HRP:

De retour au grand dojo de Kiri, Fuu était à la base revenu pour reprendre la cape qu'elle a oublié lors de son entraînement contre Saji, de ce fait, elle essaie de retrouver la salle où elle et Saji se sont entraînés ensemble, de ce fait, elle a demandé au gardien du dojo de l'emmener auprès de la salle où ils étaient, lui expliquant que c'était bien pour reprendre sa cape qu'elle a laissé et non pas pour ré-affronter Saji. Même s'il acceptait de venir l'accompagner jusqu'à la fameuse salle, Fuu reste sur ses gardes, il l'a déjà mené en bateau une fois, donc hors de question qu'il recommence, ce coup-ci, si elle tombe sur Saji, elle lui dira carrément qu'elle ne veut pas reprendre sa "revanche" sur lui, ni même commencer à faire un nouveau duel comme avant. Elle soupire, puis, il finit par l'emmener dans une salle remplie de pugiliste. Elle ignorait ce qu'elle faisait ici, ni même pourquoi il l'a emmené, elle ne pensait pas être passé un moment devant cette salle. Enfin, le géant lui dit de rester ici, qu'il allait demandé à une personne qui se trouvait dans cette salle si elle ne l'a pas vu sa cape.

Si elle savait que ce géant n'avait en fait pas repéré cette jeune femme en kimono assise dans un coin de la salle pour venir la voir non pas pour lui demander si elle avait vu une cape ou non, mais pour venir lui dire que Fuu cherchait une adversaire pour s'entraîner ... et à peu près de ce ton-là.

- Miyuki-kun, tu as l'air d'attendre une partenaire d'entraînement. Justement, il y a la ch'tite kazejin qui est venu avec moi qui en cherche une aussi, tu devrais la voir.

Et le gardien du dojo semblait de nouveau content de faire en sorte que Fuu se retrouve une nouvelle fois dans une situation dérangeante pour elle ... elle qui voulait juste cherche sa cape, elle va se retrouver face à une nouvelle adversaire ... au moins, ça ne sera pas pire que Saji ... si ?

Fuu observe une jeune femme arrivée vers elle, est-ce elle qui sait où se trouve sa cape ? Elle l'ignore, mais elle ne tardera pas à le savoir du coup. La jeune kazejin l'observe, elle était, bien évidemment, plus grande qu'elle, et de loin, faisant facilement deux têtes de plus voire bien plus, qu'elle, mais c'était le "minimum" pour qu'on soit qualifié de personne avec une taille normale, après tout, la demoiselle avait la taille et l'apparence d'une enfant malgré son âge qui doit être plus proche de celle d'une adolescente. D'ailleurs, cette demoiselle semble dégager quelque chose de très exotique, sans dire qu'elle est kazejin, son allure gracieuse lui rappelle celle des danseuses de son pays, celles qui s'offraient en spectacle au centre des villages par pur tradition, quand cela ne fait pas parti de leur travail. Cependant, cette danseuse semblait être une des élèves de ce dojo, cela voulait dire qu'elle devait manier un sabre.

- Je ...

Elle n'a pas le temps de s'expliquer que la voilà devant l'entrée, face à elle, elle pensait que c'était pour un entrainement qu'elle est ici ? Elle essaie de croiser le gardien qui lui a encore jouer un tour, visiblement, celui-là lui en fait vraiment voir de toute les couleurs ... elle aurait dû se méfier de cet homme qui lui a déjà fait le coup contre Saji, le maître des sabreurs, et maintenant face à cette demoiselle ... elle soupire, visiblement, elle était encore en face d'une opposant malgré elle.

- Il y a un malentendu, je suis juste venu ici récupérer ma cape que j'ai oublié lors de mon entrainement avec Nobuatsu Saji, rien de plus.

Enfin, elle est désolé pour elle quand même, elle qui avait l'air d'attendre pour une partenaire, voilà qu'elle reçoit une désillusion de la part de sa "nouvelle partenaire".

- Je viens de Kaze oui, je suis ici pour une mission. J'ignore combien de temps je vais rester ici, mais je compte au moins terminé ma mission avant de partir, si je pars un jour.

La demoiselle se mettait en garde, mais Fuu ne voulait pas encore se retrouver à s'entraîner avec une disciple de ce dojo, même si c'est à mains nues contrairement à avant où Saji utilisais son sabre pour l'attaquer.

Elle s'excuse, et en voyant sa bouille triste de voir qu'elle a perdu un partenaire d'entraînement, le coeur de Fuu se fissura. Elle pouvait sentir la culpabilité de cette tristesse la transpercer de part en part, comme un coup de poignard qu'elle s'est elle-même infligé, enduit d'un poison qui parcourt ses veines en ce moment. L'Asaara ne pensait pas se sentir si mal que ça après ce refus ... après tout, elle devait comprendre ... non ? En tout cas, l'assimilatrice suit la jeune femme qui est impressionnée de l'entendre dire qu'elle s'est entraînée une fois avec le mizukage en personne ... avant qu'il soit mizukage en fait. Elle soupire, c'est vrai que l'entraînement s'est plutôt bien passé pour la demoiselle, mieux qu'elle l'espérait, elle qui pensait se faire rouler dessus ... finalement, l'avantage était plutôt de son côté, surtout que la miss a réussi à le surprendre et à l'engloutir dans son propre corps.

- Oui, c'est cela, merci ...

Elle pris sa cape, l'installe sur ses épaules, ornant de nouveau le symbole de la banque Sabaku. Elle se sentait déjà mieux d'avoir de nouveau le symbole de la banque près d'elle, ou plutôt sur elle, car aucun de ses habits ne disposent de ce symbole qui permettent aux autres de savoir qu'elle est bel et bien membre de cet institut bancaire reconnu dans le monde shinobi. Enfin, Fuu l'observait, elle s'excuse et s'excusa des agissements du gardien, elle l'observe ensuite de nouveau regarder les autres personnes qui semblent ne pas correspondre à un entrainement au corps à corps. Elle se pose contre un mur, attendant une partenaire d'entrainement à nouveau. Fuu hésita un instant, puis, elle soupira, visiblement, ce dojo veut vraiment qu'elle se "batte", à croire qu'on essaie de lui faire passer un message ...

- Attendez, maintenant que j'ai ma cape et que j'ai du temps libre ... je peux m'entraîner avec vous si vous voulez toujours.

Ca va encore être les employés de la banque qui vont lui taper sur les doigts, surtout après que Fuu s'est évanouie lors de son premier entraînement et qu'ils l'ont cherché partout ...

Eh bien, son retournement de veste n'a pas l'air de la déranger, en même temps, ça doit l'arranger, maintenant, elle à une partenaire d'entrainement pour du combat à mains nus, même si elle devait faire preuve de beaucoup de beaucoup de patience de sa part pour ne pas rager, car après tout, Fuu peut très bien se moquer de ses coups grâce à son assimilation. La jeune femme ne savait pas qu'elle était une assimilatrice, mais heureusement, l'assimilation n'est pas sa seul défense, elle en avait d'autres, et connaissait les bases de l'esquive et de la charge. Enfin, Fuu l'observe se mettre en garde une fois présente devant elle, elle soupire, puis se met en garde aussi, dans une position qui montre qu'elle excelle plus dans le corps à corps qu'à l'utilisation d'une arme blanche, contrairement au kage qu'elle a déjà affronté.

- Comme vous le souhaitez.

Elle assimile son bras, à la place de celui-ci se forme une représentation plus grande de son bras qu'elle sert, puis abat sur la demoiselle qui lui fait face. Bon, le but n'est pas de la tuer ... mais il fallait bien commencer quelque part, et Fuu n'avait pas vraiment de quoi commencer plus en douceur, malheureusement. Peut-être devrait-elle apprendre quelques coups plus faible pour éviter de commencer aussi forts.

HRP:

Une esquive, elle pensait bien que sa technique au corps-à-corps n'allait pas fonctionner aussi facilement, et elle esquive de façon très gracieuse, alors que Fuu l'observait se placer ensuite pour tenter de faire un coup bas, une balayette, du moins, elle le voyait trop tard, Fuu finit sur les fesses, avant de se relever et se remettre un peu de cette chute. Elle l'avait bien eu sur le coup, et Fuu vient l'observer enchaîner les coups de poings et les coups de pieds, profitant que l'assimilatrice soit légèrement en train de se remettre de sa perte d'équilibre pour l'attaquer par la suite, mais Fuu ne se laissa pas faire.

Ses coups sont basiques, pas très puissant, et donc était facilement esquivable ou encaissable, puis, elle laissa le dernier coup de poing la traverser. En effet, en assimilant son ventre, cible de sa prochaine attaque, le poing de la mizujin passe au travers, et avant de s'en rendre compte, elle lui bloque le bras, avant d'assimiler le reste du corps et de tenter d'enfermer la jeune femme dans un cercueil de sable qui commence à la "manger" pour petit à petit l'enfermer dans un cocon de sable.

Résumé:

HRP:

Elle avait réussi à englober la jeune femme, mais on dirait que celle-ci est en train de rager d'avoir été immobiliser de la sorte, selon elle, elle n'apprendrait rien en usant de ce genre de stratégie, malheureusement, Fuu ne pouvait pas vraiment user de techniques plus puissante : si elle le faisait, elle avait peur de blesser très gravement la jeune femme, et justement, elle voulait éviter ce genre d'accident pour être exclu du pays caché de la Brume, déjà que le voyage pour venir ici ne s'est pas passé très bien ... enfin, ils s'en sont sortis mais ce n'était pas vraiment une croisière de luxe.

- Navré.

Elle finit par la libérer, reprenant elle-même forme, avant l'observe, un peu triste, elle se retenait en vérité pour éviter de la blesser, mais faire cela ne faisait que la mettre en rogne : elle voulait certainement se battre à fond contre celle qui a réussi à mettre son kage en difficulté. Malheureusement, cet entraînement ne pouvait pas vraiment se faire à pleine puissance, ce n'est pas le chef des sabreurs en face.

- Je ne peux pas me permettre de blesser autrui et mes techniques ne sont pas très adaptés pour faire des entraînements de ce genre. Si je faisais ce genre d'action, je me ferais expulsé de Kiri, ce qui ne m'arrange pas en ce moment.

Elle soupire, espérant que la jeune femme comprenait un peu ce qui se passe et pourquoi elle ne peut pas se battre "sérieusement".

Fuu observait la jeune femme qui attendait certainement une autre partenaire d'entraînement, elle soupire, ce n'était pas pour rien qu'à la base elle avait refuser, pour l'assimilatrice du désert, elle ne voyait pas l'intérêt de s'attarder sur des techniques basiques "juste pour s'entraîner", car elle n'avait tout simplement pas le temps de s'entraîner, il fallait qu'elle soit efficace tout de suite et maintenant, car elle n'est pas une combattante : c'est une protectrice du désert, et donc ces coups se devaient d'être suffisamment puissant pour abattre ou empêcher toute menace qui tend à mettre son pays en danger.

- Je n'ai jamais cherché à faire des techniques basiques, je suis une protectrice du désert, pas une combattante comme tu le sous-entend si bien. Je cherche avant tout la survie de ma nation et de ma propre personne plutôt que de chercher à faire des entraînements que je n'aurai jamais le temps de faire.

On peut voir ça comme un genre de choc culturel entre la jeune femme ayant appris à se battre dans un dojo avec des règles bien en place et celle qui a appris à se battre dans un désert sans merci qui ne laisse pas le temps aux faibles de devenir plus puissants. C'est certainement quelque chose que, ni l'une ni l'autre, risque de comprendre.

- Pourquoi pas ? Montres-moi ce qu'une combattante peut faire comparé à la survivante et protectrice que je suis.

Elle voulait bien savoir ce qui la différenciait d'elle.

- Qui a dis que je le faisais seule ? Ce ne sont que des à priori que vous vous faîtes, être survivaliste et protectrice ne veut pas dire qu'on n'est pas capable d'apprendre aux autres, on n'apprend pas la même chose que vous, c'est tout.

Elle croise les bras, d'où la nécessité d'apprendre à utiliser des techniques de faibles envergures est nécessaire pour apprendre aux autres ? Fuu savait tout ça car elle avait tout appris de quelqu'un qui avait tout appris d'une autre personne, pensait-elle vraiment que sa condition actuelle rendait les entraînements vains ? Au contraire, ils étaient bien plus essentiels que les entraînements de ce dojo, à ces yeux, car ces entraînements n'apprenaient pas qu'une philosophie de combat, à donner des coups d'épée ou des coups de poing, ils apprenaient comment survivre, comment se battre contre l'adversité, et justement, là est le problème : la philosophie de combat entre les deux femmes sont différentes, et cela créer des tensions. C'était plus qu'une engueulade ou de l'incompréhension, c'était un combat de conviction sur qui a la meilleure philosophie.

- Mon pays se forme pas aux mêmes choses que le votre, vous avez l'honneur, le fairplay et des techniques qui rendent un combat équilibrer car votre pays s'y prête. Le mien, on apprend la survie, on apprend à se battre quel qu'en soit les conditions, on apprend à gagner quel qu’en soit la façon de faire. Un dojo comme celui où je me trouve ne verra jamais le jour à Kaze, car il n'y a pas d'honneur et de fairplay à Kaze, il n'y a que l'envie de continue à vivre malgré les conditions. On ne s'amuse pas comme ici à se battre contre les autres, on a déjà l'environnement autour de nous qui nous sert à la fois de mannequin, d'adversaire et d'allié.

Elle tendait ses bras autour d'elle, indiquant la pièce qui l'entourait.

- Regardez autour de vous, tout est lisse, il n'y a aucuns endroits où se cacher, aucuns objets à prendre, cet endroit est construit pour servir à combattre en étant sur un pied d'égalité, mais ce n'est pas ça, le combat. Vous n'êtes pas une combattante, Miyuki, contrairement à ce que vous dîtes, vous êtes une artiste mariale, car votre style de combat repose sur des règles que vous ne pouvez pas vous empêchez de respecter.

Elle claque les mains, et une gerbe de sable vient s'envoler jusque dans les yeux de Miyuki, une technique fourbe que jamais elle n'oserait faire. Elle baisse ses bras, les plaçant le long du corps.

- Cette technique est une technique pour survivre, mais c'est une technique que vous pourrez voir utiliser par n'importe qui. C'est une technique de combat que jamais vous n'oserez faire, je suis une combattante car je me bats peu importe l'handicap, l'endroit et la raison, c'est pour ça que j'ai failli battre votre maître, car je me suis battue malgré le fait que je savais que je ne serais probablement pas vainqueur. J'ai chercher à survivre, pas à me battre à la régulière, cela est la grande différence entre nous deux, pas un style de combat ou une arme à utiliser, mais une philosophie de combat qui diverge par notre appartenance à nos pays respectifs subissant des conditions différentes.

Elle croise ensuite les bras, puis observe la demoiselle.

- Cela ne veut cependant pas dire que je ne respecte pas votre philosophie, comme vous le faîtes en ce moment. Je comprend pourquoi vous vous battez en vous imposant des règles, chose que je ne peux pas faire dans mon pays. Alors cessez de juger ma propre philosophie, et apprenez-moi comment vous réfléchissez.

Elle attendait maintenant sa réaction, mais elle savait que ce serait un combat philosophique, pas un véritable combat avec des poings ou des lames, à elle de décider de continuer ou de s'arrêter.

HRP:

Fuu ignore si c'est vraiment elle qui ne comprend rien, ou si c'est Miyuki qui se fourvoie, mais en tout cas, mais c'est un véritable dialogue de sourd, même si clairement, la plus grande des deux - et de loin -, était la plus bavarde et semblait défendre corps et âme sa façon de pensée. L'Asaara lâche un soupire en entendant ce qu'elle a à dire, elle s'est toujours entraînée seule, jamais contre quelqu'un, c'était inutile et, justement, l'un des deux risquaient de se blesser, mais visiblement, cela justifiait l'utilisation de technique très faible, mais Fuu ne voit pas pourquoi elle devrait apprendre des techniques qu'elle n'utilisera que dans un cadre d'entraînement contre quelqu'un, ce qui est aux yeux de Fuu très spécifique, encore une fois, elle préfère s'entraîner seul qu'en compagnie d'autre personne, surtout depuis qu'elle se transforme au lieu de manipuler le sable.

- J'avais la même philosophie quand je manipulais le sable au lieu de m'y assimiler, et je vois toujours pas pourquoi je dois apprendre des techniques spécifiques pour m'entraîner avec quelqu'un. S'il faut rajouter de quoi réduire l'impact des coups, alors autant mettre des gants et des bottes, non ? Ca reviendrait au même qu'utiliser un sabre en bois au lieu d'un sabre en métal, non ?

Après tout, c'était une solution qu'elle avait expliquer avec son exemple de la lance, mais ils n'ont pas l'air d'avoir des gants du coup. Enfin, Miyuki tente de lui faire un coup bas, voulant la prendre par surprise en lui faisant une balayette, Fuu tente d'esquiver le coup, mais la grandeur des jambes de cette girafe fait qu'elle arrive à la toucher quand même. Fuu finit sur le côté, mais elle se releva aussitôt, fixant la géante avec un regard très noir.

- Tss, vous avez juste de la chance d'avoir la jambe plus longue.

Disait-elle alors qu'elle s'approche, toujours en fixant la sabreuse malgré la différence de taille.

- Je suis très bien capable de faire la même chose que vous.

A titre d'exemple, elle fait la même chose sans prévenir, avec certainement bien plus de force que Miyuki a utiliser, mais il faut dire que le facteur taille et donc poids jouait dans la tête de Fuu, même si la sabreuse ne devrait pas aimer se prendre un coup de cette puissant au niveau du tibia pour qu'elle chute.

”La taille n’a rien à voir avec ça", c’est ce qu’elle ose dire après lui demander de se relever alors qu’elle est encore debout. Une légère veine de colère apparaît au niveau du front de Fuu qui a beau ne pas faire de complexe sur sa taille, n’aime absolument pas se faire ridiculiser de la sorte. Elle fronce les sourcils alors qu’elle tente de lui refaire la balayette au ralenti pour lui apprendre. Evidemment, elle reste attentive à ce qu’elle lui dit, la laissant décrire sa balayette et son fonctionnement. La kazejin sent que sa jambe commence à lever, mais la jambe de l'assimilation devient intangible, la jambe de Miyuki passe au travers et, alors qu’elle n’a pas repris son équilibre, elle vient réformer sa jambe, puis fait le même croc en jambe sur la seule jambe qui lui sert d’appui en ce moment, histoire de la faire tomber, et cela en quelques secondes.

- C’est cela que tu veux que je fasse ?

Demandes-t-elle en croisant les bras, alors qu’elle a le dessus sur la géante pour une fois, ce qui la rassure un peu dans sa fierté perdue, bon, c’est une maigre compensation vu ce que la géante lui a fait subir. Enfin, au moins, elle est capable maintenant de crocheter les jambes comme un voleur crocheter les serrures du coup, quelque part, la blonde devrait être contente de voir son “élève” la dépasser ainsi.

- Bon, toute bonne chose à une fin, je dois retourner auprès des membres de la banque qui m’ont accompagné jusqu’ici, j’ai du travail à faire.

Elle salue poliment la blonde encore sur le sol, puis elle commence à partir du dojo, emmenant avec elle la cape sur laquelle le symbole de la banque est inscrit.

- Puissiez-vous marcher sur des sables chauds.

Elle part, laissant la blonde derrière elle.

HRP: