genin, c'était sa compagne.

- On pourrait effectivement aller à la bibliothèque, à la recherche d'indications plus précises sur ta possible transformation. Et arpenter le Monde par la suite, bien qu'il nous faudra un accord des hautes sphères Kumojines. Trois membres qui partent se balader, même si motivés par un vrai objectif, ça pourrait porter préjudice au village.

Il reposa sa bière, et, bloquant sur regard sur le jeune musicien, l'interrogea sur la façon qu'il avait de parler de son possible Kekkei Gekai.

- Pourquoi évoques-tu ce pouvoir héréditaire comme d'une bête ? As-tu ressenti une peur d'y céder ? Ton entourage, et surtout toi Minako, s'est-il déjà senti en danger ? Car si c'était le cas effectivement, quelques pilules de nos experts en Rentanjutsu pourraient apporter un peu de calme à ta vie, sans pour autant faire disparaitre ta particularité.

Si partager la route de ce duo si particulier ne le rebutait pas, bien au contraire lui le curieux du savoir, il avait besoin de leur faire confiance, de connaitre leurs défauts et les problèmes inhérents à chacun. Alors le Céleste observa les assiettes de tous qui doucement se vidaient. La fin de ce petit entretien touchait bientôt à sa fin. Quelques minutes plus tard, de quoi les laisser répondre, Akio appela le serveur en sortant de sa poche un porte-monnaie qui semblait bien rempli. La vie lui avait octroyé, plus qu'un bon salaire ou un héritage, un besoin nul de dépenser de l'argent, ce qui lui avait permis d'avoir un bon pécule.

- Bien. Dit-il en se levant doucement, et en replaçant sa chaise. Je vais vous laisser maintenant. Minako, viens me chercher quand tu le souhaites pour le combat. Ken, je te dis à bientôt à la bibliothèque, n'hésite pas non plus à me faire quérir.

Il salua chacun, avant de remercier ses amis tenanciers pour la qualité du repas et des breuvages. Saisissant sa veste et ses affaires, il approcha de la porte d'entrée avant de la franchir, se retrouvant à nouveau dans les artères du village et du suivre sa route vers une nouvelle destination.

Hrp:

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