Le temps était venu de partir pour la connaissance. Ma missive avait été reçu et la réponse fut très importante pour moi. Prenant alors note des écrits du représentant du clan, je pouvais voir quelque instruction. Le palais de Taiyo ou résidé le chef était protégé par une sorte de sceau que d'après lui me laisserai passer. Je devais sans doute connaitre la formule dite magique pour que le sceau face alors le lien avec mon appartenance au clan Asaara.

Drôlement surpris par les réponses formulés par le chef, je trouvais cela presque étrange une tournure comme celle ci. Il prenait son rôle très au sérieux, me disant que c'était avec plaisir qui me guiderai dans le savoir qui me manqué.

Cette rencontre allait être assez intéressante d'un point de vue personnel d'une part et d'autre part je pourrais enfin avoir mon propres avis. Le miens était construit sur des éléments du passé qui en relisant le courrier du chef semblait disparu. Alors lettre en poche je m'avançais dans Taiyo plus particulièrement vers le palais.

La ville, la seul qui d'ailleurs avait tenu le choc durant le cataclysme représenté l'idéal d'une grande ville d'un grand pays. Des boutiques, une place de marché, divers autres habitations et au centre de celui ci, un Palais.

Je pouvais ressentir comme une sorte de force invisible plus j'approchais du palais plus cette attraction était forte. Je n'avais pas la moindre idée sur le pourquoi du comment une chose pareil pouvait être possible. Il y avait aussi le fait que durant ma vie jusqu'a maintenant je n'avais aucune information sur la vie de Kaze. Ma famille aillant fuit et étant en otarcie, je ne pouvais pas connaître tout l'historique du village.

J'approchais doucement vers la porte principale du Palais. Posant ma main sur la porte sans que celle ci ne veuille s'ouvrir. Attrapant mon menton en guise de réflexion, je me remémorais alors la lettre de Oji. Mordant alors mon pouce, je traçais sur la porte le signe de Kaze, ainsi j'utilisais sur le signe de sang mon pouvoir Sunaton. Sans trop savoir la chose qui m'avait permit de débloquer l'entrée je m'enfonçais dans ce lieu. Aussitôt entrer, qu'une sorte d'alerte retentissait. Des gardes s'approchaient de moi en me faisant comprendre qu'ils étaient pas ici pour un barbecue. Levant alors mes deux mains en l'air, montrant aucun signe hostile à leurs encontre, j'énonçais alors ma venu.

"Bonjour, Asaara Yoake. Je suis pas un intru, j'ai été invité par Asaara Oji lui même. Voici la lettre dans la qu'elle il me parle. Je peux très bien attendre au rez de chaussé le temps que vous contactiez Monsieur Oji ...

Tout en terminant ma phrase, mon bras droit descendait doucement au niveau de ma poche intérieur de mon long manteau rouge. Toujours dans un mouvement lent, et descriptible par tous les gardes, je sortais alors la lettre en la tendant vers le soldat devant moi.

Après qu'il est récupéré celle ci, je me m'étais assis au sol, main jointe en position de méditation en lâchant une simple phrase vers les gardes.

"En attendant, quelqu'un pour un Shoji ? ...

Spoiler:

Kaze no Kuni vivait des temps bien troubles. Avec la mort des principaux membres du Yoake, il n'y avait plus de pouvoir en place au sein de la Capitale ; le prochain commandement devant attendre la fin de l'enquête pour être élu. Mais les membres du Suna no Fukaku-Sha n'avaient pas chômé pour autant. Conformément à ce qu'ils avaient prévu, ils occupaient pour l'instant le Palais de Taiyô, attendant la prochaine opération.

C'était principalement pour cette raison que le manieur de chaleur était incapable de rester en place. Ayant frôlé le pétage de câble à rester assis à réfléchir, il avait préféré rejoindre ses frères d'armes qui occupaient le rez-de-chaussée du Palais. Même si les conversations ne volaient pas haut la plupart du temps, Sharrkan préférait leur compagnie que celle de ses propres pensées ; celle de ces soldats et mercenaires qui étaient restés fidèles malgré les derniers événements, qu'il avait entraîné lui-même pour la plupart. Mais malgré tout, le temps passait lentement, jouant sur les nerfs de chacun, et chaque diversion était la bienvenue.

Aussi, lorsqu'un inconnu débarqua dans le Palais, toutes les têtes se tournèrent bien entendu dans sa direction. Et si aucun ne semblait avoir envie de s'embêter avec le visiteur, Sharrkan... avait plutôt envie de s'amuser. Vu le discours très protocolaire de l'étranger, ce serait un jeu d'enfant. Mimant un air sévère, l'argenté enleva ses pieds de la table pour les poser sur le sol avec fracas, et se dirigea vers le nouvel Asaara d'un air menaçant. Il le jaugea, le regardant de haut en bas pendant quelques secondes.

« Mhmm, Yoake... Ça ne doit pas être un nom facile à porter, en ce moment. »

Quelques gloussements résonnèrent dans le hall, alors que Sharrkan parcourait la lettre des yeux, l'air toujours stoïque. Il se fichait pas mal de ce qu'Ôji avait pu lui écrire, mais il devait rester dans le rôle.

« Je vais d'abord scanner et mémoriser votre chakra, puis je vous conduirai voir "Monsieur" Ôji. Merci de laisser vos armes ici avant de monter. »

Il escorta l'inconnu jusqu'à l'imposant escalier, envoyant discrètement des clins d'œil aux gars qui le regardaient faire d'un sourire malicieux. Ils gravirent les étages en silence, d'un rythme militaire, avant d'arriver devant l'imposante porte du dernier étage. Le Kazejin frappa quelques coups sur le bois, puis ouvrit la porte à double battant d'un air théâtral. Il s'avança de quelques pas, l'invité dans son dos, puis posa un genou au sol en baissant la tête.

« Pardon de vous déranger Seigneur Ôji, Asaara Yoake, membre inconnu de votre clan voudrait solliciter une audience avec vous. »

L'argenté attendit quelques secondes puis posa son regard sur son ami, avant de lui adresser un sourire narquois. Tout ça pour s'amuser cinq minutes et voir l'expression d'Ôji... Ah, vivement qu'ils retrouvent une occupation.

La tension était à son comble, palpable chez tous les gardes présent dans le hall du palais. Personnellement moi je comprenais pas pourquoi autant de protocole ect pour si peut. J'avais rien d'hostile mise à part peu être le fait d'avoir un prénom ainsi qu'un nom de famille assez ... pénible si je puis dire. Je cumulais boulette sur boulette rien qu'avec mon identité. A voir la tête des gardes ici, l'annonce de mon prénom semblait troubler l'assemblée.

C'est alors qu'au fond de hall, avachi pied sur un bureau un homme au cheveux blanc. La bruit de ses pieds frappant le sol résonné dans la pièce. Cela semblait encore plus créer un climent pesant pour les divers gardes présent. Plus il s'approchait plus la chevelure de celui ci viré à l'argent. D'une allure plutôt virile celui ci s'avançait jusqu'à prendre la parole.

Une phrase simple, en oubliant le bonjour ( une chance que je sois que genin, sinon comme dirait mon chanteur d'enka préféré " il à pas dit bonjour du coup ... on lui a **** sa mère ) mais qui jeté un froid. Quelque bruit s'échappant du personnels présent, à l'annonce de mon prénom de la bouche de l'homme au cheveux blanc. Plissant les yeux, seul chose qui était visible sur mon visage, je retorquais calmement.

"Pas plus facile n'y difficile que de vivre en plein désert. ...

Il enchaina alors avec une autre phrase, me prévenant qu'il allait scanner mon chakra et mémoriser mon chakra avant d'aller plus loin. Encore une fois, j'étais vraiment à des années lumière sur les connaissances du monde shinobi. Le fait d'avoir vécu en terre reculé n'a aider en rien à mon développement. Toujours calmement, je me laissais faire tout en lançant d'une petite voix sereine.

" Scannez faite donc. Mais je n'ai pas d'arme à proprement parlé, mise à part peu être le fait de n'avoir jamais perdu un bras de fer chinois ...

Une fois son protocole accompli il me guida vers des escaliers qui paraissait interminable. L'homme avançait d'un pas très sec et soutenu, il n'avait clairement pas le temps de jacasser un peu. Arrivant devant une double porte en bois, il l'ouvrait comme dans un western. Je le suivais dans son dos, le voyant mettre un genou au sol pour s'adresser donc à ce fameux Asaara Oji. Je restais debout, faisant un mouvement de tête amical pour montrer un signe de respect, je concluais alors la parole après avoir laissé terminer le major d'homme.

" Asaara Oji, Bonjour. Je vais pas répéter mon prénom encore, j'ai eu l'impression qu'il gêne les gens. Vos gardes en bas semblaient tous fébriles. Je tenais à vous rencontrer pour en savoir plus sur les Asaara et ainsi si possible régler mon problème avec mon pouvoir...

Je laissais quelque seconde de silence avant de reprendre d'un ton beaucoup plus sérieux.

" Comme je vous l'ais dit, je n'aime pas particulièrement le clan. Pour les raisons que je vous est expliqué, cela me mets en porte à faux vis à vis de vous. Non pas que je veux vous faire porter toutes les misères cas connu le pays du vent, mais vos prédécesseurs non rien arrangé. Mon pouvoir est corrompu par la haine ... je ne contrôle rien et ma réel identité est Suna no Satsujin. Aussi difficile à porter que l'autre. Alors aidez moi s'il vous plait.

Spoiler: